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PERINDOPRIL/INDAPAMIDE RATIOPHARM 4 mg/1,25 mg cp






comprimé
par 1 comprimé
périndopril tert-butylamine4 mg
  Soit périndopril3,338 mg
indapamide1,25 mg
Excipients : lactose monohydrate, silice colloïdale anhydre, magnésium stéarate, cellulose microcristalline.

Traitement de l’hypertension artérielle essentielle.

  • Traitement de l’hypertension artérielle essentielle. Perindopril/Indapamide 4 mg/1,25 mg est indiqué chez les patients pour lesquels la pression artérielle est insuffisamment contrôlée par le périndopril seul.

  • Posologie :
    La posologie usuelle est de un comprimé de PERINDOPRIL/INDAPAMIDE 4 mg/1,25 mg par jour en une prise, de préférence le matin et avant le repas.
  • Quand cela est possible, il est recommandé d’administrer les constituants de l’association à des posologies adaptées individuellement.
  • Dans les cas cliniquement appropriés, le passage direct de la monothérapie à PERINDOPRIL/INDAPAMIDE 4 mg/1,25 mg peut être pris en considération.
  • – Sujet âgé (cf Mises en garde/Précautions d’emploi)
    Le traitement est débuté à la posologie usuelle d’un comprimé de PERINDOPRIL/INDAPAMIDE 4 mg/1,25 mg par jour.
  • – Insuffisant rénal (cf Mises en garde/Précautions d’emploi)
    En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), le traitement est contre-indiqué.
  • Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine 30-60 ml/min), la posologie maximale doit être de un comprimé de PERINDOPRIL/INDAPAMIDE RATIOPHARM 4 mg/1,25 mg par jour.
  • Chez les patients ayant une clairance de la créatinine supérieure ou égale à 60 ml/min, aucun ajustement posologique n’est nécessaire.
  • Le suivi médical courant comprend un contrôle périodique de la créatinine et du potassium.
  • – Insuffisant hépatique (cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi et Pharmacocinétique) :
    En cas d’insuffisance hépatique sévère, le traitement est contre-indiqué.
  • Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, aucun ajustement posologique n’est nécessaire.
  • – Enfant et adolescent (moins de 18 ans)
    PERINDOPRIL/INDAPAMIDE 4 mg/1,25 mg ne doit pas être utilisé chez l’enfant et l’adolescent car l’efficacité et la tolérance de périndopril n’ont pas été établies.Mode d’administration :
    Voie orale.
  • Le comprimé doit être avalé avec une quantité suffisante de liquide (par exemple un verre d’eau).

