FORMES et PR\u00c9SENTATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nComprim\u00e9 enrob\u00e9 (jaune p\u00e2le)\u00a0: \u00a0Bo\u00eete de 30, sous plaquettes thermoform\u00e9es.

\n \n \n \n \n \n \n \n

COMPOSITION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \n \n \u00a0<\/td> p\u00a0cp<\/td> \n<\/tr> \n Chlortalidone\u00a0(DCI)\u00a0 \n<\/td> 20\u00a0mg<\/td> \n<\/tr> \n Oxpr\u00e9nolol\u00a0(DCI) chlorhydrate\u00a0 \n<\/td> 160\u00a0mg<\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \nExcipients : Noyau\u00a0: silice collo\u00efdale, lactose, Eudragit E\u00a030\u00a0D, st\u00e9arate de calcium, huile de ricin hydrog\u00e9n\u00e9e en poudre. Point d’inclusion\u00a0: hydrog\u00e9nophosphate de calcium dihydrat\u00e9, oxyde de fer jaune, st\u00e9arate de magn\u00e9sium, amidon de ma\u00efs. Enrobage\u00a0: A\u00e9rosil\u00a0200, hypromellose, hydroxypropylcellulose, talc, dioxyde de titane, cellulose microcristalline, macrogol\u00a08000, povidone, talc, saccharose cristallis\u00e9, oxyde de fer jaune dispers\u00e9 dans du dioxyde de titane.<\/li> \n \n \n \n \n \n \n INDICATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>Hypertension art\u00e9rielle, en cas d’\u00e9chec d’une monoth\u00e9rapie par b\u00eatabloquant ou diur\u00e9tique thiazidique. \n \n \n \n \n \n \n POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>La posologie habituelle est de 1\u00a0comprim\u00e9 par jour, le matin au petit d\u00e9jeuner.<\/li> En cas de contr\u00f4le tensionnel insuffisant, \u00e0 cette posologie, apr\u00e8s traitement de 3\u00a0semaines \u00e0 1\u00a0mois, celle-ci pourra \u00eatre augment\u00e9e jusqu’\u00e0 2\u00a0comprim\u00e9s en 2\u00a0prises, l’un le matin et l’autre vers midi.<\/li> Co\u00fbt du traitement journalier : 0,25 \u00e0 0,49\u00a0euro(s). \n \n \n \n \n \n \n CONTRE-INDICATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>Occlusion intestinale, en raison de la pr\u00e9sence d’huile de ricin.<\/li> \n \n \n \nLi\u00e9es \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0:<\/b> \n<\/dt> \n \n \n \nAbsolues :<\/b> \n<\/dt> \n \n \n Bronchopneumopathies chroniques obstructives et asthme\u00a0: les b\u00eatabloquants non s\u00e9lectifs sont formellement contre-indiqu\u00e9s chez les asthmatiques (m\u00eame si l’asthme est ancien et non actuellement symptomatique), quelle que soit la posologie.<\/li> \n<\/li> \n Insuffisance cardiaque non contr\u00f4l\u00e9e par le traitement.<\/li> \n<\/li> \n Choc cardiog\u00e9nique.<\/li> \n<\/li> \n Blocs auriculoventriculaires des second et troisi\u00e8me degr\u00e9s non appareill\u00e9s.<\/li> \n<\/li> \n Angor de Prinzmetal.<\/li> \n<\/li> \n Maladie du sinus (y compris bloc sino-auriculaire).<\/li> \n<\/li> \n Bradycardie (<\u00a045 \u00e0 50\u00a0battements par minute).<\/li> \n<\/li> \n Ph\u00e9nom\u00e8ne de Raynaud et troubles art\u00e9riels p\u00e9riph\u00e9riques.<\/li> \n<\/li> \n Ph\u00e9ochromocytome non trait\u00e9.<\/li> \n<\/li> \n Hypotension.<\/li> \n<\/li> \n Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol.<\/li> \n<\/li> \n Ant\u00e9c\u00e9dent de r\u00e9action anaphylactique.<\/li> \n<\/li> \n Floctaf\u00e9nine, sultopride\u00a0: cf Interactions. \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nRelatives :<\/b> \n<\/dt> \n \n \n Amiodarone, b\u00e9pridil, diltiazem et v\u00e9rapamil (cf Interactions).<\/li> \n<\/li> \n Au cours de l’allaitement.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9es \u00e0 la chlortalidone\u00a0:<\/b> \n<\/dt> \n \n \n \nAbsolues :<\/b> \n<\/dt> \n \n \n Hypersensibilit\u00e9 aux sulfamides. \n<\/li> \n Insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re. \n<\/li> \n Enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nRelatives :<\/b> \n<\/dt> \n \n \n Lithium et sultopride (cf Interactions).<\/li> \n<\/li> \n Pendant la grossesse et l’allaitement.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n MISES EN GARDE et PR\u00c9CAUTIONS D’EMPLOI \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \nMises en garde :<\/b> \n \n En raison de la pr\u00e9sence de lactose, ce m\u00e9dicament est contre-indiqu\u00e9 en cas de galactos\u00e9mie cong\u00e9nitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de d\u00e9ficit en lactase. <\/p> \n En raison de la pr\u00e9sence de saccharose, ce m\u00e9dicament est contre-indiqu\u00e9 en cas de d’intol\u00e9rance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de d\u00e9ficit en sucrase-isomaltase. <\/p> \n En raison de la pr\u00e9sence d’huile de ricin, risque de sensibilisation, notamment chez l’enfant de moins de 3\u00a0ans.<\/p> \n \n \n \nLi\u00e9e \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n<\/dd> \n Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux\u00a0: l’arr\u00eat brusque peut entra\u00eener des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.<\/dd> \n \n \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9e \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n En cas d’atteinte h\u00e9patique, les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s peuvent induire une enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique. Dans ce cas, l’administration du diur\u00e9tique doit \u00eatre imm\u00e9diatement interrompue. <\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \nPr\u00e9cautions d’emploi :<\/b> \n \n \n \n \nLi\u00e9es \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: <\/b> \n<\/dt> \n \n \n Arr\u00eat du traitement\u00a0: Le traitement ne doit pas \u00eatre interrompu brutalement, en particulier chez les patients pr\u00e9sentant une cardiopathie isch\u00e9mique. La posologie doit \u00eatre diminu\u00e9e progressivement, c’est-\u00e0-dire id\u00e9alement sur une \u00e0 deux semaines, en commen\u00e7ant en m\u00eame temps, si n\u00e9cessaire, le traitement substitutif, pour \u00e9viter une aggravation de l’angor.