\nceftriaxone sodique<\/b><\/font><\/td> | 1,079 g<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n\u00a0\u00a0Soit ceftriaxone<\/b><\/font><\/td> | 1 g<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n<\/table>
\nExcipients :\u00a0sodium.
\n
\npar ampoule(s) de solvant\u00a0:<\/b>
\n
\nExcipients :\u00a0lidoca\u00efne chlorhydrate, eau ppi\u00a0qs.
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\n
\n-
\n
* En pratique hospitali\u00e8re : – Infections s\u00e9v\u00e8res dues aux germes sensibles \u00e0 la ceftriaxone, y compris les m\u00e9ningites, \u00e0 l’exclusion de celles \u00e0 listeria monocytogenes, – Maladie de Lyme diss\u00e9min\u00e9e lors de : . la phase pr\u00e9coce avec m\u00e9ningite (stade secondaire), . la phase tardive avec manifestations syst\u00e9miques neurologiques et articulaires (stade tertiaire). <\/p> - – Prophylaxie des infections post-op\u00e9ratoires pour les r\u00e9sections transur\u00e9thrales de prostate.
<\/li> - * En pratique de ville :
Les indications sont limit\u00e9es : – \u00e0 la poursuite de traitements d\u00e9but\u00e9s \u00e0 l’h\u00f4pital, – aux infections respiratoires basses, dans les formes s\u00e9v\u00e8res, en particulier chez les sujets \u00e0 risques (sujet \u00e2g\u00e9, alcoolique, immunod\u00e9prim\u00e9, tabagique et insuffisant respiratoire…) notamment : . pour les pneumopathies bact\u00e9riennes (pneumocoque, pr\u00e9sum\u00e9es \u00e0 bacilles Gram n\u00e9gatif), . pour les pouss\u00e9es aigu\u00ebs de bronchite chronique, g\u00e9n\u00e9ralement en deuxi\u00e8me intention. <\/li> - – aux infections urinaires s\u00e9v\u00e8res et\/ou \u00e0 germes r\u00e9sistants :
. py\u00e9lon\u00e9phrites aigu\u00ebs, . infections urinaires basses associ\u00e9es \u00e0 un syndrome septique, . pouss\u00e9es aigu\u00ebs de prostatites chroniques. <\/li> - Il est n\u00e9cessaire que le diagnostic soit port\u00e9 avec certitude et de s’assurer de l’absence de n\u00e9cessit\u00e9 d’un traitement chirurgical.
<\/li> - – \u00e0 certaines otites moyennes aigu\u00ebs de l’enfant et du nourrisson, en cas d’\u00e9chec ou d’impossibilit\u00e9 d’assurer un traitement adapt\u00e9 par voie orale, c’est-\u00e0-dire :
. en cas d’\u00e9chec d’un traitement conventionnel probabiliste pr\u00e9alable de 72 heures, d\u00e9fini par la persistance, la r\u00e9apparition ou l’aggravation de la symptomatologie ou encore l’apparition d’une otorrh\u00e9e ; cette situation n\u00e9cessite une documentation bact\u00e9riologique par paracent\u00e8se ou pr\u00e9l\u00e8vement de l’otorrh\u00e9e ; ou . exceptionnellement, chez le nourrisson de moins de 30 mois, le traitement de l’otite moyenne aigu\u00eb par la ceftriaxone est envisageable en premi\u00e8re intention en alternative aux traitements oraux, en cas d’impossibilit\u00e9 d’assurer un traitement adapt\u00e9 par voie orale, tout particuli\u00e8rement en cas d’otite moyenne aigu\u00eb suspect\u00e9e d’\u00eatre due au pneumocoque dans les r\u00e9gions \u00e0 forte pr\u00e9valence de r\u00e9sistance du pneumocoque \u00e0 la p\u00e9nicilline. <\/li> - – \u00e0 l’antibioth\u00e9rapie d’urgence avant hospitalisation en cas de suspicion clinique de purpura fulminans, c’est-\u00e0-dire devant un \u00e9tat f\u00e9brile associ\u00e9 \u00e0 un purpura comportant au moins un \u00e9l\u00e9m\u00e9nt n\u00e9crotique ou ecchymotique, et ce quelque soit l’\u00e9tat h\u00e9modynamique du patient.
<\/li> - Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropri\u00e9e des antibact\u00e9riens.