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
    • Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
    • Oedème angioneurotique héréditaire
    • Oedème de Quincke
    • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
    • Allaitement
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Encéphalopathie hépatique
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Hypokaliémie
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Patient dialysé
    • Insuffisance cardiaque congestive non traitée
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Surveillance clinique pendant le traitement
      Communes à périndopril et indapamide :
      En dehors des hypokaliémies, il n’a pas été montré de réduction significative des effets indésirables pour l’association faiblement dosée PERINDOPRIL/INDAPAMIDE 2 mg/0,625 mg, comprimé sécable, en comparaison aux posologies les plus faibles approuvées pour chacun des composants (cf Effets secondaires).
    • Une augmentation de la fréquence des réactions idiosyncrasiques chez le patient exposé simultanément à deux nouveaux agents antihypertenseurs ne peut être exclue. Pour minimiser ce risque, le patient doit être surveillé avec attention.
    • Risque de neutropénie
      Lié au périndopril :
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Risque d’agranulocytose
      Lié au périndopril :
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Risque d’anémie
      Lié au périndopril :
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Risque de thrombopénie
      Lié au périndopril :
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Déficit immunitaire
      Liée au périndopril :
      Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Connectivite
      Lié au périndopril :
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutropénie survienne chez les patients ayant une fonction rénale normale et aucun autre facteur de risque. Le périndopril doit être utilisé avec précaution chez des patients présentant une maladie vasculaire du collagène, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du procaïnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une altération préexistante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont présenté des infections sérieuses, qui, dans quelques cas, ne répondaient pas à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • Insuffisance rénale
      * Liée au périndopril :
      – Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose, de traitement par immunosuppresseur, allopurinol ou procainamide, ou lorsque ces facteurs de complication sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection (tel que mal de gorge, fièvre).
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée (cf Interactions médicamenteuses).
    • * Liée à l’association :
      – En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), le traitement est contre-indiqué.
    • Chez certains hypertendus sans lésion rénale apparente préexistante et dont le bilan témoigne d’une insuffisance rénale fonctionnelle, le traitement sera interrompu et éventuellement repris soit à la posologie réduite soit avec un seul des constituants.
    • Chez ces malades, le suivi médical courant comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine, après 2 semaines de traitement puis tous les 2 mois en période de stabilité thérapeutique.
    • L’insuffisance rénale a été principalement rapportée chez les patients en insuffisance cardiaque sévère ou insuffisance rénale avec sténose de l’artère rénale.
    • Le médicament n’est généralement pas recommandé en cas de sténose de l’artère rénale bilatérale ou d’un rein fonctionnel unique.
    • – L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux. Comme avec tout antihypertenseur contenant un diurétique, un contrôle régulier de la kaliémie doit être effectuée.
    • Risque d’oedème de Quincke
      Liée au périndopril :
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, périndopril inclus. Cet effet peut survenir à tout moment au cours du traitement. Dans de tels cas, périndopril doit être arrêté immédiatement et une surveillance adéquate doit être instaurée et poursuivie jusqu’à disparition complète des symptômes. Lorsque l’oedème est limité à la face et aux lèvres, il disparaît habituellement sans traitement, néanmoins des antihistaminiques se sont avérés utiles dans le traitement de ces symptômes.
    • L’angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Si l’atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx expose à un risque d’obstruction des voies aériennes, un traitement approprié incluant l’administration d’une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures destinées à maintenir les voies aériennes dégagées, doit être instauré d’urgence.
    • Un taux plus élevé de survenue d’angio-oedème a été observé chez les patients de race noire traités par IEC par rapport aux autres patients.
    • Les patients ayant un antécédent d’oedème de Quincke non lié à la prise d’un IEC ont un risque accru d’oedème de Quincke sous IEC (cf Contre-indications).
    • Antécédent d’oedème de Quincke
      Liée au périndopril :
      Les patients ayant un antécédent d’oedème de Quincke non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’oedème de Quincke sous inhibiteur de l’enzyme de conversion (cf Contre-indications).
    • Risque d’angio-oedème intestinal
      Un angio-oedème intestinal a été rarement signalé chez les patients traités par un IEC. Ces patients ont présentés des douleurs abdominales (avec ou sans nausées ou vomissements) ; dans certains cas il n’y a pas eu préalablement d’angio-oedème facial et les taux de C-1 estérase étaient normaux. L’angio-oedème a été diagnostiqué par des procédés incluant un scanner CT abdominal, ou une échographie ou une intervention chirurgicale et les symptômes ont disparus après arrêt de l’IEC. L’angio-oedème intestinal doit être intégré dans le diagnostique différentiel des patients sous IEC présentant une douleur abdominale.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Liée au périndopril :
      Des cas isolés de réactions anaphylactoïdes prolongées menaçant la vie du patient lors de l’administration d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion pendant un traitement de désensibilisation avec du venin d’hyménoptère (abeille, guêpes) ont été signalés. Un traitement par inhibiteurs de l’enzyme de conversion doit être instauré avec précaution chez les patients allergiques traités pour désensibilisation et doit être évité chez ceux suivant une immunothérapie par venin (sérum antivenin).
    • Ces réactions sont évitées en interrompant transitoirement le traitement par IEC pendant au moins 24 heures chez les patients nécessitant à la fois un traitement par IEC et une désensibilisation.
    • Hémaphérèse
      Liée au périndopril :
      Dans de rares cas, des réactions anaphylactoïdes potentiellement fatales ont été observées chez des patients traités par IEC au cours d’une aphérèse des LDL utilisant du sulfate de dextran. Ces réactions ont pu être évitées en interrompant temporairement le traitement par IEC avant chaque aphérèse.
    • Patient en hémodialyse
      Liée au périndopril :
      Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients dialysés avec des membranes de haute perméabilité (telles que AN 69®) et conjointement traités par un IEC. L’utilisation d’un autre type de membrane de dialyse ou l’administration d’un antihypertenseur appartenant à une classe pharmacologique différente doit être envisagée chez ces patients.
    • Grossesse, 3 premiers mois (de la)
      Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf Contre-indications et Grossesse/Allaitement).
    • Femme susceptible d’être enceinte
      Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf Contre-indications et Grossesse/Allaitement).
    • Hépatopathie
      Liée à l’indapamide :
      En cas d’atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, l’administration du diurétique doit être immédiatement interrompue.
    • Risque de photosensibilisation
      Liée à l’indapamide :
      Des cas de photosensibilité ont été rapportés avec des diurétiques thiazidiques ou apparentés (cf Effets indésirables). Si une réaction de photosensibilité apparaît pendant le traitement, il est recommandé d’arrêter le traitement. Si une nouvelle administration du diurétique s’avère nécessaire, il est recommandé de protéger les parties du corps exposées au soleil ou à la lumière UV.
