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VERAPAMIL RATIOPHARM 240mg cp pellic séc LP







comprimé pelliculé sécable LP
par 1 comprimé
vérapamil chlorhydrate240 mg
Excipients : cellulose microcristalline, sodium alginate, povidone, magnésium stéarate, hypromellose, macrogol 400, macrogol 6000, talc, titane dioxyde, laque verte, (laque d’aluminium correspondant à un mélange de jaune de quinoléine et d’indigotine laque aluminique ), cire Hoechst E (mélange d’esters de l’acide montanique).

– Hypertension artérielle,
– Traitement de l’angor stable.


– Hypertension artérielle :
1 comprimé à 240 mg le matin ; si nécessaire ajouter 1/2 comprimé le matin ou le soir.
  • – Traitement de l’angor stable :
    1 à 2 comprimés par jour (soit 240 à 480 mg/j).
  • Chez les sujets âgés de plus de 70 ans, la posologie sera de 1/2 à 1 comprimé par jour.

  • Absolue(s) :
    • Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Hypotension artérielle
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
    • Enfant de moins de 15 ans
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs calciques

    • Risque d’hépatite cytolytique
      Des atteintes cytolytiques et cholestatiques d’origine immuno-allergique, accompagnées ou non de symptômes cliniques à type de malaise, fièvre, ictère et/ou douleurs du quadrant supérieur droit de l’abdomen ont été rarement rapportées chez les patients recevant du vérapamil. Si de tels symptômes apparaissent, il est recommandé de procéder à un dosage des enzymes hépatiques. En cas d’élévation des enzymes hépatiques et à plus forte raison, en cas d’ictère, le traitement doit être interrompu de manière définitive.
    • Risque d’hépatite cholestatique
      Des atteintes cytolytiques et cholestatiques d’origine immuno-allergique, accompagnées ou non de symptômes cliniques à type de malaise, fièvre, ictère et/ou douleurs du quadrant supérieur droit de l’abdomen ont été rarement rapportées chez les patients recevant du vérapamil. Si de tels symptômes apparaissent, il est recommandé de procéder à un dosage des enzymes hépatiques. En cas d’élévation des enzymes hépatiques et à plus forte raison, en cas d’ictère, le traitement doit être interrompu de manière définitive.
    • Insuffisance hépatique
      La métabolisation est dans ce cas considérablement ralentie ; la demi-vie apparente d’élimination est très allongée. La posologie doit être fortement diminuée, par exemple par un facteur 5.
    • Insuffisance cardiaque
      Celle-ci doit être contrôlée avant la mise en route du traitement. Dans le cas où un digitalique est prescrit, il est nécessaire de :
      – surveiller étroitement la conduction auriculoventriculaire (effets additifs) ;
      – contrôler les concentrations de digoxine et adapter la posologie (car le vérapamil peut augmenter de façon importante les concentrations plasmatiques de digoxine).
    • Bloc auriculoventriculaire du premier degré
      Celui-ci peut être majoré et conduire à un bloc complet (en particulier au pic de concentration).
    • Fibrillation auriculaire
      Fibrillation auriculaire + voie accessoire : le vérapamil peut faciliter la conduction antérograde dans la voie accessoire, aboutissant à une accélération marquée de la fréquence ventriculaire.
    • Flutter auriculaire
      Flutter auriculaire + voie accessoire : le vérapamil peut faciliter la conduction antérograde dans la voie accessoire, aboutissant à une accélération marquée de la fréquence ventriculaire.
    • Sujet âgé
      Le volume de distribution et la clairance totale sont fortement diminués ; par ailleurs, la biodisponibilité du vérapamil est plus élevée chez ces sujets que chez l’adulte. Il faut donc réduire la posologie et ne l’augmenter que progressivement.
    • Angor
      Dans tous les cas l’augmentation de la posologie devra être progressive avec une surveillance de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque.
    • Interaction phytothérapique : millepertuis
      Niveau de gravité :
      Contre-indication
      Nature du risque :
      Réduction importante des concentrations de vérapamil, avec risque de perte de son effet thérapeutique.
    • Interaction alimentaire : jus de pamplemousse
      Niveau de gravité :
      A prendre en compte
      Nature du risque :
      Augmentation des concentrations plasmatiques de vérapamil, avec risque de survenue d’effets indésirables.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du vérapamil lorsqu’il est administré pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le vérapamil pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse.
  • Pendant le troisième trimestre de la grossesse, l’utilisation du vérapamil au cours d’un nombre limité de grossesses n’a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier à ce jour. En conséquence, l’utilisation du vérapamil ne doit être envisagée au cours du troisième trimestre de la grossesse que si nécessaire.
  •  Allaitement :

    Le vérapamil est fortement lié aux protéines plasmatiques et les concentrations dans le lait sont faibles : elles exposent l’enfant à une ingestion de moins d’un milligramme de vérapamil par jour. Les quelques cas décrits n’ont pas rapporté d’effets indésirables chez l’enfant.
  • Par ailleurs, les concentrations plasmatiques dans le sang de l’enfant ne sont pratiquement pas détectables.
  • En conséquence, l’allaitement est possible, à condition de prendre le médicament juste après la tétée, d’attendre 4 heures avant la suivante et d’assurer une surveillance clinique régulière de l’enfant.

    • Constipation
    • Hépatite cytolytique
    • Hépatite cholestatique
    • Ictère
    • Douleur abdominale
    • Malaise
    • Fièvre
    • Transaminases (augmentation)
    • Phosphatases alcalines (augmentation)
    • Hypotension artérielle
    • Bradycardie
    • Bloc auriculoventriculaire
    • Insuffisance cardiaque congestive

    • Classement ATC : 
          C08DA01 / VERAPAMIL
    • Classement Vidal : 
          Antiangoreux : inhibiteur calcique (Vérapamil)
          Antihypertenseur : inhibiteur calcique (Vérapamil)

    Liste I
    • CIP : 3538639 (VERAPAMIL RATIOPHARM 240mg cp pellic séc LP : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3739059 (VERAPAMIL RATIOPHARM 240mg cp pellic séc LP : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Ratiopharm


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