oxycodone
FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
p cp | |
Oxycodone (DCI) chlorhydrate | 5 mg* |
ou | 10 mg |
ou | 20 mg |
ou | 40 mg |
ou | 80 mg |
ou | 120 mg* |
** excipient à effet notoire
INDICATIONS |
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION |
- Posologie initiale :
-
- Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois : utiliser le dosage 10 mg toutes les 12 heures.
- Patients antérieurement traités par des opioïdes forts : la dose initiale est à déterminer en fonction de l’équivalent de la dose quotidienne de morphine prise antérieurement. A titre indicatif et en l’absence d’équivalence clairement établie, le rapport d’équianalgésie est le suivant : 10 mg d’oxycodone par voie orale sont équivalents à 20 mg de morphine orale. La dose d’oxycodone sera donc environ la moitié de la dose de morphine administrée précédemment.
- Patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, une insuffisance rénale, patients âgés, patients amaigris : l’administration d’oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible, 5 mg toutes les 12 heures, afin de minimiser l’incidence des effets indésirables. La dose sera ensuite ajustée individuellement en fonction de l’état clinique du patient.
- Patients recevant des opioïdes forts pour la première fois : utiliser le dosage 10 mg toutes les 12 heures.
- Fréquence de l’évaluation :
- Il ne faut pas s’attarder sur une posologie qui s’avère inefficace. Le patient doit donc être vu de manière rapprochée jusqu’à ce que la douleur soit contrôlée. Dans la pratique, une évaluation quotidienne est recommandée en début de traitement.
- Augmentation de la dose :
- Si la douleur n’est pas contrôlée, il convient d’augmenter les doses de 25 à 50 %, en conservant un intervalle de 12 heures entre les prises. Dans ce processus d’ajustement des doses, il n’y a pas de limite supérieure tant que les effets indésirables sont contrôlés.
- Changement de forme pharmaceutique :
- En cas de passage d’une forme à libération immédiate à une forme à libération prolongée, la posologie quotidienne sera inchangée.
- Arrêt du traitement :
- Il convient de réduire les doses d’oxycodone progressivement afin d’éviter l’apparition d’un syndrome de sevrage.
Mode d’administration :
Voie orale.
Les comprimés doivent être avalés entiers sans être cassés, mâchés ou écrasés.
La posologie quotidienne totale doit être répartie en 2 prises, le plus souvent équivalentes, à 12 heures d’intervalle.
CONTRE-INDICATIONS |
- Enfant de moins de 18 ans.
- Hypersensibilité connue à l’oxycodone, ou à l’un des composants de ce médicament.
- Insuffisance respiratoire décompensée.
- Insuffisance hépatocellulaire sévère.
- Iléus paralytique.
- Coeur pulmonaire chronique.
- Allaitement.
- Association à la buprénorphine, la nalbuphine, la pentazocine.
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI |
Mises en garde :
Dans le contexte du traitement de la douleur, l’augmentation des doses, même si celles-ci sont élevées, ne relève pas le plus souvent d’un processus de dépendance.
Une demande pressante et réitérée nécessite de réévaluer fréquemment l’état du patient. Elle témoigne le plus souvent d’un authentique besoin en analgésique, à ne pas confondre avec un comportement addictif.
En cas d’utilisation prolongée et répétée, le patient peut développer une tolérance au médicament et avoir besoin d’augmenter progressivement les doses pour maintenir l’analgésie.
L’oxycodone est un stupéfiant qui présente un risque d’abus équivalent aux autres opioïdes forts. L’oxycodone peut donner lieu à une utilisation détournée (mésusage) et à un usage abusif par des personnes présentant un risque latent ou manifeste de troubles addictifs. Une accoutumance et une dépendance physique et psychique peuvent apparaître après l’administration d’analgésiques opioïdes dont l’oxycodone.
Les comprimés à libération prolongée doivent être avalés entiers sans être croqués, mâchés ou écrasés. L’administration de comprimés à libération prolongée d’oxycodone écrasés, sucés ou croqués conduit à une libération rapide et à une absorption d’une quantité d’oxycodone potentiellement fatale (cf Surdosage).
