collyre
par 100 ml
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timolol maléate | 340 mg |
Soit timolol | 250 mg |
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– Hypertonie intra-oculaire.
- – Glaucome chronique à angle ouvert.
- II est recommandé de débuter le traitement par l’instillation dans l’oeil malade d’une goutte de NYOLOL 0,25 % deux fois par jour.
- En cas d’efficacité insuffisante, la concentration supérieure sera utilisée à raison d’une goutte de NYOLOL 0,50 %, deux fois par jour dans l’oeil malade.
- Chez une petite proportion de patients, une goutte 2 fois par jour de timolol 0,10 % en collyre dans l’oeil malade peut être suffisante. Si la réponse clinique est insuffisante avec la solution à 0,10 % , la concentration devra être augmentée à raison d’une goutte à 0,25% deux fois par jour dans l’oeil malade.
- L’ophtalmologiste pourra, s’il le juge nécessaire, associer NYOLOL à un ou plusieurs autres traitements antiglaucomateux (par voie locale et/ou générale).
- Cependant, l’association de deux collyres bêta-bloquants est déconseillée.
- Les autres collyres doivent être administrés au moins 15 minutes avant NYOLOL.
- Toutefois, la normalisation de la tension oculaire par NYOLOL requiert parfois quelques semaines, aussi l’évaluation du traitement doit-elle inclure une mesure de la tension intra-oculaire après une période de traitement d’environ 4 semaines.
- Dans un certain nombre de cas, l’administration quotidienne d’une seule goutte de NYOLOL peut s’avérer suffisante, en particulier lorsque la pression intraoculaire a été maintenue à des niveaux satisfaisants.
- Substitution d’un traitement antérieur
Quand NYOLOL doit prendre le relais d’un autre collyre anti-glaucomateux, ce collyre doit être arrêté à la fin d’une journée complète de traitement, et NYOLOL doit être administré le lendemain à la posologie d’une goutte à 0,25 % dans l’oeil malade deux fois par jour.- En cas d’efficacité insuffisante, passer à NYOLOL 0,50 % à raison d’une goutte dans l’oeil malade, deux fois par jour.
- Si NYOLOL doit être substitué à plusieurs antiglaucomateux associés, les suppressions ne doivent concerner qu’un seul médicament à la fois.
- En cas de substitution de collyres myotiques par NYOLOL, un examen de la réfraction peut s’avérer nécessaire quand les effets des myotiques ont disparu.
- La prescription médicale sera accompagnée du contrôle de la pression intra-oculaire, surtout lors de l’instauration du traitement.
- En cas d’efficacité insuffisante, la concentration supérieure sera utilisée à raison d’une goutte de NYOLOL 0,50 %, deux fois par jour dans l’oeil malade.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité aux ammoniums quaternaires
- Asthme
- Bronchopneumopathie chronique obstructive
- Insuffisance cardiaque congestive
- Choc cardiogénique
- Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
- Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
- Angor de Prinzmetal
- Maladie du sinus auriculaire non appareillé
- Bradycardie
- Syndrome de Raynaud
- Trouble circulatoire périphérique
- Phéochromocytome non traité
- Hypotension artérielle
- Hypersensibilité aux bêtabloquants
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Accident allergique anaphylactique, antécédent (d’)
- Rhinite allergique sévère
- Traitement par bêtabloquant en cours
L’association de deux collyres bêta-bloquants est déconseillée. - Glaucome à angle fermé
Dans le cas où NYOLOL est administré pour diminuer la pression intra-oculaire chez les patients ayant un glaucome par fermeture de l’angle, un myotique doit être associé. - En effet, chez ces patients, l’objectif immédiat du traitement est la réouverture de l’angle, ce qui nécessite l’emploi d’un myotique afin d’obtenir une constriction pupillaire, le maléate de timolol n’ayant pas ou peu d’effet sur la pupille.
- Intervention chirurgicale du glaucome
Des décollements de la choroïde, contemporains d’hypotonie oculaire, ont été rapportés après traitement chirurgical du glaucome, lors de l’administration d’antiglaucomateux diminuant la sécrétion de l’humeur aqueuse (timolol, acétazolamide). - Sujet porteur de lentilles de contact
II existe un risque d’intolérance aux lentilles de contact par diminution de la sécrétion lacrymale, liée d’une manière générale aux bêta-bloquants. - Le conservateur de NYOLOL, le chlorure de benzalkonium, peut se déposer sur les lentilles de contact souples ; par conséquent, NYOLOL ne doit pas être utilisé en présence de lentilles souples. Les lentilles doivent être enlevées avant l’application des gouttes et ne pas être remises avant un délai minimum de 15 minutes après l’utilisation de NYOLOL.
