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SPIRONOLACTONE ALTIZIDE WINTHROP 25 mg/15 mg cp enr séc







comprimé enrobé sécable
par 1 comprimé
altizide15 mg
spironolactone micronisée25 mg
Excipients : amidon de riz, lactose, magnésium stéarate, potassium polyméthylacrylate, potassium, sodium laurylsulfate, polyméthacrylate de butyle et de diméthyl-aminoéthyle, talc.

– Hypertension artérielle.

  • – Oedèmes d’origine rénale, cardiaque et hépatique.

  • – Hypertension artérielle :
    1/2 à 1 comprimé par jour. Le traitement est initié à la dose d’1/2 comprimé par jour ; en cas d’inefficacité, après 6 à 8 semaines de traitement, la posologie est augmentée à 1 comprimé/jour.
  • – Oedèmes d’origine cardiaque et rénale :
    . Traitement d’attaque : 3 à 4 comprimés par jour. Ces doses seront ensuite abaissées en fonction de la réponse du malade.
  • . Traitement d’entretien : 1 à 2 comprimés par jour.
  • – Oedèmes d’origine hépatique :
    . Traitement d’attaque : 4 à 6 comprimés par jour.
  • . Traitement d’entretien : 1 à 2 comprimés par jour.
  • Dans le cas des oedèmes, ces doses seront adaptées à la réponse obtenue (diurèse, poids) et au bilan électrolytique du malade.

  • Absolue(s) :
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance rénale aiguë
    • Hyperkaliémie
    • Insuffisance hépatique au stade terminal
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Hypersensibilité aux dérivés thiazidiques
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Cirrhotique dont la natrémie est inférieure à 125 mmol/l
    • Acidose, risque (d’)

    • Risque d’hypokaliémie
      L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie (de même que la bradycardie) agit alors comme facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères (en particulier des torsades de pointes potentiellement létales).
    • Risque d’hyperkaliémie
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents (cf Interactions médicamenteuses).
    • Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensinealdostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
    • Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
      • diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
      • association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensinealdostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime.
    • • événements intercurrents, en particulier: déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Sujet âgé
      – L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • – Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés.
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • – La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite, plus particulièrement chez les sujets âgés et les cirrhotiques chez lesquels l’administration est déconseillée lorsque la natrémie est inférieure à 125 mmol/l.
    • – La spironolactone et l’altizide ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte).
    • La valeur de la créatininémie peut être faussement rassurante quant à la fonction rénale ; celle-ci peut être mieux évaluée par un ionogramme ou une formule comme celle de Cockcroft qui tient compte de l’âge, du poids et du sexe :
      Clcr = (140 – âge) × poids/0,814 x créatininémie
      (avec l’âge exprimé en années, le poids en kg, la créatininémie en µmol/l).
    • Cette formule est valable pour les sujets de sexe masculin et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Sujet dénutri
      L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • Patient polymédiqué
      L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • Cirrhose
      – L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • – La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite, plus particulièrement chez les sujets âgés et les cirrhotiques chez lesquels l’administration est déconseillée lorsque la natrémie est inférieure à 125 mmol/l.
    • Insuffisance coronarienne
      L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • Insuffisance cardiaque
      – L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • – Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Allongement de l’espace QT
      L’association d’un diurétique épargneur de potassium et d’un natriurétique n’exclut pas la survenue d’une hyperkaliémie ou d’une hypokaliémie.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque comme les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ces cas l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme.
    • Insuffisance rénale
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents (cf Interactions médicamenteuses).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Diabète
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents.
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Déshydratation
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Altération de l’état général
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Pathologie provoquant une lyse cellulaire
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Ischémie aiguë d’un membre
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Rhabdomyolyse
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Traumatisme sévère
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Acidose métabolique
      Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
    • Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Surveillance de l’ionogramme plasmatique avant et pendant le traitement
      Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Surveillance de la fonction rénale avant et pendant le traitement
      Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
      • avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
      • de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
      Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement OU lors de la survenue d’un événement intercurrent.
    • Sujet sous régime hypoglucidique
      Ce médicament contient 0,85 g de lactose par comprimé, en tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète.
    • Hépatopathie
      Risque d’encéphalopathie hépatique en cas d’atteinte hépatique, surtout quand la natrémie est inférieure à 125 mmol/l et chez les sujets susceptibles de présenter une acidose. Dans ce cas, l’administration de cette association diurétique doit être immédiatement interrompue.
    • Photosensibilisation
      Des cas de réaction de photosensibilité ont été rapportés lors de l’utilisation des diurétiques thiazidiques. (cf Effets indésirables)
      En cas de survenue de réaction de photosensibilité sous traitement, il est recommandé d’interrompre le traitement. Si une réadministration du traitement est indispensable il est recommandé de protéger les zones exposées au soleil ou aux UVA artificiels.
    • Sportif
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Risque d’hypercalcémie
      Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer l’excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue (interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne).
    • Hyperuricémie
      Chez les patients hyperuricémiques avec ou sans crise de goutte, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée.
    • Goutte
      Chez les patients goutteux ou hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée.
    • Anesthésie
      Prudence au cours de l’anesthésie : la sensibilité à la noréphédrine peut être diminuée, celle à la tubocurarine peut être augmentée.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’administration de ce produit est déconseillée pendant la grossesse.
  • Les diurétiques peuvent entraîner une ischémie foetoplacentaire avec un risque d’hypotrophie foetale.- Liée à la spironolactone :
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène ; toutefois, à fortes doses, une féminisation des foetus mâles a été décrite lors de l’administration de spironolactone pendant toute la vie foetale, c’est-à-dire après l’organogenèse.
  • En clinique, le risque n’est pas connu ; cependant, à ce jour, aucun cas de féminisation des foetus mâles n’a été rapporté.
  • En l’absence de données cliniques, la spironolactone est déconseillée pendant toute la grossesse et ne doit être réservée qu’aux indications où il n’existe aucune alternative thérapeutique. En particulier, le traitement des oedèmes, de la rétention hydrosodée ou de l’HTA gravidiques ne constituent pas une indication au traitement par diurétiques au cours de la grossesse car ceux-ci peuvent entraîner une ischémie foetoplacentaire avec un risque d’hypotrophie foetale.- Lié à l’altizide :
    En règle générale, l’administration de diurétiques thiazidiques et apparentés doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais être prescrite au cours des oedèmes physiologiques (et ne nécessitant donc pas de traitement) de la grossesse. Les diurétiques peuvent, en effet, entraîner une ischémie foetoplacentaire, avec un risque d’hypotrophie foetale.
  • Par ailleurs, dans de rares cas, des thrombocytopénies néonatales sévères ont été rapportées.
  • Les diurétiques restent néanmoins un élément essentiel du traitement des oedèmes d’origine cardiaque, hépatique et rénale survenant chez la femme enceinte.
  •  Allaitement :

