logo news copy.webp
Search
Close this search box.

RHINATUX gél






gélule
par 1 gélule
codéine phosphate hémihydrate14,36 mg
  Soit codéine anhydre10,58 mg
dexchlorphéniramine maléate1 mg
Excipients : lactose monohydrate, titane dioxyde, gélatine.

Traitement symptomatique des toux non productives gênantes en particulier à prédominance nocturne.


VOIE ORALE.
  • RESERVE À L’ADULTE (PLUS DE 15 ANS)
    Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où
    survient la toux.
  • En l’absence d’autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou tout autre
    antitussif central, la dose quotidienne de codéine associée à un antihistaminique à ne pas dépasser est de 60 mg chez l’adulte et les prises espacées de 6 heures minimum.
  • La posologie usuelle quotidienne en dexchlorphénamine est de 4 mg chez l’adulte.
  • Adulte : 1 gélule par prise, à renouveler en cas de besoin au bout de 6 heures minimum, sans dépasser la dose de 4 gélules par jour.
  • Sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique : la posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l’adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
  • II convient de privilégier les prises vespérales en raison de l’effet sédatif de la
    dexchlorphénamine.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux antihistaminiques H1
    • Hypersensibilité à la codéine ou à ses dérivés
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Insuffisance respiratoire
    • Toux de l’asthmatique
    • Allaitement
    • Glaucome à angle étroit
    • Rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques, risque (de)
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)

    • Respecter la toux productive
      Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire,
      sont à respecter.
    • Il est illogique d’associer un expectorant ou un mucolytique à ce médicament antitussif.
    • Traitement ne dispensant pas du traitement spécifique de la maladie
      Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux
      qui requièrent un traitement spécifique.
    • Traitement à réévaluer en cas de persistance ou d’aggravation des symptômes ou de la pathologie
      Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder
      à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
    • Traitement prolongé
      En raison de la présence de codéine :
      – un traitement prolongé à fortes doses peut conduire à un état de dépendance.
    • Hypertension intracrânienne
      Liée à la présence de codéine :
      prudence en cas d’hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
    • Sujet âgé
      La dexchlorphénamine doit être utilisée avec prudence chez le sujet âgé présentant :
      . une plus grande sensibilité à l’hypotension orthostatique, aux vertiges et à la sédation,
      . une constipation chronique (risque d’ iléus paralytique),
      . une éventuelle hypertrophie prostatique.
    • Insuffisance hépatique sévère
      Liée à la présence de dexchlorphénamine, en raison du risque d’accumulation.
    • Insuffisance rénale sévère
      Liée à la présence de dexchlorphénamine, en raison du risque d’accumulation.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      Liée à la présence de codéine et de dexchlorphénamine :
      la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    • Interaction alimentaire : alcool
      Liée à la présence de codéine et de dexchlorphénamine :
      la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    * Aspect mal formatif (1er trimestre) :
    – Les études réalisées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène de la codéine
    mais pas de la dexchlorphénamine ;
    – En clinique, les résultats des études données épidémiologiques actuelles :
    . n’ont pas mis en évidence un effet malformatif particulier de la codéine, sur des
    effectifs restreints de femmes,
    . semblent exclure un effet malformatif particulier de la dexchlorphénamine.* Aspect foetotoxique (2ème et 3ème trimestre):
    – En fin de grossesse, des posologies élevées de codéine sont susceptibles d’entraîner une
    dépression respiratoire chez le nouveau-né. De plus, il existe un risque de syndrome de
    sevrage chez le nouveau-né de mère toxicomane aux opiacés.
  • – Chez les nouveaux-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies de
    médicaments anticholinergiques ont été rarement décrits :
    – des signes digestifs liés aux propriétés atropiniques des phénothiazines (distension
    abdominale…) ;
    – des syndromes extrapyramidaux.Compte-tenu de ces données :
    – ce médicament, dans les conditions normales d’utilisation, peut être prescrit pendant les
    2 premiers trimestres de la grossesse ;
    – et son utilisation ne doit être envisagée au cours du 3ème trimestre que si nécessaire, en
    se limitant à un usage ponctuel.
  • Si l’administration de ce médicament a eu lieu en fin de grossesse, il semble justifié
    d’observer une période de surveillance des fonctions neurologiques et digestives du nouveau-né.
  •  Allaitement :

    La codéine passe dans le lait maternel. Quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires
    ont été décrits chez des nourrissons après ingestion par les mères de codéine à doses supra-
    thérapeutiques.
  • La dexchlorphénamine possède des propriétés sédatives.
  • Par conséquent, la prise de ce médicament pendant l’allaitement est contre-indiquée.

  • L’attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l’emploi de ce médicament, surtout en début de traitement.
  • Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l’alcool.

    • Constipation
    • Somnolence
    • Vertige
      Sujet âgé.
    • Nausée
    • Vomissement
    • Bronchospasme (Rare)
    • Dermatose allergique (Rare)
    • Dépression respiratoire (Rare)
    • Dépendance
      Arret brutal, Doses supratherapeutiques.
    • Syndrome de sevrage
      Arret brutal, Doses supratherapeutiques.
    • Sécheresse muqueuse
    • Trouble de l’accommodation
    • Mydriase
    • Palpitation
    • Rétention urinaire
    • Hypotension orthostatique
    • Trouble de l’équilibre
    • Trouble de la mémoire
    • Concentration (diminution)
    • Ataxie
      Sujet âgé.
    • Tremblement
    • Confusion mentale
    • Hallucination
    • Agitation
    • Nervosité
    • Insomnie
      Nouveau-ne.
    • Erythème cutané
    • Eczéma
    • Prurit
    • Purpura
    • Urticaire
    • Oedème
    • Oedème de Quincke (Rare)
    • Choc anaphylactique
    • Leucopénie
    • Neutropénie
    • Thrombopénie
    • Anémie hémolytique

    • Classement ATC : 
          R05DA20 / ASSOCIATIONS
    • Classement Vidal : 
          Antitussif opiacé : codéine

    • CIP : 3445837 (RHINATUX gél : B/20).
    • Disponibilité : officines
      Non remboursé


    Amido


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires