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PÉFLACINE® 400 mg

péfloxacine

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé pelliculé sécable (blanc) :   Boîte de 28, sous plaquettes thermoformées.Modèle hospitalier : Boîte de 50, sous plaquettes thermoformées.
  • Solution injectable pour perfusion (IV) :  Ampoules de 5 ml, boîte de 5.


  • COMPOSITION

    Comprimé :p cp
    Péfloxacine (DCI) 
    400 mg
    (sous forme de mésylate dihydraté : 558,5 mg/cp)
    Excipients : amidon de blé, gélatine, talc, stéarate de magnésium, carboxyméthylamidon sodique. Pelliculage : hypromellose, éthylcellulose, sébaçate de dibutyle, dioxyde de titane, talc, macrogol 6000.
  • Solution injectable :p amp
    Péfloxacine (DCI) 
    400 mg
    (sous forme de mésylate dihydraté : 558,5 mg/amp)
    Excipients : ascorbate de sodium, acide méthanesulfonique, qsp pH 3,5-3,6, azote, eau ppi qsp une ampoule de 5 ml.

  • INDICATIONS

    Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la péfloxacine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
  • Elles sont limitées chez l’adulte :
    Péflacine comprimé :
    • au traitement des prostatites aiguës et chroniques, y compris dans leurs formes sévères,
    • au traitement de relais des infections ostéoarticulaires.
    Péflacine comprimé et solution injectable :
    • aux infections sévères à bacilles Gram – et à staphylocoques définis comme sensibles, dans leurs manifestations :
      • septicémiques et endocardiques,
      • méningées,
      • respiratoires,
      • ORL,
      • rénales et urinaires,
      • gynécologiques,
      • abdominales et hépatobiliaires,
      • ostéoarticulaires,
      • cutanées.
    Les streptocoques et pneumocoques étant résistants à la péfloxacine, le produit ne doit pas être utilisé en première intention lorsque ce germe est suspecté.
  • Au cours du traitement d’infections à Pseudomonas aeruginosa et à Staphylococcus aureus, l’émergence de mutants résistants a été décrite et peut justifier l’association à un autre antibiotique. Une surveillance microbiologique à la recherche d’une telle résistance doit être envisagée en particulier en cas de suspicion d’échec.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Posologie :
    Adulte aux fonctions hépatiques normales :
    800 mg par jour en moyenne en 2 prises, ou 2 perfusions, journalières, soit une le matin et une le soir.
    Pour atteindre plus rapidement des taux sanguins efficaces, une dose de charge de 800 mg peut être indiquée lors de la première prise ou de la première administration.
    Coût du traitement journalier : 6,20 euro(s).
    Adulte insuffisant hépatique :
    Chez le sujet présentant une insuffisance hépatique sévère ou une diminution du flux sanguin hépatique, la posologie quotidienne doit être adaptée par diminution du rythme des administrations.
    Soit pour la forme IV : 8 mg/kg perfusés en une heure :
    • 2 fois par jour s’il n’existe ni ictère ni ascite,
    • 1 fois par jour en cas d’ictère,
    • toutes les 36 heures en cas d’ascite,
    • tous les 2 jours s’il existe une ascite et un ictère.
    Sujet âgé de plus de 70 ans :
    400 mg par jour en 2 prises de 200 mg (soit 2 fois ½ comprimé ou 2 perfusions de 200 mg), à 12 heures d’intervalle.

    Mode d’administration :
    Péflacine comprimé :
    Voie orale.
    Les comprimés doivent être avalés au milieu des repas pour éviter les troubles digestifs.
    Péflacine solution injectable :
    Voie injectable.
    Ce médicament doit être administré en perfusion intraveineuse lente (1 heure) après addition de l’ampoule dosée à 400 mg dans 125 ml ou 250 ml de solution injectable de glucose à 5 %.

    CONTRE-INDICATIONS

    • Antécédents de tendinopathie avec une fluoroquinolone (cf Mises en garde/Précautions d’emploi, Effets indésirables).
    • Hypersensibilité à la péfloxacine ou à un produit de la famille des quinolones.
    • Enfant jusqu’à la fin de la période de croissance, en raison d’une toxicité articulaire chez l’enfant et l’adolescent : arthropathies sévères touchant électivement les grosses articulations.
    • Allaitement : cf Grossesse/Allaitement.
    • Patients présentant une allergie au blé (autre que la maladie coeliaque) pour la forme comprimé.


    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI


    Mises en garde :

    Éviter l’exposition solaire ou aux rayonnements ultraviolets pendant le traitement et également pendant 4 jours après l’arrêt de celui-ci, en raison du risque de photosensibilisation.

    Sinon, une photoprotection vestimentaire ou par écran solaire d’indice élevé est recommandée.