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
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\n
\n
\n
\n- POSOLOGIE :
— Adultes : 1 g par jour en une seule injection pouvant \u00eatre port\u00e9 \u00e0 2 g\/jour en 1 seule injection, selon la s\u00e9v\u00e9rit\u00e9 de l’infection et le poids du patient.
- – Maladie de Lyme : 2 g par jour en une injection. La dur\u00e9e du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant \u00eatre port\u00e9e \u00e0 21 jours dans les formes s\u00e9v\u00e8res ou tardives.
<\/li> - – Prophylaxie des infections post-op\u00e9ratoires en chirurgie: l’antibioprophylaxie doit \u00eatre de courte dur\u00e9e, le plus souvent limit\u00e9e \u00e0 la p\u00e9riode per-op\u00e9ratoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures. Injection intra-musculaire d’ 1 g en dose unique \u00e0 l’induction anesth\u00e9sique.
<\/li> - – Suspicion clinique de purpura fulminans : premi\u00e8re dose \u00e0 administrer par voie intra-musculaire : 1 \u00e0 2 g.
<\/li> - – M\u00e9ningites :
Attention : ne pas utiliser le solvant de cette pr\u00e9sentation qui contient de la lidoca\u00efne. Reconstituer imp\u00e9rativement avec de l’eau pour pr\u00e9parations injectables (dilution minimale de 1 g dans 10 ml). <\/li> - 70-100 mg\/kg\/j en 1 ou 2 injections intraveineuses de 60 minutes (on ne dispose pas d’\u00e9l\u00e9ment d’efficacit\u00e9 et de tol\u00e9rance au-del\u00e0 de 6 g\/jour).
<\/li> - Dans la m\u00e9ningite \u00e0 pneumocoque dans les 36-48 heures :
. 70-100 mg\/kg\/j en 1 ou 2 injections intraveineuses de 60 minutes (on ne dispose pas d’\u00e9l\u00e9ment d’efficacit\u00e9 et de tol\u00e9rance au-del\u00e0 de 6 g\/jour). <\/li> - . suivi de 15 mg\/kg de vancomycine en perfusion veineuse de 60 minutes (soit 60 mg\/kg\/jour) en cas de signes de gravit\u00e9 ou en pr\u00e9sence de facteurs de risque de pneumocoque de sensibilit\u00e9 diminu\u00e9e \u00e0 la p\u00e9nicilline.
<\/li> - Ce sch\u00e9ma posologique sera poursuivi au-del\u00e0 des 36-48 heures selon la CMI de la souche isol\u00e9e de pneumocoque.
<\/li> - — Enfants et nourrissons :
50 mg\/kg\/jour en une seule injection. <\/li> - Ne pas d\u00e9passer la dose adulte.
<\/li> - – Maladie de Lyme : 50 \u00e0 100 mg\/kg\/j en une injection. La dur\u00e9e du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant \u00eatre port\u00e9e \u00e0 21 jours dans les formes s\u00e9v\u00e8res ou tardives.
<\/li> - – Otites moyennes aigu\u00ebs :
. en cas d’\u00e9chec th\u00e9rapeutique : 50 mg\/kg\/jour pendant trois jours ; . en alternative aux traitements oraux : 50 mg\/kg en une injection unique. <\/li> - – Suspicion clinique de purpura fulminans : premi\u00e8re dose \u00e0 administrer par voie intra-musculaire : 50 \u00e0 100 mg\/kg sans d\u00e9passer 1 g.
<\/li> - – M\u00e9ningites :
Attention : ne pas utiliser le solvant de cette pr\u00e9sentation qui contient de la lidoca\u00efne. Reconstituer imp\u00e9rativement avec de l’eau pour pr\u00e9parations injectables (dilution minimale de 1 g dans 10 ml). <\/li> - 70-100 mg\/kg\/j en 1 ou 2 injections intraveineuses de 60 minutes.
<\/li> - Toutefois, chez le tout jeune nourrisson \u00e2g\u00e9 de 3 \u00e0 12 mois, un rythme d’une injection toutes les 12 heures est recommand\u00e9, en raison d’une demi-vie plasmatique plus br\u00e8ve.
