solution à diluer injectable
par 1 ml
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acide pamidronique sel disodique | 6 mg |
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– Traitement de l’hypercalcémie d’origine maligne.
- – Prévention des complications osseuses (fractures pathologiques, compression médullaire, irradiation ou chirurgie osseuse, hypercalcémie) chez des patients atteints de cancer du sein avec métastases osseuses ou myélomes multiples avec lésions osseuses, en complément du traitement spécifique de la tumeur.
- Pour perfusion intraveineuse uniquement.
- Le pamidronate de sodium ne doit jamais être administré en bolus (cf Mises en garde/Précautions d’emploi). La solution doit être diluée avant utilisation (voir ci-dessous) et doit être perfusée lentement.
- La vitesse de perfusion ne doit pas excéder 60 mg/heure (1 mg/min) et la concentration de pamidronate de sodium ne doit pas excéder 90mg/250ml.
- Chez les patients présentant une altération de la fonction rénale établie ou suspectée (par exemple ceux ayant une hypercalcémie d’origine maligne ou un myélome multiple), il est recommandé que la vitesse de perfusion n’excède pas 20 mg/heure (cf aussi Insuffisance rénale).
- La perfusion doit être posée dans une veine de taille suffisante afin de minimiser les réactions locales au point de perfusion.
- Une dose de 90 mg doit normalement être diluée dans 250 ml d’une solution pour perfusion et perfusée pendant 2 heures. Cependant chez les patients atteints de myélome multiple et chez ceux atteints d’hypercalcémie d’origine maligne, il est recommandé de ne pas administrer plus de 90 mg dans 500 ml sur une durée de 4 heures.
- II n’y a pas d’expérience clinique sur l’utilisation de ce produit chez l’enfant et l’adolescent (moins de 18 ans).
- – Hypercalcémie d’origine maligne :
II est recommandé d’hydrater le patient avec une solution de chlorure de sodium 0,9% p/v avant ou pendant le traitement.- La dose totale recommandée à utiliser pour une cure thérapeutique est fonction du chiffre de calcémie initiale. Les indications suivantes découlent de données cliniques utilisant la calcémie non corrigée. Cependant, les posologies proposées sont également applicables pour des valeurs de calcémie corrigées en fonction de l’albuminémie ou de la protidémie chez des patients réhydratés.
Calcium sérique initial
(mmol/litre)(mg %) Dose totale recommandée
(mg)Jusqu’à 3,0 Jusqu’à 12,0 15 – 30 3,0 – 3,5 12,0 – 14,0 30 – 60 3,5 – 4,0 14,0 – 16,0 60 – 90 > 4,0 > 16,0 90
La dose totale de pamidronate de sodium peut être administrée en une perfusion unique ou en plusieurs perfusions réparties sur 2 à 4 jours consécutifs. La dose maximale par cure est de 90 mg que ce soit pour les cures initiales ou ultérieures.- Une diminution importante de la calcémie est généralement observée 24-48 heures après l’administration de pamidronate et la normalisation est obtenue normalement dans les 3 à 7 jours. Si la normalisation de la calcémie n’est pas obtenue dans ce délai, une autre dose peut être administrée. La durée de la réponse peut varier d’un patient à l’autre et le traitement peut être renouvelé lorsque l’hypercalcémie récidive.
- L’expérience clinique actuelle suggère une diminution de l’efficacité thérapeutique en cas d’administration réitérée du produit.
- – Myélomes multiples de stade III :
La dose recommandée est de 90 mg toutes les 4 semaines.- – Lésions ostéolytiques avec métastases osseuses associées au cancer du sein :
La dose recommandée est de 90 mg toutes les 4 semaines. Cette dose peut être administrée aussi à des intervalles de 3 semaines pour coïncider avec la chimiothérapie si nécessaire.- – Insuffisance rénale :
Les études de pharmacocinétique indiquent qu’aucun ajustement thérapeutique n’est nécessaire chez les patients ayant une insuffisance rénale faible à modérée (cf Pharmacocinétique).- Le pamidronate de sodium ne doit pas être administré aux patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30ml/min) sauf dans le cas d’une hypercalcémie d’origine tumorale engageant le pronostic vital où le bénéfice surpasse le risque potentiel (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- En l’absence de données supplémentaires, une vitesse de perfusion de 20 mg/heure est recommandée chez les insuffisants rénaux.
- – Insuffisance hépatique :
Il n’y a pas de données publiées sur l’utilisation du pamidronate de sodium chez l’insuffisant hépatique. Aucune recommandation ne peut donc être donnée pour l’utilisation du pamidronate de sodium chez ces patients (cf Pharmacocinétique).Modalités de manipulation :
A diluer avant l’administration.- Pour des informations sur la compatibilité avec des solutions de perfusion, cf Conditions de conservation.