    Tendinites :

    Les tendinites parfois observées peuvent conduire à une rupture tendineuse touchant plus particulièrement le tendon d’Achille et surviennent notamment chez le sujet âgé. Ces tendinopathies peuvent survenir dès les premières 48 heures et devenir bilatérales.

    La survenue de ruptures tendineuses semble être favorisée par la prise de corticoïdes au long cours.

    Afin de limiter le risque de tendinites :
    • Il convient, chez le sujet âgé, de pondérer le bénéfice thérapeutique attendu par le risque encouru ; ce risque peut être réduit en diminuant de moitié la posologie de ce médicament chez ces patients (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Il convient d’éviter l’administration de ce médicament chez les sujets ayant des antécédents de tendinites, ou soumis à une corticothérapie, ou exerçant une activité sportive intense.

    Le risque de rupture est plus important au moment de la reprise de la marche d’un patient alité (cf Contre-indications, Précautions d’emploi, Effets indésirables).


    Une émergence de résistance ou une sélection de souches résistantes est possible, en particulier lors de traitements au long cours et/ou d’infections nosocomiales, notamment parmi les staphylocoques et les pseudomonas.

    La péfloxacine appartient à la famille des quinolones. D’autres médicaments de cette famille ont entraîné une hémolyse aiguë chez les sujets porteurs d’un déficit enzymatique en G6PD. Bien qu’aucun cas d’hémolyse n’ait été rapporté avec cette substance, par principe, sa prescription chez ces personnes doit prendre en compte ce risque, et le recours à une alternative thérapeutique, si elle existe, est recommandé. Si la prescription de ce médicament est nécessaire, la survenue d’une hémolyse éventuelle devra être dépistée.

    Comprimé : ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L’amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l’état de trace, et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d’une maladie coeliaque.

    Précautions d’emploi :
    • Tendinites : il est recommandé, particulièrement chez les patients à risque, de rechercher dès le début du traitement une douleur ou un oedème au niveau du tendon d’Achille. De tels signes imposent l’arrêt du traitement et la mise au repos des deux tendons d’Achille par une contention appropriée ou des talonnettes, même si la lésion est unilatérale, et un avis en milieu spécialisé (cf Contre-indications, Effets indésirables).
    • La péfloxacine doit être utilisée avec prudence chez les malades ayant des antécédents de convulsions ou des facteurs prédisposant à la survenue de convulsions (cf Effets indésirables).
    • La péfloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints de myasthénie (cf Effets indésirables).
    • La posologie de la péfloxacine doit être adaptée en cas d’insuffisance hépatique sévère (cf Posologie/Mode d’administration).
    Examens paracliniques :

    La péfloxacine ne perturbe pas le dosage de la glycosurie.


    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Nécessitant des précautions d’emploi :
    Communes à toutes les formes :
    • Théophyllines (base et sels) et aminophylline : augmentation de la théophyllinémie avec risque de surdosage en théophylline (diminution du métabolisme de la théophylline). Surveillance clinique et éventuellement de la théophyllinémie.
    Comprimé :
    • Sels de fer (voie orale) : diminution de la biodisponibilité des fluoroquinolones par chélation et par un effet non spécifique sur la capacité d’absorption du tube digestif. Prendre les sels de fer à distance des fluoroquinolones (plus de 2 heures si possible).
    • Topiques gastro-intestinaux (sels, oxydes, hydroxydes de magnésium, d’aluminium, de calcium) : diminution de l’absorption digestive des fluoroquinolones. Prendre les topiques gastro-intestinaux à distance des fluoroquinolones (plus de 4 heures, si possible).
    • Sels de zinc (voie orale), décrit pour des quantités de sels de zinc > 30 mg/j : diminution de l’absorption digestive des fluoroquinolones. Prendre les sels de zinc à distance des fluoroquinolones (plus de 2 heures si possible).
    • Didanosine (DDI) : diminution de l’absorption digestive des fluoroquinolones en raison de l’augmentation du pH gastrique (présence d’un antiacide dans le comprimé de DDI). Prendre la didanosine à distance des fluoroquinolones (plus de 2 heures si possible).
    • Anticoagulants oraux : augmentation de l’effet de l’anticoagulant oral et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de l’INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l’anticoagulant oral pendant le traitement par la fluoroquinolone et après son arrêt.
    Problèmes particuliers du déséquilibre de l’INR :

    De nombreux cas d’augmentation de l’activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l’âge et l’état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l’INR. Cependant, certaines classes d’antibiotiques sont davantage impliquées : il s’agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.


    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :

    Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la péfloxacine pendant la grossesse.