<\/li> - Dans la m\u00e9ningite \u00e0 pneumocoque dans les 36-48 heures :
. 70-100 mg\/kg\/j en 1 ou 2 injections intraveineuses de 60 minutes. <\/li> - . suivi de 15 mg\/kg de vancomycine en perfusion veineuse de 60 minutes (soit 60 mg\/kg\/jour) en cas de signes de gravit\u00e9 ou en pr\u00e9sence de facteurs de risque de pneumocoque de sensibilit\u00e9 diminu\u00e9e \u00e0 la p\u00e9nicilline.
<\/li> - Ce sch\u00e9ma posologique sera poursuivi au-del\u00e0 des 36-48 heures selon la CMI de la souche isol\u00e9e de pneumocoque.
<\/li> - — Patients \u00e2g\u00e9s :
Il n’y a pas lieu de modifier les posologies recommand\u00e9es pour l’adulte lorsqu’il s’agit de patients \u00e2g\u00e9s. <\/li> - — Insuffisants r\u00e9naux (chez l’adulte) :
En cas d’insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re (clairance de la cr\u00e9atinine inf\u00e9rieure ou \u00e9gale \u00e0 5 ml\/min), pratiquer une injection toutes les 48 heures, sans modifier la posologie. <\/li> - MODE D’ADMINISTRATION :
– Voie IM : Il est recommand\u00e9 de ne pas injecter plus de 1 g du m\u00eame c\u00f4t\u00e9. <\/li> - Il est n\u00e9cessaire de pratiquer l’injection IM dans la face ant\u00e9ro-lat\u00e9rale de la cuisse du nourrisson.
<\/li> - – Voie SC :
Apr\u00e8s reconstitution, injecter en SC directe. <\/li> - – Chez l’enfant et le nourrisson :
Volume de solution de ceftriaxone \u00e0 injecter en fonction du poids de l’enfant pour une dose de 50 mg\/kg\/jour : . poids de 11 kg : injecter 1,9 ml . poids de 12 kg : injecter 2,1 ml . poids de 13 kg : injecter 2,3 ml . poids de 14 kg : injecter 2,5 ml . poids de 15 kg : injecter 2,6 ml . poids de 16 kg : injecter 2,8 ml . poids de 17 kg : injecter 3,0 ml . poids de 18 kg : injecter 3,2 ml . poids de 19 kg : injecter 3,3 ml . poids de 20 kg : injecter 3,5 ml . au del\u00e0 de 20 kg : injecter 3,5 ml. <\/li> - MODALITES DE MANIPULATION :
Il est indispensable de rincer la tubulure entre chaque administration. <\/li> - La couleur de la solution reconstitu\u00e9e peut varier du jaune p\u00e2le au jaune ambr\u00e9 dans les conditions de conservation pr\u00e9cis\u00e9es.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
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\n
\n
\n
\nAbsolue(s) :<\/b>
\n
\n
\n- Hypersensibilit\u00e9 aux c\u00e9phalosporines<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 aux b\u00eatalactamines<\/li>
\n
- Pr\u00e9matur\u00e9<\/li>
\n
- Hyperbilirubin\u00e9mie chez le nouveau-n\u00e9 de moins de 28 jours<\/li>
\n
- Apport calcique chez le nouveau-n\u00e9 de moins de 28 jours<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 aux anesth\u00e9siques locaux \u00e0 liaison amide<\/li>
\n
- Porphyrie<\/li>
\n
- Bloc auriculoventriculaire non appareill\u00e9<\/li>
\n
- Choc cardiog\u00e9nique<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Risque de r\u00e9action d’hypersensibilit\u00e9
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arr\u00eat du traitement. <\/li> - – La prescription de c\u00e9phalosporines n\u00e9cessite un interrogatoire pr\u00e9alable.
<\/li> - – L’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines dans 5 \u00e0 10 % des cas :
. l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino-sensibles ; une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration. <\/li> - . l’emploi des c\u00e9phalosporines est \u00e0 proscrire formellement chez les sujets ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie de type imm\u00e9diat aux c\u00e9phalosporines. En cas de doute, la pr\u00e9sence du m\u00e9decin aupr\u00e8s du patient est indispensable \u00e0 la premi\u00e8re administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible ;
. les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es avec ces deux types de substances peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li>
\n - Hypersensibilit\u00e9 aux p\u00e9nicillines
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arr\u00eat du traitement. <\/li> - – La prescription de c\u00e9phalosporines n\u00e9cessite un interrogatoire pr\u00e9alable.
