gélule à libération prolongée
par 1 gélule
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ibuprofène | 300 mg |
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Traitement des douleurs subaiguës modérées en pathologie rhumatismale, notamment dans l’arthrose.
- Réservé à l’adulte (plus de 15 ans) :
– 2 gélules à 300 mg, matin et soir, soit 1200 mg par jour.- – Ne pas dépasser 1200 mg par jour.
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- Mode d’emploi :
– Les gélules sont à avaler telles quelles, avec un grand verre d’eau, de préférence au cours d’un repas. - – Ne pas dépasser 1200 mg par jour.
Absolue(s) :
- Grossesse, 4 derniers mois (de la)
- Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
- Crise d’asthme liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
- Crise d’asthme liée à la prise d’aspirine, antécédent (de)
- Hypersensibilité aux AINS
- Hypersensibilité aux salicylés
- Ulcère gastroduodénal évolutif
- Insuffisance hépatique sévère
- Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
- Lupus érythémateux aigu disséminé
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée
- Intolérance au fructose
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Sucrase-isomaltase, déficit (en)
- Asthme
– Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens plus élevé que le reste de la population. - – L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l’aspirine ou à un AINS.
- Réservé à l’adulte
- Risque d’hémorragie digestive
– Les hémorragies gastro-intestinales ou les ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire (cf Interactions). - – En cas d’hémorragie gastro-intestinale ou d’ulcère, interrompre immédiatement le traitement.
- Sujet âgé
L’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène. La posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre. - Pathologie digestive, antécédent
L’ibuprofène sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives…). - Insuffisance rénale
En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les patients insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après intervention chirurgicale majeure, ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement les sujets âgés. - Risque de trouble ophtalmique
En cas de troubles de la vue apparaissant en cours de traitement, un examen ophtalmologique complet doit être effectué. - Traitement prolongé
Au cours des traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale. - Insuffisance cardiaque
En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés. - Insuffisance hépatique
En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés. - Intervention chirurgicale, antécédent
En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés. - Risque d’ulcère digestif
Des hémorragies gastro-intestinales ou des ulcères/perforations peuvent se
produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de symptômes préalables ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, le sujet de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire. - En cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
- Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
– le foetus:
. à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel),
. à un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios ;
– la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.- En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
- En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
- Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
Allaitement :
- Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
- Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.
- Nausée
- Vomissement
- Douleur épigastrique
- Dyspepsie
- Transit intestinal (modification)
- Hémorragie digestive
- Eruption cutanée
- Prurit
- Oedème
- Urticaire chronique (aggravation)
- Crise d’asthme
- Oedème de Quincke (Rare)
- Vertige (Exceptionnel)
- Céphalée (Exceptionnel)
- Vision (modification) (Rare)
- Oligurie
- Insuffisance rénale
- Méningite aseptique
- Transaminases (augmentation)
- Agranulocytose
- Anémie hémolytique
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Classement ATC :
M01AE01 / IBUPROFENE
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Classement Vidal :
Anti-inflammatoire non stéroïdien : arylcarboxylique Anti-inflammatoire (Ibuprofène)
Anti-inflammatoire non stéroïdien : ibuprofène Antalgique
Anti-inflammatoire non stéroïdien Rhumatologie (Ibuprofène)
Liste II
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CIP : 3368634 (NUREFLEX 300mg gél LP : B/30).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Reckitt Benckiser Healthcare France
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