comprimé gastrorésistant
par 1 comprimé
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acide valproïque sel de Na | 500 mg |
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– Adulte et enfant :
En monothérapie ou en association à un autre traitement antiépileptique :
. Traitement des épilepsies généralisées : crises cloniques, toniques, tonicocloniques, absences, crises myocloniques, atoniques ; syndrome de Lennox-Gastaut.- . Traitement des épilepsies partielles : crises partielles, avec ou sans généralisation secondaire.
- – Enfant :
. Prévention des convulsions fébriles à l’occasion d’une fièvre lorsque la prévention est jugée nécessaire ou en présence de facteurs de risque de récidive. - . Traitement des épilepsies partielles : crises partielles, avec ou sans généralisation secondaire.
- Cette forme n’est pas adaptée à l’enfant de moins de 6 ans (risque de fausse-route).
- Posologie moyenne par 24 heures :
– nourrisson et enfant : 30 mg par kg (la forme sirop ou la forme solution buvable sera de préférence utilisée).- – adolescents et adultes : 20 à 30 mg par kg (le comprimé gastrorésistant sera de préférence utilisé).Mode d’administration :
La dose quotidienne est à administrer en 2 ou 3 prises, de préférence au cours des repas.Mise en route du traitement :
– s’il s’agit d’un malade déjà en traitement et recevant d’autres antiépileptiques,
introduire progressivement le valproate de sodium pour atteindre la dose optimum en deux semaines environ, puis réduire éventuellement les thérapeutiques associées en fonction du contrôle obtenu ;
– s’il s’agit d’un malade ne recevant pas d’autres antiépileptiques, l’ascension de la posologie s’effectue de préférence par paliers successifs tous les 2 ou 3 jours de façon à atteindre la posologie optimum en une semaine environ. - Posologie moyenne par 24 heures :
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Hépatite aiguë
- Hépatite chronique
- Hépatite sévère, antécédent (d’)
- Hépatite sévère, antécédent familial (d’)
- Porphyrie hépatique
- Ne pas associer à un traitement contenant la même substance
Ce médicament se transformant dans l’organisme en acide valproïque, il convient de ne pas l’associer à d’autres médicaments subissant cette même transformation afin d’éviter un surdosage en acide valproïque (par exemple : divalproate, valpromide). - Risque de prise de poids
A l’instauration du traitement, les patients doivent être informés du risque de prise de poids et des mesures appropriées, essentiellement diététiques, qui doivent être adoptées pour minimiser celle-ci. - Risque d’aggravation de l’épilepsie
L’introduction d’un médicament antiépileptique peut, rarement, être suivie d’une recrudescence des crises ou l’apparition d’un nouveau type de crise chez le patient, et ce indépendamment des fluctuations spontanées observées dans certaines maladies épileptiques. En ce qui concerne le valproate, il s’agit essentiellement d’une modification du traitement antiépileptique concomitant ou d’une interaction pharmacocinétique, d’une toxicité (hépatopathie ou encéphalopathie) ou d’un surdosage. - Risque d’hépatopathie
– Conditions de survenue :
Des atteintes hépatiques d’évolution sévère parfois mortelle ont été rapportées exceptionnellement : les nourrissons et les jeunes enfants de moins de 3 ans présentant une épilepsie sévère et notamment une épilepsie associée à des lésions cérébrales, un retard psychique et/ou une maladie métabolique ou dégénérative d’origine génétique, sont les plus exposés à ce risque. Au-delà de l’âge de 3 ans, l’incidence de survenue diminue de façon significative et décroît progressivement avec l’âge. - Dans la grande majorité des cas, ces atteintes hépatiques ont été observées pendant les 6 premiers mois de traitement, le plus souvent entre la 2e et la 12e semaine et, généralement au cours de polythérapie antiépileptique.
- – Signes évocateurs :
Le diagnostic précoce reste avant tout basé sur la clinique. En particulier, il convient de prendre en considération notamment chez les patients à risque, 2 types de manifestations qui peuvent précéder l’ictère :
. d’une part des signes généraux non spécifiques, généralement d’apparition soudaine tels que asthénie, anorexie, abattement, somnolence, accompagnés parfois de vomissements répétés et de douleurs abdominales,
. d’autre part, une réapparition des crises épileptiques alors que le traitement est correctement suivi. - Il est recommandé d’informer le patient ou sa famille, s’il s’agit d’un enfant, que l’apparition d’un tel tableau doit motiver aussitôt une consultation. Celle-ci comportera, outre l’examen clinique, la pratique immédiate d’un contrôle biologique des fonctions hépatiques.