L’oxycodone, comme les autres opioïdes, doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant des antécédents de toxicomanie ou d’alcoolisme. Cependant, ces antécédents ne contre-indiquent toutefois pas la prescription d’oxycodone si celle-ci apparaît indispensable au traitement de la douleur, mais une surveillance particulière du traitement est recommandée.
L’utilisation prolongée de ce médicament peut entraîner une dépendance physique et un syndrome de sevrage peut apparaître lors d’un arrêt brutal du traitement. Le syndrome de sevrage est caractérisé par les symptômes suivants : anxiété, irritabilité, frissons, mydriase, bouffées de chaleur, sudation, larmoiement, rhinorrhée, nausées, vomissements, crampes abdominales, diarrhées, arthralgies.
L’usage détourné de formes orales par injection parentérale peut entraîner des effets indésirables graves pouvant être fatals.
L’apparition de ce syndrome de sevrage sera évitée par une diminution progressive des doses.
L’oxycodone n’est pas adaptée au traitement des pharmacodépendances majeures aux opiacés.
Ce médicament est généralement déconseillé dans les cas suivants :- grossesse,
- association avec l’alcool.
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp, ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Précautions d’emploi :Le risque principal en cas de surdosage est une dépression respiratoire.
L’oxycodone doit être utilisée avec précaution dans les cas suivants :- Hypovolémie : en cas d’hypovolémie, l’oxycodone peut induire un collapsus. L’hypovolémie sera donc corrigée avant l’administration d’oxycodone.
- Insuffisance rénale : l’élimination rénale de l’oxycodone, sous la forme d’un métabolite actif, impose de débuter le traitement à posologie réduite, en adaptant par la suite, comme chez tout patient, les doses ou la fréquence d’administration à l’état clinique.
- Lorsque l’étiologie de la douleur est traitée simultanément : il convient alors d’adapter les doses d’oxycodone aux résultats du traitement appliqué.
- Chez l’insuffisant respiratoire :
La fréquence respiratoire sera surveillée attentivement. La somnolence constitue un signe d’appel d’une décompensation. - Il importe de diminuer les doses d’oxycodone lorsque d’autres traitements antalgiques d’action centrale sont prescrits simultanément, car cela favorise l’apparition brutale d’une insuffisance respiratoire.
- Chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, une pancréatite : l’administration d’oxycodone doit être prudente et accompagnée d’une surveillance clinique.
- Chez les personnes âgées ou fragilisées :
Leur sensibilité particulière aux effets antalgiques des opioïdes forts, mais aussi à leurs effets indésirables centraux (confusion) ou d’ordre digestif, associée à une baisse physiologique de la fonction rénale, doit inciter à la prudence, en instaurant notamment le traitement à la dose la plus faible, et en augmentant très progressivement la posologie. - Les coprescriptions, lorsqu’elles comportent des antidépresseurs tricycliques notamment, augmentent a fortiori la survenue d’effets indésirables comme la confusion ou la constipation.
- Une pathologie urétroprostatique, fréquente dans cette population, expose au risque de rétention urinaire.
- L’usage de l’oxycodone ne doit pas pour autant être restreint chez la personne âgée dès lors qu’il s’accompagne de ces précautions.
- Constipation : il est impératif de rechercher et de prendre en charge une constipation ou un syndrome occlusif avant et pendant le traitement.
- Traumatisme crânien : en raison du risque d’augmentation de la pression intracrânienne, l’utilisation d’oxycodone au cours des douleurs chroniques devra être prudente.
- Troubles mictionnels : il existe un risque de dysurie ou de rétention d’urine, principalement en cas d’adénome prostatique ou de sténose urétrale.
- Chez les patients présentant un myxoedème, une hypothyroïdie, une maladie d’Addison, une hypotension, une psychose toxique, un delirium tremens, un alcoolisme : l’administration d’oxycodone doit être prudente et accompagnée d’une surveillance clinique.
- L’utilisation de ce médicament n’est pas recommandée en situations préopératoires, dans les 12 à 24 heures postopératoires et jusqu’à la confirmation médicale de la reprise du transit intestinal.