    En effet, bien que les études effectuées chez l’animal n’aient pas mis en évidence d’effet tératogène, les données cliniques sont encore insuffisantes.

    Des atteintes articulaires ont été décrites chez des enfants traités par des quinolones, mais à ce jour, aucun cas d’arthropathie secondaire à une exposition in utero n’est rapporté.


    Allaitement :

    L’administration de ce médicament fait contre-indiquer l’allaitement, en raison du passage des fluoroquinolones dans le lait maternel et du risque articulaire pour l’enfant allaité.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Comme lors de tout traitement susceptible d’entraîner des manifestations neurologiques, il convient d’avertir de ce risque potentiel les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    • Manifestations digestives : gastralgies, nausées, vomissements, diarrhée ; exceptionnellement, colite pseudomembraneuse.
    • Manifestations cutanées : photosensibilisation, érythème, prurit, purpura vasculaire ; exceptionnellement érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson et syndrome de Lyell.
    • Manifestations rhumatologiques : tendinite et rupture du tendon d’Achille qui peuvent survenir dès les premières 48 heures du traitement et devenir bilatérales (cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi), myalgies, arthralgies, hydarthrose.
    • Manifestations neurologiques : convulsions, confusion, hallucinations, myoclonies, céphalées, vertiges, paresthésies, irritabilité, troubles du sommeil (insomnie, cauchemars), désorientation, exceptionnellement neuropathie périphérique, possible aggravation de myasthénie, cas isolés d’hypertension intracrânienne rapportés essentiellement chez des sujets jeunes après une durée de traitement le plus souvent prolongée et évoluant dans la plupart des cas favorablement après l’arrêt du traitement et traitement symptomatique (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Manifestations allergiques : urticaire, exceptionnellement oedème de Quincke et choc de type anaphylactique.
    • Manifestations hématologiques : anémie, thrombopénie, leuconeutropénie, hyperéosinophilie, pancytopénie.
    • Manifestations rénales : très rares cas d’insuffisance rénale aiguë, rapportés le plus souvent dans un contexte infectieux sévère.
    • Manifestations hépatiques : rarement, augmentation des transaminases, des phosphatases alcalines et de la bilirubinémie.

    PHARMACODYNAMIE

    Antibiotique antibactérien de la famille des quinolones du groupe des fluoroquinolones (J : anti-infectieux ; code ATC : J01MA03).

    La péfloxacine est un antibactérien de synthèse de la famille des quinolones. Il s’agit de l’acide éthyl-1 fluoro-6 (méthyl-4 pipérazinyl-1)-7 oxo-4 dihydro-1,4 quinoléine-3 carboxylique (utilisé sous forme de mésylate dihydraté).

    Spectre d’activité antibactérienne :
    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire, et ces dernières, des résistantes : S <= 1 mg/l et R > 4 mg/l.
    La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
    Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses :
    Espèces sensibles :
    • Aérobies à Gram + : staphylococcus méti-S.
    • Aérobies à Gram – : acinetobacter (essentiellement Acinetobacter baumannii) [50-75 %], Bordetella pertussis, Branhamella catarrhalis, campylobacter, Citrobacter freundii (20-30 %), Enterobacter cloacae (20-30 %), Escherichia coli (0-15 %), Haemophilus influenzae, klebsiella (0-30 %), legionella, Morganella morganii, neisseria, pasteurella, Proteus mirabilis (0-15 %), Proteus vulgaris, providencia (50-75 %), Pseudomonas aeruginosa (50-90 %), salmonella, serratia (20-40 %), shigella, vibrio, yersinia.
    • Anaérobies : mobiluncus, Propionibacterium acnes.
    • Autres : Mycoplasma hominis.
    Espèces modérément sensibles (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    • Autres : Mycoplasma pneumoniae.
    Espèces résistantes :
    • Aérobies à Gram + : entérocoques, Listeria monocytogenes, Nocardia asteroides, staphylococcus méti-R*, streptococcus, Streptococcus pneumoniae.
    • Anaérobies : à l’exception de mobiluncus et Propionibacterium acnes.
    • Autres : mycobactéries, Ureaplasma urealyticum.
    *  La fréquence de résistance à la méticilline est d’environ 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