    – Lié à la spironolactone :
    La spironolactone est excrétée en faible quantité dans le lait maternel. Néanmoins, elle ne doit pas être utilisée en période d’allaitement en raison d’une diminution, voire d’une suppression de la sécrétion lactée et de ses effets indésirables, notamment biologiques (kaliémie).- Lié à l’altizide :
    Les thiazidiques sont excrétés en faible quantité dans le lait maternel. Néanmoins, ils ne doivent pas être utilisés en période d’allaitement en raison d’une diminution, voire d’une suppression de la sécrétion lactée, de leurs effets indésirables, notamment biologiques (kaliémie), et de leur appartenance aux sulfamides avec risques d’allergie et d’ictère nucléaire.

    • Gynécomastie
    • Impuissance (Rare)
    • Trouble menstruel (Rare)
    • Intolérance digestive (Rare)
    • Eruption cutanée (Rare)
    • Somnolence (Rare)
    • Crampe (Rare)
    • Hyperkaliémie
    • Déplétion potassique
      Dose-dependante.
    • Hypokaliémie
    • Hyponatrémie
      Dose-dependante.
    • Hypovolémie
    • Déshydratation
    • Hypotension orthostatique
    • Alcalose hypochlorémique
    • Hyperuricémie
      Dose-dependante, Goutte.
    • Hyperglycémie
      Diabete, Dose-dependante.
    • Thrombopénie (Très rare)
      Dose-dependante.
    • Leucopénie (Très rare)
      Dose-dependante.
    • Agranulocytose (Très rare)
      Dose-dependante.
    • Aplasie médullaire (Très rare)
      Dose-dependante.
    • Anémie hémolytique (Très rare)
      Dose-dependante.
    • Hypercalcémie (Exceptionnel)
      Dose-dependante.
    • Encéphalopathie hépatique
      Dose-dependante, Insuffisance hepatique.
    • Dermatose allergique
      Asthmatique, Dose-dependante, Terrain allergique.
    • Hypersensibilité
    • Photosensibilisation
    • Eruption maculopapuleuse
      Dose-dependante.
    • Purpura
      Dose-dependante.
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation)
      Dose-dependante.
    • Nausée (Rare)
      Dose-dependante.
    • Constipation (Rare)
      Dose-dependante.
    • Vertige (Rare)
      Dose-dependante.
    • Asthénie (Rare)
      Dose-dependante.
    • Paresthésie (Rare)
      Dose-dependante.
    • Céphalée (Rare)
      Dose-dependante.
    • Pancréatite (Exceptionnel)
      Dose-dependante.

    • Classement ATC : 
          C03EA04 / ALTIZIDE ET EPARGNEURS POTASSIQUES
    • Classement Vidal : 
          Antihypertenseur : diurétique thiazidique associé
          Diurétique en association : altizide + spironolactone
          Insuffisance cardiaque : diurétique thiazidique associé

    Liste II
    • CIP : 3673780 (SPIRONOLACTONE ALTIZIDE WINTHROP 25 mg/15 mg cp enr séc : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Sanofi-Aventis France


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