logo news copy.webp
Search
Close this search box.

OFLOXACINE SANDOZ 200mg cp pellic séc







comprimé pelliculé sécable
par 1 comprimé
ofloxacine200 mg
Excipients : amidon de maïs, lactose anhydre, cellulose microcristalline, hyprolose, polysorbate 80, magnésium stéarate, silice colloïdale anhydre, sodium carboxyméthylamidon de type A, talc, opadry blanc OY-S-58910, ( hypromellose, titane dioxyde, macrogol 400, talc ), sodium.

Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’ofloxacine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

  • Elles sont limitées chez l’adulte :
    – au traitement des infections urinaires hautes et basses, compliquées ou non,
    – au traitement de l’urétrite gonococcique et non gonococcique,
    – au traitement des infections sévères dans les manifestations prostatiques,
    – au traitement des infections gynécologiques hautes (cf Mises en garde/Précautions d’emploi),
    – au traitement de relais des infections ostéoarticulaires,
    – au traitement de la suppuration bronchique, en l’absence de toute atteinte parenchymateuse :
    . chez le sujet à risque (éthylique chronique, tabagique, sujet de plus de 65 ans),
    . chez le bronchitique chronique lors de poussées itératives,
    – au traitement des infections ORL suivantes :
    . sinusites chroniques,
    . poussées de surinfection des otites chroniques (quelle que soit leur nature) et des cavités d’évidement,
    . préparations pré-opératoires d’otites chroniques ostéitiques ou cholestéatomateuses.
  • Elles sont réservées au secteur hospitalier et limitées chez l’adulte aux infections sévères à bacilles Gram négatif et staphylocoques définis comme sensibles dans leurs manifestations :
    – septicémiques,
    – respiratoires,
    – ORL chroniques,
    – rénales et urinaires, y compris prostatiques,
    – gynécologiques,
    – osseuses et articulaires,
    – cutanées,
    – abdominales et hépatobiliaires.
  • Situations particulières :
    Traitement prophylactique post-exposition et traitement curatif de la maladie du charbon.
  • Les streptocoques et pneumocoques n’étant que modérément sensibles à l’ofloxacine, le produit ne doit pas être prescrit en première intention lorsque l’un de ces germes est suspecté.
  • Au cours du traitement d’infections à Pseudomonas aeruginosa et à Staphylococcus aureus, l’émergence de mutants résistants a été décrite et peut justifier l’association d’un autre antibiotique. Une surveillance microbiologique à la recherche d’une telle résistance doit être envisagée, en particulier en cas de suspicion d’échec.
  • L’emploi d’ofloxacine dans les infections graves, notamment bactériémiques à Pseudomonas aeruginosa et acinetobacter, est déconseillé.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • —- Adultes :
    — Chez le sujet aux fonctions rénales normales :
    – 400 mg/jour en deux prises (soit 1 comprimé matin et soir).
  • – Pour le traitement de la suppuration bronchique, la posologie est de 400 mg/jour en une seule prise.
  • Cette posologie peut être augmentée jusqu’à 600 ou 800 mg/jour chez des malades de poids élevé, et/ou en cas d’infections sévères, notamment chez l’immunodéprimé, ou en cas d’infection d’origine nosocomiale à germes Gram négatif multirésistants tels que pseudomonas, acinetobacter et serratia.
  • – Pour ces derniers germes ainsi que pour Staphylococcus aureus, l’association à un autre antibiotique, adapté au germe causal, est recommandée.
  • – Pour le traitement des infections gynécologiques hautes, la durée du traitement sera de 3 semaines.
  • – Dans les infections urinaires basses de la femme, trois situations sont envisageables :
    . cystites aiguës non compliquées de la femme de moins de 65 ans : 2 comprimés en une seule prise.
  • . cystites de la femme présentant les facteurs de risque suivants : cystites récidivantes, âge supérieur à 65 ans : le traitement est de 5 jours.
  • . dans les autres cas d’infection urinaire basse (stase ou dilatation des voies urinaires par anomalie anatomique ou fonctionnelle, infection sur sonde, immunodépression, diabète, échec d’un traitement antibiotique antérieur), les schémas raccourcis ne s’appliquent pas.
  • Situations particulières :
    Maladie du charbon : traitement prophylactique post-exposition et traitement curatif des personnes symptomatiques pouvant recevoir un traitement per os, soit d’emblée, soit en relais d’un traitement parentéral : 800 mg/jour en deux prises.
  • La durée du traitement est de 8 semaines lorsque l’exposition au charbon est avérée.
  • — Chez le sujet insuffisant rénal :
    Il convient d’adapter la posologie au degré de l’insuffisance rénale en espaçant les doses :
    – insuffisance rénale légère ou modérée (clairance de la créatinine > 20 ml/min) : une prise de 200 mg toutes les 24 heures.
  • – insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <= 20 ml/min) : une prise de 200 mg toutes les 48 heures.
  • Il est conseillé de procéder à un contrôle des taux sériques du principe actif chez les insuffisants rénaux et les hémodialysés.
  • — Chez le sujet âgé :
    Il convient d’adapter la posologie au degré de l’insuffisance rénale :
    – pour une clairance de la créatinine comprise entre 20 et 50 ml/min : la posologie unitaire doit être réduite de moitié, à savoir une prise de 200 mg toutes les 24 heures.
  • – pour une clairance de la créatinine < 20 ml/min : une prise de 200 mg toutes les 48 heures.
  • — Enfants :
    Dans les cas exceptionnels du traitement des infections sévères (cf Contre-indications), le schéma posologique utilisable est le suivant : 10 à 15 mg/kg/jour en deux prises quotidiennes, sans dépasser 400 mg/jour en deux prises.