<\/li> - – L’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines dans 5 \u00e0 10 % des cas :
. l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino-sensibles ; une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration. <\/li> - . l’emploi des c\u00e9phalosporines est \u00e0 proscrire formellement chez les sujets ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie de type imm\u00e9diat aux c\u00e9phalosporines. En cas de doute, la pr\u00e9sence du m\u00e9decin aupr\u00e8s du patient est indispensable \u00e0 la premi\u00e8re administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible ;
. les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es avec ces deux types de substances peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li>
\n - Risque de douleur abdominale
En cas de douleur abdominale, il est n\u00e9cessaire de pratiquer une \u00e9chographie \u00e0 la recherche de boue biliaire ou de lithiase r\u00e9nale. Le traitement doit \u00eatre interrompu pour permettre la r\u00e9gression des signes.<\/li>
\n - Risque de douleur de l’hypocondre droit
En cas de douleur de l’hypocondre droit, il est n\u00e9cessaire de pratiquer une \u00e9chographie \u00e0 la recherche de boue biliaire ou de lithiase r\u00e9nale. Le traitement doit \u00eatre interrompu pour permettre la r\u00e9gression des signes.<\/li>
\n - Risque de lithiase urinaire
La ceftriaxone peut \u00eatre \u00e0 l’origine de lithiase r\u00e9nale par pr\u00e9cipitation de sels calciques de ceftriaxone. En cas d’injection intra-veineuse, l’utilisation de ce produit chez des sujets ayant des ant\u00e9c\u00e9dents de lithiase r\u00e9nale ou pr\u00e9sentant une hypercalciurie doit faire l’objet d’une appr\u00e9ciation de la balance b\u00e9n\u00e9fice\/risque.<\/li>
\n - Ant\u00e9c\u00e9dent de lithiase urinaire
La ceftriaxone peut \u00eatre \u00e0 l’origine de lithiase r\u00e9nale par pr\u00e9cipitation de sels calciques de ceftriaxone. En cas d’injection intra-veineuse, l’utilisation de ce produit chez des sujets ayant des ant\u00e9c\u00e9dents de lithiase r\u00e9nale doit faire l’objet d’une appr\u00e9ciation de la balance b\u00e9n\u00e9fice\/risque.<\/li>
\n - Hypercalciurie
La ceftriaxone peut \u00eatre \u00e0 l’origine de lithiase r\u00e9nale par pr\u00e9cipitation de sels calciques de ceftriaxone. En cas d’injection intra-veineuse, l’utilisation de ce produit chez des sujets pr\u00e9sentant une hypercalciurie doit faire l’objet d’une appr\u00e9ciation de la balance b\u00e9n\u00e9fice\/risque.<\/li>
\n - Traitement prolong\u00e9
– Des contr\u00f4les r\u00e9guliers de la formule sanguine s’imposent. <\/li> - – L’allaitement est d\u00e9conseill\u00e9 en cas de traitement prolong\u00e9 (cf Grossesse et allaitement).<\/li>
\n
- Insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re
– La posologie devra \u00eatre adapt\u00e9e en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine (cf Posologie\/Mode d’administration). <\/li> - – Insuffisants r\u00e9naux (chez l’adulte) :
En cas d’insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re (clairance de la cr\u00e9atinine inf\u00e9rieure ou \u00e9gale \u00e0 5 ml\/min), pratiquer une injection toutes les 48 heures, sans modifier la posologie.<\/li>
\n - Insuffisance h\u00e9pator\u00e9nale
La posologie devra \u00eatre adapt\u00e9e en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine (cf Posologie\/Mode d’administration).<\/li>
\n - Respecter les conditions d’utilisation du m\u00e9dicament
La ceftriaxone ne doit pas \u00eatre m\u00e9lang\u00e9e \u00e0 des solutions contenant du calcium. Lorsque des solutions de calcium sont administr\u00e9es, il est recommand\u00e9 de perfuser la ceftriaxone sur une voie s\u00e9par\u00e9e et dans une p\u00e9riode de temps pendant laquelle n’est pas perfus\u00e9 le calcium m\u00eame si les voies d’abord sont diff\u00e9rentes. <\/li> - Dans la mesure o\u00f9 on ne peut \u00e9liminer un risque d’incompatibilit\u00e9 physique ou chimique avec d’autres m\u00e9dicaments que le calcium, la ceftriaxone doit \u00eatre administr\u00e9e seule (cf Posologie\/Mode d’administration et Incompatibilit\u00e9s).<\/li>
