\npravastatine sodique<\/b><\/font><\/td> | 10 mg<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n<\/table>
\nExcipients :\u00a0cellulose microcristalline, croscarmellose sel de Na, macrogol 8000, copovidone, phosphate dicalcique anhydre, lactose monohydrate, magn\u00e9sium st\u00e9arate, fer rouge oxyde, silice collo\u00efdale anhydre, opadry, (\u00a0hyprolose, macrogol 400, macrogol 3350, hypromellose\u00a0).
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\n-
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– Hypercholest\u00e9rol\u00e9mie Traitement des hypercholest\u00e9rol\u00e9mies primaires ou des dyslipid\u00e9mies mixtes, en compl\u00e9ment d’un r\u00e9gime, quand la r\u00e9ponse au r\u00e9gime et aux autres traitements non pharmacologiques (par exemple, exercice, perte de poids) est insuffisante. <\/p> - – Pr\u00e9vention primaire
R\u00e9duction de la mortalit\u00e9 et de la morbidit\u00e9 cardiovasculaires chez les patients pr\u00e9sentant une hypercholest\u00e9rol\u00e9mie mod\u00e9r\u00e9e ou s\u00e9v\u00e8re et expos\u00e9s \u00e0 un risque \u00e9lev\u00e9 de premier \u00e9v\u00e9nement cardiovasculaire, en compl\u00e9ment d’un r\u00e9gime. <\/li> - – Pr\u00e9vention secondaire
R\u00e9duction de la mortalit\u00e9 et de la morbidit\u00e9 cardiovasculaires chez les patients ayant un ant\u00e9c\u00e9dent d’infarctus du myocarde ou d’angor instable et un taux de cholest\u00e9rol normal ou \u00e9lev\u00e9, en plus de la correction des autres facteurs de risque . <\/li> - – Post-transplantation
R\u00e9duction des hyperlipid\u00e9mies post-transplantation chez les patients recevant un traitement immunosuppresseur \u00e0 la suite d’une transplantation d’organe.
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\n- Avant de d\u00e9buter un traitement par la pravastatine, toute cause secondaire d’hypercholest\u00e9rol\u00e9mie doit \u00eatre \u00e9limin\u00e9e et les patients doivent \u00eatre soumis \u00e0 un r\u00e9gime hypocholest\u00e9rol\u00e9miant standard qui doit \u00eatre poursuivi pendant toute la dur\u00e9e du traitement.
- Ce m\u00e9dicament est administr\u00e9 par voie orale, en une prise par jour, de pr\u00e9f\u00e9rence le soir, pendant ou en dehors des repas.
<\/li> - – Hypercholest\u00e9rol\u00e9mie :
La dose recommand\u00e9e est de 10 \u00e0 40 mg une fois par jour. La r\u00e9ponse th\u00e9rapeutique est observ\u00e9e une semaine apr\u00e8s le d\u00e9but du traitement et l’effet maximum d’une dose donn\u00e9e apr\u00e8s quatre semaines. De ce fait, des bilans lipidiques p\u00e9riodiques doivent \u00eatre pratiqu\u00e9s et la posologie ajust\u00e9e en cons\u00e9quence. La dose journali\u00e8re maximale est de 40 mg. <\/li> - – Pr\u00e9vention cardiovasculaire :
Dans toutes les \u00e9tudes de pr\u00e9vention de la morbidit\u00e9 et de la mortalit\u00e9, la seule dose initiale et d’entretien \u00e9tudi\u00e9e \u00e9tait de 40 mg par jour. <\/li> - – Posologie apr\u00e8s transplantation :
A la suite d’une transplantation d’organe, la dose initiale recommand\u00e9e chez les patients recevant un traitement immunosuppresseur (cf. rubrique Interactions) est de 20 mg par jour. En fonction de la r\u00e9ponse sur les param\u00e8tres lipidiques, la posologie peut \u00eatre augment\u00e9e \u00e0 40 mg sous stricte surveillance m\u00e9dicale (cf. rubrique Interactions).Enfants et adolescents (8-18 ans) avec une hypercholesterol\u00e9mie familiale h\u00e9terozygote : la dose recommand\u00e9e est de 10 \u00e0 20 mg une fois par jour entre 8 et 13 ans, des doses sup\u00e9rieures \u00e0 20 mg n’ayant pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9es dans cette population; et de 10 \u00e0 40 mg par jour entre 14 et 18 ans (pour les filles et adolescentes en \u00e2ge de procr\u00e9er, voir rubrique Grossesse\/Allaitement; pour les r\u00e9sultats de l’\u00e9tude voir Pharmacodynamie). <\/li> - Patients \u00e2g\u00e9s :
Aucun ajustement posologique n’est n\u00e9cessaire chez ces patients, sauf s’ils pr\u00e9sentent des facteurs de risque pr\u00e9disposants (cf. rubrique Mise en garde et Pr\u00e9cautions d’emploi). <\/li> - Insuffisance r\u00e9nale ou h\u00e9patique :