  • Absolue(s) :
    • Tendinopathie due à une fluoroquinolone, antécédent (de)
    • Hypersensibilité aux quinolones
    • Epilepsie
    • Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase
    • Enfant de moins de 6 ans
    • Allaitement
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Enfant jusqu’à la fin de la période de croissance

    • Enfant de moins de 15 ans
      – Le risque de survenue d’une arthropathie est à surveiller, plus particulièrement chez l’enfant.
    • – Concernant plus spécifiquement l’enfant, si des douleurs articulaires apparaissent au cours du traitement par l’ofloxacine, celui-ci doit être interrompu et l’articulation concernée mise au repos ; un avis spécialisé sera requis.
    • Ne pas s’exposer directement au soleil ou aux rayonnements UV
      Éviter l’exposition au soleil et aux rayonnements ultraviolets pendant la durée du traitement en raison du risque de photosensibilisation.
    • Risque de photosensibilisation
      Eviter l’exposition au soleil et aux rayonnements ultraviolets pendant la durée du traitement en raison du risque de photosensibilisation.
    • Risque de tendinite
      – Les tendinites, rarement observées, peuvent parfois conduire à une rupture touchant plus particulièrement le tendon d’Achille, et surviennent notamment chez le patient âgé. La rupture semble être favorisée par la corticothérapie au long cours (cf Contre-indications et Effets secondaires).
    • – L’apparition de signes de tendinite demande un arrêt du traitement, la mise au repos des deux tendons d’Achille par une contention appropriée ou des talonnettes et un avis en milieu spécialisé (cf Contre-indications et Effets secondaires).
    • Sujet âgé
      – Les tendinites, rarement observées, peuvent parfois conduire à une rupture touchant plus particulièrement le tendon d’Achille, et surviennent notamment chez le patient âgé. La rupture semble être favorisée par la corticothérapie au long cours (cf Contre-indications et Effets secondaires).
    • – Il convient d’adapter la posologie au degré de l’insuffisance rénale :
      . pour une clairance de la créatinine comprise entre 20 et 50 ml/min : la posologie unitaire doit être réduite de moitié, à savoir une prise de 200 mg toutes les 24 heures.
    • . pour une clairance de la créatinine < 20 ml/min : une prise de 200 mg toutes les 48 heures.
    • Risque d’arthropathie
      – Le risque de survenue d’une arthropathie est à surveiller, plus particulièrement chez l’enfant.
    • – Concernant plus spécifiquement l’enfant, si des douleurs articulaires apparaissent au cours du traitement par l’ofloxacine, celui-ci doit être interrompu et l’articulation concernée mise au repos ; un avis spécialisé sera requis.
    • Risque de sélection de souches résistantes
      Une émergence de résistance ou une sélection de souches résistantes est possible, en particulier lors de traitements au long cours et/ou d’infections nosocomiales, notamment parmi les staphylocoques et les pseudomonas.
    • Antécédent de convulsions
      L’ofloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou des facteurs prédisposant à la survenue de convulsions (cf Effets secondaires).
    • Sujet à risque de crise convulsive
      L’ofloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou des facteurs prédisposant à la survenue de convulsions (cf Effets secondaires).
    • Myasthénie
      L’ofloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints de myasthénie (cf Effets secondaires).
    • Infection gynécologique
      Dans le traitement des infections gynécologiques, il est nécessaire d’associer l’ofloxacine à un antibiotique possédant un spectre d’activité antibactérienne complémentaire, actif sur les streptocoques et les anaérobies (par exemple association de bêta-lactamines et d’inhibiteur de bêta-lactamases, ou association d’un macrolide ou antibiotiques apparentés ou bêta-lactamines avec un nitro-imidazolé…).
    • Insuffisance rénale
      Du fait de l’excrétion essentiellement rénale de l’ofloxacine, la posologie doit être adaptée chez les sujets présentant une altération de la fonction rénale (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Sujet sous régime hyposodé ou désodé
      Ce médicament contient 1,34 mg de sodium par comprimé : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    II est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser l’ofloxacine pendant la grossesse.
  • En effet, bien que les études effectuées chez l’animal n’aient pas mis en évidence d’effet tératogène, les données cliniques sont encore insuffisantes.
  • Des atteintes articulaires ont été décrites chez des enfants traités par des quinolones, mais à ce jour, aucun cas d’arthropathie secondaire à une exposition in utero n’est rapporté.
  •  Allaitement :