- La concentration de pamidronate de sodium dans la solution injectable ne doit pas excéder 90 mg/250 ml.
- Seules des solutions pratiquement exemptes de particules peuvent être utilisées.
- A usage unique. Toute solution non utilisée doit être jetée.
- Le pamidronate de sodium ne doit jamais être administré en bolus (cf Mises en garde/Précautions d’emploi). La solution doit être diluée avant utilisation (voir ci-dessous) et doit être perfusée lentement.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Hypersensibilité aux diphosphonates
- Allaitement
- Ne pas administrer en bolus
Le pamidronate ne doit jamais être perfusé en bolus car cela peut causer des réactions locales sévères, notamment des thrombophlébites. Le pamidronate doit toujours être dilué et administré en perfusion intraveineuse lente (cf Posologie/Mode d’administration). - Administrer par perfusion IV lente
Le pamidronate ne doit jamais être perfusé en bolus car cela peut causer des réactions locales sévères, notamment des thrombophlébites. Le pamidronate doit toujours être dilué et administré en perfusion intraveineuse lente (cf Posologie/Mode d’administration). - Surveillance par un médecin spécialisé pendant le traitement
Le pamidronate doit être administré sous le contrôle d’un médecin disposant de l’équipement adapté à la surveillance des paramètres cliniques et biochimiques. - Traitement compatible avec un régime hyposodé
Ce produit apporte moins de 1 mmole de sodium (23 mg) pour la dose maximum (90 mg), soit essentiellement exempt de sodium. - Risque de trouble ophtalmique
Le pamidronate peut induire une irritation des yeux. - Intervention chirurgicale thyroïdienne, antécédent
Les patients ayant subi une chirurgie thyroïdienne sont susceptibles de développer une hypocalcémie due à un hypoparathyroïdisme relatif. - Insuffisance rénale sévère
Bien que le pamidronate soit excrété sous forme inchangée par les reins, le médicament a été utilisé sans qu’il y ait une augmentation apparente des effets secondaires chez les patients présentant une créatininémie élevée (y compris les patients traités par hémodialyse ou dialyse péritonéale). Le pamidronate de sodium ne doit pas être administré aux patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30ml/min) sauf dans le cas d’une hypercalcémie d’origine tumorale engageant le pronostic vital où le bénéfice surpasse le risque potentiel. Dans de tels cas, le pamidronate doit être administré avec précaution et la fonction rénale doit être soigneusement surveillée. - Surveillance de l’ionogramme plasmatique pendant le traitement
Dès le début du traitement par le pamidronate, surveiller les électrolytes sériques, la calcémie et la phosphatémie. - Surveillance de la calcémie pendant le traitement
Dès le début du traitement par le pamidronate, surveiller les électrolytes sériques, la calcémie et la phosphatémie. - Surveillance de la phosphatémie pendant le traitement
Dès le début du traitement par le pamidronate, surveiller les électrolytes sériques, la calcémie et la phosphatémie. - Perturbation hématologique
Les patients anémiques, présentant une leucopénie ou une thrombocytopénie, doivent subir régulièrement des examens hématologiques. - Surveillance de la fonction rénale pendant le traitement
Les examens normaux de laboratoire (créatininémie et azote uréique du sang) et les paramètres cliniques de la fonction rénale doivent être évalués périodiquement en particulier chez les patients recevant fréquemment les perfusions de pamidronate sur une période prolongée et chez ceux ayant une altération préalable de la fonction rénale ou une prédisposition à des troubles rénaux (par exemple les patients ayant un myélome multiple et / ou une hypercalcémie d’origine maligne). - L’équilibre des liquides physiologiques (production d’urine, pesées quotidiennes) doit également être suivi attentivement. En cas d’altération de la fonction rénale pendant le traitement, les perfusions devront être arrêtées. L’altération de la fonction rénale (y compris une insuffisance rénale) a été rapportée après un traitement à long terme de pamidronate chez des patients ayant un myélome multiple. Cependant, compte tenu de la progression d’une maladie sous-jacente et / ou des complications concomitantes, aucune relation cause – effet n’a été établie avec le pamidronate.
