gélule
par 1 gélule
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ribavirine | 200 mg |
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La Ribavirine Mylan est indiquée dans le traitement de l’hépatite C chronique et doit être exclusivement utilisée dans le cadre d’une association thérapeutique avec de l’interféron alpha-2b (adultes, enfants (âgés de 3 ans ou plus) et adolescents). La ribavirine ne doit pas être utilisée en monothérapie.
- La sécurité et l’efficacité de l’utilisation de la Ribavirine avec d’autres formes d’interféron (c.-à-d., autres que l’alpha-2b) n’a pas été établie.
- Veuillez vous reporter au Résumé des caractéristiques du produit (RCP) de l’interféron alpha-2b pour les informations de prescription correspondant à ce produit.
- * Patients naïfs de traitement :
– Patients adultes : en association avec l’interféron alpha-2b, la Ribavirine Mylan est indiquée dans le traitement des patients adultes atteints de tous types d’hépatite C chronique, à l’exception du génotype 1, qui n’ont pas reçu de traitement antérieur, ne présentent pas de décompensation hépatique, ont un taux élevé d’alanine aminotransférase (ALAT) et des taux sériques détectables d’ARN du virus de l’hépatite C (ARN-VHC sérique positifs).- – Enfants et adolescents : La Ribavirine Mylan est indiquée, en association avec l’interféron alpha-2b, dans le traitement des enfants et adolescents âgés de 3 ans ou plus, qui sont atteints de tous types d’hépatite C chronique, à l’exception du génotype 1, qui n’ont pas reçu de traitement antérieur, ne présentent pas de décompensation hépatique, et dont le sérum est ARN-VHC positif. Au moment de prendre la décision de ne pas différer le traitement à l’âge adulte, il est important de considérer que le traitement combiné provoque une inhibition de la croissance, dont la réversibilité n’est pas certaine. La décision de traiter doit être prise au cas par cas.
- * Patients dont le traitement antérieur a échoué :
– Patients adultes : en association avec l’interféron alpha-2b, la Ribavirine Mylan est indiquée pour le traitement des patients adultes souffrant d’hépatite C chronique qui ont répondu à un traitement antérieur (avec normalisation de l’ALAT à la fin du traitement) par l’interféron alpha en monothérapie, mais qui ont par la suite rechuté. - La sécurité et l’efficacité de l’utilisation de la Ribavirine avec d’autres formes d’interféron (c.-à-d., autres que l’alpha-2b) n’a pas été établie.
- Le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin ayant l’expérience de la prise en charge de l’hépatite C chronique.
- Dose à administrer : la dose de Ribavirine Mylan est établie en fonction du poids du patient (Tableau 1). Les gélules de Ribavirine doivent être administrées par voie orale chaque jour en deux prises (une dose le matin et une dose le soir) au moment des repas.
- Patients adultes : la Ribavirine Mylan doit être utilisée en association avec l’interféron alpha-2b (3 millions d’unités internationales [MUI] trois fois par semaine. La posologie administrée doit être choisi en fonction de l’efficacité et de la sécurité d’emploi attendues du traitement combiné pour chaque patient.
- Tableau 1 : Dose de Ribavirine Mylan en fonction du poids corporel
Poids du patient (kg) Dose quotidienne de Ribavirine Mylan Nombre de gélules à 200 mg < 65 800 mg 4 (2 le matin, 2 le soir) 65-80 1000 mg 5 (2 le matin, 3 le soir) 81-105 1200 mg 6 (3 le matin, 3 le soir) > 105 1400 mg 7 (3 le matin, 4 le soir)
Sur la base des résultats des études cliniques, il est recommandé de traiter les patients pendant au moins six mois. Lors des études cliniques où les patients étaient traités pendant un an, il était improbable que les patients qui ne présentaient pas de réponse virologique après six mois de traitement (taux d’ARN-VHC inférieur à la limite de détection) développent une réponse virologique prolongée (ARN-VHC inférieur à la limite inférieure de détection six mois après l’arrêt du traitement).- Durée du traitement : génotypes Non-1 : la décision de poursuivre le traitement jusqu’à un an chez les patients ARNVHC négatifs après six mois de traitement doit être basée sur d’autres facteurs pronostiques (par ex. âge >40 ans, sexe masculin, fibrose en pont).
- Durée du traitement – Retraitement : génotypes Non-1 : la décision de poursuivre le traitement jusqu’à un an chez les patients ARNVHC négatifs après six mois de traitement doit être basée sur d’autres facteurs pronostiques (par ex. âge >40 ans, sexe masculin, fibrose en pont).
- Enfants âgés de 3 ans ou plus et adolescents : (pour les patients qui pèsent moins de 47 kg, ou qui n’arrivent pas à avaler les gélules, il existe une solution orale de ribavirine qui devra être utilisée si cela est approprié) .
- Lors des études cliniques menées chez cette population, la ribavirine et l’interféron alpha-2b ont été utilisés respectivement à des doses de 15 mg/jour et de 3 millions d’unités internationales (MUI)/m2 trois fois par semaine (Tableau 2). La Ribavirine Mylan doit être administrée par voie orale chaque jour en deux prises (le matin et le soir) avec les repas.
- Tableau 2 : Dose pédiatrique de Ribavirine Mylan en fonction du poids corporel
Poids du patient (kg) Dose quotidienne de Ribavirine Nombre de gélules à 200 mg 47 – 49 600 mg 3 (1 le matin, 2 le soir) 50 – 65 800 mg 4 (2 le matin, 2 le soir) > 65 Se reporter au tableau de dose pour les adultes (tableau 1) Se reporter au tableau de dose pour les adultes (tableau 1)
Génotype 2 ou 3 : la durée de traitement recommandée est de 24 semaines.- Modification de la dose pour tous les patients : en cas d’apparition d’effets indésirables ou d’anomalies au niveau des paramètres biochimiques pendant le traitement par la Ribavirine Mylan et l’interféron alpha-2b, il convient de modifier les posologies de chaque produit si cela est approprié jusqu’à ce que les effets indésirables cessent. Des recommandations de modification des doses ont été développées lors des études cliniques (voir les recommandations de modification des posologies, Tableau 3). Etant donné que l’observance peut être importante pour les résultats du traitement, la dose doit être conservée aussi proche que possible de la dose standard recommandée. L’impact négatif potentiel d’une diminution de la dose de ribavirine sur les résultats d’efficacité ne peut pas être écarté.
- Tableau 3 : Recommandations de modification de la posologie
Paramètres biologiques Diminuer uniquement la dose quotidienne de Ribavirine Mylan jusqu’à 600 mg/jour* chez l’adulte et jusqu’à 7,5 mg/kg chez la population pédiatrique si : Diminuer uniquement la dose d’interféron alpha- 2b (chez l’adulte et la population pédiatrique) jusqu’à une demi-dose si : Interrompre l’association thérapeutique si** : Hémoglobine < 10 g/dl – < 8,5 g/dl Adulte : hémoglobine chez
les patients ayant des antécédents de cardiopathie stable
Population pédiatrique : sans objetDiminution > ou = 2 g/dl du taux d’hémoglobine sur une période de 4 semaines de traitement (diminution permanente de la dose) Diminution > ou = 2 g/dl du taux d’hémoglobine sur une période de 4 semaines de traitement (diminution permanente de la dose) <12 g/dl après 4 semaines de diminution de la dose Leucocytes – < 1500/mm3 < 1000/mm3 Neutrophiles – < 750/mm3 < 500/mm3 Plaquettes – Adulte <50 x 10^9/l
Population pédiatrique <80 x 10^9/lAdulte <25 x 10^9/l
Population pédiatrique <50 x 10^9/l )Bilirubine directe – – 2,5 x LNS* Bilirubine indirecte > 5 mg/dl – >Adulte >4 mg/dl
Population pédiatrique >5 mg/dl (pendant plus de 4 semaines)Créatinine – – > 2,0 mg/dl Alanine aminotransférase/ Aspartate aminotransférase (ALAT/ASAT) – – 2 x valeur initiale et >10 x LSN**
* Limite Normale Supérieure
** Se reporter aux RCP de l’interféron alpha-2b pour la modification de la posologie et l’arrêt du traitement.- Remarque 1 : Chez les patients adultes, la 1ère réduction de la dose de Ribavirine Mylan est de 200 mg/jour (sauf chez les patients recevant la dose de 1400 mg, auquel cas la réduction de la dose doit être de 400 mg/jour). Si besoin est, une 2ème réduction de la dose de Ribavirine Mylan est de 200 mg/jour supplémentaires. Les patients dont la dose de Ribavirine Mylan est réduite jusqu’à 600 mg par jour reçoivent une gélule de 200 mg le matin et deux gélules de 200 mg le soir. Chez les enfants et les adolescents traités par la Ribavirine Mylan plus l’interféron alpha-2b, on devra réduire la dose de Ribavirine Mylan jusqu’à 7,5 mg/kg/jour.