<\/li> \n<\/li> \n Insuffisance cardiaque\u00a0: Chez l’insuffisant cardiaque contr\u00f4l\u00e9 par le traitement et en cas de n\u00e9cessit\u00e9, l’oxpr\u00e9nolol sera administr\u00e9 \u00e0 tr\u00e8s faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance m\u00e9dicale stricte.<\/li> \n<\/li> \n Bradycardie\u00a0: Si la fr\u00e9quence s’abaisse au-dessous de 50 \u00e0 55\u00a0pulsations par minute au repos et que le patient pr\u00e9sente des sympt\u00f4mes li\u00e9s \u00e0 la bradycardie, la posologie doit \u00eatre diminu\u00e9e.<\/li> \n<\/li> \n Bloc auriculoventriculaire du premier degr\u00e9\u00a0: \u00c9tant donn\u00e9 leur effet dromotrope n\u00e9gatif, les b\u00eatabloquants doivent \u00eatre administr\u00e9s avec prudence aux patients pr\u00e9sentant un bloc auriculoventriculaire du premier degr\u00e9.<\/li> \n<\/li> \n Ph\u00e9ochromocytome\u00a0: L’utilisation des b\u00eatabloquants dans le traitement de l’hypertension due au ph\u00e9ochromocytome trait\u00e9 n\u00e9cessite une surveillance \u00e9troite de la pression art\u00e9rielle.<\/li> \n<\/li> \n Insuffisances h\u00e9patique et r\u00e9nale\u00a0: En cas d’insuffisance h\u00e9patique ou r\u00e9nale, il peut \u00eatre n\u00e9cessaire d’adapter la posologie, en surveillant le rythme cardiaque, de fa\u00e7on \u00e0 diminuer les doses s’il appara\u00eet une bradycardie excessive (<\u00a050-55 batt\/min au repos).<\/li> \n<\/li> \n Sujet \u00e2g\u00e9\u00a0: Chez le sujet \u00e2g\u00e9, le respect absolu des contre-indications est imp\u00e9ratif. On veillera \u00e0 initier le traitement par une posologie faible et \u00e0 assurer une surveillance \u00e9troite.<\/li> \n<\/li> \n Sujet diab\u00e9tique\u00a0: Pr\u00e9venir le malade et renforcer en d\u00e9but de traitement l’autosurveillance glyc\u00e9mique. Les signes annonciateurs d’une hypoglyc\u00e9mie peuvent \u00eatre masqu\u00e9s, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.<\/li> \n<\/li> \n Psoriasis\u00a0: Des aggravations de la maladie ayant \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es sous b\u00eatabloquants, l’indication m\u00e9rite d’\u00eatre pes\u00e9e.<\/li> \n<\/li> \n R\u00e9actions allergiques\u00a0: Chez les patients susceptibles de faire une r\u00e9action anaphylactique s\u00e9v\u00e8re, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iod\u00e9s ou la floctaf\u00e9nine (cf Interactions) ou au cours de traitements d\u00e9sensibilisants, le traitement b\u00eatabloquant peut entra\u00eener une aggravation de la r\u00e9action et une r\u00e9sistance \u00e0 son traitement par l’adr\u00e9naline aux posologies habituelles.<\/li> \n<\/li> \n Anesth\u00e9sie g\u00e9n\u00e9rale\u00a0:Les b\u00eatabloquants vont entra\u00eener une att\u00e9nuation de la tachycardie r\u00e9flexe et une augmentation du risque d’hypotension. La poursuite du traitement par b\u00eatabloquant diminue le risque d’arythmie, d’isch\u00e9mie myocardique et de pouss\u00e9es hypertensives. Il convient de pr\u00e9venir l’anesth\u00e9siste que le patient est trait\u00e9 par un b\u00eatabloquant.<\/li> Si l’arr\u00eat du traitement est jug\u00e9 n\u00e9cessaire, une suspension de 48\u00a0heures peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9e comme suffisante pour permettre la r\u00e9apparition de la sensibilit\u00e9 aux cat\u00e9cholamines.<\/li> Dans certains cas, le traitement b\u00eatabloquant ne peut \u00eatre interrompu\u00a0: \n \n Chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’\u00e0 l’intervention, \u00e9tant donn\u00e9 le risque li\u00e9 \u00e0 l’arr\u00eat brutal des b\u00eatabloquants.<\/li> \n<\/li> \n En cas d’urgence ou d’impossibilit\u00e9 d’arr\u00eat, le patient doit \u00eatre prot\u00e9g\u00e9 d’une pr\u00e9dominance vagale par une pr\u00e9m\u00e9dication suffisante d’atropine renouvel\u00e9e selon les besoins. L’anesth\u00e9sie devra faire appel \u00e0 des produits aussi peu d\u00e9presseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront \u00eatre compens\u00e9es.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Le risque anaphylactique devra \u00eatre pris en compte.<\/li> \n<\/li> \n Thyrotoxicose\u00a0: Les b\u00eatabloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9es \u00e0 la chlortalidone\u00a0: <\/b> \n<\/dt> \n \n \n \n\u00c9quilibre hydro\u00e9lectrolytique\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Natr\u00e9mie\u00a0:Elle doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers par la suite. Tout traitement diur\u00e9tique peut en effet provoquer une hyponatr\u00e9mie, aux cons\u00e9quences parfois graves.<\/li> La baisse de la natr\u00e9mie pouvant \u00eatre initialement asymptomatique, un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable et doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent dans les populations \u00e0 risque repr\u00e9sent\u00e9es par les sujets \u00e2g\u00e9s, a fortiori d\u00e9nutris, et les cirrhotiques (cf Effets ind\u00e9sirables, Surdosage).