\np\u00e9rindopril tert-butylamine<\/b><\/font><\/td> | 2 mg<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n\u00a0\u00a0Soit p\u00e9rindopril<\/b><\/font><\/td> | 1,669 mg<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\nindapamide<\/b><\/font><\/td> | 0,625 mg<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n<\/table>
\nExcipients :\u00a0lactose monohydrate, silice collo\u00efdale hydrophobe, magn\u00e9sium st\u00e9arate, cellulose microcristalline.
\n
\n
\n
\n
\n
\n-
\n
Hypertension art\u00e9rielle essentielle.<\/p>
\n<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n- Voie orale.
- La posologie usuelle est de un comprim\u00e9 pellicul\u00e9 de ce m\u00e9dicament par jour en une prise de pr\u00e9f\u00e9rence le matin et avant le repas. En cas de non contr\u00f4le de la pression art\u00e9rielle apr\u00e8s un mois de traitement, la posologie peut \u00eatre doubl\u00e9e.* Sujet \u00e2g\u00e9 : le traitement est d\u00e9but\u00e9 \u00e0 la posologie usuelle de un comprim\u00e9 pellicul\u00e9 de ce m\u00e9dicament par jour.
<\/li> - * Insuffisant r\u00e9nal : en cas d’insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re (clairance de la cr\u00e9atinine < 30 ml\/min), le traitement est contre-indiqu\u00e9. Chez les patients pr\u00e9sentant une insuffisance r\u00e9nale mod\u00e9r\u00e9e (clairance de la cr\u00e9atinine 30-60 ml\/min), la posologie maximale doit \u00eatre de un comprim\u00e9 de ce m\u00e9dicament par jour. Chez les patients ayant une clairance de la cr\u00e9atinine sup\u00e9rieure ou \u00e9gale \u00e0 60 ml\/min, aucun ajustement posologique n’est n\u00e9cessaire.
<\/li> - La pratique m\u00e9dicale courante comprend un contr\u00f4le p\u00e9riodique de la cr\u00e9atinine et du potassium.
<\/li> - * Insuffisant h\u00e9patique : en cas d’insuffisance h\u00e9patique s\u00e9v\u00e8re, le traitement est contre-indiqu\u00e9.
<\/li> - Chez les patients pr\u00e9sentant une insuffisance h\u00e9patique mod\u00e9r\u00e9e, aucun ajustement posologique n’est n\u00e9cessaire.
<\/li> - * Enfant et adolescent : ce m\u00e9dicament ne doit pas \u00eatre utilis\u00e9 chez l’enfant et l’adolescent car l’efficacit\u00e9 et la tol\u00e9rance de p\u00e9rindopril chez l’enfant et l’adolescent, seul ou en association, n’ont pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tablies.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\nAbsolue(s) :<\/b>
\n
\n
\n- Hypersensibilit\u00e9 aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion<\/li>
\n
- Oed\u00e8me de Quincke li\u00e9 \u00e0 la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, ant\u00e9c\u00e9dent (d’)<\/li>
\n
- Oed\u00e8me angioneurotique h\u00e9r\u00e9ditaire<\/li>
\n
- Oed\u00e8me de Quincke<\/li>
\n
- Grossesse, 6 derniers mois (de la)<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 aux sulfamides<\/li>
\n
- Insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re : clairance de la cr\u00e9atinine < 30 ml\/min<\/li>
\n
- Enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique<\/li>
\n
- Insuffisance h\u00e9patique s\u00e9v\u00e8re<\/li>
\n
- Hypokali\u00e9mie<\/li>
\n
- Allaitement<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 l’un des composants<\/li>
\n
- Patient dialys\u00e9<\/li>
\n
- Insuffisance cardiaque congestive non trait\u00e9e<\/li>
\n
- Intol\u00e9rance g\u00e9n\u00e9tique au galactose<\/li>
\n
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)<\/li>
\n
- D\u00e9ficit en lactase<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Risque de neutrop\u00e9nie
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Des cas de neutrop\u00e9nie\/agranulocytose, de thrombocytop\u00e9nie et d’an\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutrop\u00e9nie survienne chez les patients ayant une fonction r\u00e9nale normale et aucun autre facteur de risque. Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - Surveillance clinique pendant le traitement
Communes au p\u00e9rindopril et \u00e0 l’indapamide : En dehors des hypokali\u00e9mies, il n’a pas \u00e9t\u00e9 montr\u00e9 de r\u00e9duction significative des effets ind\u00e9sirables pour l’association faiblement dos\u00e9e de ce m\u00e9dicament en comparaison aux posologies les plus faibles approuv\u00e9es pour chacun des composants (voir Effets ind\u00e9sirables) Une augmentation de la fr\u00e9quence des r\u00e9actions idiosyncrasiques chez le patient expos\u00e9 simultan\u00e9ment \u00e0 deux nouveaux agents antihypertenseurs ne peut \u00eatre exclue. Pour minimiser ce risque, le patient doit \u00eatre suivi avec attention.<\/li>
\n - Risque d’agranulocytose
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Des cas de neutrop\u00e9nie\/agranulocytose, de thrombocytop\u00e9nie et d’an\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutrop\u00e9nie survienne chez les patients ayant une fonction r\u00e9nale normale et aucun autre facteur de risque. Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - Risque d’an\u00e9mie
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Des cas de neutrop\u00e9nie\/agranulocytose, de thrombocytop\u00e9nie et d’an\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutrop\u00e9nie survienne chez les patients ayant une fonction r\u00e9nale normale et aucun autre facteur de risque. Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - Risque de thrombop\u00e9nie
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Des cas de neutrop\u00e9nie\/agranulocytose, de thrombocytop\u00e9nie et d’an\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutrop\u00e9nie survienne chez les patients ayant une fonction r\u00e9nale normale et aucun autre facteur de risque. Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - D\u00e9ficit immunitaire
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - Connectivite
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre).<\/li>
\n - Risque d’oed\u00e8me de Quincke
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Un angio-oed\u00e8me de la face, des extr\u00e9mit\u00e9s, des l\u00e8vres, de la langue, de la glotte et\/ou du larynx a \u00e9t\u00e9 rarement signal\u00e9 chez les patients trait\u00e9s par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont p\u00e9rindopril. Ceci peut survenir \u00e0 n’importe quel moment du traitement. Dans de tels cas, p\u00e9rindopril doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9 imm\u00e9diatement et le patient doit \u00eatre gard\u00e9 sous surveillance jusqu’\u00e0 disparition compl\u00e8te des sympt\u00f4mes. Lorsque l’oed\u00e8me n’int\u00e9resse que la face et les l\u00e8vres, l’\u00e9volution est en g\u00e9n\u00e9ral r\u00e9gressive sans traitement, bien que les antihistaminiques se soient montr\u00e9s utiles pour soulager les sympt\u00f4mes. <\/li> - L’angio-oed\u00e8me associ\u00e9 \u00e0 un oed\u00e8me laryng\u00e9 peut \u00eatre fatal. En cas d’atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entra\u00eener une obstruction des voies a\u00e9riennes, une prise en charge appropri\u00e9e doit \u00eatre imm\u00e9diatement effectu\u00e9e, par une solution d’adr\u00e9naline sous-cutan\u00e9e \u00e0 1\/1000 (0,3 ml \u00e0 0,5 ml) et\/ou des mesures assurant la lib\u00e9ration des voies a\u00e9riennes.<\/li>