- Remarque 2 : Chez les patients adultes et chez les enfants et les adolescents traités par la Ribavirine Mylan plus l’interféron alpha-2b, la dose d’interféron alpha-2b doit être réduite d’une demi-dose.
- Populations spéciales :utilisation en cas d’insuffisance rénale : La pharmacocinétique de la ribavirine est modifiée chez les patients insuffisants rénaux en raison d’une diminution de la clairance apparente de la créatinine chez ces patients. Par conséquent, il est recommandé d’évaluer la fonction rénale chez tous les patients avant d’instaurer un traitement par la Ribavirine Mylan. Les patients présentant une clairance de la créatinine < 50 ml/minute ne doivent pas être traités par la Ribavirine Mylan. Les patients présentant une altération de la fonction rénale doivent faire l’objet d’une surveillance plus attentive visant à mettre en évidence l’apparition éventuelle d’une anémie. Si le taux de créatinine sérique devient supérieur à 2 mg/dl (Tableau 3), la Ribavirine Mylan et le peginterféron alpha-2b/l’interféron alpha-2b doivent être interrompus. Utilisation en cas d’insuffisance hépatique : il ne semble pas y avoir d’interaction pharmacocinétique entre la ribavirine et la fonction hépatique (voir rubrique 5.2). Par conséquent, il n’est pas nécessaire de procéder à un ajustement de la dose de Ribavirine Mylan chez les patients insuffisants hépatiques. Utilisation chez les personnes âgées (65 ans ou plus) : l’âge ne semble pas avoir d’effet significatif sur la pharmacocinétique de la ribavirine. Toutefois, comme chez les patients plus jeunes, la fonction rénale doit être évaluée avant l’administration de Ribavirine Mylan. Utilisation chez les patients âgés de moins de 18 ans : il est possible d’utiliser la Ribavirine Mylan en association avec l’interféron alpha-2b chez les enfants de 3 ans ou plus et chez les adolescents. Le choix de la présentation dépend des caractéristiques particulières de chaque patient. La tolérance et l’efficacité de la Ribavirine Mylan en association avec l’interféron pegylé ou d’autres formes d’interféron (c.-à-d. autres que l’alpha-2b) n’ont pas été évaluées chez ces patients. Patients co-infectés par le VHC et le VIH : les patients sous traitement par un INTI en association avec la ribavirine et l’interféron alpha-2b peuvent présenter un risque accru de toxicité mitochondriale, d’acidose lactique et de décompensation hépatique. Veuillez également vous reporter aux informations produits correspondantes des médicaments antirétroviraux.
- Dose à administrer : la dose de Ribavirine Mylan est établie en fonction du poids du patient (Tableau 1). Les gélules de Ribavirine doivent être administrées par voie orale chaque jour en deux prises (une dose le matin et une dose le soir) au moment des repas.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Grossesse
- Allaitement
- Antécédent de cardiopathie
- Etat critique aigu
- Insuffisance rénale chronique
- Insuffisance rénale : clairance de la créatinine < 50 ml/min
- Insuffisance rénale chronique en cours d’hémodialyse
- Insuffisance hépatique sévère
- Cirrhose hépatique décompensée
- Hémoglobinopathie
- Thalassémie
- Drépanocytose
- Maladie psychiatrique sévère chez l’enfant et l’adolescent
- Maladie psychiatrique sévère chez l’enfant et l’adolescent, antécédent (de)
- Intolérance génétique au galactose
- Déficit en lactase
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Risque de trouble neuro-psychique
Des effets sévères sur le SNC, principalement dépression, idées suicidaires et tentative de suicide ont été observés chez certains patients traités par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, pendant le traitement mais également après l’arrêt, et dans ce cas principalement pendant les 6 mois ayant suivi l’arrêt. Des idées suicidaires ou tentatives de suicide survenant au cours du traitement et lors du suivi de 6 mois après traitement ont été rapportées plus fréquemment chez les enfants et adolescents, traités par Ribavirine en association avec l’interféron alfa-2b, que chez les adultes (2,4 % versus 1 %). Comme chez les adultes, les enfants et adolescents ont présenté d’autres effets indésirables d’ordre psychiatrique, tels que dépression, instabilité émotionnelle et somnolence. D’autres effets sur le SNC comprenant comportement agressif (parfois dirigé contre autrui comme des idées d’homicide), trouble bipolaire, manie, confusion et autres altérations de l’état mental ont été observés avec les interférons alpha. L’apparition de tout signe ou symptôme de troubles psychiatriques doit être attentivement surveillée chez les patients. Si de tels symptômes apparaissent, le médecin prescripteur doit garder à l’esprit la sévérité potentielle de ces effets indésirables et doit évaluer la nécessité d’une prise en charge thérapeutique appropriée. Si les symptômes psychiatriques persistent ou s’aggravent, ou si des idées suicidaires sont identifiées, il est recommandé d’interrompre le traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b et de suivre le patient avec une prise en charge psychiatrique appropriée. - Surveillance de l’état psychique pendant le traitement puis pendant 6 mois après l’arrêt du traitement
Des effets sévères sur le SNC, principalement dépression, idées suicidaires et tentative de suicide ont été observés chez certains patients traités par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, pendant le traitement mais également après l’arrêt, et dans ce cas principalement pendant les 6 mois ayant suivi l’arrêt. Des idées suicidaires ou tentatives de suicide survenant au cours du traitement et lors du suivi de 6 mois après traitement ont été rapportées plus fréquemment chez les enfants et adolescents, traités par Ribavirine en association avec l’interféron alfa-2b, que chez les adultes (2,4 % versus 1 %). Comme chez les adultes, les enfants et adolescents ont présenté d’autres effets indésirables d’ordre psychiatrique, tels que dépression, instabilité émotionnelle et somnolence. D’autres effets sur le SNC comprenant comportement agressif (parfois dirigé contre autrui), confusion et autres altérations de l’état mental ont été observés avec les interférons alpha. L’apparition de tout signe ou symptôme de troubles psychiatriques doit être attentivement surveillée chez les patients. Si de tels symptômes apparaissent, le médecin prescripteur doit garder à l’esprit la sévérité potentielle de ces effets indésirables et doit évaluer la nécessité d’une prise en charge thérapeutique appropriée. Si les symptômes psychiatriques persistent ou s’aggravent, ou si des idées suicidaires sont identifiées, il est recommandé d’interrompre le traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b et de suivre le patient avec une prise en charge psychiatrique appropriée. - Psychiatrique, maladie
Des effets sévères sur le SNC, principalement dépression, idées suicidaires et tentative de suicide ont été observés chez certains patients traités par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, pendant le traitement mais également après l’arrêt, et dans ce cas principalement pendant les 6 mois ayant suivi l’arrêt. Des idées suicidaires ou tentatives de suicide survenant au cours du traitement et lors du suivi de 6 mois après traitement ont été rapportées plus fréquemment chez les enfants et adolescents, traités par Ribavirine en association avec l’interféron alfa-2b, que chez les adultes (2,4 % versus 1 %). Comme chez les adultes, les enfants et adolescents ont présenté d’autres effets indésirables d’ordre psychiatrique, tels que dépression, instabilité émotionnelle et somnolence. D’autres effets sur le SNC comprenant comportement agressif (parfois dirigé contre autrui), confusion et autres altérations de l’état mental ont été observés avec les interférons alpha. L’apparition de tout signe ou symptôme de troubles psychiatriques doit être attentivement surveillée chez les patients. Si de tels symptômes apparaissent, le médecin prescripteur doit garder à l’esprit la sévérité potentielle de ces effets indésirables et doit évaluer la nécessité d’une prise en charge thérapeutique appropriée. Si les symptômes psychiatriques persistent ou s’aggravent, ou si des idées suicidaires sont identifiées, il est recommandé d’interrompre le traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b et de suivre le patient avec une prise en charge psychiatrique appropriée. - Patients présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères : Si un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b est jugé nécessaire chez des patients adultes présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères, il ne doit être initié qu’après s’être assuré d’un diagnostic individuel approprié spécialisé et de l’existence d’un suivi thérapeutique de l’état psychiatrique. L’utilisation de Ribavirine et de l’interféron alfa-2b ou du peginterféron alfa-2b chez les enfants et adolescents présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères est contre-indiquée (cf Contre-indications).