- – Détection :
Pendant les six premiers mois de traitement, une surveillance des fonctions hépatiques doit être périodiquement pratiquée. - Parmi les examens classiques, les tests reflétant la synthèse protéique et notamment le TP (taux de prothrombine) sont les plus pertinents. La confirmation d’un taux de prothrombine anormalement bas, surtout s’il s’accompagne d’autres anomalies biologiques (diminution significative du fibrinogène et des facteurs de coagulation, augmentation de la bilirubine, élévation des transaminases) doit conduire à arrêter le traitement par le valproate de sodium (ainsi que par prudence et s’ils sont co-prescrits, les dérivés salicylés, puisqu’ils utilisent la même voie métabolique).
- Risque de pancréatite
Des cas de pancréatites dont l’évolution est parfois mortelle ont été exceptionnellement rapportés. Ils peuvent s’observer quel que soit l’âge et quelle que soit l’ancienneté du traitement, les jeunes enfants paraissant particulièrement exposés à ce risque. - Les pancréatites d’évolution défavorable sont généralement observées chez le jeune enfant ou chez les patients présentant une épilepsie sévère, des lésions cérébrales ou une polythérapie antiépileptique.
- Une insuffisance hépatique associée à la pancréatite augmente le risque d’évolution mortelle.
- – En cas de syndrome douloureux abdominal aigu, comme en cas de manifestations digestives à type de nausées, vomissements et/ou anorexie, il faut savoir évoquer le diagnostic de pancréatite et, en cas d’élévations des enzymes pancréatiques, interrompre le traitement en mettant en place les mesures thérapeutiques alternatives qui s’imposent.
- Surveillance de la fonction hépatique avant la mise en route du traitement
Pratiquer un contrôle biologique des fonctions hépatiques avant le début du traitement et une surveillance périodique pendant les six premiers mois, tout spécialement chez les patients à risque. - Il est à souligner que, comme la plupart des antiépileptiques, on peut observer, notamment en début de traitement, une augmentation modérée, isolée et transitoire des transaminases, en l’absence de tout signe clinique.
- Dans ce cas, il est conseillé de pratiquer un bilan biologique plus complet (en particulier taux de prothrombine), de reconsidérer éventuellement la posologie et de réitérer les contrôles en fonction de l’évolution des paramètres.
- Surveillance de la fonction hépatique pendant les 6 premiers mois du traitement
Pratiquer un contrôle biologique des fonctions hépatiques avant le début du traitement et une surveillance périodique pendant les six premiers mois, tout spécialement chez les patients à risque. - Il est à souligner que, comme la plupart des antiépileptiques, on peut observer, notamment en début de traitement, une augmentation modérée, isolée et transitoire des transaminases, en l’absence de tout signe clinique.
- Dans ce cas, il est conseillé de pratiquer un bilan biologique plus complet (en particulier taux de prothrombine), de reconsidérer éventuellement la posologie et de réitérer les contrôles en fonction de l’évolution des paramètres.
- Surveillance de la formule sanguine avant la mise en route du traitement
Il est à souligner que, comme la plupart des antiépileptiques, on peut observer, notamment en début de traitement, une augmentation modérée, isolée et transitoire des transaminases, en l’absence de tout signe clinique. - Dans ce cas, il est conseillé de pratiquer un bilan biologique plus complet (en particulier taux de prothrombine), de reconsidérer éventuellement la posologie et de réitérer les contrôles en fonction de l’évolution des paramètres.
- Un examen hématologique (NFS incluant les plaquettes, temps de saignement et bilan de coagulation) est recommandé préalablement au traitement, ainsi qu’avant une intervention chirurgicale et en cas d’hématomes ou de saignements spontanés.
- Surveillance de l’hémostase avant la mise en route du traitement
Il est à souligner que, comme la plupart des antiépileptiques, on peut observer, notamment en début de traitement, une augmentation modérée, isolée et transitoire des transaminases, en l’absence de tout signe clinique. - Dans ce cas, il est conseillé de pratiquer un bilan biologique plus complet (en particulier taux de prothrombine), de reconsidérer éventuellement la posologie et de réitérer les contrôles en fonction de l’évolution des paramètres.