\n
- Sujet noir
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : – La fr\u00e9quence d’angio-oed\u00e8mes rapport\u00e9s est plus \u00e9lev\u00e9e chez les patients de race noire que chez les autres patients. <\/li> - – Comme pour les autres IEC, p\u00e9rindopril est apparemment moins efficace sur la baisse de pression art\u00e9rielle chez les patients de race noire que chez les autres, probablement en raison de la fr\u00e9quence plus \u00e9lev\u00e9e des \u00e9tats de r\u00e9nine basse dans la population de race noire.<\/li>
\n
- Ant\u00e9c\u00e9dent d’oed\u00e8me de Quincke
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Les patients ayant un ant\u00e9c\u00e9dent d’oed\u00e8me de Quincke non li\u00e9 \u00e0 la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion peuvent avoir un risque accru d’oed\u00e8me de Quincke sous inhibiteur de l’enzyme de conversion (cf Contre-indications).<\/li>
\n - Risque d’angio-oed\u00e8me intestinal
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Un angio-oed\u00e8me intestinal a \u00e9t\u00e9 rarement signal\u00e9 chez des patients trait\u00e9s par inhibiteur de l’enzyme de conversion. Ces patients pr\u00e9sentaient des douleurs abdominales (avec ou sans naus\u00e9es ou vomissements) ; dans certains cas, ce n’\u00e9tait pas pr\u00e9c\u00e9d\u00e9 d’un angio-oed\u00e8me facial et les taux de C-1 est\u00e9rase \u00e9taient normaux. Le diagnostic a \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 par un scanner abdominal, une \u00e9chographie, ou lors d’une chirurgie et les sympt\u00f4mes ont disparu \u00e0 l’arr\u00eat de l’IEC. L’angio-oed\u00e8me intestinal doit faire partie du diagnostic diff\u00e9rentiel en cas de douleur abdominale chez un patient sous IEC.<\/li>
\n - Traitement de d\u00e9sensibilisation en cours
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Des cas isol\u00e9s de r\u00e9actions anaphylacto\u00efdes prolong\u00e9es mena\u00e7ant la vie du patient lors de l’administration d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion pendant un traitement de d\u00e9sensibilisation avec du venin d’hym\u00e9nopt\u00e8re (abeille, gu\u00eapes) ont \u00e9t\u00e9 signal\u00e9s. Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution chez les patients allergiques trait\u00e9s pour d\u00e9sensibilisation et \u00e9vit\u00e9s chez ceux qui vont recevoir une immunoth\u00e9rapie par venin (s\u00e9rum antivenin). N\u00e9anmoins, ces r\u00e9actions peuvent \u00eatre \u00e9vit\u00e9es en interrompant transitoirement le traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion pendant au moins 24 heures chez les patients n\u00e9cessitant la fois un traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion et une d\u00e9sensibilisation.<\/li>
\n - H\u00e9maph\u00e9r\u00e8se
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Rarement, des patients prenant des IEC ont pr\u00e9sent\u00e9 des r\u00e9actions anaphylacto\u00efdes, pouvant \u00eatre fatales, lors d’une aph\u00e9r\u00e8se des LDL avec adsorption sur du sulfate de dextran. <\/li> - Ces r\u00e9actions ont pu \u00eatre \u00e9vit\u00e9es chez les patients en suspendant temporairement le traitement par IEC avant chaque aph\u00e9r\u00e8se.<\/li>
\n
- Patient en h\u00e9modialyse
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Des r\u00e9actions anaphylacto\u00efdes ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es chez des patients dialys\u00e9s avec des membranes de haute perm\u00e9abilit\u00e9 (ex, AN 69 \u00ae) et trait\u00e9s avec un IEC. Il conviendra d’utiliser un autre type de membrane de dialyse ou une autre classe d’antihypertenseur chez ces patients.<\/li>
\n - Grossesse
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Les IEC ne doivent pas \u00eatre d\u00e9but\u00e9s au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit consid\u00e9r\u00e9 comme essentiel, il est recommand\u00e9 aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un m\u00e9dicament ayant un profil de s\u00e9curit\u00e9 bien \u00e9tabli pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9 imm\u00e9diatement et si n\u00e9cessaire un traitement alternatif sera d\u00e9but\u00e9. (voir Contre-indications, Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi).<\/li>
\n - H\u00e9patopathie
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : En cas d’atteinte h\u00e9patique, les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s peuvent induire une enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique. Dans ce cas, l’administration du diur\u00e9tique doit \u00eatre imm\u00e9diatement interrompue.<\/li>
\n - Risque de photosensibilisation
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Des cas de photosensibilit\u00e9 ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s avec des diur\u00e9tiques thiazidiques ou apparent\u00e9s (cf Effets ind\u00e9sirables). Si une r\u00e9action de photosensibilit\u00e9 survient pendant le traitement, il est recommand\u00e9 de l’interrompre. Si l’administration d’un diur\u00e9tique est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, il est recommand\u00e9 de prot\u00e9ger les zones expos\u00e9es du soleil et des UVA artificiels.<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : – Des cas de neutrop\u00e9nie\/agranulocytose, de thrombocytop\u00e9nie et d’an\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est rare qu’une neutrop\u00e9nie survienne chez les patients ayant une fonction r\u00e9nale normale et aucun autre facteur de risque. Le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 avec pr\u00e9caution chez des patients pr\u00e9sentant une maladie vasculaire du collag\u00e8ne, recevant un traitement immunosuppresseur, de l’allopurinol ou du proca\u00efnamide, ou une association de ces facteurs de risque, en particulier s’il existe une alt\u00e9ration pr\u00e9existante de la fonction r\u00e9nale. Certains de ces patients ont pr\u00e9sent\u00e9 des infections s\u00e9rieuses, qui, dans quelques cas, ne r\u00e9pondaient pas \u00e0 une antibioth\u00e9rapie intensive. Si le p\u00e9rindopril doit \u00eatre utilis\u00e9 chez de tels patients, une surveillance r\u00e9guli\u00e8re de la formule sanguine (comptage des globules blancs) est conseill\u00e9e et les patients devront \u00eatre pr\u00e9venus de signaler tout signe d’infection (ex : mal de gorge, fi\u00e8vre). <\/li> - – Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril. Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales. Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (cf Interactions m\u00e9dicamenteuses).