\n
- Ne pas utiliser par voie intraveineuse le solvant pour voie intramusculaire
Cette pr\u00e9sentation contient dans son solvant de la lidoca\u00efne : tout flacon reconstitu\u00e9 avec ce solvant ne doit pas \u00eatre utilis\u00e9 par voie intraveineuse.<\/li>
\n - Sujet sous r\u00e9gime hyposod\u00e9 ou d\u00e9sod\u00e9
Ce m\u00e9dicament contient 83 mg de sodium par flacon de 1 g : en tenir compte chez les personnes suivant un r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict.<\/li>
\n - Allaitement
L’allaitement est d\u00e9conseill\u00e9 en cas de traitement prolong\u00e9 (cf Grossesse et allaitement).<\/li>
\n - Incompatibilit\u00e9 avec certains m\u00e9dicaments
La ceftriaxone sodique est incompatible avec l’amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les amiosides.<\/li>
\n - Incompatibilit\u00e9 avec certains solvants
– Pr\u00e9matur\u00e9s et nouveau-n\u00e9s : Des pr\u00e9cipitations de ceftriaxone sous forme de sels de calcium ont \u00e9t\u00e9 observ\u00e9es avec des solutions injectables contenant du calcium, tout particuli\u00e8rement chez les pr\u00e9matur\u00e9s et les nouveau-n\u00e9s \u00e0 terme (cf Posologie\/Mode d’administration, Contre-indications, Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi, et Effets ind\u00e9sirables). <\/li> - – Nourrisson\/Enfant\/Adulte :
La ceftriaxone sodique ne doit pas \u00eatre m\u00e9lang\u00e9e \u00e0 des solutions contenant du calcium, notamment : . Ringer lactates : Hartmann B21, glucos\u00e9 B39, . polyioniques B46, B66, . plasmalytes B27, B22, . Compensal B45… <\/li> - – La ceftriaxone ne doit pas \u00eatre m\u00e9lang\u00e9e \u00e0 des solutions contenant du calcium. Lorsque les solutions de calcium sont administr\u00e9es, il est recommand\u00e9 de perfuser la ceftriaxone sur une voie s\u00e9par\u00e9e et dans une p\u00e9riode de temps pendant laquelle n’est pas perfus\u00e9 le calcium m\u00eame si les voies d’abord sont diff\u00e9rentes.
<\/li> - Dans la mesure o\u00f9 on ne peut \u00e9liminer un risque d’incompatibilit\u00e9 physique ou chimique avec d’autres m\u00e9dicaments que le calcium, la ceftriaxone doit \u00eatre administr\u00e9e seule et ne peut \u00eatre m\u00e9lang\u00e9e qu’aux solutions et substances express\u00e9ment cit\u00e9es dans la rubrique Posologie\/Mode d’administration (cf Mises en garde\/Pr\u00e9cautions d’emploi et Effets secondaires).<\/li>
\n<\/ul>
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\n-
\nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses
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\n\u00a0Grossesse :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- L’utilisation de la ceftriaxone peut \u00eatre envisag\u00e9e au cours de la grossesse si besoin. En effet, les donn\u00e9es cliniques, bien qu’en nombre limit\u00e9, sont rassurantes et les donn\u00e9es animales n’ont pas mis en \u00e9vidence d’effet malformatif de la ceftriaxone.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n\u00a0Allaitement :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- La ceftriaxone s’accumule dans le lait maternel. L’allaitement est possible si le traitement est de courte dur\u00e9e (7 jours). Il est d\u00e9conseill\u00e9 en cas de traitement prolong\u00e9.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n
\n- Dermatose allergique
\n<\/li>
\n - Urticaire
\n<\/li>
\n - Eryth\u00e8me polymorphe
\n<\/li>
\n - Syndrome de Stevens-Johnson
\n<\/li>
\n - Syndrome de Lyell
\n<\/li>
\n - Fi\u00e8vre
\n<\/li>
\n - R\u00e9action anaphylactique
\n<\/li>
\n - Stomatite
\n<\/li>
\n - Diarrh\u00e9e
\n<\/li>
\n - Naus\u00e9e
\n<\/li>
\n - Vomissement
\n<\/li>
\n - Ent\u00e9rocolite pseudomembraneuse\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Boue biliaire
\n<\/li>
\n - Lithiase biliaire\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Bilan h\u00e9patique (anomalie)
\n<\/li>
\n - Pancr\u00e9atite\u00a0(Exceptionnel)
\n<\/li>
\n - H\u00e9molyse aigu\u00eb\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Eosinophilie