- Assurer une hydratation correcte pendant le traitement
Le traitement initial d’une hypercalcémie maligne doit comporter aussi une réhydratation intraveineuse pour restaurer la production d’urine. Les patients doivent être hydratés correctement pendant le traitement mais il faut éviter une sur-hydratation. Chez les patients présentant une maladie cardiaque, en particulier chez les personnes âgées, une surcharge en solution saline peut accélérer le développement d’une insuffisance cardiaque (ventriculaire gauche ou congestive). La fièvre (syndrome pseudo grippal) peut aussi contribuer à cette aggravation. - Cardiopathie
Les patients doivent être hydratés correctement pendant le traitement mais il faut éviter une sur-hydratation. Chez les patients présentant une maladie cardiaque, en particulier chez les personnes âgées, une surcharge en solution saline peut accélérer le développement d’une insuffisance cardiaque (ventriculaire gauche ou congestive). - Sujet âgé
Les patients doivent être hydratés correctement pendant le traitement mais il faut éviter une sur-hydratation. Chez les patients présentant une maladie cardiaque, en particulier chez les personnes âgées, une surcharge en solution saline peut accélérer le développement d’une insuffisance cardiaque (ventriculaire gauche ou congestive). - Fièvre
Les patients doivent être hydratés correctement pendant le traitement mais il faut éviter une sur-hydratation. Chez les patients présentant une maladie cardiaque, en particulier chez les personnes âgées, une surcharge en solution saline peut accélérer le développement d’une insuffisance cardiaque (ventriculaire gauche ou congestive). - La fièvre (syndrome pseudogrippal) peut aussi contribuer à cette aggravation.
- Grossesse
Le pamidronate n’est pas recommandé pendant la grossesse. - Sujet de moins de 18 ans
Il n’y a pas d’expérience clinique de l’utilisation du pamidronate chez l’enfant et l’adolescent (moins de 18 ans). - Insuffisance hépatique
Il n’y a pas de données publiées sur l’utilisation du pamidronate de sodium chez l’insuffisant hépatique. Aucune recommandation ne peut donc être donnée pour l’utilisation du pamidronate de sodium chez ces patients (cf Pharmacocinétique). - Risque d’ostéonécrose de la mâchoire
Une ostéonécrose de la mâchoire a été rapportée chez des patients atteints d’un cancer et traités par les biphosphonates. Chez beaucoup de ces patients, le traitement comportait aussi une chimiothérapie ou des corticostéroïdes. La majorité des cas rapportés étaient associés à des interventions dentaires telles qu’une extraction dentaire. Beaucoup présentaient des signes d’infection localisée, y compris une ostéomyélite. Un examen dentaire avec des soins dentaires préventifs appropriés devra être pris en considération avant l’instauration d’un traitement par les biphosphonates chez des patients présentant des facteurs de risque associés (par exemple : cancer, chimiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). - Au cours du traitement, ces patients devront éviter dans la mesure du possible toutes interventions dentaires invasives. Pour les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire au cours d’un traitement par les biphosphonates, une chirurgie dentaire peut aggraver cette atteinte. Pour les patients nécessitant une intervention dentaire, il n’y a pas de donnée disponible suggérant que l’arrêt des biphosphonates diminuerait le risque d’ostéonécrose de la mâchoire. L’appréciation clinique du médecin traitant devrait orienter la prise en charge de chaque patient en se basant sur l’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
- Sujet sous chimiothérapie
Un examen dentaire avec des soins dentaires préventifs appropriés devra être pris en considération avant l’instauration d’un traitement par les biphosphonates chez des patients présentant des facteurs de risque associés (par exemple : cancer, chimiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). Au cours du traitement, ces patients devront éviter dans la mesure du possible toutes interventions dentaires invasives. - Traitement par corticoïde en cours
Un examen dentaire avec des soins dentaires préventifs appropriés devra être pris en considération avant l’instauration d’un traitement par les biphosphonates chez des patients présentant des facteurs de risque associés (par exemple : cancer, chimiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). Au cours du traitement, ces patients devront éviter dans la mesure du possible toutes interventions dentaires invasives. - Altération de l’état buccodentaire
Un examen dentaire avec des soins dentaires préventifs appropriés devra être pris en considération avant l’instauration d’un traitement par les biphosphonates chez des patients présentant des facteurs de risque associés (par exemple : cancer, chimiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). Au cours du traitement, ces patients devront éviter dans la mesure du possible toutes interventions dentaires invasives. - Intervention dentaire
Pour les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire au cours d’un traitement par les biphosphonates, une chirurgie dentaire peut aggraver cette atteinte. Pour les patients nécessitant une intervention dentaire, il n’y a pas de donnée disponible suggérant que l’arrêt des biphosphonates diminuerait le risque d’ostéonécrose de la mâchoire. L’appréciation clinique du médecin traitant devrait orienter la prise en charge de chaque patient en se basant sur l’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque. - Incompatibilité avec certains médicaments
Le pamidronate forme des complexes avec les cations divalents et ne doit pas être mélangé aux solutions intraveineuses contenant du calcium. - Compatibilité avec certains solvants
La stabilité chimique et physique en cours d’utilisation a été démontrée dans du chlorure de sodium à 0,9% et dans du glucose à 5% pendant 24 heures à une température comprise entre +2°C et + 8°C.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- II n’existe pas actuellement pas actuellement de données cliniques sur l’administration de pamidronate pendant la grossesse.
- Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène avec des altérations osseuses touchant le squelette et les dents.
- Lorsqu’il est administré pendant toute la gestation, ce médicament est à l’origine de troubles de la minéralisation osseuse, touchant principalement les os longs et se traduisant par des
déformations angulaires. Le plus souvent, ces anomalies s’observent à doses élevées et sont réversibles après la mise bas. Cet effet est vraisemblablement à mettre au compte du mécanisme d’action de la molécule, par chélation du calcium. Le risque potentiel chez l’homme est inconnu.- En conséquence, l’utilisation de pamidronate n’est pas recommandée pendant la grossesse.
- Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène avec des altérations osseuses touchant le squelette et les dents.
Allaitement :
- En cas de traitement par ce médicament, l’allaitement est contre-indiqué.
- Les patients doivent être avertis qu’une somnolence et/ou des vertiges peuvent, de façon rare, survenir après une perfusion de pamidronate et que, dans ce cas, ils ne doivent pas conduire de véhicules, utiliser des machines potentiellement dangereuses ou effectuer des activités pouvant être dangereuses.
- Syndrome pseudogrippal (Très fréquent)
- Fièvre (Très fréquent)
- Hypocalcémie (Très fréquent)
- Réaction au point d’injection (Fréquent)
- Ostéonécrose (Très rare)
- Ostéonécrose de la mâchoire (Rare)
- Herpès (réveil) (Rare)
- Zona (réactivation) (Rare)
- Lymphopénie (Fréquent)
- Anémie (Rare)
- Leucopénie (Rare)
- Thrombopénie (Rare)
- Hypersensibilité (Rare)
- Réaction anaphylactique (Rare)
- Bronchospasme (Rare)
- Dyspnée (Rare)
- Oedème de Quincke (Rare)
- Choc anaphylactique (Très rare)
- Hypophosphatémie (Très fréquent)
- Hypomagnésémie (Fréquent)
- Hyperkaliémie (Rare)
- Hypokaliémie (Rare)
- Hypernatrémie (Rare)
- Céphalée (Fréquent)
- Paresthésie (Rare)
- Tétanie (Rare)
- Agitation (Rare)
- Confusion mentale (Rare)
- Vertige (Rare)
- Insomnie (Rare)
- Somnolence (Rare)
- Léthargie (Rare)
- Convulsions (Très rare)
- Hallucination visuelle (Très rare)
- Uvéite (Très rare)
- Iritis (Très rare)
- Iridocyclite (Très rare)
- Sclérite (Très rare)
- Episclérite (Très rare)
- Conjonctivite (Très rare)
- Xanthopsie (Très rare)
- Insuffisance cardiaque congestive (Rare)
- Inflation hydrique (Rare)
- Hypotension artérielle (Rare)
- Hypertension artérielle (Rare)
- Oedème pulmonaire (Rare)
- Syndrome de détresse respiratoire aigüe (Très rare)
- Pneumopathie interstitielle (Très rare)
- Nausée (Fréquent)
- Vomissement (Fréquent)
- Anorexie (Rare)
- Douleur abdominale (Rare)
- Diarrhée (Rare)
- Constipation (Rare)
- Dyspepsie (Rare)
- Gastrite (Très rare)
- Eruption cutanée (Très rare)
- Prurit (Très rare)
- Douleur osseuse (Fréquent)
- Douleur articulaire (Fréquent)
- Douleur musculaire (Fréquent)
- Douleur (Fréquent)
- Crampe (Rare)
- Insuffisance rénale (Rare)
- Glomérulosclérose segmentale focale (Rare)
- Syndrome néphrotique (Rare)
- Néphropathie glomérulaire (Rare)
- Hématurie (Très rare)
- Insuffisance rénale aiguë (Très rare)
- Insuffisance rénale (aggravation) (Très rare)
- Néphropathie tubulaire (Très rare)
- Néphropathie tubulo-interstitielle aiguë (Très rare)
- Douleur au point d’injection (Fréquent)
- Erythème au point d’injection (Fréquent)
- Induration au point d’injection (Fréquent)
- Phlébite au point d’injection (Fréquent)
- Thrombophlébite au point d’injection (Fréquent)
- Bilan hépatique (anomalie) (Très rare)
- Créatininémie (augmentation) (Très rare)
- Urémie (augmentation) (Très rare)
- Fibrillation auriculaire (Rare)
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Classement ATC :
M05BA03 / PAMIDRONIQUE ACIDE
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Classement Vidal :
Inhibiteur de la résorption osseuse : biphosphonate Cancérologie (Acide pamidronique)
Liste I
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CIP : 3816989 (PAMIDRONATE DE SODIUM HOSPIRA 6 mg/ml sol diluer inj : 1Fl/10ml).
- Disponibilité : hôpitaux
Agréé aux collectivités
Hospira France
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