- Sportifs : l’attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient du chlorhydrate d’oxycodone et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
INTERACTIONS |
Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s’agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, des IMAO, du baclofène et du thalidomide. Contre-indiquées :
- Morphiniques agonistes-antagonistes (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine) : diminution de l’effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d’apparition d’un syndrome de sevrage.
Déconseillées :
- Naltrexone : risque de diminution de l’effet antalgique et/ou apparition d’un syndrome de sevrage. Si nécessaire, augmenter les doses du dérivé morphinique.
- Consommation d’alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif des analgésiques morphiniques. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
A prendre en compte :
- Autres analgésiques morphiniques agonistes (alfentanil, codéine, dextromoramide, dextropropoxyphène, dihydrocodéine, fentanyl, hydromorphone, morphine, péthidine, phénopéridine, rémifentanil, sufentanil, tramadol) ; antitussifs morphine-like (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine) ; antitussifs morphiniques vrais (codéine, éthylmorphine) ; barbituriques ; benzodiazépines et apparentés : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Autres médicaments sédatifs : majoration de la dépression centrale. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
GROSSESSE et ALLAITEMENT |
Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du chlorhydrate d’oxycodone lorsqu’il est administré pendant la grossesse.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de chlorhydrate d’oxycodone par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né avec irritabilité, vomissements, convulsions et létalité accrue.
En conséquence, l’utilisation du chlorhydrate d’oxycodone est déconseillée au cours de la grossesse.
En fin de grossesse, en cas de prises ponctuelles élevées, de traitement chronique, voire de toxicomanie, une surveillance néonatale doit être envisagée, afin de prévenir les risques de dépression respiratoire ou de syndrome de sevrage chez l’enfant.
Allaitement :
L’oxycodone peut être excrétée dans le lait maternel et engendrer une dépression respiratoire du nouveau-né.
En conséquence, l’oxycodone est contre-indiquée au cours de l’allaitement.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
- confusion, sédation, excitation, cauchemars, plus spécialement chez le sujet âgé, avec éventuellement hallucinations ;
- céphalées, vertiges ;
- dépression respiratoire, avec, au maximum, apnée ;
- augmentation de la pression intracrânienne, qu’il convient de traiter dans un premier temps ;
- dysurie et rétention urinaire, principalement en cas d’adénome prostatique ou de sténose urétrale.
SURDOSAGE |
- Symptômes :
- Les signes d’un surdosage en oxycodone sont : une dépression respiratoire, un myosis extrême, une flaccidité des muscles striés, une hypotension, une hypothermie, une bradycardie, une somnolence pouvant évoluer vers un état de stupeur ou de coma, pouvant être fatal dans les cas les plus graves.
- La somnolence constitue un signe d’appel précoce de la décompensation respiratoire.
- Conduite d’urgence :
- Ventilation assistée, avant réanimation cardiorespiratoire en service spécialisé.
- L’évacuation du contenu gastrique peut être utile pour éliminer le produit non absorbé.
- En cas de surdosage massif, traitement par la naloxone par voie intraveineuse.
- En raison de la forme à libération prolongée, OxyContin LP continuera à augmenter la charge d’oxycodone pendant 12 heures après son administration ; la naloxone ayant une courte durée d’action, le patient devra être surveillé jusqu’au rétablissement d’une ventilation spontanée.
- Chez les sujets physiquement dépendants à l’oxycodone, la naloxone doit être administrée avec précaution, car elle peut provoquer une réversion brutale ou totale des effets opioïdes, et provoquer des douleurs ou un syndrome de sevrage aigu.
PHARMACODYNAMIE |
Classe pharmacothérapeutique : Analgésique opioïde (code ATC : N02AA05 ; N : système nerveux central).
L’oxycodone est un agoniste opioïde pur.
Son action antalgique est similaire qualitativement à celle de la morphine. L’effet thérapeutique est principalement analgésique, anxiolytique, antitussif et sédatif.
- Système endocrinien :
- Les opioïdes ont une action pharmacologique sur l’axe hypothalamo-hypophysaire ou gonadique.