- Antécédent de maladie psychiatrique
Des effets sévères sur le SNC, principalement dépression, idées suicidaires et tentative de suicide ont été observés chez certains patients traités par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, pendant le traitement mais également après l’arrêt, et dans ce cas principalement pendant les 6 mois ayant suivi l’arrêt. Des idées suicidaires ou tentatives de suicide survenant au cours du traitement et lors du suivi de 6 mois après traitement ont été rapportées plus fréquemment chez les enfants et adolescents, traités par Ribavirine en association avec l’interféron alfa-2b, que chez les adultes (2,4 % versus 1 %). Comme chez les adultes, les enfants et adolescents ont présenté d’autres effets indésirables d’ordre psychiatrique, tels que dépression, instabilité émotionnelle et somnolence. D’autres effets sur le SNC comprenant comportement agressif (parfois dirigé contre autrui), confusion et autres altérations de l’état mental ont été observés avec les interférons alpha. L’apparition de tout signe ou symptôme de troubles psychiatriques doit être attentivement surveillée chez les patients. Si de tels symptômes apparaissent, le médecin prescripteur doit garder à l’esprit la sévérité potentielle de ces effets indésirables et doit évaluer la nécessité d’une prise en charge thérapeutique appropriée. Si les symptômes psychiatriques persistent ou s’aggravent, ou si des idées suicidaires sont identifiées, il est recommandé d’interrompre le traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b et de suivre le patient avec une prise en charge psychiatrique appropriée. - Patients présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères : Si un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b est jugé nécessaire chez des patients adultes présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères, il ne doit être initié qu’après s’être assuré d’un diagnostic individuel approprié spécialisé et de l’existence d’un suivi thérapeutique de l’état psychiatrique. L’utilisation de la Ribavirine et de l’interféron alfa-2b ou du peginterféron alfa-2b chez les enfants et adolescents présentant ou ayant des antécédents de troubles psychiatriques sévères est contre-indiquée (cf Contre-indications).
- Risque de ralentissement staturo-pondéral
Chez des patients âgés de 3 à 17 ans ayant reçu jusqu’à 48 semaines de traitement combiné par interféron (pégylé ou non)/ribavirine, la perte de poids et l’inhibition de la croissance étaient fréquents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). De plus, les données à plus long terme disponibles chez les enfants ayant reçu le traitement combiné par interféron non pégylé/ribavirine montrent un retard substantiel de croissance (diminution > 15 percentiles du percentile de la taille par rapport à la valeur de base) chez 21 % des enfants bien que le traitement ait été arrêté depuis plus de 5 ans. - Evaluation au cas par cas du rapport bénéfices/risques chez l’enfant :
Le bénéfice attendu du traitement doit être attentivement évalué au regard des données de sécurité issues des études cliniques réalisées chez les enfants et les adolescents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). - – Il est important de garder à l’esprit que le traitement combiné a provoqué des inhibitions de la croissance dont la réversibilité n’est pas certaine.
- – Ce risque doit être évalué au regard des caractéristiques de la maladie de l’enfant, tels que les signes de progression de la maladie (notamment la fibrose), des co-morbidités qui pourraient affecter négativement la progression de la maladie (comme la co-infection par le VIH) ainsi que des facteurs pronostiques de réponse (génotype du VHC et charge virale).
- Dans la mesure du possible, l’enfant doit être traité après le pic de croissance pubertaire afin de réduire le risque d’inhibition de la croissance. Il n’y a pas de données concernant les effets à long terme sur la maturation sexuelle.
- Traitement à n’administrer qu’en association
En raison des résultats d’études cliniques, la ribavirine administrée en monothérapie est inefficace et la Ribavirine ne doit pas être utilisé seul. La sécurité et l’efficacité de cette association ont été établies uniquement après utilisation conjointe de gélules de ribavirine et du peginterféron alfa-2b ou de l’interféron alfa-2b solution injectable. - Diagnostic à établir avec certitude
Dans les études cliniques sur l’hépatite C chronique sélectionnées, une biopsie hépatique a été pratiquée chez tous les patients avant inclusion, mais dans certains cas (i.e. patients de génotype 2 et 3), le traitement est envisageable sans confirmation histologique. Les recommandations thérapeutiques en vigueur doivent être consultées pour évaluer si une biopsie hépatique est nécessaire avant de débuter le traitement. - Médicament tératogène
Un effet tératogène et/ou embryotoxique marqué de la ribavirine a été mis en évidence dans toutes les espèces animales étudiées, et ce à des doses aussi faibles que le vingtième de la dose recommandée chez l’homme (voir Données de sécurité précliniques). - Médicament mutagène
La rivbavirine est génotoxique. - Femme susceptible d’être enceinte
La Ribavirine est contre-indiqué chez les patientes enceintes. Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les patientes. Le traitement par Ribavirine ne doit être débuté qu’après obtention d’un résultat négatif à un test de grossesse effectué juste avant l’initiation du traitement. Les patientes en âge de procréer et leurs partenaires doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et pendant quatre mois après son arrêt ; un test de grossesse doit être réalisé tous les mois pendant cette période. Si une grossesse survient au cours du traitement ou dans les quatre mois qui suivent son arrêt, la patiente doit être avertie qu’il existe un risque tératogène significatif. - Chez les patientes en âge de procréer : Les patientes doivent effectuer chaque mois un test de grossesse pendant le traitement et pendant les quatre mois qui suivent son arrêt. Les partenaires des patients traités doivent effectuer chaque mois un test de grossesse pendant la durée du traitement et pendant les sept mois qui suivent son arrêt.
- Homme en âge de procréer
Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les partenaires des patients traités par Ribavirine. La ribavirine s’accumule dans l’espace intracellulaire et est éliminée très lentement de l’organisme. On ne sait pas si la ribavirine présente dans le sperme peut provoquer des effets tératogènes ou génotoxiques chez l’embryon/foetus humain. Bien que le suivi prospectif d’environ 300 grossesses, issues de père traité, n’ait pas mis en évidence de risque plus élevé de malformation comparé à la population générale, ni de profil malformatif particulier, les hommes et leurs partenaires féminines en âge de procréer doivent être informés de l’obligation d’utiliser chacun une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu’à sept mois après son arrêt. - Les hommes dont les partenaires sont enceintes doivent être informés de l’obligation d’utiliser un préservatif afin de réduire au cours des rapports sexuels l’exposition à la ribavirine de leur partenaire.
- Partenaire enceinte ou susceptible de l’être
Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les partenaires des patients traités par Ribavirine. La ribavirine s’accumule dans l’espace intracellulaire et est éliminée très lentement de l’organisme. On ne sait pas si la ribavirine présente dans le sperme peut provoquer des effets tératogènes ou génotoxiques chez l’embryon/foetus humain. Bien que le suivi prospectif d’environ 300 grossesses, issues de père traité, n’ait pas mis en évidence de risque plus élevé de malformation comparé à la population générale, ni de profil malformatif particulier, les hommes et leurs partenaires féminines en âge de procréer doivent être informés de l’obligation d’utiliser chacun une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu’à sept mois après son arrêt. - Les hommes dont les partenaires sont enceintes doivent être informés de l’obligation d’utiliser un préservatif afin de réduire au cours des rapports sexuels l’exposition à la ribavirine de leur partenaire.