<\/li> - Li\u00e9e \u00e0 l’association :
En cas d’insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re (clairance de la cr\u00e9atinine < 30 ml\/mn), le traitement est contre-indiqu\u00e9. <\/li> - Chez certains patients hypertendus sans l\u00e9sion r\u00e9nale apparente pr\u00e9existante et dont le bilan t\u00e9moigne d’une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle, le traitement doit \u00eatre interrompu et \u00e9ventuellement repris soit \u00e0 posologie r\u00e9duite soit avec un seul des constituants.
<\/li> - Chez ces patients, la pratique m\u00e9dicale courante comprend un contr\u00f4le p\u00e9riodique du potassium et de la cr\u00e9atinine, apr\u00e8s 15 jours de traitement puis tous les 2 mois en p\u00e9riode de stabilit\u00e9 th\u00e9rapeutique. L’insuffisance r\u00e9nale a \u00e9t\u00e9 principalement rapport\u00e9e chez les patients en insuffisance cardiaque s\u00e9v\u00e8re ou pr\u00e9sentant une insuffisance r\u00e9nale sous-jacente, avec st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale.
<\/li> - Ce m\u00e9dicament est g\u00e9n\u00e9ralement d\u00e9conseill\u00e9 en cas de st\u00e9nose bilat\u00e9rale de l’art\u00e8re r\u00e9nale ou de rein fonctionnel unique.<\/li>
\n
- Risque d’insuffisance r\u00e9nale
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.<\/li>
\n
- D\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.
<\/li> - Li\u00e9e \u00e0 l’association :
Il existe un risque d’hypotension soudaine en cas de d\u00e9pl\u00e9tion sodique pr\u00e9existante (en particulier chez les patients pr\u00e9sentant une st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale). Les signes cliniques de d\u00e9s\u00e9quilibre hydro\u00e9lectrolytique, pouvant survenir \u00e0 l’occasion d’un \u00e9pisode intercurrent de diarrh\u00e9e ou de vomissements, seront donc syst\u00e9matiquement recherch\u00e9s. Une surveillance r\u00e9guli\u00e8re des \u00e9lectrolytes plasmatiques sera effectu\u00e9e chez de tels patients. <\/li> - Une hypotension importante peut n\u00e9cessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de s\u00e9rum sal\u00e9 isotonique.
<\/li> - Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication \u00e0 la poursuite du traitement. Apr\u00e8s r\u00e9tablissement d’une vol\u00e9mie et d’une pression art\u00e9rielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit \u00e0 posologie r\u00e9duite soit avec un seul des constituants.<\/li>
\n
- Risque d’hypotension art\u00e9rielle
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.
<\/li> - Li\u00e9e \u00e0 l’association :
Il existe un risque d’hypotension soudaine en cas de d\u00e9pl\u00e9tion sodique pr\u00e9existante (en particulier chez les patients pr\u00e9sentant une st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale). Les signes cliniques de d\u00e9s\u00e9quilibre hydro\u00e9lectrolytique, pouvant survenir \u00e0 l’occasion d’un \u00e9pisode intercurrent de diarrh\u00e9e ou de vomissements, seront donc syst\u00e9matiquement recherch\u00e9s. Une surveillance r\u00e9guli\u00e8re des \u00e9lectrolytes plasmatiques sera effectu\u00e9e chez de tels patients. <\/li> - Une hypotension importante peut n\u00e9cessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de s\u00e9rum sal\u00e9 isotonique.
<\/li> - Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication \u00e0 la poursuite du traitement. Apr\u00e8s r\u00e9tablissement d’une vol\u00e9mie et d’une pression art\u00e9rielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit \u00e0 posologie r\u00e9duite soit avec un seul des constituants.<\/li>
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- Trouble hydro\u00e9lectrolytique
Li\u00e9e \u00e0 l’association : Il existe un risque d’hypotension soudaine en cas de d\u00e9pl\u00e9tion sodique pr\u00e9existante (en particulier chez les patients pr\u00e9sentant une st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale). Les signes cliniques de d\u00e9s\u00e9quilibre hydro\u00e9lectrolytique, pouvant survenir \u00e0 l’occasion d’un \u00e9pisode intercurrent de diarrh\u00e9e ou de vomissements, seront donc syst\u00e9matiquement recherch\u00e9s. Une surveillance r\u00e9guli\u00e8re des \u00e9lectrolytes plasmatiques sera effectu\u00e9e chez de tels patients. <\/li> - Une hypotension importante peut n\u00e9cessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de s\u00e9rum sal\u00e9 isotonique.