- Un examen hématologique (NFS incluant les plaquettes, temps de saignement et bilan de coagulation) est recommandé préalablement au traitement, ainsi qu’avant une intervention chirurgicale et en cas d’hématomes ou de saignements spontanés.
- Enfant de moins de 3 ans
Chez l’enfant de moins de 3 ans, il est conseillé de n’utiliser le valproate de sodium qu’en monothérapie, après avoir évalué l’intérêt thérapeutique par rapport au risque d’hépatopathie et de pancréatite chez les patients de cette classe d’âge. - Chez l’enfant, éviter la prescription simultanée de dérivés salicylés, compte tenu du risque d’hépatotoxicité et du risque hémorragique.
- Enfant de moins de 15 ans
Chez l’enfant, éviter la prescription simultanée de dérivés salicylés, compte tenu du risque d’hépatotoxicité et du risque hémorragique. - Insuffisance rénale
Il convient de tenir compte de l’augmentation des concentrations sériques de la forme libre d’acide valproique et de diminuer la posologie en conséquence. - Déficit enzymatique
Le valproate de sodium est déconseillé chez les patients porteurs d’un déficit enzymatique du cycle de l’urée. Quelques cas d’hyperammoniémie associés à un état stuporeux ou à un coma ont été décrits chez ces patients.Chez les enfants présentant des antécédents hépatodigestifs inexpliqués (anorexie, vomissements, accès de cytolyse), accès de léthargie ou coma, retard mental ou en cas d’antécédents familiaux de décès néonatals ou dans l’enfance, des explorations métaboliques et notamment une ammoniémie à jeun et post-prandiale doivent être effectuées avant tout traitement par le valproate de sodium. - Lupus érythémateux aigu disséminé
Bien que le valproate de sodium soit reconnu comme n’entraînant qu’exceptionnellement des manifestations d’ordre immunologique, son utilisation chez un sujet présentant un lupus érythémateux disséminé devra être pesée en fonction du rapport bénéfice/risque. - Administrer pendant le repas
La dose quotidienne est à administrer en 2 ou 3 prises, de préférence au cours des repas. - Femme susceptible d’être enceinte
A l’instauration du traitement on s’assurera que la femme en âge de procréer n’est pas enceinte et on instaurera une méthode de contraception efficace avant la mise sous traitement (cf Grossesse/Allaitement). - Utiliser une contraception efficace avant la mise en route du traitement
A l’instauration du traitement, on s’assurera que la femme en âge de procréer n’est pas enceinte et on instaurera une méthode de contraception efficace avant la mise sous traitement (cf Grossesse/Allaitement). - Risque suicidaire
Des idées et comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des AEs dans plusieurs indications. Une méta-analyse d’essais randomisés, contrôlés versus placebo portant sur des AEs a également montré une légère augmentation du risque des idées et de comportements suicidaires. Les causes de ce risque ne sont pas connues et les données disponibles n’excluent pas la possibilité d’une augmentation de ce risque pour le valproate de sodium. - Par conséquent les patients doivent être étroitement surveillés pour tout signe d’idées et de comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il doit être recommandé aux patients (et leur personnel soignant) de demander un avis médical en cas de survenue de signes d’idées et de comportements suicidaires.
- Surveillance de l’état psychique pendant le traitement
Des idées et des comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des AEs dans plusieurs indications. Une méta-analyse d’essais randomisés, contrôlés versus placebo portant sur des AEs a également montré une légère augmentation du risque d’idées et de comportements suicidaires. les causes de ce risque ne sont pas connues et les données disponibles n’excluent pas la possibilité d’une augmentation de ce risque pour le valproate de sodium. - Par conséquent les patients doivent être étroitement surveillés pour tout signe d’idées et de comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il doit être recommandé aux patients ( et leur personnel soignant ) de demander un avis médical en cas de survenue de signes d’idées et e comportements suicidaires.
- Interaction phytothérapique : millepertuis
– Niveau de gravité :
Contre-indication
– Nature du risque :
Risque de diminution des concentrations plasmatiques et de l’efficacité de l’anticonvulsivant. - Enfant de moins de 6 ans
Cette forme n’est pas adaptée à l’enfant de moins de 6 ans (risque de fausse-route).
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- – Risque lié à l’épilepsie et aux antiépileptiques :
Tous antiépileptiques confondus, il a été montré que, dans la descendance des femmes épileptiques traitées, le taux global de malformations est de 2 à 3 fois supérieur à celui (3 % environ) de la population générale ; bien que l’on constate une augmentation du nombre d’enfants malformés avec la polythérapie, la part respective des traitements et de la maladie n’a pas été réellement établie.- Les malformations le plus souvent rencontrées sont des fentes labiales et des malformations cardiovasculaires.