<\/li> \n<\/li> \n Kali\u00e9mie\u00a0:La d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue le risque majeur des diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (<\u00a03,5\u00a0mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 risque repr\u00e9sent\u00e9es par les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris et\/ou polym\u00e9diqu\u00e9s, les cirrhotiques avec oed\u00e8mes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. L’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.<\/li> Chez les patients pr\u00e9sentant un espace QT long \u00e0 l’ECG, d’origine cong\u00e9nitale ou m\u00e9dicamenteuse, l’hypokali\u00e9mie favorise la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en pr\u00e9sence d’une bradycardie.<\/li> Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.<\/li> \n<\/li> \n Calc\u00e9mie\u00a0:Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s peuvent diminuer l’excr\u00e9tion urinaire du calcium et entra\u00eener une augmentation l\u00e9g\u00e8re et souvent transitoire de la calc\u00e9mie. Une hypercalc\u00e9mie franche peut \u00eatre en rapport avec une hyperparathyro\u00efdie m\u00e9connue. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyro\u00efdienne.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nGlyc\u00e9mie\u00a0: \n<\/dt> \n L’effet hyperglyc\u00e9miant des diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s est modeste. N\u00e9anmoins, chez le diab\u00e9tique, le contr\u00f4le de la glyc\u00e9mie doit \u00eatre syst\u00e9matique.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nUric\u00e9mie\u00a0: \n<\/dt> \n La d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e induite par les diur\u00e9tiques thiazidiques r\u00e9duit l’\u00e9limination urinaire d’acide urique. Chez les patients hyperuric\u00e9miques, la tendance aux acc\u00e8s de goutte peut \u00eatre augment\u00e9e\u00a0: la posologie sera alors adapt\u00e9e en fonction des concentrations plasmatiques d’acide urique.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nFonction r\u00e9nale et diur\u00e9tiques\u00a0: \n<\/dt> \n Les diur\u00e9tiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction r\u00e9nale est normale ou peu alt\u00e9r\u00e9e (\u00e9valu\u00e9e par exemple par le calcul de la clairance de la cr\u00e9atinine \u00e0 partir de la cr\u00e9atinin\u00e9mie). Chez le patient \u00e2g\u00e9, la valeur de la clairance de la cr\u00e9atinine doit \u00eatre r\u00e9ajust\u00e9e en fonction de l’\u00e2ge, du poids et du sexe, selon la formule de Cockcroft*<\/sup> par exemple\u00a0: <\/dd> \n \n*<\/sup>\u00a0 \n\t\t\t\tClcr =\u00a0[\u00a0(140 –\u00a0\u00e2ge) \u00d7 poids\u00a0]\u00a0\/\u00a0[\u00a00,814 \u00d7 cr\u00e9atinin\u00e9mie\u00a0] \n\t\t \n<\/font> \n<\/dd> \n (avec l’\u00e2ge exprim\u00e9 en ann\u00e9es, le poids en kg, la cr\u00e9atinin\u00e9mie en \u00b5mol\/l).<\/dd> \n Cette formule est valable pour les sujets \u00e2g\u00e9s de sexe masculin, et doit \u00eatre corrig\u00e9e pour les femmes en multipliant le r\u00e9sultat par 0,85.<\/dd> \n L’hypovol\u00e9mie, secondaire \u00e0 la perte d’eau et de sodium induite par le diur\u00e9tique en d\u00e9but de traitement, entra\u00eene une r\u00e9duction de la filtration glom\u00e9rulaire. Il peut en r\u00e9sulter une augmentation de l’ur\u00e9e sanguine et de la cr\u00e9atinin\u00e9mie. Cette insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle transitoire est sans cons\u00e9quence chez le sujet \u00e0 fonction r\u00e9nale normale mais peut aggraver une insuffisance r\u00e9nale pr\u00e9existante.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9es \u00e0 l’association\u00a0: <\/b> \n<\/dt> \n L’attention des sportifs est attir\u00e9e sur le fait que cette sp\u00e9cialit\u00e9 contient deux principes actifs pouvant induire une r\u00e9action positive des tests pratiqu\u00e9s lors des contr\u00f4les antidopage. <\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n INTERACTIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nInteractions m\u00e9dicamenteuses :<\/b> \n \nLi\u00e9es \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0:<\/b> \n \n De nombreux m\u00e9dicaments peuvent entra\u00eener une bradycardie. C’est le cas des antiarythmiques de classe I\u00a0a (quinidiniques, disopyramide), des b\u00eatabloquants, de l’amiodarone et du sotalol pour les antiarythmiques de classe\u00a0III, du diltiazem et du v\u00e9rapamil pour les antiarythmiques de la classe\u00a0IV et enfin des digitaliques, de la clonidine, de la guanfacine, de la m\u00e9floquine et des anticholinest\u00e9rasiques (don\u00e9p\u00e9zil, galantamine, rivastigmine, tacrine, n\u00e9ostigmine, amb\u00e9nonium et pyridostigmine). <\/p> \n De nombreux antiarythmiques sont d\u00e9presseurs de l’automatisme, de la conduction et de la contractilit\u00e9 cardiaques. <\/p> \n L’association d’antiarythmiques de classes diff\u00e9rentes peut apporter un effet th\u00e9rapeutique b\u00e9n\u00e9fique, mais s’av\u00e8re le plus souvent tr\u00e8s d\u00e9licate, n\u00e9cessitant une surveillance clinique \u00e9troite et un contr\u00f4le de l’ECG. <\/p> \n L’association d’antiarythmiques de m\u00eame classe est d\u00e9conseill\u00e9e, sauf cas exceptionnels, en raison du risque accru d’effets ind\u00e9sirables cardiaques. L’association \u00e0 des m\u00e9dicaments ayant des propri\u00e9t\u00e9s inotropes n\u00e9gatives, bradycardisantes et\/ou ralentissant la conduction auriculoventriculaire est d\u00e9licate et n\u00e9cessite une surveillance clinique et un contr\u00f4le de l’ECG.<\/p> \n \nContre-indiqu\u00e9es :<\/b> \n \n \n Floctaf\u00e9nine\u00a0: en cas de choc ou d’hypotension dus \u00e0 la floctaf\u00e9nine, r\u00e9duction des r\u00e9actions cardiovasculaires de compensation par les b\u00eatabloquants.<\/li> \n<\/li> \n Sultopride\u00a0: risque major\u00e9 de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nD\u00e9conseill\u00e9es :<\/b> \n \n \n Amiodarone\u00a0: troubles de la contractilit\u00e9, de l’automatisme et de la conduction (suppression des m\u00e9canismes sympathiques compensateurs).<\/li> \n<\/li> \n Antagonistes du calcium (b\u00e9pridil, diltiazem, v\u00e9rapamil)\u00a0: troubles de l’automatisme (bradycardie excessive, arr\u00eat sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire, et d\u00e9faillance cardiaque (synergie des effets). Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECG \u00e9troite, en particulier chez le sujet \u00e2g\u00e9 ou en d\u00e9but de traitement.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nN\u00e9cessitant des pr\u00e9cautions d’emploi :<\/b> \n \n \n Anesth\u00e9siques volatils halog\u00e9n\u00e9s\u00a0: r\u00e9duction des r\u00e9actions cardiovasculaires de compensation par les b\u00eatabloquants. (L’inhibition b\u00eata-adr\u00e9nergique peut \u00eatre lev\u00e9e durant l’intervention par les b\u00eatastimulants.) En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, ne pas arr\u00eater le traitement b\u00eatabloquant et, de toute fa\u00e7on, \u00e9viter l’arr\u00eat brutal. Informer l’anesth\u00e9siste de ce traitement.<\/li> \n<\/li> \n Anticholinest\u00e9rasiques (don\u00e9p\u00e9zil, galantamine, rivastigmine, tacrine, amb\u00e9nonium, pyridostigmine, n\u00e9ostigmine)\u00a0: risque de bradycardie excessive (addition des effets bradycardisants). Surveillance clinique r\u00e9guli\u00e8re.<\/li> \n<\/li> \n Clonidine et autres antihypertenseurs centraux (alpham\u00e9thyldopa, guanfacine, moxonidine, rilm\u00e9nidine)\u00a0: augmentation importante de la pression art\u00e9rielle en cas d’arr\u00eat brutal du traitement par l’antihypertenseur central. \u00c9viter l’arr\u00eat brutal de l’antihypertenseur central. Surveillance clinique.<\/li> \n<\/li> \n Ergotamine\u00a0: ergotisme\u00a0; quelques rares cas de spasme art\u00e9riel avec isch\u00e9mie des extr\u00e9mit\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9s (addition des effets vasculaires). Surveillance clinique renforc\u00e9e, en particulier pendant les premi\u00e8res semaines de l’association. \n<\/li> \n Insuline, sulfamides hypoglyc\u00e9miants\u00a0: tous les b\u00eatabloquants peuvent masquer certains sympt\u00f4mes de l’hypoglyc\u00e9mie\u00a0: les palpitations et la tachycardie. La plupart des b\u00eatabloquants non cardios\u00e9lectifs augmentent l’incidence et la s\u00e9v\u00e9rit\u00e9 de l’hypoglyc\u00e9mie. Pr\u00e9venir le malade et renforcer, surtout en d\u00e9but de traitement, l’autosurveillance sanguine. \n<\/li> \n M\u00e9dicaments donnant des torsades de pointes (sauf sultopride)\u00a0: antiarythmiques de classe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et de classe III (amiodarone, dof\u00e9tilide, ibutilide, sotalol), certains neuroleptiques\u00a0: ph\u00e9nothiaziniques (chlorpromazine, cyam\u00e9mazine, l\u00e9vom\u00e9promazine, thioridazine, trifluop\u00e9razine), benzamides (amisulpride, sulpiride, tiapride), butyroph\u00e9nones (drop\u00e9ridol, halop\u00e9ridol), autres neuroleptiques (pimozide)\u00a0; autres\u00a0: b\u00e9pridil, cisapride, diph\u00e9manil, \u00e9rythromycine IV, halofantrine, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, sparfloxacine, vincamine IV\u00a0: risque major\u00e9 de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et \u00e9lectrocardiographique.<\/li> \n<\/li> \n Propaf\u00e9none\u00a0: troubles de la contractilit\u00e9, de l’automatisme et de la conduction (suppression des m\u00e9canismes sympathiques compensateurs). Surveillance clinique et ECG. \n<\/li> \n<\/ul> \n \nA prendre en compte :<\/b> \n \n AINS (voie g\u00e9n\u00e9rale), y compris les inhibiteurs s\u00e9lectifs de COX-2\u00a0: r\u00e9duction de l’effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS et r\u00e9tention hydrosod\u00e9e avec les AINS pyrazol\u00e9s).<\/li> \n<\/li> \n Antagonistes du calcium (dihydropyridines)\u00a0: hypotension, d\u00e9faillance cardiaque chez les malades en insuffisance cardiaque latente ou non contr\u00f4l\u00e9e (effet inotrope n\u00e9gatif in vitro des dihydropyridines, plus ou moins marqu\u00e9 en fonction des produits, et susceptible de s’additionner aux effets inotropes n\u00e9gatifs des b\u00eatabloquants). La pr\u00e9sence d’un traitement b\u00eatabloquant peut par ailleurs minimiser la r\u00e9action sympathique r\u00e9flexe mise en jeu en cas de r\u00e9percussion h\u00e9modynamique excessive.<\/li> \n<\/li> \n M\u00e9floquine\u00a0: risque de bradycardie excessive (addition des effets bradycardisants). \n<\/li> \n<\/ul> \n \nLi\u00e9es \u00e0 la chlortalidone\u00a0: <\/b> \n \n \n<\/p> \n \nD\u00e9conseill\u00e9es :<\/b> \n \n \n Lithium\u00a0: augmentation de la lith\u00e9mie avec signes de surdosage, comme lors d’un r\u00e9gime d\u00e9sod\u00e9 (diminution de l’excr\u00e9tion urinaire du lithium). Si l’association ne peut \u00eatre \u00e9vit\u00e9e, surveillance stricte de la lith\u00e9mie et adaptation de la posologie.<\/li> \n<\/li> \n Sultopride\u00a0: risque major\u00e9 de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (l’hypokali\u00e9mie est un facteur favorisant).<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nN\u00e9cessitant des pr\u00e9cautions d’emploi :<\/b> \n \n \n AINS (voie g\u00e9n\u00e9rale), y compris les inhibiteurs s\u00e9lectifs de COX-2, acide ac\u00e9tylsalicylique (aspirine) \u00e0 forte doses (3\u00a0g\/j)\u00a0: insuffisance r\u00e9nale aigu\u00eb chez le malade \u00e0 risque (sujet \u00e2g\u00e9 et\/ou d\u00e9shydrat\u00e9) par diminution de la filtration glom\u00e9rulaire (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices due aux AINS). Hydrater le malade\u00a0; surveiller la fonction r\u00e9nale en d\u00e9but de traitement.<\/li> \n<\/li> \n Autres hypokali\u00e9miants\u00a0: laxatifs stimulants, amphot\u00e9ricine B (voie IV), glucocortico\u00efdes (voie g\u00e9n\u00e9rale), t\u00e9tracosactide\u00a0: risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie (effet additif). Surveillance de la kali\u00e9mie et, si besoin, correction\u00a0; \u00e0 prendre particuli\u00e8rement en compte en cas de th\u00e9rapeutique digitalique. Utiliser des laxatifs non stimulants.<\/li> \n<\/li> \n Carbamaz\u00e9pine\u00a0: risque d’hyponatr\u00e9mie symptomatique. Surveillance clinique et biologique. Si possible, utiliser une autre classe de diur\u00e9tiques.<\/li> \n<\/li> \n Digitaliques\u00a0: hypokali\u00e9mie favorisant les effets toxiques des digitaliques. Surveillance de la kali\u00e9mie, \u00e9ventuellement, ECG.<\/li> \n<\/li> \n Diur\u00e9tiques hyperkali\u00e9miants (amiloride, canr\u00e9noate de potassium, spironolactone, triamt\u00e9r\u00e8ne)\u00a0: l’association rationnelle, utile pour certains patients, n’exclut pas la survenue d’une hypokali\u00e9mie ou, en particulier chez l’insuffisant r\u00e9nal et le diab\u00e9tique, d’hyperkali\u00e9mie. Surveillance de la kali\u00e9mie, \u00e9ventuellement de l’\u00e9lectrocardiogramme et, s’il y a lieu, reconsid\u00e9rer le traitement.<\/li> \n<\/li> \n Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagoniste de l’angiotensine II\u00a0: risque d’hypotension art\u00e9rielle brutale et\/ou d’insuffisance r\u00e9nale aigu\u00eb lors de l’instauration du traitement par un IEC ou un antagoniste de l’angiotensine\u00a0II en cas de d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e pr\u00e9existante.<\/li> Dans l’hypertension art\u00e9rielle, lorsqu’un traitement diur\u00e9tique pr\u00e9alable a pu entra\u00eener une d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e, il faut\u00a0: \n soit arr\u00eater le diur\u00e9tique avant de d\u00e9buter le traitement par l’IEC ou par l’antagoniste de l’angiotensine\u00a0II et r\u00e9introduire un diur\u00e9tique hypokali\u00e9miant si n\u00e9cessaire ult\u00e9rieurement, \n<\/li> \n soit administrer des doses initiales r\u00e9duites d’IEC ou d’antagoniste de l’angiotensine\u00a0II et augmenter progressivement la posologie.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Dans tous les cas, surveiller la fonction r\u00e9nale (dosage de la cr\u00e9atinin\u00e9mie) dans les premi\u00e8res semaines du traitement par l’IEC ou par l’antagoniste de l’angiotensine\u00a0II.<\/li> \n<\/li> \n M\u00e9dicament donnant des torsades de pointes (sauf sultopride)\u00a0: antiarythmiques de classe I\u00a0a (quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et de classe\u00a0III (amiodarone, sotalol, dof\u00e9tilide, ibutilide), certains neuroleptiques\u00a0: ph\u00e9nothiaziniques (chlorpromazine, l\u00e9vom\u00e9promazine, cyam\u00e9mazine, trifluop\u00e9razine, thioridazine), benzamides (amisulpride, sulpiride, tiapride), butyroph\u00e9nones (halop\u00e9ridol, drop\u00e9ridol), autres neuroleptiques (pimozide) et autres m\u00e9dicaments tels que\u00a0: b\u00e9pridil, cisapride, diph\u00e9manil, mizolastine, \u00e9rythomycine\u00a0IV, vincamine\u00a0IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, moxifloxacine…\u00a0: risque major\u00e9 de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (l’hypokali\u00e9mie est un facteur favorisant). Corriger toute hypokali\u00e9mie avant d’administrer le produit et r\u00e9aliser une surveillance clinique, \u00e9lectrolytique et \u00e9lectrocardiographique.<\/li> \n<\/li> \n Metformine\u00a0: acidose lactique due \u00e0 la metformine d\u00e9clench\u00e9e par une \u00e9ventuelle insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle li\u00e9e aux diur\u00e9tiques et plus sp\u00e9cialement aux diur\u00e9tiques de l’anse.<\/li> Ne pas utiliser la metformine lorsque la cr\u00e9atinin\u00e9mie d\u00e9passe 15\u00a0mg\/litre (135\u00a0\u00b5mol\/litre) chez l’homme et 12\u00a0mg\/litre (110\u00a0\u00b5mol\/litre) chez la femme.<\/li> \n<\/li> \n Produits de contraste iod\u00e9s\u00a0: en cas de d\u00e9shydratation provoqu\u00e9e par les diur\u00e9tiques, risque major\u00e9 d’insuffisance r\u00e9nale aigu\u00eb, en particulier lors de l’utilisation de doses importantes de produits de contraste iod\u00e9s. R\u00e9hydratation avant administration du produit iod\u00e9.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nA prendre en compte :<\/b> \n \n Calcium (sels de)\u00a0: risque d’hypercalc\u00e9mie par diminution de l’\u00e9limination urinaire du calcium.<\/li> \n<\/li> \n Ciclosporine\u00a0: risque d’augmentation de la cr\u00e9atinin\u00e9mie sans modification des concentrations plasmatiques de ciclosporine, m\u00eame en l’absence de d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nLi\u00e9es \u00e0 l’association\u00a0:<\/b> \n \n \nN\u00e9cessitant des pr\u00e9cautions d’emploi :<\/b> \n \n \n Baclof\u00e8ne\u00a0: majoration de l’effet antihypertenseur. Surveillance de la pression art\u00e9rielle et adaptation posologie de l’antihypertenseur si n\u00e9cessaire.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nA prendre en compte :<\/b> \n \n Alphabloquants \u00e0 vis\u00e9e urologique (alfuzosine, doxazosine, prazosine, tamsulosine et t\u00e9razosine)\u00a0: majoration de l’effet hypotenseur. Risque d’hypotension orthostatique major\u00e9.<\/li> \n<\/li> \n Amifostine\u00a0: majoration de l’effet antihypertenseur.<\/li> \n<\/li> \n Antid\u00e9presseurs imipraminiques, neuroleptiques\u00a0: effet antihypertenseur et risque d’hypotension orthostatique major\u00e9s (effet additif).<\/li> \n<\/li> \n Cortico\u00efdes, t\u00e9tracosactide (voie g\u00e9n\u00e9rale), sauf hydrocortisone employ\u00e9e comme traitement substitutif dans la maladie d’Addison\u00a0: diminution de l’effet antihypertenseur (r\u00e9tention hydrosod\u00e9e des cortico\u00efdes).<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n \n \n GROSSESSE et ALLAITEMENT \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nGrossesse :<\/b> \n \n \n \n \nLi\u00e9e \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n Les \u00e9tudes chez l’animal n’ont pas mis en \u00e9vidence d’effet t\u00e9ratog\u00e8ne. En l’absence d’effet t\u00e9ratog\u00e8ne chez l’animal, un effet malformatif dans l’esp\u00e8ce humaine n’est pas attendu. En effet, \u00e0 ce jour, les substances responsables de malformations dans l’esp\u00e8ce humaine se sont r\u00e9v\u00e9l\u00e9es t\u00e9ratog\u00e8nes chez l’animal au cours d’\u00e9tudes bien conduites sur deux esp\u00e8ces. <\/dd> \n En clinique, aucun effet t\u00e9ratog\u00e8ne n’a \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9 \u00e0 ce jour et les r\u00e9sultats d’\u00e9tudes prospectives contr\u00f4l\u00e9es avec quelques b\u00eatabloquants n’ont pas fait \u00e9tat de malformations \u00e0 la naissance.<\/dd> \n Chez le nouveau-n\u00e9 de m\u00e8re trait\u00e9e, l’action b\u00eatabloquante persiste plusieurs jours apr\u00e8s la naissance et peut se traduire par une bradycardie, une d\u00e9tresse respiratoire, une hypoglyc\u00e9mie\u00a0; mais le plus souvent, cette r\u00e9manence est sans cons\u00e9quence clinique. II peut n\u00e9anmoins survenir, par r\u00e9duction des r\u00e9actions cardiovasculaires de compensation, une d\u00e9faillance cardiaque n\u00e9cessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), tout en \u00e9vitant les solut\u00e9s de remplissage (risque d’OAP).<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9e \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, l’administration de diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s doit \u00eatre \u00e9vit\u00e9e chez la femme enceinte et ne jamais \u00eatre prescrit au cours des oed\u00e8mes physiologiques (et ne n\u00e9cessitant donc pas de traitement) de la grossesse. Les diur\u00e9tiques peuvent en effet entra\u00eener une isch\u00e9mie foetoplacentaire, avec un risque d’hypotrophie foetale.<\/dd> \n Les diur\u00e9tiques restent n\u00e9anmoins un \u00e9l\u00e9ment essentiel du traitement des oed\u00e8mes d’origine cardiaque, h\u00e9patique et r\u00e9nale survenant chez la femme enceinte.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n En cons\u00e9quence, Trasitensine est d\u00e9conseill\u00e9 pendant la grossesse.<\/p> \n \nAllaitement :<\/b> \n \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n Les b\u00eatabloquants sont excr\u00e9t\u00e9s dans le lait (cf Pharmacocin\u00e9tique). La survenue d’hypoglyc\u00e9mie et de bradycardie a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crite pour certains b\u00eatabloquants peu li\u00e9s aux prot\u00e9ines plasmatiques.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n La chlortalidone passe dans le lait maternel. <\/dd> \n En cons\u00e9quence, l’allaitement est d\u00e9conseill\u00e9 lors d’un traitement par Trasitensine.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n EFFETS IND\u00c9SIRABLES \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nLi\u00e9s \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0:<\/b> \n<\/dt> \n \n \n \nAu plan clinique\u00a0: \n<\/dt> \n Le plus fr\u00e9quemment rapport\u00e9s\u00a0: \n asth\u00e9nie, \n<\/li> \n refroidissement des extr\u00e9mit\u00e9s, \n<\/li> \n bradycardie, s\u00e9v\u00e8re le cas \u00e9ch\u00e9ant, \n<\/li> \n troubles digestifs (gastralgies, naus\u00e9es, vomissements), \n<\/li> \n insomnies, cauchemars, \n<\/li> \n impuissance.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n Beaucoup plus rarement\u00a0: \n ralentissement de la conduction auriculoventriculaire ou intensification d’un bloc auriculoventriculaire existant, \n<\/li> \n insuffisance cardiaque, \n<\/li> \n chute tensionnelle, \n<\/li> \n bronchospasme, \n<\/li> \n hypoglyc\u00e9mie, \n<\/li> \n syndrome de Raynaud, \n<\/li> \n aggravation d’une claudication intermittente existante, \n<\/li> \n diverses manifestations cutan\u00e9es y compris \u00e9ruptions psoriasiformes.