<\/li> - Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication \u00e0 la poursuite du traitement. Apr\u00e8s r\u00e9tablissement d’une vol\u00e9mie et d’une pression art\u00e9rielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit \u00e0 posologie r\u00e9duite soit avec un seul des constituants.<\/li>
\n
- Risque d’hypokali\u00e9mie
– Li\u00e9 \u00e0 l’association : L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokali\u00e9mie, notamment chez les patients diab\u00e9tiques ou insuffisants r\u00e9naux. Comme avec tout antihypertenseur contenant un diur\u00e9tique, un contr\u00f4le r\u00e9gulier du potassium plasmatique sera effectu\u00e9. <\/li> - – Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide :
Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris et\/ ou polym\u00e9diqu\u00e9s, les cirrhotiques avec oed\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e8mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Risque de toux
Li\u00e9 au perindopril : Une toux s\u00e8che a \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9e avec l’utilisation des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Elle est caract\u00e9ris\u00e9e par sa persistance ainsi que par sa disparition \u00e0 l’arr\u00eat du traitement. L’\u00e9tiologie iatrog\u00e9nique doit \u00eatre envisag\u00e9e en pr\u00e9sence de ce sympt\u00f4me. Dans le cas o\u00f9 la prescription d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion s’av\u00e8re indispensable, la poursuite du traitement peut \u00eatre envisag\u00e9e.<\/li>
\n - Enfant de moins de 15 ans
Li\u00e9 au perindopril : L’efficacit\u00e9 et la tol\u00e9rance du perindopril chez l’enfant et l’adolescent, seul ou associ\u00e9, n’ont pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tablies.<\/li>
\n - Sujet \u00e2g\u00e9
— Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : – La fonction r\u00e9nale et la kali\u00e9mie sont appr\u00e9ci\u00e9es avant le d\u00e9but du traitement. La posologie initiale est ajust\u00e9e ult\u00e9rieurement en fonction de la r\u00e9ponse tensionnelle, particuli\u00e8rement en cas de d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e, afin d’\u00e9viter toute hypotension de survenue brutale. <\/li> - – Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril. Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (cf Interactions m\u00e9dicamenteuses).
<\/li> - — Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide :
– La natr\u00e9mie doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers. Tout traitement diur\u00e9tique peut provoquer une hyponatr\u00e9mie aux cons\u00e9quences parfois graves. La baisse de la natr\u00e9mie pouvant \u00eatre initialement asymptomatique, t un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable et doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent chez les sujets \u00e2g\u00e9s et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). <\/li> - – Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certainespopulations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris et\/ou polym\u00e9diqu\u00e9s, les cirrhotiques avec oed\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
<\/li> - Dans ces cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1re semaine de traitement.
<\/li> - La constatation d’une hypokali\u00e9mie n\u00e9cessite sa correction.
<\/li> - Li\u00e9 au p\u00e9rindopril :
– La fonction r\u00e9nale et la kali\u00e9mie doivent \u00eatre \u00e9valu\u00e9es avant le d\u00e9but du traitement. La posologie initiale sera ajust\u00e9e ult\u00e9rieurement en fonction de la r\u00e9ponse tensionnelle, particuli\u00e8rement en cas de d\u00e9pl\u00e9tion hydrosod\u00e9e, afin d’\u00e9viter toute survenue brutale d’une hypotension. <\/li> - – Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril.
<\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (\/ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).
<\/li> - Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide :
– La natr\u00e9mie doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers. Tout traitement diur\u00e9tique peut provoquer une diminution des taux de sodium susceptibles d’avoir de graves cons\u00e9quences. La baisse de la natr\u00e9mie peut initialement \u00eatre asymptomatique et un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable. Il doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent chez les sujets \u00e2g\u00e9s et les cirrhotiques (voir Effets secondaires et Surdosage). <\/li> - – Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec oed\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques.
<\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.
<\/li> - Fonction r\u00e9nale et diur\u00e9tiques :
– Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction r\u00e9nale est normale ou peu alt\u00e9r\u00e9e (cr\u00e9atinin\u00e9mie inf\u00e9rieure \u00e0 des valeurs de l’ordre de 25 mg\/l, soit < \u00e0 220 \u00b5mol\/l pour un adulte). Chez le sujet \u00e2g\u00e9, la valeur de la cr\u00e9atinin\u00e9mie doit \u00eatre ajust\u00e9e pour tenir compte de l’\u00e2ge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft : Clcr = (140 – \u00e2ge) \u00d7 poids\/0,814 \u00d7 cr\u00e9atinin\u00e9mie (avec : l’\u00e2ge exprim\u00e9 en ann\u00e9es, le poids en kg, la cr\u00e9atinin\u00e9mie en \u00b5mol\/l. <\/li> - Cette formule est valable pour les sujets \u00e2g\u00e9s de sexe masculin et doit \u00eatre corrig\u00e9e pour les femmes en multipliant le r\u00e9sultat par 0,85.
<\/li> - L’hypovol\u00e9mie, r\u00e9sultant de la perte en eau et en sodium provoqu\u00e9e par le diur\u00e9tique en d\u00e9but de traitement entra\u00eene une r\u00e9duction de la filtration glom\u00e9rulaire. Il peut en r\u00e9sulter une augmentation des taux plasmatiques d’ur\u00e9e et de cr\u00e9atinine. Cette insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle transitoire est sans cons\u00e9quence chez les patients dont la fonction r\u00e9nale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance r\u00e9nale pr\u00e9existante.<\/li>
\n
- Insuffisance vasculaire c\u00e9r\u00e9brale
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Le risque d’hypotension existe chez tous les patients, mais une attention particuli\u00e8re sera apport\u00e9e aux patients pr\u00e9sentant une insuffisance circulatoire c\u00e9r\u00e9brale, en initiant le traitement \u00e0 faible dose.<\/li>
\n - Insuffisance cardiaque congestive
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : – Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.
<\/li> - – Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril.
<\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (\/ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).<\/li>
\n
- Diab\u00e8te insulinod\u00e9pendant
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Chez les patients diab\u00e9tiques sous antidiab\u00e9tiques oraux ou insuline, la glyc\u00e9mie doit \u00eatre \u00e9troitement surveill\u00e9e, en particulier pendant le premier mois de traitement avec un IEC. <\/li> - Le contr\u00f4le de la glyc\u00e9mie est important chez les patients diab\u00e9tiques, en particulier lorsque les taux de potassium plasmatiques sont bas.<\/li>
\n
- Intervention chirurgicale
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Les IEC sont susceptibles de provoquer une hypotension en cas d’anesth\u00e9sie, en particulier si l’agent anesth\u00e9sique utilis\u00e9 poss\u00e8de un potentiel hypotenseur. <\/li> - Il est donc recommand\u00e9 d’interrompre les IEC de longue dur\u00e9e d’action comme le p\u00e9rindopril si possible la veille de l’intervention.<\/li>
\n
- Anesth\u00e9sie
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Les IEC sont susceptibles de provoquer une hypotension en cas d’anesth\u00e9sie, en particulier si l’agent anesth\u00e9sique utilis\u00e9 poss\u00e8de un potentiel hypotenseur. <\/li> - Il est donc recommand\u00e9 d’interrompre les IEC de longue dur\u00e9e d’action comme le p\u00e9rindopril si possible la veille de l’intervention.<\/li>
\n
- Cardiomyopathie hypertrophique
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec prudence chez les patients pr\u00e9sentant une obstruction au niveau du syst\u00e8me d’\u00e9jection du ventricule gauche.<\/li>
\n - R\u00e9tr\u00e9cissement mitral
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec prudence chez les patients pr\u00e9sentant une obstruction au niveau du syst\u00e8me d’\u00e9jection du ventricule gauche.<\/li>
\n - R\u00e9tr\u00e9cissement aortique
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec prudence chez les patients pr\u00e9sentant une obstruction au niveau du syst\u00e8me d’\u00e9jection du ventricule gauche.<\/li>
\n - Insuffisance coronarienne
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Sujet ayant une ath\u00e9roscl\u00e9rose connue : Le risque d’hypotension existe chez tous les patients, mais une attention particuli\u00e8re sera apport\u00e9e aux patients pr\u00e9sentant une cardiopathie isch\u00e9mique ou une insuffisance circulatoire c\u00e9r\u00e9brale, en initiant le traitement \u00e0 faible dose. <\/li> - Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide :
Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec \u0153d\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Risque d’hyponatr\u00e9mie
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Elle doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers. Tout traitement diur\u00e9tique peut provoquer une diminution des taux de sodium susceptibles d’avoir de graves cons\u00e9quences. La baisse de la natr\u00e9mie peut initialement \u00eatre asymptomatique et un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable. Il doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent chez les sujets \u00e2g\u00e9s et les cirrhotiques (voir Effets ind\u00e9sirables et Surdosage).<\/li>
\n - Surveillance de la kali\u00e9mie pendant le traitement
Li\u00e9e \u00e0 l’association : L’association de p\u00e9rindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokali\u00e9mie, notamment chez les patients diab\u00e9tiques ou insuffisants r\u00e9naux. Comme avec tout antihypertenseur contenant un diur\u00e9tique, un contr\u00f4le r\u00e9gulier du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9.<\/li>
\n - Risque d’hyperkali\u00e9mie
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril. <\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (\/ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).<\/li>
\n
- Diab\u00e8te
– Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : – Chez les patients diab\u00e9tiques sous antidiab\u00e9tiques oraux ou insuline, la glyc\u00e9mie doit \u00eatre \u00e9troitement surveill\u00e9e, en particulier pendant le premier mois de traitement avec un IEC. <\/li> - – Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril.
<\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).
<\/li> - – Li\u00e9 \u00e0 l’association :
L’association de perindopril et d’indapamide n’exclut pas la survenue d’une hypokali\u00e9mie, notamment chez les patients diab\u00e9tiques ou insuffisants r\u00e9naux. Comme avec tout antihypertenseur contenant un diur\u00e9tique, un contr\u00f4le r\u00e9gulier du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9. <\/li> - – Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide :
Le contr\u00f4le de la glyc\u00e9mie est important chez les diab\u00e9tiques, en particulier lorsque les taux de potassium plasmatiques sont bas.<\/li>
\n - Insuffisance h\u00e9patique
Li\u00e9es \u00e0 l’indapamide : Si la fonction h\u00e9patique est alt\u00e9r\u00e9e, les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s peuvent induire une enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique. Dans ce cas, l’administration du diur\u00e9tique doit \u00eatre imm\u00e9diatement interrompue. <\/li> - Li\u00e9e au p\u00e9rindopril :
Les IEC ont \u00e9t\u00e9 rarement associ\u00e9s \u00e0 un syndrome commen\u00e7ant par une jaunisse cholestatique et pouvant conduire \u00e0 une h\u00e9patite n\u00e9crosante fulminante et (parfois) \u00e0 la mort. Le m\u00e9canisme de ce syndrome n’est pas \u00e9lucid\u00e9. Les patients sous IEC qui d\u00e9veloppent une jaunisse ou qui pr\u00e9sentent une \u00e9l\u00e9vation marqu\u00e9e des enzymes h\u00e9patiques doivent arr\u00eater le traitement par IEC et b\u00e9n\u00e9ficier d’une surveillance m\u00e9dicale appropri\u00e9e (cf Effets ind\u00e9sirables).<\/li>
\n - St\u00e9nose art\u00e9rielle r\u00e9nale
Li\u00e9e \u00e0 l’association : Il existe un risque d’hypotension soudaine en cas de d\u00e9pl\u00e9tion sodique pr\u00e9existante (en particulier chez les patients pr\u00e9sentant une st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale). Les signes cliniques de d\u00e9s\u00e9quilibre hydro\u00e9lectrolytique, pouvant survenir \u00e0 l’occasion d’un \u00e9pisode intercurrent de diarrh\u00e9e ou de vomissements, seront donc syst\u00e9matiquement recherch\u00e9s. Une surveillance r\u00e9guli\u00e8re des \u00e9lectrolytes plasmatiques sera effectu\u00e9e chez de tels patients. <\/li> - Une hypotension importante peut n\u00e9cessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de s\u00e9rum sal\u00e9 isotonique.
<\/li> - Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication \u00e0 la poursuite du traitement. Apr\u00e8s r\u00e9tablissement d’une vol\u00e9mie et d’une pression art\u00e9rielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit \u00e0 posologie r\u00e9duite soit avec un seul des constituants.
<\/li> - – Li\u00e9 au p\u00e9rindopril :
Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.<\/li>
\n
- Acidose m\u00e9tabolique
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril. <\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (\/ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).<\/li>
\n
- D\u00e9shydratation
Li\u00e9 au p\u00e9rindopril : Des \u00e9l\u00e9vations de la kali\u00e9mie ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es chez certains patients trait\u00e9s avec des IEC, dont p\u00e9rindopril. <\/li> - Les facteurs de risque d’hyperkali\u00e9mie sont une insuffisance r\u00e9nale, une d\u00e9gradation de la fonction r\u00e9nale, l’\u00e2ge (> 70 ans), le diab\u00e8te, les \u00e9v\u00e9nements intercurrents tels que d\u00e9shydratation, d\u00e9compensation cardiaque aigu\u00eb, acidose m\u00e9tabolique, utilisation concomitante de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium (par ex : spironolactone, eplerenone, triamt\u00e9r\u00e8ne, amiloride), de suppl\u00e9ments potassiques ou de substituts du sel contenant du potassium ou la prise d’autres traitements augmentant la kali\u00e9mie (\/ex : h\u00e9parine). L’utilisation de suppl\u00e9ments potassiques, de diur\u00e9tiques \u00e9pargneurs de potassium, ou de substituts de sel contenant du potassium, en particulier chez des patients ayant une fonction r\u00e9nale alt\u00e9r\u00e9e, peut provoquer une \u00e9l\u00e9vation significative de la kali\u00e9mie. L’hyperkali\u00e9mie peut entra\u00eener des arythmies graves, parfois fatales.
<\/li> - Si l’utilisation concomitante des agents mentionn\u00e9s ci-dessus est jug\u00e9e n\u00e9cessaire, ils doivent \u00eatre utilis\u00e9s avec pr\u00e9caution et un contr\u00f4le fr\u00e9quent de la kali\u00e9mie doit \u00eatre effectu\u00e9 (voir Interactions m\u00e9dicamenteuses).<\/li>
\n
- Cirrhose h\u00e9patique d\u00e9compens\u00e9e
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Une stimulation importante du syst\u00e8me r\u00e9nine-angiotensine-aldost\u00e9rone a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e en particulier au cours des d\u00e9pl\u00e9tions hydrosod\u00e9es importantes (r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict ou traitement diur\u00e9tique prolong\u00e9), chez les patients dont la pression art\u00e9rielle \u00e9tait initialement basse, en cas de st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale, d’insuffisance cardiaque congestive ou de cirrhose \u0153d\u00e9mato-ascitique. <\/li> - Le blocage de ce syst\u00e8me par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la premi\u00e8re prise et au cours des deux premi\u00e8res semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et\/ou, une \u00e9l\u00e9vation de la cr\u00e9atinine plasmatique traduisant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle. Occasionnellement, ceci peut survenir, bien que rarement, de fa\u00e7on aigu\u00eb \u00e0 tout moment du traitement.
<\/li> - Chez ces patients, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 \u00e0 faible dose et augment\u00e9 progressivement.
<\/li> - Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide :
Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec \u0153d\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Hypertension r\u00e9novasculaire
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Le traitement de l’hypertension arterielle r\u00e9novasculaire est la revascularisation. N\u00e9anmoins, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion peuvent \u00eatre utiles chez les patients pr\u00e9sentant une hypertension r\u00e9novasculaire dans l’attente d’une intervention correctrice ou lorsque cette intervention n’est pas possible. <\/li> - Si ce m\u00e9dicament est prescrit \u00e0 des patients ayant une st\u00e9nose de l’art\u00e8re r\u00e9nale connue ou suspect\u00e9e, le traitement doit \u00eatre instaur\u00e9 \u00e0 l’h\u00f4pital avec une dose faible et une surveillance de la fonction r\u00e9nale et de la kali\u00e9mie doit \u00eatre exerc\u00e9e, certains patients ayant d\u00e9velopp\u00e9 une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle, r\u00e9versible \u00e0 l’arr\u00eat du traitement.<\/li>
\n
- Insuffisance cardiaque s\u00e9v\u00e8re
Li\u00e9e au p\u00e9rindopril : Chez les patients en insuffisance cardiaque s\u00e9v\u00e8re (stade IV), l’instauration du traitement se fera sous surveillance m\u00e9dicale avec une posologie initiale r\u00e9duite. Ne pas interrompre un traitement par b\u00eata bloquant chez un hypertendu atteint d’insuffisance coronarienne : l’IEC doit \u00eatre ajout\u00e9 au b\u00eatabloquant.<\/li>
\n - Surveillance de la natr\u00e9mie avant et pendant le traitement
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Elle doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers. Tout traitement diur\u00e9tique peut provoquer une hyponatr\u00e9mie aux cons\u00e9quences parfois graves. La baisse de la natr\u00e9mie pouvant \u00eatre initialement asymptomatique, un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable et doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent chez les sujets \u00e2g\u00e9s et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).<\/li>
\n - Risque d’hypercalc\u00e9mie
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s sont susceptibles de diminuer l’excr\u00e9tion urinaire du calcium et d’entra\u00eener une augmentation l\u00e9g\u00e8re et transitoire de la calc\u00e9mie. Une hypercalc\u00e9mie franche peut \u00eatre en rapport avec une hyperparathyro\u00efdie m\u00e9connue. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyro\u00efdienne.<\/li>
\n - Hyperuric\u00e9mie
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Chez les patients hyperuric\u00e9miques, la tendance aux acc\u00e8s de goutte peut \u00eatre augment\u00e9e.<\/li>
\n - Risque d’augmentation de l’ur\u00e9mie
Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide : Fonction r\u00e9nale et diur\u00e9tiques : Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction r\u00e9nale est normale ou peu alt\u00e9r\u00e9e (cr\u00e9atinin\u00e9mie inf\u00e9rieure \u00e0 des valeurs de l’ordre de 25 mg\/l, soit < 220 \u00b5mol\/l pour un adulte). Chez le sujet \u00e2g\u00e9, la valeur de la cr\u00e9atinin\u00e9mie doit \u00eatre ajust\u00e9e pour tenir compte de l’\u00e2ge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft : Clcr = (140 – \u00e2ge) \u00d7 poids\/0,814 \u00d7 cr\u00e9atinin\u00e9mie (avec : l’\u00e2ge exprim\u00e9 en ann\u00e9es, le poids corporel en kilogrammes et la concentration plasmatique de cr\u00e9atinine en \u00b5mol\/l). <\/li> - Cette formule est valable pour les sujets \u00e2g\u00e9s de sexe masculin et doit \u00eatre corrig\u00e9e pour les femmes en multipliant le r\u00e9sultat par 0,85.
<\/li> - L’hypovol\u00e9mie, r\u00e9sultant de la perte en eau et en sodium provoqu\u00e9e par le diur\u00e9tique en d\u00e9but de traitement entra\u00eene une r\u00e9duction de la filtration glom\u00e9rulaire. Il peut en r\u00e9sulter une augmentation des taux plasmatiques d’ur\u00e9e et de cr\u00e9atinine. Cette insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle transitoire est sans cons\u00e9quence chez les patients dont la fonction r\u00e9nale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance r\u00e9nale pr\u00e9existante.<\/li>
\n
- Risque d’augmentation de la cr\u00e9atinin\u00e9mie
Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide : Fonction r\u00e9nale et diur\u00e9tiques : Les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction r\u00e9nale est normale ou peu alt\u00e9r\u00e9e (cr\u00e9atinin\u00e9mie inf\u00e9rieure \u00e0 des valeurs de l’ordre de 25 mg\/l, soit < 220 \u00b5mol\/l pour un adulte). Chez le sujet \u00e2g\u00e9, la valeur de la cr\u00e9atinin\u00e9mie doit \u00eatre ajust\u00e9e pour tenir compte de l’\u00e2ge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockroft : Clcr = (140 – \u00e2ge) \u00d7 poids\/0,814 \u00d7 cr\u00e9atinin\u00e9mie (avec : l’\u00e2ge exprim\u00e9 en ann\u00e9es, le poids corporel en kilogrammes et la concentration plasmatique de cr\u00e9atinine en \u00b5mol\/l). <\/li> - Cette formule est valable pour les sujets \u00e2g\u00e9s de sexe masculin et doit \u00eatre corrig\u00e9e pour les femmes en multipliant le r\u00e9sultat par 0,85.
<\/li> - L’hypovol\u00e9mie, r\u00e9sultant de la perte en eau et en sodium provoqu\u00e9e par le diur\u00e9tique en d\u00e9but de traitement entra\u00eene une r\u00e9duction de la filtration glom\u00e9rulaire. Il peut en r\u00e9sulter une augmentation des taux plasmatiques d’ur\u00e9e et de cr\u00e9atinine. Cette insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle transitoire est sans cons\u00e9quence chez les patients dont la fonction r\u00e9nale est normale mais peut cependant aggraver une insuffisance r\u00e9nale pr\u00e9existante.<\/li>
\n
- Cirrhose
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Elle doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e avant la mise en route du traitement, puis \u00e0 intervalles r\u00e9guliers. Tout traitement diur\u00e9tique peut provoquer une diminution des taux de sodium susceptibles d’avoir de graves cons\u00e9quences. La baisse de la natr\u00e9mie peut initialement \u00eatre asymptomatique et un contr\u00f4le r\u00e9gulier est donc indispensable. Il doit \u00eatre encore plus fr\u00e9quent chez les sujets \u00e2g\u00e9s et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).<\/li>
\n - Sujet d\u00e9nutri
Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide : Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec \u0153d\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Insuffisance cardiaque
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec \u0153d\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Allongement de l’espace QT
Li\u00e9e \u00e0 l’indapamide : Une d\u00e9pl\u00e9tion potassique avec hypokali\u00e9mie constitue un risque majeur avec les diur\u00e9tiques thiazidiques et apparent\u00e9s. Le risque de survenue d’une hypokali\u00e9mie (< 3,4 mmol\/l) doit \u00eatre pr\u00e9venu dans certaines populations \u00e0 haut risque telles que les sujets \u00e2g\u00e9s et\/ou d\u00e9nutris qu’ils soient polym\u00e9dicament\u00e9s ou non, les cirrhotiques avec \u0153d\u00e8mes et ascite, les coronariens et les insuffisants cardiaques. <\/li> - Dans de tels cas, l’hypokali\u00e9mie majore la toxicit\u00e9 cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
<\/li> - Les sujets pr\u00e9sentant un espace QT long sont \u00e9galement \u00e0 risque, que l’origine en soit cong\u00e9nitale ou iatrog\u00e9nique. L’hypokali\u00e9mie, de m\u00eame que la bradycardie, agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme s\u00e9v\u00e8res, en particulier des torsades de pointe, potentiellement fatales.
<\/li> - Dans tous les cas, des contr\u00f4les plus fr\u00e9quents de la kali\u00e9mie sont n\u00e9cessaires. Le premier contr\u00f4le du potassium plasmatique doit \u00eatre effectu\u00e9 au cours de la 1\u00e8re semaine de traitement.
<\/li> - Si une hypokali\u00e9mie est d\u00e9tect\u00e9e, elle doit \u00eatre corrig\u00e9e.<\/li>
\n
- Sportif
Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide : L’attention des sportifs est attir\u00e9e sur le fait que cette sp\u00e9cialit\u00e9 contient un principe actif pouvant induire une r\u00e9action positive des tests pratiqu\u00e9s lors des contr\u00f4les antidopage.<\/li>
\n - Administrer le matin
\n<\/li>
\n - Administrer avant le repas
\n<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : boldo
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : bourdaine
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : cascara
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : rhubarbe
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : ricin
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : s\u00e9n\u00e9
– Niveau de gravit\u00e9 : Pr\u00e9caution d’emploi – Nature du risque : Risque major\u00e9 d’hypokali\u00e9mie. <\/li> - – Conduite \u00e0 tenir :
Surveillance de la kali\u00e9mie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.<\/li>
\n<\/ul>
\n
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\n
\n-
\nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses
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\n<\/dl>
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\n
\n
\n
\n\u00a0Grossesse :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- Compte tenu des effets respectifs de chacune des deux substances pr\u00e9sentes dans l’association, sur la grossesse et l’allaitement, l’utilisation de ce m\u00e9dicament n’est pas recommand\u00e9e pendant le premier trimestre de grossesse. Ce m\u00e9dicament est contre-indiqu\u00e9 pendant le deuxi\u00e8me et troisi\u00e8me trimestre de la grossesse.
- * Li\u00e9 au p\u00e9rindopril
L’utilisation des IEC est d\u00e9conseill\u00e9e pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi). L’utilisation des IEC est contre-indiqu\u00e9e aux 2\u00e8me et 3\u00e8me trimestres de la grossesse (voir Contre-indications, Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi) Les donn\u00e9es \u00e9pid\u00e9miologiques disponibles concernant le risque de malformation apr\u00e8s exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations cong\u00e9nitales ne peut \u00eatre exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit consid\u00e9r\u00e9 comme essentiel, il est recommand\u00e9 aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un m\u00e9dicament ayant un profil de s\u00e9curit\u00e9 bien \u00e9tabli pendant la grossesse. <\/li> - En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9 imm\u00e9diatement et si n\u00e9cessaire un traitement alternatif sera d\u00e9but\u00e9.
<\/li> - L’exposition aux IEC au cours des 2\u00e8me et 3\u00e8me trimestres de la grossesse est connue pour entra\u00eener une foetotoxicit\u00e9 (diminution de la fonction r\u00e9nale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du cr\u00e2ne) et une toxicit\u00e9 chez le nouveau-n\u00e9 (insuffisance r\u00e9nale, hypotension, hyperkali\u00e9mie) (voir S\u00e9curit\u00e9 pr\u00e9clinique). En cas d’exposition \u00e0 un IEC \u00e0 partir du 2\u00e8me trimestre de la grossesse, il est recommand\u00e9 d’effectuer une \u00e9chographie foetale afin de v\u00e9rifier la fonction r\u00e9nale et les os de la vo\u00fbte du cr\u00e2ne. Les nouveau-n\u00e9s de m\u00e8re trait\u00e9e par IEC doivent \u00eatre surveill\u00e9s sur le plan tensionnel (voir Contre-indications, Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi).
<\/li> - * Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide
Une exposition prolong\u00e9e aux diur\u00e9tiques thiazidiques pendant le troisi\u00e8me trimestre de la grossesse peut r\u00e9duire le volume plasmatique maternel et le d\u00e9bit sanguin ut\u00e9ro-placentaire pouvant entra\u00eener une isch\u00e9mie foeto-placentaire et un retard de croissance. De plus, de rares cas d’hypoglyc\u00e9mie et de thrombocytop\u00e9nie n\u00e9onatales ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s suite \u00e0 une exposition proche du terme.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n\u00a0Allaitement :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- Ce m\u00e9dicament est contre-indiqu\u00e9 pendant l’allaitement, c’est pourquoi une solution doit \u00eatre envisag\u00e9e, soit interrompre l’allaitement, soit interrompre le traitement en prenant en compte l’importance de ce traitement pour la m\u00e8re.
- * Li\u00e9 au p\u00e9rindopril
En raison de l’absence d’information disponible sur l’utilisation du perindopril au cours de l’allaitement, ce m\u00e9dicament est d\u00e9conseill\u00e9. Il est pr\u00e9f\u00e9rable d’utiliser d’autres traitements ayant un profil de s\u00e9curit\u00e9 bien \u00e9tabli pendant l’allaitement, particuli\u00e8rement chez le nouveau-n\u00e9 ou le pr\u00e9matur\u00e9. <\/li> - * Li\u00e9 \u00e0 l’indapamide
L’indapamide est excr\u00e9t\u00e9 dans le lait maternel. L’indapamide est \u00e9troitement li\u00e9 aux diur\u00e9tiques thiazidiques qui sont impliqu\u00e9s dans la r\u00e9duction ou m\u00eame la suppression de lait au cours de l’allaitement. Une hypersensibilit\u00e9 aux produits d\u00e9riv\u00e9s du sulfonamide, une hypokali\u00e9mie et un ict\u00e8re nucl\u00e9aire du nouveau-n\u00e9 peuvent survenir.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
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\n
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\n- Li\u00e9s au p\u00e9rindopril, \u00e0 l’indapamide et \u00e0 ce m\u00e9dicament :
Les deux constituants, pris s\u00e9par\u00e9ment ou associ\u00e9s dans ce m\u00e9dicament ne modifient pas l’aptitude \u00e0 conduire des v\u00e9hicules ou \u00e0 utiliser des machines mais des r\u00e9actions individuelles en relation avec une baisse de la pression art\u00e9rielle peuvent survenir chez certains patients, sp\u00e9cialement en d\u00e9but de traitement ou lors de l’association \u00e0 un autre m\u00e9dicament antihypertenseur.
- Par cons\u00e9quent, l’aptitude \u00e0 conduire des v\u00e9hicules ou \u00e0 utiliser des machines peut \u00eatre diminu\u00e9e.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
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\n
\n
\n
\n- Hypokali\u00e9mie
\n
\n- Diabetique,\u00a0Insuffisance r\u00e9nale.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Thrombop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Leucop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Neutrop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Agranulocytose\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie aplastique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie h\u00e9molytique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n
\n- Hemodialyse,\u00a0Transplant\u00e9 r\u00e9nal.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Trouble de l’humeur\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Trouble du sommeil\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Paresth\u00e9sie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - C\u00e9phal\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Asth\u00e9nie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Sensation de vertige\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Vertige\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Confusion mentale\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Vision (modification)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Acouph\u00e8ne\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hypotension orthostatique\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hypotension art\u00e9rielle\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Arythmie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Bradycardie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Tachycardie ventriculaire\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Fibrillation auriculaire\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Angor\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Infarctus du myocarde\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Toux s\u00e8che\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dyspn\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Bronchospasme\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Pneumopathie \u00e0 \u00e9osinophiles\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Rhinite\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Constipation\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hyposialie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Naus\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur \u00e9pigastrique\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Anorexie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Vomissement\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur abdominale\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dysgueusie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dyspepsie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Diarrh\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Pancr\u00e9atite\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - H\u00e9patite cytolytique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - H\u00e9patite cholestatique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Enc\u00e9phalopathie h\u00e9patique
\n
\n- Insuffisance hepatique.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Eruption cutan\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Prurit\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Eruption maculopapuleuse\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Oed\u00e8me de Quincke\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Urticaire\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hypersensibilit\u00e9\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n
\n- Asthmatique,\u00a0Terrain allergique.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Purpura\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Lupus \u00e9ryth\u00e9mateux aigu diss\u00e9min\u00e9 (aggravation)\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Eryth\u00e8me polymorphe\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Lyell\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Stevens-Johnson\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Photosensibilisation
\n<\/li>
\n - Crampe\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale aigu\u00eb\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Impuissance\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hypersudation\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hyponatr\u00e9mie
\n<\/li>
\n - Hypovol\u00e9mie
\n<\/li>
\n - D\u00e9shydratation
\n<\/li>
\n - Hyperuric\u00e9mie
\n<\/li>
\n - Hyperglyc\u00e9mie
\n<\/li>
\n - Ur\u00e9mie (augmentation)
\n<\/li>
\n - Cr\u00e9atinin\u00e9mie (augmentation)
\n<\/li>
\n - Hyperkali\u00e9mie
\n<\/li>
\n - Hypercalc\u00e9mie\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nClassement ATC :\u00a0<\/b>
\n
\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0C09BA04 \/ PERINDOPRIL ET DIURETIQUES<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nClassement Vidal :\u00a0<\/b>
\n
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Inhibiteur de l’enzyme de conversion + diur\u00e9tique thiazidique : p\u00e9rindopril + indapamide
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\nListe I<\/b>
\n
\n-
\nCIP : 3450867<\/b>\u00a0(PERINDOPRIL\/INDAPAMIDE BIOGARAN 2 mg\/0,625 mg cp s\u00e9c : Plq\/30).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : officines
Rembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nCIP : 3450896<\/b>\u00a0(PERINDOPRIL\/INDAPAMIDE BIOGARAN 2 mg\/0,625 mg cp s\u00e9c : Plq\/90).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : officines
Rembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
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