- Risque d’anémie
Hémolyse : Une chute de l’hémoglobinémie à < 10 g/dl a été observée chez 14 % des adultes et 7 % des enfants et adolescents traités avec Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b dans les études cliniques. Bien que la ribavirine n’exerce pas d’effets cardio-vasculaires directs, l’anémie associée à la Ribavirine peut se traduire par une altération de la fonction cardiaque ou une exacerbation des symptômes de la maladie coronarienne, ou les deux. Ainsi, la Ribavirine doit être administrée avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque pré-existante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - Risque d’hémolyse
– Hémolyse : Une chute de l’hémoglobinémie à < 10 g/dl a été observée chez 14 % des adultes et 7 % des enfants et adolescents traités avec Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b dans les études cliniques. Bien que la ribavirine n’exerce pas d’effets cardio-vasculaires directs, l’anémie associée à la Ribavirine peut se traduire par une altération de la fonction cardiaque ou une exacerbation des symptômes de la maladie coronarienne, ou les deux. Ainsi, la Ribavirine doit être administré avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque pré-existante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - – L’acide urique peut augmenter avec la Ribavirine en raison de l’hémolyse ; par conséquent, l’apparition d’une crise de goutte doit être étroitement surveillée chez les patients prédisposés.
- Insuffisance coronarienne
Hémolyse : Une chute de l’hémoglobinémie à < 10 g/dl a été observée chez 14 % des adultes et 7 % des enfants et adolescents traités avec Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b dans les études cliniques. Bien que la ribavirine n’exerce pas d’effets cardio-vasculaires directs, l’anémie associée à la Ribavirine peut se traduire par une altération de la fonction cardiaque ou une exacerbation des symptômes de la maladie coronarienne, ou les deux. Ainsi, la Ribavirine doit être administré avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque pré-existante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - Surveillance de la fonction cardiaque avant et pendant le traitement
Hémolyse : Une chute de l’hémoglobinémie à < 10 g/dl a été observée chez 14 % des adultes et 7 % des enfants et adolescents traités avec Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b dans les études cliniques. Bien que la ribavirine n’exerce pas d’effets cardio-vasculaires directs, l’anémie associée à la Ribavirine peut se traduire par une altération de la fonction cardiaque ou une exacerbation des symptômes de la maladie coronarienne, ou les deux. Ainsi, la Ribavirine doit être administré avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque pré-existante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - Antécédent d’insuffisance cardiaque congestive
– la Ribavirine doit être administrée avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque préexistante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - – Les patients adultes ayant des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive, d’infarctus du myocarde et/ou ayant souffert ou souffrant de troubles du rythme cardiaque doivent être étroitement surveillés. Il est recommandé que les patients ayant des anomalies cardiaques préexistantes aient des électrocardiogrammes avant et pendant le traitement. Les arythmies cardiaques (principalement supraventriculaires) répondent habituellement bien au traitement conventionnel, mais peuvent nécessiter l’interruption du traitement. Il n’y a pas de données chez les enfants et adolescents ayant des antécédents de maladie cardiaque.
- Antécédent d’infarctus du myocarde
– la Ribavirine doit être administrée avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque préexistante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - – Les patients adultes ayant des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive, d’infarctus du myocarde et/ou ayant souffert ou souffrant de troubles du rythme cardiaque doivent être étroitement surveillés. Il est recommandé que les patients ayant des anomalies cardiaques préexistantes aient des électrocardiogrammes avant et pendant le traitement. Les arythmies cardiaques (principalement supraventriculaires) répondent habituellement bien au traitement conventionnel, mais peuvent nécessiter l’interruption du traitement. Il n’y a pas de données chez les enfants et adolescents ayant des antécédents de maladie cardiaque.
- Antécédent d’arythmie
– la Ribavirine doit être administrée avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque préexistante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - – Les patients adultes ayant des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive, d’infarctus du myocarde et/ou ayant souffert ou souffrant de troubles du rythme cardiaque doivent être étroitement surveillés. Il est recommandé que les patients ayant des anomalies cardiaques préexistantes aient des électrocardiogrammes avant et pendant le traitement. Les arythmies cardiaques (principalement supraventriculaires) répondent habituellement bien au traitement conventionnel, mais peuvent nécessiter l’interruption du traitement. Il n’y a pas de données chez les enfants et adolescents ayant des antécédents de maladie cardiaque.
- Arythmie
– La Ribavirine doit être administrée avec précautions chez les patients atteints de maladie cardiaque préexistante. L’état cardiaque doit être évalué avant le début du traitement et suivi pendant le traitement ; si une altération survient, le traitement doit être interrompu. - – Les patients adultes ayant des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive, d’infarctus du myocarde et/ou ayant souffert ou souffrant de troubles du rythme cardiaque doivent être étroitement surveillés. Il est recommandé que les patients ayant des anomalies cardiaques préexistantes aient des électrocardiogrammes avant et pendant le traitement. Les arythmies cardiaques (principalement supraventriculaires) répondent habituellement bien au traitement conventionnel, mais peuvent nécessiter l’interruption du traitement. Il n’y a pas de données chez les enfants et adolescents ayant des antécédents de maladie cardiaque.
- Risque de réaction d’hypersensibilité
Si une réaction aiguë d’hypersensibilité (telle qu’urticaire, angio-oedème, bronchoconstriction, anaphylaxie) se développe, la Ribavirine doit être immédiatement interrompue et une prise en charge médicale appropriée instituée. Les rashs transitoires ne nécessitent pas un arrêt du traitement. - Risque de rétinopathie
La ribavirine est utilisée en traitement combiné avec les interférons alfa. Des rétinopathies incluant des hémorragies rétiniennes, des exudats rétiniens, des oedèmes de la papille, des neuropathies optiques et des occlusions de l’artère ou de la veine rétinienne pouvant être à l’origine d’une perte de la vue ont été rapportées dans de rares cas lors d’un traitement combiné avec les interférons alfa. - Surveillance ophtalmologique avant et pendant le traitement
Tous les patients doivent avoir un examen ophtalmologique avant traitement. Tout patient se plaignant d’une diminution ou de la perte de la vue doit faire rapidement l’objet d’un examen ophtalmologique complet; - Affection ophtalmologique
Les patients avec des troubles oculaires préexistants (e.g, rétinopathie diabétique ou hypertensive) doivent subir des examens ophtalmologiques périodiques durant le traitement combiné avec les interférons alpha. Le traitement combiné avec les interférons alpha doit être arrêté chez les patients développant de nouveaux troubles ophtalmologiques ou une aggravation de troubles ophtalmologiques préexistants. - Risque d’insuffisance hépatique
– Tout patient développant des anomalies significatives de la fonction hépatique au cours du traitement doit être étroitement suivi. Interrompre le traitement chez les patients qui présentent un allongement des marqueurs de la coagulation pouvant indiquer une décompensation hépatique. - – Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
. hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - . plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
. neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de la fonction hépatique avant la mise en route du traitement
– Tout patient développant des anomalies significatives de la fonction hépatique au cours du traitement doit être étroitement suivi. Interrompre le traitement chez les patients qui présentent un allongement des marqueurs de la coagulation pouvant indiquer une décompensation hépatique. - – Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
. hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - . plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
. neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de la fonction hépatique toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
– Tout patient développant des anomalies significatives de la fonction hépatique au cours du traitement doit être étroitement suivi. Interrompre le traitement chez les patients qui présentent un allongement des marqueurs de la coagulation pouvant indiquer une décompensation hépatique. - – Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
. hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - . plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
. neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de l’hémostase pendant le traitement
Tout patient développant des anomalies significatives de la fonction hépatique au cours du traitement doit être étroitement suivi. Interrompre le traitement chez les patients qui présentent un allongement des marqueurs de la coagulation pouvant indiquer une décompensation hépatique. - Enfant de moins de 15 ans
Chez des patients âgés de 3 à 17 ans ayant reçu jusqu’à 48 semaines de traitement combiné par interféron (pégylé ou non)/ribavirine, la perte de poids et l’inhibition de la croissance étaient fréquents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). De plus, les données à plus long terme disponibles chez les enfants ayant reçu le traitement combiné par interféron non pégylé/ribavirine montrent un retard substantiel de croissance (diminution > 15 percentiles du percentile de la taille par rapport à la valeur de base) chez 21 % des enfants bien que le traitement ait été arrêté depuis plus de 5 ans. - Evaluation au cas par cas du rapport bénéfices/risques chez l’enfant :
Le bénéfice attendu du traitement doit être attentivement évalué au regard des données de sécurité issues des études cliniques réalisées chez les enfants et les adolescents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). - – Il est important de garder à l’esprit que le traitement combiné a provoqué des inhibitions de la croissance dont la réversibilité n’est pas certaine.