    • Risque d’insuffisance rénale
      Lié au périndopril
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone a été observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue, et bien que rarement , elle peut apparaître dans un délai variable.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • Déplétion hydrosodée
      * Liée au périndopril :
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue et, bien que rarement, elle peut apparaître dans un délai variable. Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • * Liée à l’association :
      II existe un risque de brusque hypotension en cas de déplétion sodique préexistante (en particulier chez les patients présentant une sténose de l’artère rénale). Ainsi, les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront donc systématiquement recherchés. Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients.
    • Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
    • Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite de traitement. Après rétablissement d’une volémie et d’une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
    • Risque d’hypotension artérielle
      * Liée au périndopril :
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue et, bien que rarement, elle peut apparaître dans un délai variable. Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • * Liée à l’association :
      II existe un risque de brusque hypotension en cas de déplétion sodique préexistante (en particulier chez les patients présentant une sténose de l’artère rénale). Ainsi, les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront donc systématiquement recherchés. Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients.
    • Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
    • Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite de traitement. Après rétablissement d’une volémie et d’une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
    • Risque d’hypokaliémie
      – Lié à l’association :
      L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux. Comme avec tout antihypertenseur contenant un diurétique, un contrôle régulier de la kaliémie doit être effectuée.
    • – Lié à l’indapamide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Surveillance de la kaliémie pendant le traitement
      Liée à l’association :
      L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    • Comme avec tout antihypertenseur contenant un diurétique, un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
    • Risque de toux
      Lié au perindopril :
      Une toux sèche a été rapportée avec l’utilisation des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Elle est caractérisée par sa persistance ainsi que par sa disparition à l’arrêt du traitement. L’étiologie iatrogénique doit être envisagée en présence de ce symptôme. Dans le cas où la prescription d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion s’avère indispensable, la poursuite du traitement peut être envisagée.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Lié au perindopril :
      L’efficacité et la tolérance du perindopril chez l’enfant et l’adolescent, seul ou associé, n’ont pas été établies.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Liée au périndopril :
      – Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone a été observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue et, bien que rarement, elle peut apparaître dans un délai variable. Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée.
    • Cirrhose hépatique décompensée
      * Liée au périndopril :
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone a été observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue et, bien que rarement, elle peut apparaître dans un délai variable. Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • * Liée à l’indapamide :
      Une déplétion potassique avec hypokaliémie constitue un risque majeur avec les diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à haut risque telles que les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1re semaine de traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Sujet âgé
      — Lié au périndopril :
      – La fonction rénale et la kaliémie sont appréciées avant le début du traitement. La dose de départ est ajustée ultérieurement en fonction de la réponse tensionnelle, particulièrement en cas de déplétion hydrosodée, afin d’éviter toute hypotension de survenue brutale.
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée (cf Interactions médicamenteuses).
    • — Lié à l’indapamide :
      – La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers. Tout traitement diurétique peut provoquer une hyponatrémie aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent chez les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • – La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Fonction rénale et diurétiques :
      – Les diurétiques thiazidiques et apparentés ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte).
    • Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être ajustée pour tenir compte de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft :
      Clcr = (140 – âge) × poids/0,814 × créatininémie
      avec : l’âge exprimé en années,
      le poids en kg,
      la créatininémie en µmol/l.
    • Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • L’hypovolémie, résultant de la perte en eau et en sodium provoquée par le diurétique en début de traitement entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation des taux plasmatiques d’urée et de créatinine. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez les patients dont la fonction rénale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Insuffisance coronarienne
      — Lié au périndopril :
      Le risque d’hypotension existe chez tous les patiens, mais une attention particulière doit être portée chez ceux ayant une cardiopathie ischémique, en débutant le traitement à une faible posologie.
    • — Liée à l’indapamide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Insuffisance vasculaire cérébrale
      Lié au périndopril :
      Le risque d’hypotension existe chez tous les patients, mais une attention particulière doit être portée chez ceux ayant une insuffisance circulatoire cérébrale, en débutant le traitement à faible posologie.
    • Hypertension rénovasculaire
      Liée au périndopril :
      Le traitement de l’hypertension rénovasculaire est la revascularisation. Néanmoins, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion peuvent être bénéfiques chez les patients présentant une hypertension rénovasculaire en attente d’une intervention chirurgicale correctrice ou quand une telle intervention chirurgicale n’est pas possible.
    • Si PERINDOPRIL/INDAPAMIDE est prescrit chez les patients pour lesquels une sténose de l’artère rénale est connue ou suspectée, le traitement doit être instauré à l’hôpital avec une dose faible et la fonction rénale et la kaliémie doivent être surveillées, certains patients ayant développé une insuffisance rénale fonctionnelle, réversible à l’arrêt du traitement.
    • Diabète insulinodépendant
      Lié au périndopril :
      Chez les patients diabétiques insulinodépendants (tendance spontanée à (‘hyperkaliémie), l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite. Ne pas interrompre un traitement par bêtabloquant chez un hypertendu atteint d’insuffisance coronarienne : l’IEC doit être ajouté au bêtabloquant.
    • Diabète
      – Lié au périndopril :
      – Chez le patient diabétique traité par antidiabétiques oraux ou insuline, un contrôle glycémique étroit doit être effectué au cours du premier mois de traitement par IEC.
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée (cf Interactions médicamenteuses).
    • – Lié à l’association :
      L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux.
    • Comme avec tout antihypertenseur contenant un diurétique, un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
    • – Lié à l’indapamide :
      Il importe chez les diabétiques de contrôler la glycémie notamment en présence d’hypokaliémie.
    • Sujet noir
      Liée au périndopril :
      – Un taux plus élevé de survenue d’angio-oedème a été observé chez les patients de race noire traités par IEC par rapport aux autres patients.
    • – Comme avec les autres IEC, l’effet antihypertenseur du périndopril peut être moins marqué chez les patients de population noire que chez les autres populations de patients, à cause d’une prévalence accrue de patients à faible activité rénine dans la population noire hypertendue.
    • Intervention chirurgicale
      Liée au périndopril :
      En cas d’anesthésie, et plus encore lorsque l’anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion peuvent entraîner une hypotension. L’interruption thérapeutique des inhibiteurs de l’enzyme de conversion à durée d’action longue, comme périndopril, lorsqu’elle est possible, est donc recommandée la veille de l’intervention.
    • Anesthésie
      Liée au périndopril :
      En cas d’anesthésie, et plus encore lorsque l’anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion peuvent entraîner une hypotension. L’interruption thérapeutique des inhibiteurs de l’enzyme de conversion à durée d’action longue, comme périndopril, lorsqu’elle est possible, est donc recommandée la veille de l’intervention.
    • Cardiomyopathie hypertrophique
      Lié au périndopril :
      Les IEC doivent être utilisés avec précaution chez les patients ayant une obstruction à l’éjection du
      ventricule gauche.
    • Rétrécissement aortique
      Lié au périndopril :
      Les IEC doivent être utilisés avec précaution chez les patients ayant une obstruction à l’éjection du
      ventricule gauche.
    • Insuffisance hépatique
      Liée au périndopril :
      Dans de rares cas, les IEC ont été associés à un syndrome qui débute par un ictère cholestatique et évolue vers une hépatite nécrosante fulminante et (parfois) le décès. Le mécanisme de ce syndrome n’est pas connu. En cas d’apparition d’un ictère ou d’une élévation importante des enzymes hépatiques, l’administration de l’IEC doit être arrêtée et le patient doit être sous surveillance médicale adéquate (cf Effets indésirables).
    • Risque d’hyponatrémie
      Liée à l’indapamide :
      Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers. Tout traitement diurétique peut provoquer une hyponatrémie aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent chez les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets indésirables et Surdosage).
    • Risque d’hyperkaliémie
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée.
    • Sténose artérielle rénale
      * Lié à l’association :
      – Le médicament n’est généralement pas recommandé en cas de sténose de l’artère rénale bilatérale ou d’un rein fonctionnel unique.
    • – II existe un risque de brusque hypotension en cas de déplétion sodique préexistante (en particulier chez les patients présentant une sténose de l’artère rénale).
    • Ainsi, les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront systématiquement recherchés.
    • Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients.
    • Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
    • Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite de traitement. Après rétablissement d’une volémie et d’une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
    • * Lié au périndopril :
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone a été observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime hyposodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients dont la pression artérielle était initialement basse, en cas de sténose de l’artère rénale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose oedémato-ascitique.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois elle peut être aiguë lors de sa survenue et, bien que rarement, elle peut apparaître dans un délai variable. Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être à posologie plus faible et l’augmentation progressive.
    • Acidose métabolique
      Liée au périndopril :
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée.
    • Déshydratation
      Liée au périndopril :
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée.
    • Traitement par un médicament hyperkaliémiant
      Liée au périndopril :
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril. Les facteurs de risque de développement d’une hyperkaliémie sont : l’insuffisance rénale, aggravation de la fonction rénale, âge (> 70 ans), diabète sucré, évènements intercurrents, en particulier déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique et utilisation concomitante de diurétiques épargneurs potassiques (ex : spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de substituts de sel contenant du potassium (ex : héparine). L’utilisation de suppléments de potassium, de diurétiques épargneurs potassique ou de substituts de sel contenant du potassium en particulier chez les patients ayant une fonction rénale altérée, peut entraîner une augmentation significative de la kaliémie. L’hyperkaliémie peut causer des arythmies sérieuses, quelques fois fatales. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée.
    • Insuffisance cardiaque sévère
      Liée au périndopril :
      Chez les patients en insuffisance cardiaque sévère (stade IV), l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite. Ne pas interrompre un traitement par bêta bloquant chez un hypertendu atteint d’insuffisance coronarienne : l’IEC doit être ajouté au bêtabloquant.
    • Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
      Liée à l’indapamide :
      Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers. Tout traitement diurétique peut provoquer une hyponatrémie aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable. Le contrôle doit être encore plus fréquent chez les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • Sujet dénutri
      – Lié à l’indapamide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Cirrhose
      – Lié à l’indapamide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Insuffisance cardiaque
      – Lié à l’indapamide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Risque d’hypercalcémie
      Liée à l’indapamide :
      Les diurétiques thiazidiques et apparentés sont susceptibles de diminuer l’excrétion urinaire du calcium et d’entraîner une augmentation légère et transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Hyperuricémie
      Liée à l’indapamide :
      Chez les patients hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée.
    • Risque d’augmentation de l’urémie
      Lié à l’indapamide :
      Fonction rénale et diurétiques :
      Les diurétiques thiazidiques et apparentés ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte).
    • Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft :
      Clcr = (140 – âge) × poids/0,814 × créatininémie
      avec : l’âge exprimé en années,
      le poids en kg,
      la créatininémie en µmol/l.
    • Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • L’hypovolémie, résultant de la perte en eau et en sodium provoquée par le diurétique en début de traitement entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez les patients dont la fonction rénale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Risque d’augmentation de la créatininémie
      Lié à l’indapamide :
      Fonction rénale et diurétiques :
      Les diurétiques thiazidiques et apparentés ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte).
    • Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft :
      Clcr = (140 – âge) × poids/0,814 × créatininémie
      avec : l’âge exprimé en années,
      le poids en kg,
      la créatininémie en µmol/l.
    • Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • L’hypovolémie, résultant de la perte en eau et en sodium provoquée par le diurétique en début de traitement entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez les patients dont la fonction rénale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Allongement de l’espace QT
      Liée à l’indapamide :
      Une déplétion potassique avec hypokaliémie constitue un risque majeur avec les diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à haut risque telles que les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
    • Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1re semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Sportif
      Lié à l’indapamide :
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Administrer avant le repas
    • Administrer le matin