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nAu plan biologique\u00a0: \n<\/dt> \n On a pu observer, dans de rares cas, l’apparition d’anticorps antinucl\u00e9aires ne s’accompagnant qu’exceptionnellement de manifestations cliniques \u00e0 type de syndrome lupique et c\u00e9dant \u00e0 l’arr\u00eat du traitement.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9s \u00e0 la chlortalidone\u00a0:<\/b> \n<\/dt> \n Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s peuvent entra\u00eener\u00a0:<\/dd> \n \n \n \nAu plan clinique\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n En cas d’insuffisance h\u00e9patique, possibilit\u00e9 de survenue d’enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique (cf Contre-indications, Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi).<\/li> \n<\/li> \n Possibilit\u00e9 d’aggravation d’un lupus \u00e9ryth\u00e9mateux aigu diss\u00e9min\u00e9 pr\u00e9existant, vascularite n\u00e9crosante, syndrome de Lyell.<\/li> \n<\/li> \n Naus\u00e9es, constipation, vertiges, asth\u00e9nie, paresth\u00e9sies, c\u00e9phal\u00e9es, rarement constat\u00e9s et c\u00e9dant le plus souvent \u00e0 une r\u00e9duction de posologie.<\/li> \n<\/li> \n Exceptionnellement\u00a0: pancr\u00e9atite, troubles visuels en d\u00e9but de traitement.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nAu plan biologique\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie, notamment en cas de diur\u00e8se intensive, et particuli\u00e8rement grave dans certaines populations \u00e0 risque (cf Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi).<\/li> \n<\/li> \n Une hyponatr\u00e9mie avec hypovol\u00e9mie \u00e0 l’origine d’une d\u00e9shydratation et d’une hypotension orthostatique, voire d’un syndrome confusionnel. La perte concomitante d’ions chlore peut secondairement entra\u00eener une alcalose m\u00e9tabolique compensatrice\u00a0: l’incidence et l’amplitude de cet effet sont faibles.<\/li> \n<\/li> \n Une \u00e9l\u00e9vation de l’uric\u00e9mie et de la glyc\u00e9mie au cours du traitement\u00a0: l’emploi de ces diur\u00e9tiques sera soigneusement discut\u00e9 chez les sujets goutteux ou diab\u00e9tiques.<\/li> \n<\/li> \n Une augmentation des lipides \u00e0 forte dose.<\/li> \n<\/li> \n Des troubles h\u00e9matologiques, beaucoup plus rares, thrombocytop\u00e9nie, leucop\u00e9nie, agranulocytose, aplasie m\u00e9dullaire, an\u00e9mie h\u00e9molytique.<\/li> \n<\/li> \n Une hypercalc\u00e9mie exceptionnelle.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n SURDOSAGE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n En cas de bradycardie ou de baisse tensionnelle excessive, on aura recours \u00e0 l’administration par voie veineuse\u00a0: \n d’atropine, 1\u00a0\u00e0\u00a02\u00a0mg en bolus, \n<\/li> \n de glucagon \u00e0 la dose de 10\u00a0mg en bolus lent suivi si n\u00e9cessaire d’une perfusion de 1 \u00e0 10\u00a0mg par heure, \n<\/li> \n puis, si n\u00e9cessaire\u00a0: \n soit d’isopr\u00e9naline en injection lente \u00e0 la dose de 15 \u00e0 85\u00a0\u00b5g. L’injection sera \u00e9ventuellement renouvel\u00e9e, la quantit\u00e9 totale \u00e0 administrer ne devant pas d\u00e9passer 300\u00a0\u00b5g, \n<\/li> \n soit de dobutamine 2,5 \u00e0 10\u00a0\u00b5g\/kg\/min.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n En cas de d\u00e9compensation cardiaque chez le nouveau-n\u00e9 de m\u00e8re trait\u00e9e par b\u00eatabloquants\u00a0: \n glucagon sur la base de 0,3\u00a0mg\/kg, \n<\/li> \n hospitalisation en soins intensifs, \n<\/li> \n isopr\u00e9naline et dobutamine\u00a0: les posologies en g\u00e9n\u00e9ral \u00e9lev\u00e9es et le traitement prolong\u00e9 n\u00e9cessitent une surveillance sp\u00e9cialis\u00e9e.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n Les signes de l’intoxication aigu\u00eb se manifestent surtout par des d\u00e9sordres hydro\u00e9lectrolytiques (hyponatr\u00e9mie, hypokali\u00e9mie). Cliniquement, possibilit\u00e9 de naus\u00e9es, vomissements, hypotension art\u00e9rielle, crampes, vertiges, somnolence, \u00e9tats confusionnels, polyurie ou oligurie allant jusqu’\u00e0 l’anurie (par hypovol\u00e9mie).<\/dd> \n Les premi\u00e8res mesures consistent \u00e0 \u00e9liminer rapidement le ou les produits ing\u00e9r\u00e9s par lavage gastrique et\/ou administration de charbon activ\u00e9 puis \u00e0 restaurer l’\u00e9quilibre hydro\u00e9lectrolytique dans un centre sp\u00e9cialis\u00e9 jusqu’\u00e0 normalisation. La correction d’une hyponatr\u00e9mie doit \u00eatre r\u00e9alis\u00e9e tr\u00e8s progressivement.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n PHARMACODYNAMIE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n Ce m\u00e9dicament est une association d’un b\u00eatabloquant et d’un diur\u00e9tique du segment cortical de dilution (code ATC\u00a0: C07BA02). <\/p> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n L’oxpr\u00e9nolol se caract\u00e9rise par trois propri\u00e9t\u00e9s pharmacologiques\u00a0: \n l’absence d’activit\u00e9 b\u00eatabloquante b\u00eata-1 cardios\u00e9lective, \n<\/li> \n un effet antiarythmique, \n<\/li> \n un pouvoir agoniste partiel (ou une activit\u00e9 sympathomim\u00e9tique intrins\u00e8que) mod\u00e9r\u00e9.