- – Ce risque doit être évalué au regard des caractéristiques de la maladie de l’enfant, tels que les signes de progression de la maladie (notamment la fibrose), des co-morbidités qui pourraient affecter négativement la progression de la maladie (comme la co-infection par le VIH) ainsi que des facteurs pronostiques de réponse (génotype du VHC et charge virale).
- Dans la mesure du possible, l’enfant doit être traité après le pic de croissance pubertaire afin de réduire le risque d’inhibition de la croissance. Il n’y a pas de données concernant les effets à long terme sur la maturation sexuelle.
- Suivi complémentaire spécifique de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent : Approximativement 12 à 21 % des enfants traités par Ribavirine et interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ont présenté un taux de TSH (thyroïd stimulating hormone – thyréostimuline) élevé. Une diminution transitoire en dessous de la limite normale inférieure a été observée chez environ 4 % des autres enfants. Avant l’initiation du traitement par interféron alfa-2b, les taux de TSH doivent être évalués et toute anomalie de la fonction thyroïdienne détectée à ce moment doit être traitée par un traitement conventionnel. Le traitement par interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ne peut être instauré que si les taux de TSH peuvent être maintenus dans les valeurs normales par ce traitement. Des dysthyroïdies ont été observées en cours de traitement par Ribavirine et interféron alfa-2b et en cours de traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b. Si des anomalies de la fonction thyroïdienne sont détectées, la fonction thyroïdienne du patient doit être évaluée et traitée de façon cliniquement appropriée. Les enfants et les adolescents doivent être suivis tous les 3 mois afin de rechercher tout dysfonctionnement thyroïdien (e.g. TSH).
- Sujet adolescent
Chez des patients âgés de 3 à 17 ans ayant reçu jusqu’à 48 semaines de traitement combiné par interféron (pégylé ou non)/ribavirine, la perte de poids et l’inhibition de la croissance étaient fréquents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). De plus, les données à plus long terme disponibles chez les enfants ayant reçu le traitement combiné par interféron non pégylé/ribavirine montrent un retard substantiel de croissance (diminution > 15 percentiles du percentile de la taille par rapport à la valeur de base) chez 21 % des enfants bien que le traitement ait été arrêté depuis plus de 5 ans. - Evaluation au cas par cas du rapport bénéfices/risques chez l’enfant :
Le bénéfice attendu du traitement doit être attentivement évalué au regard des données de sécurité issues des études cliniques réalisées chez les enfants et les adolescents (voir Effets indésirables et Propriétés pharmacodynamiques). - – Il est important de garder à l’esprit que le traitement combiné a provoqué des inhibitions de la croissance dont la réversibilité n’est pas certaine.
- – Ce risque doit être évalué au regard des caractéristiques de la maladie de l’enfant, tels que les signes de progression de la maladie (notamment la fibrose), des co-morbidités qui pourraient affecter négativement la progression de la maladie (comme la co-infection par le VIH) ainsi que des facteurs pronostiques de réponse (génotype du VHC et charge virale).
- Dans la mesure du possible, l’enfant doit être traité après le pic de croissance pubertaire afin de réduire le risque d’inhibition de la croissance. Il n’y a pas de données concernant les effets à long terme sur la maturation sexuelle.
- Suivi complémentaire spécifique de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent : Approximativement 12 à 21 % des enfants traités par Ribavirine et interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ont présenté un taux de TSH (thyroïd stimulating hormone – thyréostimuline) élevé. Une diminution transitoire en dessous de la limite normale inférieure a été observée chez environ 4 % des autres enfants. Avant l’initiation du traitement par interféron alfa-2b, les taux de TSH doivent être évalués et toute anomalie de la fonction thyroïdienne détectée à ce moment doit être traitée par un traitement conventionnel. Le traitement par interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ne peut être instauré que si les taux de TSH peuvent être maintenus dans les valeurs normales par ce traitement. Des dysthyroïdies ont été observées en cours de traitement par Ribavirine et interféron alfa-2b et en cours de traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b. Si des anomalies de la fonction thyroïdienne sont détectées, la fonction thyroïdienne du patient doit être évaluée et traitée de façon cliniquement appropriée. Les enfants et les adolescents doivent être suivis tous les 3 mois afin de rechercher tout dysfonctionnement thyroïdien (e.g. TSH).
- Risque de dysthyroïdie
Suivi complémentaire spécifique de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent : Approximativement 12 à 21 % des enfants traités par Ribavirine et interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ont présenté un taux de TSH (thyroïd stimulating hormone – thyréostimuline) élevé. Une diminution transitoire en dessous de la limite normale inférieure a été observée chez environ 4 % des autres enfants. Avant l’initiation du traitement par interféron alfa-2b, les taux de TSH doivent être évalués et toute anomalie de la fonction thyroïdienne détectée à ce moment doit être traitée par un traitement conventionnel. Le traitement par interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ne peut être instauré que si les taux de TSH peuvent être maintenus dans les valeurs normales par ce traitement. Des dysthyroïdies ont été observées en cours de traitement par Ribavirine et interféron alfa-2b et en cours de traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b. Si des anomalies de la fonction thyroïdienne sont détectées, la fonction thyroïdienne du patient doit être évaluée et traitée de façon cliniquement appropriée. Les enfants et les adolescents doivent être suivis tous les 3 mois afin de rechercher tout dysfonctionnement thyroïdien (e.g. TSH). - Surveillance de la fonction thyroïdienne avant et pendant le traitement
Suivi complémentaire spécifique de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent : Approximativement 12 à 21 % des enfants traités par Ribavirine et interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ont présenté un taux de TSH (thyroïd stimulating hormone – thyréostimuline) élevé. Une diminution transitoire en dessous de la limite normale inférieure a été observée chez environ 4 % des autres enfants. Avant l’initiation du traitement par interféron alfa-2b, les taux de TSH doivent être évalués et toute anomalie de la fonction thyroïdienne détectée à ce moment doit être traitée par un traitement conventionnel. Le traitement par interféron alfa-2b (pégylé et non pégylé) ne peut être instauré que si les taux de TSH peuvent être maintenus dans les valeurs normales par ce traitement. Des dysthyroïdies ont été observées en cours de traitement par Ribavirine et interféron alfa-2b et en cours de traitement par Ribavirine et peginterféron alfa-2b. Si des anomalies de la fonction thyroïdienne sont détectées, la fonction thyroïdienne du patient doit être évaluée et traitée de façon cliniquement appropriée. Les enfants et les adolescents doivent être suivis tous les 3 mois afin de rechercher tout dysfonctionnement thyroïdien (e.g. TSH). - Infection par le VIH
– Des précautions doivent être prises chez les patients VIH positifs co-infectés par le VHC et traités par des inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) (en particulier ddl et d4T) et par l’association interféron alfa-2b/ribavirine. Dans cette population de patients VIH positifs recevant un schéma thérapeutique associant au moins un INTI et la ribavirine, les médecins doivent surveiller attentivement les marqueurs de toxicité mitochondriale et d’acidose lactique. En particulier :
. la co-administration de Ribavirine et de didanosine n’est pas recommandée en raison d’un risque de toxicité mitochondriale. - . la co-administration de Ribavirine et de stavudine doit être évitée afin de limiter le risque de majoration de la toxicité mitochondriale.
- – Décompensation hépatique chez les patients co-infectés VHC-VIH présentant un stade avancé de cirrhose :
Les patients co-infectés présentant un stade avancé de cirrhose et recevant un traitement anti-rétroviral hautement actif (HAART) peuvent présenter un risque augmenté de décompensation hépatique et de décès. Associer un traitement par un interféron alpha seul ou une bithérapie avec la ribavirine peut augmenter le risque chez cette catégorie de patients. Les autres paramètres à l’initiation du traitement pouvant être associés à un risque plus élevé de décompensation hépatique chez les patients co-infectés incluent un traitement par la didanosine et un taux élevé de bilirubine sérique. - Les patients co-infectés recevant à la fois un traitement anti-rétroviral (ARV) et un traitement pour l’hépatite doivent être étroitement surveillés, le score de Child-Pugh doit être évalué pendant le traitement. Chez les patients ayant une progression de leur décompensation hépatique, le traitement de l’hépatite doit être immédiatement interrompu et le traitement ARV doit être réévalué.
- – Anomalies hématologiques chez les patients co-infectés VHC-VIH :
Les patients co-infectés VHC-VIH recevant un traitement par peginterféron alfa-2b/ribavirine et HAART peuvent présenter un risque augmenté de développer des anomalies hématologiques (comme une neutropénie, thrombocytopénie et anémie) par rapport aux patients mono-infectés par le VHC. Bien que la majorité d’entre eux peuvent être contrôlés par des réductions de dose, un suivi attentif des paramètres hématologiques doit être mis en place dans cette population de patients. - Les patients traités par ribavirine et zidovudine présentent un risque augmenté de développer une anémie ; par conséquent, l’administration concomitante de la ribavirine avec la zidovudine n’est pas recommandée.
- – Patients avec un faible taux de CD4 :
Chez les patients co-infectés VHC-VIH, les données d’efficacité et sécurité (N = 25) disponibles chez les sujets avec un taux de CD4 en dessous de 200 cellules/µl sont limitées. Des précautions sont donc nécessaires lors du traitement des patients avec un faible taux de CD4. - Veuillez vous référer au Résumé des Caractéristiques du Produit de chaque médicament antirétroviral administré conjointement au traitement de l’hépatite C afin de connaître et prendre en charge la toxicité spécifique de chaque produit ainsi que la potentielle accumulation des toxicités liée à l’utilisation concomitante avec la Ribavirine en association avec le peginterféron alfa-2b.
- – L’ARN-VHC doit être dosé périodiquement pendant le traitement;
- Risque d’affection dentaire et parodontale
Des affections dentaires et parodontales, qui peuvent entraîner un déchaussement dentaire, ont été rapportées chez des patients recevant un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b. De plus, lors d’un traitement à long terme par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, une sécheresse buccale pourrait avoir un effet néfaste sur la dentition et la muqueuse buccales. Les patients doivent se brosser soigneusement les dents deux fois par jour et avoir des consultations dentaires régulières. De plus, certains patients peuvent présenter des vomissements. Dans ce cas, il doit leur être ensuite conseillé de se rincer soigneusement la bouche. - Traitement prolongé
Des affections dentaires et parodontales, qui peuvent entraîner un déchaussement dentaire, ont été rapportées chez des patients recevant un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b. De plus, lors d’un traitement à long terme par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, une sécheresse buccale pourrait avoir un effet néfaste sur la dentition et la muqueuse buccales. Les patients doivent se brosser soigneusement les dents deux fois par jour et avoir des consultations dentaires régulières. De plus, certains patients peuvent présenter des vomissements. Dans ce cas, il doit leur être ensuite conseillé de se rincer soigneusement la bouche. - Information du patient
Des affections dentaires et parodontales, qui peuvent entraîner un déchaussement dentaire, ont été rapportées chez des patients recevant un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b. De plus, lors d’un traitement à long terme par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, une sécheresse buccale pourrait avoir un effet néfaste sur la dentition et la muqueuse buccales. Les patients doivent se brosser soigneusement les dents deux fois par jour et avoir des consultations dentaires régulières. De plus, certains patients peuvent présenter des vomissements. Dans ce cas, il doit leur être ensuite conseillé de se rincer soigneusement la bouche. - Surveillance dentaire pendant le traitement
Des affections dentaires et parodontales, qui peuvent entraîner un déchaussement dentaire, ont été rapportées chez des patients recevant un traitement par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b. De plus, lors d’un traitement à long terme par Ribavirine en association avec peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b, une sécheresse buccale pourrait avoir un effet néfaste sur la dentition et la muqueuse buccales. Les patients doivent se brosser soigneusement les dents deux fois par jour et avoir des consultations dentaires régulières. De plus, certains patients peuvent présenter des vomissements. Dans ce cas, il doit leur être ensuite conseillé de se rincer soigneusement la bouche. - Surveillance de la formule sanguine avant la mise en route du traitement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de la formule sanguine toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance des plaquettes avant la mise en route du traitement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance des plaquettes toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de l’ionogramme plasmatique avant la mise en route du traitement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de l’ionogramme plasmatique toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de la fonction rénale avant la mise en route du traitement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Insuffisance rénale :
les paramètres pharmacocinétiques de la ribavirine sont altérés chez les patients ayant un dysfonctionnement rénal à cause d’une diminution de la clairance apparente (cf Pharmacocinétique). Par conséquent, il est recommandé d’évaluer la fonction rénale chez tous les patients avant l’initiation de Ribavirine. Les patients présentant une clairance de la créatinine < 50 ml/min ne doivent pas être traités par Ribavirine (cf Contre-indications). Chez les patients ayant une altération de la fonction rénale, la survenue d’une anémie doit être plus attentivement surveillée. Si la créatinine sérique devient > 2 mg/dl, Ribavirine et peginterféron alfa-2b/interféron alfa-2b doivent être interrompus. - Surveillance de la fonction rénale toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Insuffisance rénale :
les paramètres pharmacocinétiques de la ribavirine sont altérés chez les patients ayant un dysfonctionnement rénal à cause d’une diminution de la clairance apparente (cf Pharmacocinétique). Par conséquent, il est recommandé d’évaluer la fonction rénale chez tous les patients avant l’initiation de la Ribavirine. Les patients présentant une clairance de la créatinine < 50 ml/min ne doivent pas être traités par Ribavirine (cf Contre-indications). Chez les patients ayant une altération de la fonction rénale, la survenue d’une anémie doit être plus attentivement surveillée. Si la créatinine sérique devient > 2 mg/dl, Ribavirine et peginterféron alfa-2b/interféron alfa-2b doivent être interrompus. - Surveillance de l’uricémie avant la mise en route du traitement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance de l’uricémie toutes les 2 semaines pendant le premier mois du traitement puis périodiquement
Les tests hématologiques et de biochimie sanguine classiques (numération formule sanguine [NFS], plaquettes, électrolytes, créatinine sérique, enzymes hépatiques, acide urique) doivent être réalisés chez tous les patients avant l’initiation du traitement. Les valeurs de base acceptables pour ces analyses avant l’initiation du traitement avec la Ribavirine sont :
– hémoglobine : Adultes : > ou = à 12 g/dl (femmes) ; > ou = à 13 g/dl (hommes). Enfants et adolescents : > ou = 11 g/dl (filles) ; 12 g/dl (garçons). - – plaquettes : > ou = à 100 000/mm3 ;
– neutrophiles : > ou = à 1 500/mm3 ;
Les analyses de laboratoire doivent être effectuées aux semaines de traitement 2 et 4, puis périodiquement en fonction de l’état clinique. - Surveillance par un test de grossesse pendant et après l’arrêt du traitement
Chez les patientes en âge de procréer : Les patientes doivent effectuer chaque mois un test de grossesse pendant le traitement et pendant les quatre mois qui suivent son arrêt. Les partenaires des patients traités doivent effectuer chaque mois un test de grossesse pendant la durée du traitement et pendant les sept mois qui suivent son arrêt. - Goutte, antécédent
L’acide urique peut augmenter avec la Ribavirine en raison de l’hémolyse ; par conséquent, l’apparition d’une crise de goutte doit être étroitement surveillée chez les patients prédisposés. - Surveillance par un médecin spécialisé pendant le traitement
Le traitement doit être initié, et suivi, par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l’hépatite C chronique. - Insuffisance rénale
Les paramètres pharmacocinétiques de la ribavirine sont altérés chez les patients ayant un dysfonctionnement rénal à cause d’une diminution de la clairance apparente (cf Pharmacocinétique). Par conséquent, il est recommandé d’évaluer la fonction rénale chez tous les patients avant l’initiation de la Ribavirine. Les patients présentant une clairance de la créatinine < 50 ml/min ne doivent pas être traités par Ribavirine (cf Contre-indications). Chez les patients ayant une altération de la fonction rénale, la survenue d’une anémie doit être plus attentivement surveillée. Si la créatinine sérique devient > 2 mg/dl, Ribavirine et peginterféron alfa-2b/interféron alfa-2b doivent être interrompus. - Sujet de moins de 18 ans
Patient de moins de 18 ans : la sécurité et l’efficacité de la Ribavirine avec l’interféron pégylé ou une forme d’interféron autre que l’interféron alfa-2b n’ont pas été évaluées chez ces patients. - Sujet âgé
Personne âgée (> ou = 65 ans) : l’âge ne semble pas exercer un effet significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de la ribavirine. Cependant, de même que chez les patients plus jeunes, la fonction rénale doit être évaluée avant l’administration de Ribavirine (cf Pharmacocinétique). - Administrer pendant le repas
– Les gélules de Ribavirine sont administrées quotidiennement par voie orale en deux prises (matin et soir) au moment des repas. - – Lors de l’étude clinique pivot d’efficacité, les patients avaient reçu des instructions pour prendre la ribavirine au moment des repas afin d’atteindre les concentrations plasmatiques maximales de la ribavirine.