  • PHARMACOCINÉTIQUE

    Absorption :
    Après administration orale de 400 mg de péfloxacine, l’intensité est de 90 % selon les sujets, et la vitesse très rapide (approximativement 20 minutes).
    Distribution :
    Concentrations sériques :
    • Dose unique :
      La concentration sérique maximale après une prise unique de 400 mg, à la fin de la perfusion (1 heure) et 1 heure 30 après la prise du comprimé est de l’ordre de 4 µg/ml.
    • La demi-vie sérique d’élimination est d’environ 12 heures.
    • Doses répétées :
      Après l’administration répétée de 400 mg toutes les 12 heures, soit par voie parentérale, soit par voie orale, on obtient, après le 9e passage, des concentrations sériques maximales d’environ 10 µg/ml et des demi-vies sériques d’élimination d’environ 12 heures.
    Diffusion tissulaire :
    Le volume de distribution est d’environ 1,7 l/kg obtenu après administration d’une dose unique de 400 mg.
    Les concentrations tissulaires, après administration de doses répétées, sont les suivantes :
    • Concentrations dans le mucus bronchique : les concentrations les plus élevées sont obtenues à la 4e heure et sont, en moyenne, supérieures à 5 µg/ml. Le rapport des concentrations du mucus et du sérum, qui traduit le passage de l’antibiotique dans les sécrétions bronchiques, est proche de 100 %.
    • Concentrations dans le LCR :
      Chez 11 malades atteints de méningite bactérienne, on obtient des taux dans le LCR de 4,5 µg/ml, après la 3e perfusion ou la 3e prise orale de 400 mg. On obtient des taux de 9,8 µg/ml après 3 prises de 800 mg chacune.
    • Les contrôles pratiqués en cours de traitement de méningites bactériennes ont montré, qu’après la 5e perfusion, les taux dans le LCR atteignaient 89 % de la concentration plasmatique correspondante.
    • Ces données confirment les résultats obtenus dans les méningites expérimentales à staphylocoque doré du chien où le rapport des aires sous la courbe, concentration LCR sur concentration sérique, est de 76 %.
    • Concentrations moyennes dans différents tissus prélevés lors d’interventions effectuées 12 heures après la dernière prise : 11,4 µg/g (thyroïde), 7,5 µg/g (glandes salivaires), 2,2 µg/g (graisse), 7,6 µg/g (peau), 6 µg/g (muqueuse oropharyngée), 9 µg/g (amygdales), 5,6 µg/g (muscle).
    • La liaison aux protéines plasmatiques est de l’ordre de 30 %.
    Biotransformation :
    La métabolisation hépatique est importante. Les deux principaux métabolites sont la péfloxacine déméthylée (ou norfloxacine) et la péfloxacine-N-oxyde.
    Excrétion :
    • Sujet normorénal et normohépatique :
      L’élimination du produit est essentiellement métabolique, les métabolites étant éliminés principalement par voie rénale.
    • L’élimination rénale de la péfloxacine inchangée et de ses deux principaux métabolites représente 41,7 % de la dose administrée.
    • Les métabolites sont excrétés dans les proportions de 20 % de la dose administrée pour la péfloxacine déméthylée et de 16,2 % pour la péfloxacine N-oxyde.
    • Les taux urinaires de péfloxacine inchangée atteignent environ 25 µg/ml entre la 1re et la 2e heure ; ils sont encore de 15 µg/ml dans les urines dès les 12 à 24 heures.
    • On retrouve de la péfloxacine inchangée et des métabolites pendant les 84 heures suivant la dernière prise.
    • L’élimination biliaire de la péfloxacine est constituée essentiellement par l’excrétion du produit inchangé, du dérivé glycuroconjugué et du dérivé N-oxyde.
    • Insuffisant rénal :
      Il n’existe pas de modification notable des taux sériques de la péfloxacine quel que soit le degré de l’atteinte rénale.
    • La péfloxacine est peu dialysable (coefficient d’extraction moyen : 23 %).
    • Insuffisant hépatique :
      Les modifications de la pharmacocinétique de la péfloxacine se sont traduites, lors d’un essai à raison de 8 mg/kg en dose unique, chez le sujet cirrhotique, par une diminution importante de la clairance plasmatique du médicament, entraînant une augmentation importante de la demi-vie d’élimination (multipliée par 3 à 5) ainsi qu’une augmentation importante de l’excrétion urinaire de la péfloxacine inchangée (multipliée par 3 à 4).

    CONDITIONS DE CONSERVATION

    Ampoules : à conserver à l’abri de la lumière.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    Comprimé : médicament soumis à prescription hospitalière.
    Solution injectable : réservé à l’usage hospitalier.
    AMM3400933198251 (1990 rév 19.10.2005) 28 cp.
    3400955486596 (1984 rév 19.10.2005) 50 cp.
    3400955717188 (1984 rév 18.05.2004) 5 amp.
      
    Prix :86.83 euros (28 comprimés).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.
    Modèle hospitalier et solution injectable : Collect.


    sanofi-aventis France
    1-13, bd Romain-Rolland. 75014 Paris
    Info médic et pharmacovigilance :
    Tél (n° Vert) : 08 00 39 40 00
    Fax : 01 57 62 06 62

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