    L’administration de ce médicament fait contre-indiquer l’allaitement, en raison du passage des fluoroquinolones dans le lait maternel et du risque articulaire du nouveau-né allaité.

    Comme lors de tout traitement susceptible d’entraîner des manifestations neurologiques, il convient d’avertir de ce risque potentiel les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines.

    • Nausée
    • Douleur épigastrique
    • Diarrhée
    • Vomissement
    • Eruption maculopapuleuse
    • Purpura vasculaire
    • Photosensibilisation (Rare)
    • Erythème polymorphe (Exceptionnel)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Exceptionnel)
    • Syndrome de Lyell (Exceptionnel)
    • Douleur musculaire
    • Douleur articulaire
    • Tendinite
    • Rupture de tendon
    • Convulsions
    • Confusion mentale
    • Hallucination
    • Céphalée
    • Vision (modification)
    • Vertige
    • Paresthésie
    • Trouble du sommeil
    • Myasthénie (aggravation)
    • Urticaire
    • Oedème de Quincke (Exceptionnel)
    • Choc anaphylactique (Exceptionnel)
    • Thrombopénie
    • Leucopénie
    • Eosinophilie (Rare)
    • Créatininémie (augmentation)
    • Insuffisance rénale aiguë (Exceptionnel)
    • Transaminases (augmentation)
    • Hépatite (Exceptionnel)
    • Arthropathie
      Enfant.

    • Classement ATC : 
          J01MA01 / OFLOXACINE
    • Classement Vidal : 
          Antibiotique : quinolone de 2ème génération (Voie orale)

    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S <= 1 mg/l et R > 4 mg/l.
  • La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
  • Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
  • ESPECES SENSIBLES :
    – Aérobies à Gram + :
    Bacillus anthracis**, staphylococcus méti-S.
  • – Aérobies à Gram – :
    acinetobacter essentiellement Acinetobacter baumannii (50 – 75 %), Branhamella catarrhalis, Bordetella pertussis, campylobacter, Citrobacter freundii (15 – 25 %), Enterobacter cloacae (15 – 25 %), Escherichia coli (0 – 10 %), Haemophilus influenzae, Klebsiella oxytoca (0 – 11 %), Klebsiella pneumoniae (0 – 25 %), legionella, Morganella morganii, neisseria, pasteurella, Proteus mirabilis (0 – 10 %), Proteus vulgaris, providencia (45 – 70 %), Pseudomonas aeruginosa (45 – 85 %), salmonella, serratia (40 – 45 %), shigella, vibrio, yersinia.
  • – Anaérobies :
    mobiluncus, Propionibacterium acnes.
  • – Autres :
    Mycoplasma hominis.
  • ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    – Aérobies à Gram + :
    corynébactéries, streptococcus, Streptococcus pneumoniae.
  • – Autres :
    chlamydiae, Mycoplasma pneumoniae, Ureaplasma urealyticum.
  • ESPECES RESISTANTES :
    – Aérobies à Gram + :
    entérocoques, Listeria monocytogenes, Nocardia asteroïdes,
    staphylococcus méti-R*.
  • – Anaérobies : à l’exception de mobiluncus et Propionibacterium acnes.
  • * La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
  • ** Bacillus anthracis : aucune étude animale d’infection expérimentale dans la maladie du charbon n’a été réalisée.
  • — Mycobactéries atypiques : l’ofloxacine a in vitro une activité modérée sur certaines espèces de mycobactéries : Mycobacterium tuberculosis, Mycobacterium fortuitum, moindre sur Mycobacterium kansasii et encore moindre sur Mycobacterium avium.

  • Liste I
    • CIP : 3645298 (OFLOXACINE SANDOZ 200mg cp pellic séc : Plq/10).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Sandoz


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires

    OPHIDUS®

    OPHIDUS® Gélules (enveloppe d’origine végétale) :  Boîte de 30 (ACL 732453.3).

    Read More »

    EXFORGE®

    amlodipine, valsartan FORMES et PRÉSENTATIONS Comprimé pelliculé à 5 mg/80 mg (rond, à bords biseautés, portant

    Read More »