- Surveillance par un test de grossesse avant la mise en route du traitement
La Ribavirine ne sera initié que si le résultat du test de grossesse, effectué juste avant le début du traitement, est négatif. - Utiliser une contraception efficace pdt le trt puis après l’arrêt du trt
Patientes : la Ribavirine est contre-indiqué chez les patientes enceintes (voir Contre-indications, Mises en garde et précautions d’emploi et Données de sécurité pré-cliniques). Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les patientes. Le traitement par Ribavirine ne doit être débuté qu’après obtention d’un résultat négatif à un test de grossesse effectué juste avant l’initiation du traitement. Les patientes en âge de procréer et leurs partenaires doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et pendant quatre mois après son arrêt; un test de grossesse doit être réalisé tous les mois pendant cette période. Si une grossesse survient au cours du traitement ou dans les quatre mois qui suivent son arrêt, la patiente doit être avertie qu’il existe un risque tératogène significatif. - Patients de sexe masculin et leurs partenaires féminines : Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les partenaires des patients traités par Ribavirine (voir Contre-indications, Mises en garde et précautions d’emploi et Données de sécurité pré-cliniques). La ribavirine s’accumule dans l’espace intracellulaire et est éliminée très lentement de l’organisme. On ne sait pas si la ribavirine présente dans le sperme peut provoquer des effets tératogènes ou génotoxiques chez l’embryon/foetus humain. Bien que le suivi prospectif d’environ 300 grossesses, issues de père traité, n’aient pas mis en évidence de risque plus élevé de malformation comparé à la population générale, ni de profil malformatif particulier, les hommes et leurs partenaires féminines en âge de procréer doivent être informés de l’obligation d’utiliser chacun une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu’à sept mois après son arrêt. Les hommes dont les partenaires sont enceintes doivent être informés de l’obligation d’utiliser un préservatif afin de réduire au cours des rapports sexuels l’exposition à la ribavirine de leur partenaire.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- La Ribavirine est contre-indiqué pendant la grossesse.
- Données précliniques :
– Fertilité : Chez l’animal, la ribavirine a des effets réversibles sur la spermatogenèse (voir rubrique Données de sécurité pré-cliniques).- – Effet tératogène : Un effet tératogène et/ou embryotoxique marqué de la ribavirine a été mis en évidence dans toutes les espèces animales étudiées, et ce à des doses aussi faibles que le vingtième de la dose recommandée chez l’homme (voir rubrique Données de sécurité pré-cliniques).
- – Effet génotoxique : La ribavirine est génotoxique (voir rubrique Données de sécurité pré-cliniques).
- Patientes : la Ribavirine est contre-indiqué chez les patientes enceintes (voir rubriques Contre-indications et Données de sécurité pré-cliniques). Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les patientes. Le traitement par Ribavirine ne doit être débuté qu’après obtention d’un résultat négatif à un test de grossesse effectué juste avant l’initiation du traitement. Les patientes en âge de procréer et leurs partenaires doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et pendant quatre mois après son arrêt ; un test de grossesse doit être réalisé tous les mois pendant cette période (voir rubrique Mises en garde et Précautions d’emploi). Si une grossesse survient au cours du traitement ou dans les quatre mois qui suivent son arrêt, la patiente doit être avertie qu’il existe un risque tératogène significatif.
- Patients de sexe masculin et leurs partenaires féminines : Toutes les précautions doivent être prises afin d’éviter la survenue d’une grossesse chez les partenaires des patients traités par Ribavirine (voir rubriques Contre-indications et Données de sécurité pré-cliniques). La ribavirine s’accumule dans l’espace intracellulaire et est éliminée très lentement de l’organisme. On ne sait pas si la ribavirine présente dans le sperme peut provoquer des effets tératogènes ou génotoxiques chez l’embryon/foetus humain. Bien que le suivi prospectif d’environ 300 grossesses, issues de père traité, n’aient pas mis en évidence de risque plus élevé de malformation comparé à la population générale, ni de profil malformatif particulier, les hommes et leurs partenaires féminines en âge de procréer doivent être informés de l’obligation d’utiliser chacun une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu’à sept mois après son arrêt.
- Les hommes dont les partenaires sont enceintes doivent être informés de l’obligation d’utiliser un préservatif afin de réduire au cours des rapports sexuels l’exposition à la ribavirine de leur partenaire.
- Données précliniques :
Allaitement :
- L’excrétion dans le lait maternel de la ribavirine n’est pas connue. En raison du risque d’effets indésirables chez le nourrisson allaité, l’allaitement doit être interrompu avant le début du traitement.
- La Ribavirine n’a aucun effet ou qu’un effet négligeable sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines ; cependant, peginterféron alfa-2b ou interféron alfa-2b utilisé en association peut avoir un effet. Ainsi, les patients qui présentent fatigue, somnolence ou confusion pendant le traitement doivent être avertis de ne pas conduire de véhicules ou utiliser des machines.
- Effets secondaires généraux
- Infection virale (Très fréquent)
- Pharyngite (Très fréquent)
- Infection bactérienne (Fréquent)
- Mycose (Fréquent)
- Grippe (Fréquent)
- Pneumopathie (Rare)
- Bronchite (Fréquent)
- Infection à herpès-virus (Fréquent)
- Sinusite (Fréquent)
- Otite (Fréquent)
- Abcès dentaire (Fréquent)
- Rhinite (Fréquent)
- Infection urinaire (Fréquent)
- Vaginite (Fréquent)
- Gastroentérite (Fréquent)
- Réaction au point d’injection (Très fréquent)
- Tumeur (Fréquent)
- Anémie (Très fréquent)
- Neutropénie (Très fréquent)
- Anémie hémolytique (Fréquent)
- Leucopénie
- Thrombopénie (Fréquent)
- Lymphadénopathie (Fréquent)
- Lymphopénie (Fréquent)
- Anémie aplastique (Très rare)
- Erythroblastopénie
- Purpura thrombopénique
- Microangiopathie thrombotique
- Hypersensibilité (Peu fréquent)
- Sarcoïdose (Rare)
- Polyarthrite rhumatoïde (Rare)
- Syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada
- Lupus érythémateux aigu disséminé
- Vascularite (Rare)
- Urticaire
- Oedème de Quincke
- Bronchoconstriction
- Réaction anaphylactique
- Hypothyroïdie
- Hyperthyroïdie (Fréquent)
- Anorexie (Très fréquent)
- Hyperglycémie (Fréquent)
- Hyperuricémie (Fréquent)
- Hypocalcémie (Fréquent)
- Déshydratation (Fréquent)
- Appétit (augmentation)
- Diabète (Peu fréquent)
- Hypertriglycéridémie (Peu fréquent)
- Dépression
- Anxiété (Fréquent)
- Trouble émotif (Très fréquent)
- Insomnie (Très fréquent)
- Idée suicidaire (Fréquent)
- Psychose (Fréquent)
- Agressivité (Fréquent)
- Confusion mentale (Fréquent)
- Agitation (Fréquent)
- Nervosité (Fréquent)
- Trouble du sommeil (Fréquent)
- Somnambulisme (Fréquent)
- Trouble de l’humeur (Fréquent)
- Trouble onirique (Fréquent)
- Indifférence (Fréquent)