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Compte tenu des effets respectifs de chacune des deux substances présentes dans l’association, sur la grossesse et l’allaitement, l’utilisation de PERINDOPRIL/INDAPAMIDE n’est pas recommandée pendant le premier trimestre de la grossesse. PERINDOPRIL/INDAPAMIDE, comprimé sécable est contre-indiqué pendant les deuxième et troisième trimestres de la grossesse (cf Contre-indications).
  • – Lié au périndopril
    L’utilisation des IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (cf Mises en garde/Précautions d’emploi). L’utilisation des IEC est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (cf Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.
  • L’exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (cf Sécurité préclinique). En cas d’exposition à un IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d’effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (cf Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • – Lié à l’indapamide
    Une exposition prolongée aux diurétiques thiazidiques pendant le troisième trimestre de la grossesse peut réduire le volume plasmatique maternel et le débit sanguin utéro-placentaire pouvant entraîner une ischémie foeto-placentaire et un retard de croissance. De plus, de rares cas d’hypoglycémie et de thrombocytopénie néonatales ont été rapportés chez les nourrissons exposés in utero près du terme de la grossesse.
  •  Allaitement :

    PERINDOPRIL/INDAPAMIDE est contre-indiqué pendant l’allaitement, c’est pourquoi une solution doit être envisagée, soit interrompre l’allaitement, soit interrompre le traitement en prenant en compte l’importance de ce traitement pour la mère.
  • PERINDOPRIL/INDAPAMIDE, comprimé sécable est contre-indiqué au cours de l’allaitement.
  • – Lié au périndopril
    En raison de l’absence d’information disponible sur l’utilisation du perindopril au cours de l’allaitement, le perindopril est déconseillé. Il est préférable d’utiliser d’autres traitements ayant un profil de sécurité bien établi pendant l’allaitement, particulièrement chez le nouveau-né ou le prématuré.
  • – Lié à l’indapamide
    L’Indapamide est excrété dans le lait maternel. L’Indapamide est proche des diurétiques thiazidiques qui sont impliqués dans la réduction ou même la suppression de lait au cours de l’allaitement. Une hypersensibilité, une hypokaliémie et un ictère nucléaire du nouveau-né peuvent survenir.