Une dose initiale de 10 mg par jour est recommand\u00e9e chez les patients atteints d’insuffisance r\u00e9nale mod\u00e9r\u00e9e ou s\u00e9v\u00e8re ou d’insuffisance h\u00e9patique significative. La posologie doit \u00eatre ajust\u00e9e sous surveillance m\u00e9dicale en fonction de la r\u00e9ponse sur les param\u00e8tres lipidiques. <\/li> - Traitements concomitants :
Les effets hypolipid\u00e9miants de la pravastatine sur le cholest\u00e9rol total et le LDLcholest\u00e9rol sont major\u00e9s en cas d’association \u00e0 une r\u00e9sine ch\u00e9latrice des acides biliaires (par ex., cholestyramine, colestipol). Ce m\u00e9dicament doit \u00eatre administr\u00e9 soit une heure avant, soit au moins quatre heures apr\u00e8s la r\u00e9sine (cf. rubrique Interactions). <\/li> - Pour les patients prenant de la ciclosporine, associ\u00e9e ou non \u00e0 d’autres immunosuppresseurs, le traitement doit \u00eatre initi\u00e9 par 20 mg de pravastatine une fois par jour et une augmentation \u00e0 40 mg doit \u00eatre r\u00e9alis\u00e9e avec pr\u00e9caution (cf. rubrique Interactions).<\/li><\/dd>
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\nAbsolue(s) :<\/b>
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\n- Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 l’un des composants<\/li>
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- H\u00e9patopathie<\/li>
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- Transaminases s\u00e9riques, augmentation prolong\u00e9e (des)<\/li>
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- Transaminases s\u00e9riques > 3 fois la limite sup\u00e9rieure normale, augmentation (des)<\/li>
\n
- Allaitement<\/li>
\n
- Grossesse<\/li>
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- Intol\u00e9rance g\u00e9n\u00e9tique au galactose<\/li>
\n
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)<\/li>
\n
- D\u00e9ficit en lactase<\/li>
\n<\/ul>
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\n
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\n- Respecter l’indication officielle
La pravastatine n’a pas \u00e9t\u00e9 \u00e9valu\u00e9e chez les patients atteints d’hypercholest\u00e9rol\u00e9mie familiale homozygote. Le traitement n’est pas adapt\u00e9 quand l’hypercholest\u00e9rol\u00e9mie est li\u00e9e \u00e0 un HDLcholest\u00e9rol \u00e9lev\u00e9.<\/li>
\n - Enfant de moins de 8 ans
Chez les enfants avant la pubert\u00e9, le b\u00e9n\u00e9fice\/risque du traitement devra \u00eatre soigneusement \u00e9valu\u00e9 par les m\u00e9decins avant initiation du traitement.<\/li>
\n - Risque d’augmentation des transaminases
Comme avec les autres traitements hypolipid\u00e9miants, une \u00e9l\u00e9vation mod\u00e9r\u00e9e des taux de transaminases h\u00e9patiques a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e. Dans la majorit\u00e9 des cas, les taux de transaminases h\u00e9patiques sont revenus \u00e0 leur valeur initiale sans qu’il ait \u00e9t\u00e9 n\u00e9cessaire d’arr\u00eater le traitement. Une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients chez lesquels survient une \u00e9l\u00e9vation des taux de transaminases et le traitement doit \u00eatre interrompu si une \u00e9l\u00e9vation de l’alanine-aminotransf\u00e9rase (ALAT) et de l’aspartate-aminotransf\u00e9rase (ASAT) sup\u00e9rieure \u00e0 trois fois la limite sup\u00e9rieure de la normale persiste.<\/li>
\n - Surveillance de la fonction h\u00e9patique pendant le traitement
Comme avec les autres traitements hypolipid\u00e9miants, une \u00e9l\u00e9vation mod\u00e9r\u00e9e des taux de transaminases h\u00e9patiques a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e. Dans la majorit\u00e9 des cas, les taux de transaminases h\u00e9patiques sont revenus \u00e0 leur valeur initiale sans qu’il ait \u00e9t\u00e9 n\u00e9cessaire d’arr\u00eater le traitement. Une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients chez lesquels survient une \u00e9l\u00e9vation des taux de transaminases et le traitement doit \u00eatre interrompu si une \u00e9l\u00e9vation de l’alanine-aminotransf\u00e9rase (ALAT) et de l’aspartate-aminotransf\u00e9rase (ASAT) sup\u00e9rieure \u00e0 trois fois la limite sup\u00e9rieure de la normale persiste.<\/li>
\n - Ant\u00e9c\u00e9dent d’h\u00e9patopathie
Il convient d’\u00eatre prudent quand la pravastatine est administr\u00e9e \u00e0 des patients ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’affection h\u00e9patique.