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n La chlortalidone est un diur\u00e9tique thiazidique qui agit en inhibant la r\u00e9absorption du sodium au niveau du segment cortical de dilution. Il augmente l’excr\u00e9tion urinaire du sodium et des chlorures et, \u00e0 un moindre degr\u00e9, l’excr\u00e9tion du potassium et du magn\u00e9sium, accroissant de la sorte la diur\u00e8se et exer\u00e7ant une action antihypertensive.<\/dd> \n Le d\u00e9lai d’apparition de l’activit\u00e9 diur\u00e9tique est d’environ 2\u00a0heures.<\/dd> \n Cette activit\u00e9 se maintient pendant 48 \u00e0 72\u00a0heures.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n PHARMACOCIN\u00c9TIQUE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 l’oxpr\u00e9nolol\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Absorption\u00a0: Administr\u00e9 par voie orale, l’oxpr\u00e9nolol est rapidement absorb\u00e9\u00a0; la biodisponibilit\u00e9 est tr\u00e8s variable d’un sujet \u00e0 l’autre et comprise entre 20 et 75\u00a0%. Il existe un effet de premier passage h\u00e9patique. Le pic de concentration plasmatique est atteint au bout de 1 \u00e0 2\u00a0heures environ.<\/li> \n<\/li> \n M\u00e9tabolisme\u00a0: L’oxpr\u00e9nolol est transform\u00e9 au niveau h\u00e9patique en un m\u00e9tabolite inactif (glucuronate).<\/li> \n<\/li> \n Distribution\u00a0:L’oxpr\u00e9nolol passe la barri\u00e8re h\u00e9mato-enc\u00e9phalique.<\/li> Liaison aux prot\u00e9ines plasmatiques\u00a0: la liaison aux prot\u00e9ines est importante\u00a0: 80 \u00e0 90\u00a0%. Demi-vie d’\u00e9limination\u00a0: la demi-vie d’\u00e9limination plasmatique de l’oxpr\u00e9nolol est de 1 \u00e0 3\u00a0heures environ.<\/li> \n<\/li> \n \u00c9limination\u00a0: L’oxpr\u00e9nolol est excr\u00e9t\u00e9 en quasi-totalit\u00e9 par le rein, essentiellement sous forme de m\u00e9tabolites inactifs (95\u00a0%). La matrice qui sert de structure au comprim\u00e9 peut se retrouver apparemment intacte dans les selles\u00a0: elle est cependant vid\u00e9e de son principe actif.<\/li> \n<\/li> \n Populations \u00e0 risque\u00a0: \n Insuffisance h\u00e9patique\u00a0: il peut \u00eatre n\u00e9cessaire de r\u00e9duire la posologie (cf Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi).<\/li> \n<\/li> \n Sujet \u00e2g\u00e9\u00a0: les aires sous la courbe d’oxpr\u00e9nolol sont augment\u00e9es.<\/li> \n<\/li> \n Grossesse\u00a0: l’oxpr\u00e9nolol passe dans le placenta. Le rapport moyen des concentrations sang du cordon\/sang maternel d’oxpr\u00e9nolol est d’environ 0,35.<\/li> \n<\/li> \n Allaitement\u00a0: l’oxpr\u00e9nolol est excr\u00e9t\u00e9 dans le lait maternel\u00a0; le rapport moyen des concentrations lait maternel\/sang maternel est dans un rapport de 0,45. Un nouveau-n\u00e9 de 3\u00a0kg et consommant 500\u00a0ml de lait maternel par jour recevrait une dose quotidienne maximale d’environ 0,07\u00a0mg\/kg d’oxpr\u00e9nolol, ce qui repr\u00e9sente moins de 60\u00a0fois la dose quotidienne usuelle chez un adulte hypertendu.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nLi\u00e9 \u00e0 la chlortalidone\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Absorption\u00a0: La biodisponibilit\u00e9 de la chlortalidone varie selon les sujets entre 50 et 75\u00a0%.<\/li> \n<\/li> \n Distribution\u00a0: La liaison aux prot\u00e9ines plasmatiques est de\u00a075\u00a0%.<\/li> La demi-vie est comprise entre 25 et 50\u00a0heures.<\/li> Il existe un passage dans le placenta et le lait maternel.<\/li> \n<\/li> \n \u00c9limination\u00a0: La clairance r\u00e9nale repr\u00e9sente la moiti\u00e9 environ de la clairance totale.<\/li> Le pourcentage de produit inchang\u00e9 retrouv\u00e9 dans les urines est de 65\u00a0%.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n MODALIT\u00c9S DE CONSERVATION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nDur\u00e9e de conservation\u00a0: \n<\/dt> \n 4\u00a0ans.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n Pas de pr\u00e9cautions particuli\u00e8res de conservation.<\/p> \n \n \n \n \n \n \n PRESCRIPTION\/D\u00c9LIVRANCE\/PRISE EN CHARGE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>LISTE I \n \n AMM<\/td> 340093235695<\/b>9<\/font> (1980, RCP r\u00e9v 26.09.2002). <\/td> \n<\/tr> \n<\/table>Mis sur le march\u00e9 en \n\t\t\t\t1981. \n \n \n \n \u00a0<\/td> \u00a0<\/td> \n<\/tr> \n Prix :<\/b><\/td> 7.37\u00a0euros (30\u00a0comprim\u00e9s).<\/td> \n<\/tr> \n Remb S\u00e9c soc \u00e0 65 %. Collect.<\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nNovartis Pharma SAS<\/b> \n2-4, rue Lionel-Terray. 92500 Rueil-MalmaisonT\u00e9l\u00a0: 01\u00a055\u00a047\u00a060\u00a000Information et Communication M\u00e9dicales\u00a0:T\u00e9l : 01 55 47 66 00 \n\t\tE-mail\u00a0:\u00a0icm.phfr@novartis.comSite web\u00a0:\u00a0http:\/\/www.novartis.fr <\/a> \n \n \n<\/center> \n \n \n \n Liste Des Sections Les Plus Importantes :<\/strong><\/h2> \n \n \n \n pathologies<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments injectables<\/a> \n<\/strong><\/li> Traitement D\u2019Urgence<\/a> \n<\/strong><\/li> Guide Infirmier Des Examens De Laboratoire<\/a> \n<\/strong><\/li> Infirmiers En Urgences<\/a> \n<\/strong><\/li> Fiche Technique Medical<\/a> \n<\/strong><\/li> Techniques De Manipulations En Radiologie Medicale<\/a> \n<\/strong><\/li> Bibliotheque_medicale<\/strong><\/a> \n<\/li><\/ul> \n \n \n \n\t\t Facebook Page Medical Education<\/a> \n——Website Accueil <\/a> \n—— Notre Application<\/a> \n<\/h5> \n Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com <\/a> \n<\/li><\/center> \n<\/li><\/div>\r\n