\n\u00a0\u00a0Exprim\u00e9 en ceftazidime<\/b><\/font><\/td> | 250 mg<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n<\/table>
\nExcipients :\u00a0sodium carbonate anhydre, sodium.
\n
\n
\n
\n
\n
\n-
\n
Elles proc\u00e8dent de l’activit\u00e9 antibact\u00e9rienne et des caract\u00e9ristiques pharmacocin\u00e9tiques de la ceftazidime. Elles tiennent compte \u00e0 la fois des \u00e9tudes cliniques auxquelles a donn\u00e9 lieu le m\u00e9dicament et de sa place dans l’\u00e9ventail des produits antibact\u00e9riens actuellement disponibles. <\/p> - Elles sont limit\u00e9es aux infections s\u00e9v\u00e8res dues aux germes sensibles \u00e0 la ceftazidime y compris les m\u00e9ningites, notamment \u00e0 pseudomonas, mais \u00e0 l’exclusion de celles \u00e0 Listeria monocytogenes.
<\/li> - Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropri\u00e9e des antibact\u00e9riens.
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n- POSOLOGIE :
— Chez les sujets \u00e0 fonction r\u00e9nale normale : – Enfants et nourrissons : 50 mg\/kg\/jour en moyenne en administration discontinue.
- – Nouveau-n\u00e9s : 25 \u00e0 50 mg\/kg\/jour en administration discontinue.
<\/li> - La posologie doit \u00eatre port\u00e9e de 100 \u00e0 200 mg\/kg\/jour dans les m\u00e9ningites, dans les infections respiratoires \u00e0 pseudomonas des sujets atteints de mucoviscidose et dans les aplasies m\u00e9dullaires en administration discontinue.
<\/li> - En administration continue, chez des enfants neutrop\u00e9niques ou mucoviscidosiques, la posologie sera port\u00e9e de 100 \u00e0 200 mg\/kg\/jour apr\u00e8s une dose de charge en bolus IV de 60 \u00e0 100 mg\/kg sans d\u00e9passer 2 g.
<\/li> - L’administration continue n’a pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9e dans le traitement des m\u00e9ningites ni chez l’enfant insuffisant r\u00e9nal.
<\/li> - – Adultes : 3 g\/jour en moyenne (1 g toutes les 8 heures) en administration discontinue.
<\/li> - La posologie peut \u00eatre augment\u00e9e selon le germe en cause (en particulier Pseudomonas aeruginosa), selon le site de l’infection (en particulier parenchyme pulmonaire) ou selon le terrain (en particulier chez le neutrop\u00e9nique).
<\/li> - Elle doit \u00eatre augment\u00e9e \u00e0 2 g, 3 fois par jour en IV au cours des m\u00e9ningites \u00e0 bact\u00e9ries Gram n\u00e9gatif. Elle peut \u00e9galement \u00eatre port\u00e9e \u00e0 6 g\/j en IV en administration discontinue.
<\/li> - En administration continue, elle sera de 4 \u00e0 6 g\/24 h, pr\u00e9c\u00e9d\u00e9e d’une dose de charge de 2 g.
<\/li> - L’administration continue n’a pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9e dans le traitement des m\u00e9ningites.