- Enfant de moins de 15 ans
Ce collyre n’a pas fait l’objet d’études cliniques chez le prématuré, le nouveau-né et l’enfant. - L’utilisation de ce collyre n’est donc pas recommandée chez ces patients.
- Traitement prolongé
Une diminution de la sensibilité au timolol pourrait apparaître après un traitement prolongé. Il convient, dans les traitements au long cours, de vérifier chaque année l’absence d’échappement thérapeutique. - Risque de passage systémique
Il convient de garder à l’esprit les mises en garde et précautions d’emploi des bêta-bloquants administrés par voie générale, bien que les effets systémiques des bêta-bloquants ne soient observés que de façon exceptionnelle après instillation oculaire. - Sportif
L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. - Traitement à arrêter progressivement
Ne jamais interrompre brutalement un traitement bêta-bloquant par voie générale, en particulier chez les angineux : l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite. - La posologie doit être diminuée progressivement, c’est-à-dire sur une à deux semaines.
- Risque de bradycardie
Si la fréquence cardiaque s’abaisse au-dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée. - Bloc auriculoventriculaire du premier degré
Etant donné l’effet dromotrope négatif des bêta-bloquants, les bêta-bloquants ne doivent être administrés qu’avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré. - Phéochromocytome
L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle. - Sujet âgé
Chez ces sujets à risque et quand un collyre bêta-bloquant est administré avec un bêta-bloquant par voie générale, une adaptation posologique est souvent nécessaire. - Insuffisance rénale
Chez ces sujets à risque et quand un collyre bêta-bloquant est administré avec un bêta-bloquant par voie générale, une adaptation posologique est souvent nécessaire. - Insuffisance hépatique
Chez ces sujets à risque et quand un collyre bêta-bloquant est administré avec un bêta-bloquant par voie générale, une adaptation posologique est souvent nécessaire. - Diabète
Prévenir les malades et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. - Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
- Psoriasis
Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquant, l’indication mérite d’être pesée. - Sujet allergique
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles. - Anesthésie générale
Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation des phénomènes réflexes sympathiques. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives per-opératoires. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant. - Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensibilité aux catécholamines.
- Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu : chez les malades atteints d’insuffisance coronaire, il est souhaitable de poursuivre le
traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants; en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. - L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
- La majoration du risque anaphylactique liée à la prise de bêta-bloquants, devra être prise en considération.
- Hyperthyroïdie
Les bêta-bloquants sont capables d’en masquer certains signes, en particulier cardiovasculaires.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Le passage systémique des bêta-bloquants administrés par voie oculaire est moindre que par voie orale mais néanmoins réel.
- Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
- En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêta-bloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
- Chez le nouveau-né de mère traitée, l’action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance et peut se traduire par une bradycardie, une détresse respiratoire, une hypoglycémie; mais le plus souvent, cette rémanence est sans conséquence clinique. II peut néanmoins survenir, par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation, une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs, tout en évitant les solutés de remplissage (risque d’OAP).
- En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu’à l’accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.
- Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
Allaitement :
- Le passage systémique des bêta-bloquants administrés par voie oculaire est moindre que par voie orale mais néanmoins réel.
- Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait.
- Le risque de survenue d’hypoglycémie et de bradycardie a été décrit pour certains bêta-bloquants peu liés aux protéines plasmatiques.
- En conséquence, l’allaitement est déconseillé en cas de nécessité de traitement.
- Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait.
- II existe des effets indésirables associés à ce collyre (notamment des troubles de la vision) qui peuvent altérer l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
- Hyposécrétion lacrymale
- Sensation de brûlure oculaire
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Picotement oculaire
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Hyperhémie conjonctivale
- Conjonctivite
- Blépharite
- Kératite
- Hypoesthésie cornéenne
- Réfraction (modification)
- Diplopie
- Ptosis
- Décollement de la choroïde
- Eczéma de contact
- Irritation oculaire
- Effets systémiques (Exceptionnel)
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Classement ATC :
S01ED01 / TIMOLOL
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Classement Vidal :
Antiglaucomateux Ophtalmologie
Liste I
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CIP : 3353549 (NYOLOL 0,25% collyre Gé : Fl/3ml).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Europhta
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