\n<\/li>
\n - Leucop\u00e9nie
\n<\/li>
\n - Neutrop\u00e9nie
\n<\/li>
\n - Thrombop\u00e9nie
\n<\/li>
\n - Agranulocytose\u00a0(Cas isol\u00e9s)
\n<\/li>
\n - Trouble de la coagulation\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale
\n
\n- Association aux aminosides,\u00a0Association aux diuretiques.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Oligurie\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Cr\u00e9atinin\u00e9mie (augmentation)\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Lithiase urinaire\u00a0(Exceptionnel)
\n
\n- Enfant,\u00a0Nourrisson.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- C\u00e9phal\u00e9e\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Vertige\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Enc\u00e9phalopathie
\n
\n- Fortes doses,\u00a0Insuffisance r\u00e9nale.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Douleur au point d’injection
\n<\/li>
\n - Phl\u00e9bite au point d’injection
\n
\n- Injection intra-veineuse.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- N\u00e9crose au point d’injection
\n
\n- Voie sous-cutanee.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nClassement ATC :\u00a0<\/b>
\n
\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0J01DD04 \/ CEFTRIAXONE<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nClassement Vidal :\u00a0<\/b>
\n
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Antibiotique : c\u00e9phalosporine de 3e g\u00e9n\u00e9ration (Ceftriaxone)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Les concentrations critiques s\u00e9parent les souches sensibles des souches de sensibilit\u00e9 interm\u00e9diaire et ces derni\u00e8res, des r\u00e9sistantes :
S <= 4 mg\/l et R > 32 mg\/l CMI pneumocoque : S <= 0,5 mg\/l et R > 2 mg\/l (voie parent\u00e9rale) La pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance acquise peut varier en fonction de la g\u00e9ographie et du temps pour certaines esp\u00e8ces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance locale, surtout pour le traitement d’infections s\u00e9v\u00e8res. Ces donn\u00e9es ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilit\u00e9s de la sensibilit\u00e9 d’une souche bact\u00e9rienne \u00e0 cet antibiotique.
- Lorsque la variabilit\u00e9 de la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance en France est connue pour une esp\u00e8ce bact\u00e9rienne, elle est indiqu\u00e9e ci- dessous. La fr\u00e9quence de r\u00e9sistance acquise en France (> 10 %, valeurs extr\u00eames) est indiqu\u00e9e entre parenth\u00e8ses.
<\/li> - ESPECES SENSIBLES :
– A\u00e9robies \u00e0 Gram positif : Staphylococcus m\u00e9ti-S, Streptococcus, Streptococcus pneumoniae (15 – 35 %) – A\u00e9robies \u00e0 Gram n\u00e9gatif : Borrelia burgdorferi, Branhamella catarrhalis, Citrobacter freundii (20 – 30 %), Citrobacter koseri, Enterobacter (20 – 40 %), Escherichia coli, Haemophilus influenzae, Klebsiella (0 – 20 %), Morganella morganii, Neisseria y compris Neisseria meningitidis et Neisseria gonorrhoeae, Proteus mirabilis, Proteus multocida, Proteus vulgaris, Providencia, Salmonella, Serratia (20 – 30 %), Shigella, Yersinia – Ana\u00e9robies : Clostridium perfringens, Fusobacterium (15 – 20 %), Peptostreptococcus, Prevotella (15 – 20 %) ESPECES RESISTANTES : – A\u00e9robies \u00e0 Gram positif : Ent\u00e9rocoques, Listeria, Staphylococcus m\u00e9ti-R * – A\u00e9robies \u00e0 Gram n\u00e9gatif : Acinetobacter baumannii, Burkholderia cepacia, Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia – Ana\u00e9robies : Bacteroides fragilis, Clostridium difficile * La fr\u00e9quence de r\u00e9sistance \u00e0 la m\u00e9ticilline est environ de 30 \u00e0 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\nListe I<\/b>
\n
\n-
\nCIP : 3574411<\/b>\u00a0(CEFTRIAXONE QUALIMED 1 g\/3,5 ml pdre\/solv p sol inj IM : Fl+Amp\/3,5ml).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : officines
Rembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
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