\n
\n<\/li>
\n - Ant\u00e9c\u00e9dent d’alcoolisme
Il convient d’\u00eatre prudent quand la pravastatine est administr\u00e9e \u00e0 des patients ayant une consommation importante d’alcool.<\/li>
\n - Risque de toxicit\u00e9 musculaire
Comme avec les autres inhibiteurs de l’HMG-CoA r\u00e9ductase (statines), la pravastatine a \u00e9t\u00e9 associ\u00e9e \u00e0 la survenue de myalgies, d’atteintes musculaires et tr\u00e8s rarement de rhabdomyolyses. Une atteinte musculaire doit \u00eatre envisag\u00e9e chez tout patient trait\u00e9 par une statine pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires inexpliqu\u00e9s tels que : douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, faiblesse musculaire ou crampes musculaires. Dans de tels cas, un dosage de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) devra \u00eatre pratiqu\u00e9 (voir ci-dessous). <\/li> - Le traitement par statine doit \u00eatre temporairement interrompu si le taux de CPK est > 5 N ou s’il existe des signes cliniques s\u00e9v\u00e8res. Tr\u00e8s rarement (de l’ordre de 1 cas sur 100000 patient-ann\u00e9es), une rhabdomyolyse peut survenir, associ\u00e9e ou non \u00e0 une insuffisance r\u00e9nale secondaire. Une rhabdomyolyse est une atteinte aigu\u00eb des muscles stri\u00e9s potentiellement mortelle qui peut appara\u00eetre de fa\u00e7on impr\u00e9visible durant le traitement et qui se caract\u00e9rise par une destruction musculaire massive associ\u00e9e \u00e0 une \u00e9l\u00e9vation majeure du taux de CPK (en g\u00e9n\u00e9ral > 30 ou 40 N),
conduisant \u00e0 une myoglobinurie. <\/li> - Le risque d’atteinte musculaire avec les statines semble \u00eatre exposition-d\u00e9pendant et peut ainsi varier entre les diff\u00e9rentes mol\u00e9cules (caract\u00e8res lipophiles et profils pharmacocin\u00e9tiques diff\u00e9rents), y compris en fonction de leur dosage et de leur potentiel d’interactions m\u00e9dicamenteuses. Bien qu’il n’y ait pas de contre-indication d’ordre musculaire \u00e0 la prescription d’une statine, certains facteurs pr\u00e9disposants peuvent augmenter le risque de toxicit\u00e9 musculaire et en cons\u00e9quence justifient une \u00e9valuation soigneuse du rapport b\u00e9n\u00e9fice\/risque et une surveillance clinique particuli\u00e8re. Un dosage des CPK est indiqu\u00e9 avant l’initiation du traitement par statine chez ces patients (voir ci-dessous).