  • Liés au périndopril, à l’indapamide et à PERINDOPRIL/INDAPAMIDE PERINDOPRIL/INDAPAMIDE a un effet mineur ou modéré sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
  • Des réactions individuelles en relation avec une baisse de la pression artérielle peuvent survenir chez certains patients, spécialement en début de traitement ou lors de l’association à un autre médicament antihypertenseur.
  • Par conséquent, l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines peut être diminuée.

    • Hypokaliémie
      Diabetique, Insuffisance rénale.
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Leucopénie (Très rare)
    • Neutropénie (Très rare)
    • Agranulocytose (Très rare)
    • Aplasie médullaire (Très rare)
    • Anémie hémolytique (Très rare)
    • Anémie (Très rare)
      Hemodialyse, Transplanté rénal.
    • Trouble de l’humeur (Peu fréquent)
    • Trouble du sommeil (Peu fréquent)
    • Paresthésie (Fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Asthénie (Fréquent)
    • Sensation de vertige (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Confusion mentale (Très rare)
    • Vision (modification) (Fréquent)
    • Acouphène (Fréquent)
    • Hypotension orthostatique (Fréquent)
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Arythmie (Très rare)
    • Bradycardie (Très rare)
    • Tachycardie ventriculaire (Très rare)
    • Fibrillation auriculaire (Très rare)
    • Angor (Très rare)
    • Infarctus du myocarde (Très rare)
    • Toux sèche (Fréquent)
    • Dyspnée (Fréquent)
    • Bronchospasme (Peu fréquent)
    • Pneumopathie à éosinophiles (Très rare)
    • Rhinite (Très rare)
    • Constipation (Fréquent)
    • Hyposialie (Fréquent)
    • Nausée (Fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Dyspepsie (Fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Pancréatite (Très rare)
    • Oedème abdominal (Très rare)
    • Hépatite cytolytique (Très rare)
    • Hépatite cholestatique (Très rare)
    • Encéphalopathie hépatique
      Insuffisance hepatique.
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Prurit (Fréquent)
    • Eruption maculopapuleuse (Fréquent)
    • Oedème de Quincke (Peu fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Hypersensibilité (Peu fréquent)
      Asthmatique, Terrain allergique.
    • Purpura (Peu fréquent)
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation) (Peu fréquent)
    • Erythème polymorphe (Très rare)
    • Syndrome de Lyell (Très rare)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
    • Photosensibilisation
    • Crampe (Fréquent)
    • Insuffisance rénale (Peu fréquent)
    • Insuffisance rénale aiguë (Très rare)
    • Impuissance (Peu fréquent)
    • Hypersudation (Peu fréquent)
    • Hyponatrémie
    • Hypovolémie
    • Déshydratation
    • Hyperuricémie
    • Hyperglycémie
    • Urémie (augmentation)
    • Créatininémie (augmentation)
    • Hyperkaliémie
    • Hypercalcémie (Rare)

    • Classement ATC : 
          C09BA04 / PERINDOPRIL ET DIURETIQUES
    • Classement Vidal : 
          Inhibiteur de l’enzyme de conversion + diurétique thiazidique : périndopril + indapamide

    Liste I
    • CIP : 3879429 (PERINDOPRIL/INDAPAMIDE RATIOPHARM 4 mg/1,25 mg cp : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3879464 (PERINDOPRIL/INDAPAMIDE RATIOPHARM 4 mg/1,25 mg cp : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Ratiopharm


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