- L’interruption brutale du traitement antiépileptique peut entraîner pour la mère une aggravation de la maladie préjudiciable au foetus.
- – Risque lié au valproate :
. Chez l’animal : l’expérimentation met en évidence un effet tératogène chez la souris, le rat, le lapin.- . Dans l’homme : Le risque global de malformation lors de l’administration au premier trimestre n’est pas supérieur à celui des autres antiépileptiques.
- Cependant, le valproate de sodium semble induire préférentiellement des anomalies de fermeture du tube neural : myéloméningocèle, spina bifida, etc., malformations dont le diagnostic anténatal est possible.
- La fréquence de cet effet est de l’ordre de 1 %.
- Quelques cas de dysmorphies faciales et d’anomalies des membres ont été rapportés.
- La fréquence de ces effets n’est pas clairement établie à l’heure actuelle.
- – Compte tenu de ces données :
Chez une femme épileptique traitée par le valproate de sodium, il ne semble pas légitime de déconseiller une conception ;
Si une grossesse est envisagée, c’est l’occasion de peser à nouveau l’indication du traitement antiépileptique ;
Pendant la grossesse, un traitement antiépileptique efficace par le valproate de sodium ne doit pas être interrompu ; la monothérapie est souhaitable ; il convient d’administrer la dose journalière minimale efficace et de la répartir en plusieurs prises.- Toutefois, une surveillance anténatale spécialisée doit être mise en route pour déceler l’éventuelle survenue d’une anomalie de fermeture du tube neural.
- – Chez le nouveau-né :
Les antiépileptiques ont pu provoquer un syndrome hémorragique chez le nouveau-né. Contrairement au phénobarbital et aux inducteurs enzymatiques, ce syndrome hémorragique, dans le cas du valproate de sodium, n’est probablement pas lié à un déficit en vitamine K.- Pratiquer une numération plaquettaire, un dosage du fibrinogène et un temps de coagulation (temps de céphaline activée : TCA) avant l’accouchement chez la mère. Des résultats normaux chez la mère ne permettent pas d’éliminer des anomalies de l’hémostase chez le nouveau-né.
- Un accouchement traumatique peut majorer le risque hémorragique.
- Pratiquer à la naissance un dosage du fibrinogène, un temps de coagulation (TCA), une numération plaquettaire chez le nouveau-né.
- Les malformations le plus souvent rencontrées sont des fentes labiales et des malformations cardiovasculaires.
Allaitement :
- Le passage du valproate de sodium dans le lait maternel est faible, avec une concentration de 1 à 10 % du niveau sérique et, jusqu’ici, les enfants allaités et suivis dans la période néonatale n’ont pas présenté d’effet cliniquement décelé.
- L’attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence, particulièrement en cas de polythérapie anticonvulsivante ou d’association à d’autres médicaments pouvant majorer la somnolence.
- Pancréatite (Exceptionnel)
- Hépatopathie
- Tératogénicité
- Syndrome parkinsonien (Rare)
- Trouble cognitif (Très rare)
- Confusion mentale
- Epilepsie (aggravation)
- Nausée
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Douleur épigastrique
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Hyperammoniémie
- Alopécie
- Tremblement
- Somnolence
- Thrombopénie
- Dose-dependante.
- Dose-dependante.
- Hypofibrinogénémie
- Doses elevees.
- Doses elevees.
- Allongement du temps de saignement
- Doses elevees.
- Doses elevees.
- Anémie (Rare)
- Macrocytose (Rare)
- Leucopénie (Rare)
- Pancytopénie (Exceptionnel)
- Eruption cutanée
- Syndrome de Lyell (Exceptionnel)
- Syndrome de Stevens-Johnson (Exceptionnel)
- Erythème polymorphe (Exceptionnel)
- Néphropathie (Exceptionnel)
- Poids (augmentation)
- Aménorrhée
- Irrégularité menstruelle
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Classement ATC :
N03AG01 / VALPROÏQUE ACIDE
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Classement Vidal :
Antiépileptique Neurologie (Acide valproïque : voie orale)
Liste II
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CIP : 3673863 (VALPROATE DE SODIUM WINTHROP 500mg cp gastrorésis : T/40).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Sanofi-Aventis France
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