<\/li> - Au cours d’un traitement par statine, le risque et la s\u00e9v\u00e9rit\u00e9 des troubles musculaires sont augment\u00e9s par l’association \u00e0 des m\u00e9dicaments entra\u00eenant des interactions m\u00e9dicamenteuses. L’utilisation des fibrates seuls est occasionnellement associ\u00e9e \u00e0 une atteinte musculaire. L’utilisation combin\u00e9e d’une statine et des fibrates doit g\u00e9n\u00e9ralement \u00eatre \u00e9vit\u00e9e. L’association des statines et de l’acide nicotinique doit \u00e9galement \u00eatre utilis\u00e9e avec pr\u00e9caution. Une augmentation de l’incidence des atteintes musculaires a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 d\u00e9crite chez les patients recevant d’autres statines en association avec des inhibiteurs du cytochrome P450. Ceci peut r\u00e9sulter d’interactions pharmacocin\u00e9tiques qui n’ont pas \u00e9t\u00e9 document\u00e9es pour la pravastatine (cf. rubrique interactions). Les sympt\u00f4mes musculaires associ\u00e9s \u00e0 un traitement par statine disparaissent g\u00e9n\u00e9ralement apr\u00e8s l’arr\u00eat du traitement.<\/li>
\n
- Risque de rhabdomyolyse
Comme avec les autres inhibiteurs de l’HMG-CoA r\u00e9ductase (statines), la pravastatine a \u00e9t\u00e9 associ\u00e9e \u00e0 la survenue de myalgies, d’atteintes musculaires et tr\u00e8s rarement de rhabdomyolyses. Une atteinte musculaire doit \u00eatre envisag\u00e9e chez tout patient trait\u00e9 par une statine pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires inexpliqu\u00e9s tels que : douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, faiblesse musculaire ou crampes musculaires. Dans de tels cas, un dosage de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) devra \u00eatre pratiqu\u00e9 (voir ci-dessous). <\/li> - Le traitement par statine doit \u00eatre temporairement interrompu si le taux de CPK est > 5 N ou s’il existe des signes cliniques s\u00e9v\u00e8res. Tr\u00e8s rarement (de l’ordre de 1 cas sur 100000 patient-ann\u00e9es), une rhabdomyolyse peut survenir, associ\u00e9e ou non \u00e0 une insuffisance r\u00e9nale secondaire. Une rhabdomyolyse est une atteinte aigu\u00eb des muscles stri\u00e9s potentiellement mortelle qui peut appara\u00eetre de fa\u00e7on impr\u00e9visible durant le traitement et qui se caract\u00e9rise par une destruction musculaire massive associ\u00e9e \u00e0 une \u00e9l\u00e9vation majeure du taux de CPK (en g\u00e9n\u00e9ral > 30 ou 40 N),
conduisant \u00e0 une myoglobinurie. <\/li> - Le risque d’atteinte musculaire avec les statines semble \u00eatre exposition-d\u00e9pendant et peut ainsi varier entre les diff\u00e9rentes mol\u00e9cules (caract\u00e8res lipophiles et profils pharmacocin\u00e9tiques
diff\u00e9rents), y compris en fonction de leur dosage et de leur potentiel d’interactions m\u00e9dicamenteuses. Bien qu’il n’y ait pas de contre-indication d’ordre musculaire \u00e0 la prescription d’une statine, certains facteurs pr\u00e9disposants peuvent augmenter le risque de toxicit\u00e9 musculaire et en cons\u00e9quence justifient une \u00e9valuation soigneuse du rapport b\u00e9n\u00e9fice\/risque et une surveillance clinique particuli\u00e8re. Un dosage des CPK est indiqu\u00e9 avant l’initiation du traitement par statine chez ces patients (voir ci-dessous). <\/li> - Au cours d’un traitement par statine, le risque et la s\u00e9v\u00e9rit\u00e9 des troubles musculaires sont augment\u00e9s par l’association \u00e0 des m\u00e9dicaments entra\u00eenant des interactions m\u00e9dicamenteuses. L’utilisation des fibrates seuls est occasionnellement associ\u00e9e \u00e0 une atteinte musculaire. L’utilisation combin\u00e9e d’une statine et des fibrates doit g\u00e9n\u00e9ralement \u00eatre \u00e9vit\u00e9e. L’association des statines et de l’acide nicotinique doit \u00e9galement \u00eatre utilis\u00e9e avec pr\u00e9caution. Une augmentation de l’incidence des atteintes musculaires a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 d\u00e9crite chez les patients recevant d’autres statines en association avec des inhibiteurs du cytochrome P450. Ceci peut r\u00e9sulter d’interactions pharmacocin\u00e9tiques qui n’ont pas \u00e9t\u00e9 document\u00e9es pour la pravastatine (cf.