- Certaines modifications ont été observées, telles qu’une augmentation de la prolactinémie et une diminution du cortisol plasmatique et de la testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
- Autres effets pharmacologiques :
- Les études animales et in vitro indiquent différents effets des opioïdes naturels, tels que la morphine, sur les composantes du système immunitaire. La conséquence clinique de ces observations n’est pas connue.
PHARMACOCINÉTIQUE |
La biodisponibilité absolue de l’oxycodone varie jusqu’à 87 %. L’effet de premier passage hépatique est faible. La demi-vie d’élimination est en moyenne de 4,5 heures, et l’état d’équilibre est atteint en environ 24 heures.
La libération d’oxycodone par les comprimés d’OxyContin LP a 2 phases, une phase initiale rapide, suivie d’une libération contrôlée qui détermine la durée d’action sur 12 heures.
L’oxycodone est métabolisée en noroxycodone et en oxymorphone ; l’oxymorphone possède une activité antalgique, mais les faibles concentrations plasmatiques retrouvées ne sont pas considérées comme contribuant à l’activité pharmacologique de l’oxycodone.
L’ingestion simultanée d’un repas riche en graisses ne modifie pas l’absorption ni la concentration maximale d’OxyContin LP.
Le chlorhydrate d’oxycodone et son principal métabolite, la noroxycodone, sont éliminés par voie urinaire.
Les concentrations plasmatiques de l’oxycodone ne sont en principe pas affectées par l’âge, étant supérieures de 15 % chez le sujet âgé en comparaison du sujet jeune. Chez la femme, en moyenne, les concentrations plasmatiques de l’oxycodone sont supérieures de 25 % par rapport à un homme en données ajustées au poids corporel.
SÉCURITE PRÉCLINIQUE |
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie en administration répétée et de génotoxicité, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.
L’oxycodone n’a pas montré d’effet sur la fertilité, la reproduction et sur le développement embryonnaire du rat. Dans des études péri et postnatales conduites chez le rat, il n’a pas été observé d’effet toxique de l’oxycodone sur la gestation, la parturition et la lactation ou sur le développement de la descendance et sa survie, à l’exception d’une diminution de poids à fortes doses. De même, les études de tératogénicité chez le rat et le lapin n’ont pas mis en évidence d’effet foetotoxique de l’oxycodone.
Aucune étude de carcinogénicité à long terme n’a été effectuée.
Les résultats négatifs des études de mutagenèse in vitro et in vivo à des doses très élevées comparativement aux doses thérapeutiques indiquent que le risque mutagène de l’oxycodone est très peu probable dans les conditions d’utilisations thérapeutiques. L’oxycodone s’est avérée mutagène lors d’un test in vitro (test du lymphome de souris avec activation métabolique à des doses supérieures à 50 µg/ml).
MODALITÉS DE CONSERVATION |
- Durée de conservation :
- 3 ans.
A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM | 3400936690349 (2005, RCP rév 09.07.2010) 5 mg. |
3400935420909 (2000, RCP rév 09.07.2010) 10 mg. | |
3400935421500 (2000, RCP rév 09.07.2010) 20 mg. | |
3400935422279 (2000, RCP rév 09.07.2010) 40 mg. | |
3400935429483 (2000, RCP rév 09.07.2010) 80 mg. | |
3400938460223 (2008, RCP rév 09.07.2010) 120 mg. |
Prix : | 8.57 euros (28 comprimés à 5 mg). |
15.12 euros (28 comprimés à 10 mg). | |
29.75 euros (28 comprimés à 20 mg). | |
55.45 euros (28 comprimés à 40 mg). | |
87.94 euros (28 comprimés à 80 mg). | |
116.65 euros (28 comprimés à 120 mg). | |
Remb Séc soc à 65 % dans l’indication « Douleurs chroniques d’origine cancéreuse, intenses ou rebelles aux antalgiques de niveau plus faible, chez l’adulte à partir de 18 ans ». Non remboursable à la date du 17.08.2010 dans l’indication « Traitement des douleurs sévères qui ne peuvent être correctement traitées que par des analgésiques opioïdes forts, en particulier les douleurs d’origine cancéreuse » (demande d’admission à l’étude). Collect. |
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