- Libido (diminution) (Fréquent)
- Hallucination (Peu fréquent)
- Attaque de panique (Peu fréquent)
- Trouble cognitif
- Trouble bipolaire (Rare)
- Idéation d’homicide
- Accès maniaque
- Céphalée (Très fréquent)
- Sensation de vertige (Très fréquent)
- Hyposialie (Très fréquent)
- Concentration (diminution) (Très fréquent)
- Amnésie (Fréquent)
- Altération de la conscience (Fréquent)
- Syncope (Fréquent)
- Migraine (Fréquent)
- Ataxie (Fréquent)
- Paresthésie (Fréquent)
- Dysphonie (Fréquent)
- Agueusie (Fréquent)
- Hypoesthésie (Fréquent)
- Hyperesthésie (Fréquent)
- Hypertonie musculaire (Fréquent)
- Somnolence (Fréquent)
- Trouble de l’attention (Fréquent)
- Tremblement (Fréquent)
- Dysgueusie (Fréquent)
- Neuropathie périphérique (Rare)
- Epilepsie (crise) (Rare)
- Convulsions (Rare)
- Hémorragie cérébrale (Très rare)
- Insuffisance circulatoire cérébrale (Très rare)
- Encéphalopathie
- Paralysie faciale
- Vision floue (Fréquent)
- Conjonctivite (Fréquent)
- Douleur oculaire (Fréquent)
- Vision (modification) (Fréquent)
- Trouble lacrymal (Fréquent)
- Hyposécrétion lacrymale (Fréquent)
- Hémorragie rétinienne (Rare)
- Rétinopathie (Rare)
- Thrombose vasculaire rétinienne (Rare)
- Névrite optique (Rare)
- Oedème papillaire (Rare)
- Acuité visuelle (diminution) (Rare)
- Exsudat rétinien (Rare)
- Vertige (Fréquent)
- Acuité auditive (modification) (Fréquent)
- Surdité (Fréquent)
- Acouphène (Fréquent)
- Otalgie (Fréquent)
- Palpitation (Fréquent)
- Tachycardie (Fréquent)
- Infarctus du myocarde (Peu fréquent)
- Cardiomyopathie (Rare)
- Arythmie (Rare)
- Ischémie myocardique (Très rare)
- Epanchement péricardique
- Péricardite
- Hypotension artérielle (Fréquent)
- Hypertension artérielle (Fréquent)
- Bouffée vasomotrice (Fréquent)
- Ischémie des extrémités (Très rare)
- Dyspnée
- Toux
- Epistaxis (Fréquent)
- Trouble respiratoire (Fréquent)
- Congestion nasale (Fréquent)
- Rhinorrhée (Fréquent)
- Douleur pharyngo-laryngée (Fréquent)
- Toux sèche (Fréquent)
- Infiltrat pulmonaire (Très rare)
- Pneumopathie interstitielle (Très rare)
- Diarrhée (Très fréquent)
- Vomissement (Très fréquent)
- Nausée (Très fréquent)
- Douleur abdominale (Très fréquent)
- Stomatite (Fréquent)
- Colite (Fréquent)
- Douleur (Fréquent)
- Dyspepsie (Fréquent)
- Reflux gastro-oesophagien (Fréquent)
- Glossite (Fréquent)
- Gingivorragie (Fréquent)
- Gingivite
- Selle molle (Fréquent)
- Douleur dentaire (Fréquent)
- Constipation (Fréquent)
- Flatulence (Fréquent)
- Pancréatite (Peu fréquent)
- Rectocolite hémorragique (Très rare)
- Parodontite
- Hépatomégalie (Fréquent)
- Ictère (Fréquent)
- Hyperbilirubinémie (Fréquent)
- Hépatopathie (Très rare)
- Alopécie (Très fréquent)
- Prurit (Très fréquent)
- Sécheresse cutanée (Très fréquent)
- Eruption cutanée (Très fréquent)
- Psoriasis (Fréquent)
- Psoriasis (aggravation) (Fréquent)
- Eczéma (Fréquent)
- Photosensibilisation (Fréquent)
- Eruption maculopapuleuse (Fréquent)
- Erythème cutané (Fréquent)
- Hypersudation (Fréquent)
- Hypersudation nocturne (Fréquent)
- Dermatite (Fréquent)
- Acné (Fréquent)
- Furonculose (Fréquent)
- Contusion (Fréquent)
- Altération des cheveux (Fréquent)
- Onychopathie (Fréquent)
- Coloration de la peau (Fréquent)
- Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
- Syndrome de Lyell (Très rare)
- Erythème polymorphe (Très rare)
- Douleur articulaire (Très fréquent)
- Douleur musculaire (Très fréquent)
- Trouble musculo-squelettique (Très fréquent)
- Arthrite (Fréquent)
- Dorsalgie (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Spasme musculaire (Fréquent)
- Douleur osseuse (Peu fréquent)
- Faiblesse musculaire (Peu fréquent)
- Rhabdomyolyse (Rare)
- Myosite (Rare)
- Miction fréquente (Fréquent)
- Polyurie (Fréquent)
- Insuffisance rénale (Rare)
- Syndrome néphrotique (Très rare)
- Aménorrhée (Fréquent)
- Ménorragie (Fréquent)
- Trouble menstruel (Fréquent)
- Dysménorrhée (Fréquent)
- Mastodynie (Fréquent)
- Trouble ovarien (Fréquent)
- Impuissance (Fréquent)
- Prostatite (Fréquent)
- Trouble de l’érection (Fréquent)
- Trouble sexuel (Fréquent)
- Inflammation au site d’injection (Très fréquent)
- Fatigue (Très fréquent)
- Fièvre (Très fréquent)
- Frisson (Très fréquent)
- Syndrome pseudogrippal (Très fréquent)
- Asthénie (Très fréquent)
- Douleur thoracique (Fréquent)
- Oedème périphérique (Fréquent)
- Malaise (Fréquent)
- Douleur au point d’injection (Fréquent)
- Polydypsie (Fréquent)
- Oedème de la face (Fréquent)
- Nécrose au point d’injection (Rare)
- Poids (diminution) (Très fréquent)
- Souffle cardiaque (Fréquent)
- Hémoglobinémie (diminution)
- Hémolyse
- Acidose lactique (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Candidose buccale (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Lipodystrophie (Très fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Taux de lymphocytes CD4 (diminution)
- Gamma GT (augmentation) (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Amylasémie (augmentation) (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Hépatite cytolytique (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Lipase sérique (augmentation) (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Douleur des membres (Fréquent)
- Infection par le vih.
- Infection par le vih.
- Irritabilité (Très fréquent)
- Retard de croissance (Très fréquent)
- Rhinopharyngite (Fréquent)
- Herpès labial (Fréquent)
- Ascaridiose (Peu fréquent)
- Oxyurose (Peu fréquent)
- Zona (Peu fréquent)
- Cellulite (Peu fréquent)
- Hyperandrogénie (Fréquent)
- Trouble du comportement (Peu fréquent)
- Cauchemar (Peu fréquent)
- Hyperkinésie (Fréquent)
- Névralgie (Peu fréquent)
- Léthargie (Peu fréquent)
- Hyperactivité (Peu fréquent)
- Hémorragie conjonctivale (Peu fréquent)
- Prurit oculaire (Peu fréquent)
- Kératite (Peu fréquent)
- Photophobie (Peu fréquent)
- Pâleur (Fréquent)
- Tachypnée (Fréquent)
- Irritation nasale (Fréquent)
- Râle bronchique sibilant (Peu fréquent)
- Eternuement (Fréquent)
- Trouble rectal (Fréquent)
- Trouble digestif (Fréquent)
- Couleur de la peau (modification) (Peu fréquent)
- Dermatite atopique (Peu fréquent)
- Dermatite exfoliative (Peu fréquent)
- Enurésie (Fréquent)
- Dysurie (Fréquent)
- Incontinence urinaire (Fréquent)
- Douleur testiculaire (Fréquent)
- Ulcération buccale (Fréquent)
- Atteinte gingivo-dentaire (Fréquent)
- Insuffisance hépatique (Fréquent)
- TSH (augmentation) (Fréquent)
- Thyroglobuline (augmentation) (Fréquent)
- Anticorps antithyroïdien (Peu fréquent)
- Ecchymose (Fréquent)
- Oedème (Fréquent)
- Lésion cutanée (Fréquent)
-
Classement ATC :
J05AB04 / RIBAVIRINE
-
Classement Vidal :
Antiviral (ribavirine) : hépatites virales chroniques
Hépatite virale chronique : ribavirine
Liste I
-
CIP : 4158815 (RIBAVIRINE MYLAN 200 mg gél : Fl/84).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
-
CIP : 4158821 (RIBAVIRINE MYLAN 200 mg gél : Fl/112).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
-
CIP : 4158838 (RIBAVIRINE MYLAN 200 mg gél : Fl/140).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
-
CIP : 4158844 (RIBAVIRINE MYLAN 200 mg gél : Fl/168).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Mylan
Liste Des Sections Les Plus Importantes :
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