<\/li> - rubrique interactions). Les sympt\u00f4mes musculaires associ\u00e9s \u00e0 un traitement par statine disparaissent g\u00e9n\u00e9ralement apr\u00e8s l’arr\u00eat du traitement.<\/li>
\n
- Information du patient
Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes. <\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
\n
- Insuffisance r\u00e9nale
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
\n
- Hypothyro\u00efdie
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
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- Ant\u00e9c\u00e9dent de myopathie acquise due \u00e0 une statine ou un fibrate
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
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- Ant\u00e9c\u00e9dent de myopathie
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
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- Ant\u00e9c\u00e9dent familial de myopathie
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
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- Alcoolisme
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
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- Sujet de plus de 70 ans
* Mesure et interpr\u00e9tation de la cr\u00e9atine phosphokinase: Un dosage de routine des taux de cr\u00e9atine phosphokinase (CPK) ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommand\u00e9 chez les patients asymptomatiques trait\u00e9s par statine. Toutefois, le dosage de CPK est recommand\u00e9 avant traitement par statine chez les patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants et chez les patients pr\u00e9sentant des sympt\u00f4mes musculaires durant leur traitement par statine, comme d\u00e9crit ci-apr\u00e8s. Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e environ 5 \u00e0 7 jours plus tard pour confirmer le r\u00e9sultat. <\/li> - Lors de la mesure, le taux de CPK doit \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 en tenant compte d’autres facteurs potentiels pouvant entra\u00eener un dommage musculaire provisoire tel qu’un effort musculaire intense ou un
traumatisme musculaire. <\/li> - – Avant l’initiation du traitement : une attention particuli\u00e8re doit \u00eatre port\u00e9e aux patients ayant des facteurs pr\u00e9disposants tels que : insuffisance r\u00e9nale, hypothyro\u00efdie, ant\u00e9c\u00e9dents de toxicit\u00e9 musculaire avec un fibrate ou une statine, ant\u00e9c\u00e9dent personnel ou familial de maladie musculaire h\u00e9r\u00e9ditaire ou abus d’alcool. Dans ces situations, un dosage de CPK doit \u00eatre effectu\u00e9 avant
l’initiation du traitement. Un dosage de CPK doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 avant traitement chez les personnes \u00e2g\u00e9es de plus de 70 ans, en particulier lorsqu’il existe d’autres facteurs pr\u00e9disposants. <\/li> - Si le taux basal de CPK est significativement augment\u00e9 (> 5 N), le traitement ne doit pas \u00eatre initi\u00e9 et une nouvelle mesure devra \u00eatre effectu\u00e9e 5 \u00e0 7 jours plus tard. L’int\u00e9r\u00eat du taux basal de CPK est de disposer d’une r\u00e9f\u00e9rence en cas d’\u00e9l\u00e9vation ult\u00e9rieure sous traitement par statine.
<\/li> - – Pendant le traitement : les patients doivent \u00eatre avertis qu’ils doivent signaler rapidement toute apparition inexpliqu\u00e9e de douleur ou sensibilit\u00e9 musculaire, de faiblesse musculaire ou de crampes.
<\/li> - Dans ces situations, un dosage de CPK devra \u00eatre effectu\u00e9. Si une augmentation sensible (> 5 N) du taux de CPK est d\u00e9tect\u00e9e, le traitement par statine doit \u00eatre interrompu. Un arr\u00eat du traitement doit \u00e9galement \u00eatre envisag\u00e9 si les signes musculaires sont importants avec une g\u00eane fonctionnelle quotidienne, m\u00eame si le taux de CPK reste< ou = 5 N. Si les sympt\u00f4mes disparaissent et si le taux de CPK redevient normal, on peut alors r\u00e9introduire le traitement par statine, \u00e0 la dose la plus faible et sous surveillance \u00e9troite. Si une maladie musculaire g\u00e9n\u00e9tique est suspect\u00e9e, il n’est pas recommand\u00e9 de reprendre le traitement.<\/li>
\n
- Risque de pneumopathie interstitielle
Des cas exceptionnels de pneumopathie interstitielle ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s avec certaines statines, surtout en cas de traitement prolong\u00e9 (Voir Effets secondaires). Le tableau clinique peut comporter une dyspn\u00e9e, une toux non productive et une d\u00e9gradation de l’\u00e9tat g\u00e9n\u00e9ral (fatigue, amaigrissement et fi\u00e8vre). Le traitement par les statines doit \u00eatre interrompu en cas de suspicion de pneumopathie interstitielle. <\/li> -
\n<\/li>
\n
- Interaction alimentaire : pas d’interaction avec le jus de pamplemousse
L’absence d’interaction pharmacocin\u00e9tique significative avec la pravastatine a \u00e9t\u00e9 sp\u00e9cifiquement d\u00e9montr\u00e9e avec plusieurs produits, notamment ceux qui sont des substrats\/inhibiteurs du CYP3A4, par exemple le diltiazem, le v\u00e9rapamil, l’itraconazole, le k\u00e9toconazole, les inhibiteurs de prot\u00e9ase, le jus de pamplemousse et les inhibiteurs du CYP2C9 (par exemple le fluconazole). <\/li> -
\n<\/li>
\n
- Administrer ind\u00e9pendamment de la prise des repas
Ce m\u00e9dicament est administr\u00e9 par voie orale, en une prise par jour, de pr\u00e9f\u00e9rence le soir, pendant ou en dehors des repas.<\/li>
\n<\/ul>
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\nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses
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\n\u00a0Grossesse :<\/b>
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\n- La pravastatine est contre-indiqu\u00e9e pendant la grossesse et doit \u00eatre administr\u00e9e aux femmes en \u00e2ge de procr\u00e9er uniquement si une conception est improbable et si ces patientes ont \u00e9t\u00e9 inform\u00e9es du risque potentiel. Si une patiente pr\u00e9voit ou d\u00e9clare une grossesse, le m\u00e9decin doit \u00eatre imm\u00e9diatement inform\u00e9 et l’administration de la pravastatine doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9e en raison du risque potentiel pour le foetus.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n\u00a0Allaitement :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- Une faible quantit\u00e9 de pravastatine est excr\u00e9t\u00e9e dans le lait maternel. En cons\u00e9quence, l’administration de pravastatine pendant l’allaitement est contre-indiqu\u00e9e .<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
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\n- La pravastatine n’a pas ou peu d’influence sur l’aptitude \u00e0 conduire des v\u00e9hicules ou \u00e0 utiliser des machines. Toutefois, lors de la conduite de v\u00e9hicules ou l’utilisation de machines, il devra \u00eatre pris en compte la possible survenue de vertiges pendant le traitement.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
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\n
\n- Sensation de vertige\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - C\u00e9phal\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Trouble du sommeil\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Insomnie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Vision floue\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Diplopie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dyspepsie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Pyrosis\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur abdominale\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Naus\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Vomissement\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Constipation\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Diarrh\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Flatulence\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Prurit\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Eruption cutan\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Urticaire\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Alt\u00e9ration des cheveux\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Alop\u00e9cie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dysurie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Polyurie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Nycturie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Trouble sexuel\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Asth\u00e9nie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur articulaire
\n<\/li>
\n - Douleur musculaire
\n<\/li>
\n - Crampe
\n<\/li>
\n - Faiblesse musculaire
\n<\/li>
\n - CPK (augmentation)
\n<\/li>
\n - Transaminases (augmentation)
\n<\/li>
\n - Neuropathie p\u00e9riph\u00e9rique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n
\n- Traitement prolonge.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Paresth\u00e9sie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n
\n- Traitement prolonge.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Cauchemar
\n<\/li>
\n - Trouble de la m\u00e9moire
\n<\/li>
\n - D\u00e9pression
\n<\/li>
\n - Pneumopathie interstitielle\u00a0(Exceptionnel)
\n<\/li>
\n - Pancr\u00e9atite\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Rhabdomyolyse\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Tendinopathie\u00a0(Cas isol\u00e9s)
\n<\/li>
\n - Rupture de tendon\u00a0(Cas isol\u00e9s)
\n<\/li>
\n - R\u00e9action anaphylactique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Oed\u00e8me de Quincke\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Lupus \u00e9ryth\u00e9mateux cutan\u00e9\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Ict\u00e8re\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - H\u00e9patite\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - N\u00e9crose h\u00e9patique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nClassement ATC :\u00a0<\/b>
\n
\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0C10AA03 \/ PRAVASTATINE<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nClassement Vidal :\u00a0<\/b>
\n
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Hypolip\u00e9miant : inhibiteur de la HMG Co-A r\u00e9ductase : Pravastatine Cardiologie Ang\u00e9iologie
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Hypolip\u00e9miant : inhibiteur de la HMG Co-A r\u00e9ductase M\u00e9tabolisme Diab\u00e8te Nutrition (Pravastatine)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\nListe I<\/b>
\n
\n-
\nCIP : 3701861<\/b>\u00a0(PRAVASTATINE BIOGARAN 10mg cp pellic s\u00e9c : Plq\/28).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : officines
Rembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n |