<\/li> - — Chez les sujets insuffisants r\u00e9naux adultes :
En cas d’insuffisance r\u00e9nale, la posologie en administration discontinue doit \u00eatre adapt\u00e9e en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine. <\/li> -
\n
\n
\n
\n\t\t\u00a0Clcr (ml\/min)\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0Administration discontinue\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0Administration continue\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n
\n\t\t\u00a030 \u00e0 50\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a01 \u00e0 2 g\/24 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0dose de charge de 2 g suivie de 1 \u00e0 3 g\/24 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n
\n\t\t\u00a015 \u00e0 30\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a01 g\/24 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0dose de charge de 2 g suivie de 1 g\/24 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n
\n\t\t\u00a05 \u00e0 15\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a01 g\/36 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0non \u00e9valu\u00e9e\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n
\n\t\t\u00a0< 5\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a00,5 g\/48 h\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0non \u00e9valu\u00e9e\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n
\n
\n\t\t\u00a0h\u00e9modialyse\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a01 g \u00e0 la fin de chaque s\u00e9ance\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td> |
\n\t\t\u00a0non \u00e9valu\u00e9e\u00a0
\n\t\t<\/font><\/td>
\n<\/tr>
\n<\/table>
\n Aucune \u00e9valuation n’a \u00e9t\u00e9 men\u00e9e dans l’insuffisance r\u00e9nale s\u00e9v\u00e8re (Clcr < 15 ml\/min) ni dans l’h\u00e9modialyse. <\/li>- MODE D’ADMINISTRATION :
– Voie IM ou IV : Il est recommand\u00e9 de diluer la ceftazidime avec de l’eau pour pr\u00e9parations injectables : 1 ml pour 250 mg de ceftazidime. <\/li> - Si n\u00e9cessaire, des volumes plus importants peuvent \u00eatre utilis\u00e9s pour la voie intraveineuse.
<\/li> - – Perfusion IV :
25 ml pour 1 g de ceftazidime. <\/li> - MODALITES DE MANIPULATION :
– Reconstitution : Tous les flacons sont sous vide partiel. <\/li> - Lors de la dissolution de la poudre, un d\u00e9gagement gazeux se produit. Pour une bonne utilisation, il est conseill\u00e9 d’adopter la technique de reconstitution suivante :
1. Enfoncer l’aiguille de la seringue dans le bouchon du flacon et injecter le volume de solvant recommand\u00e9. Le vide peut faciliter l’entr\u00e9e du solvant. Laisser l’aiguille et la seringue en position jusqu’\u00e0 ressentir une remont\u00e9e du piston. <\/li> - 2. Retirer l’aiguille du bouchon.
<\/li> - 3. Bien secouer pour dissoudre jusqu’\u00e0 obtention d’une solution limpide (1 \u00e0 2 minutes).
<\/li> - 4. Renverser le flacon. S’assurer que le piston de la seringue est \u00e0 bout de course, puis ins\u00e9rer l’aiguille \u00e0 travers le bouchon du flacon.
<\/li> - 5. V\u00e9rifier que l’aiguille plonge dans la solution et non dans l’espace vide. Aspirer le volume total de la solution dans la seringue suivant le sch\u00e9ma classique en maintenant le piston. La pression dans le flacon doit aider au pr\u00e9l\u00e8vement.
<\/li> - 6. La solution aspir\u00e9e peut contenir de petites bulles de dioxyde de carbone, ne pas en tenir compte.
<\/li> - En cas d’utilisation d’un set de transfert, la reconstitution doit se faire avec des poches de perfusion de 50 ml pour 1 g de ceftazidime afin de permettre le d\u00e9gagement gazeux.
<\/li> - Pour une bonne utilisation, il est conseill\u00e9 d’adopter la technique de reconstitution suivante :
1. Aseptiser le bouchon apr\u00e8s avoir retir\u00e9 l’opercule en mati\u00e8re plastique. <\/li> - 2. Positionner et emboiter le dispositif de transfert sur le flacon de poudre de fa\u00e7on aseptique.
<\/li> - 3. Adapter l’ensemble (dispositif de transfert + flacon) sur le site d’injection de la poche.
<\/li> - 4. Presser la poche 2 \u00e0 3 fois pour faire passer la solution dans le flacon, sans d\u00e9passer en volume la moiti\u00e9 de celui-ci. Agiter le flacon pour dissoudre compl\u00e8tement la poudre.
<\/li> - Lors de la dissolution de la poudre, un d\u00e9gagement gazeux se produit.
<\/li> - 5. Retourner l’ensemble poche+flacon, et presser \u00e0 nouveau la poche pour faire passer de l’air dans le flacon puis rel\u00e2cher la pression de fa\u00e7on \u00e0 faire passer le produit solubilis\u00e9 dans la poche.
<\/li> - 6. R\u00e9p\u00e9ter \u00e9ventuellement la pr\u00e9c\u00e9dente op\u00e9ration pour que l’ensemble du produit solubilis\u00e9 dans le flacon se retrouve dans la poche.
<\/li> - 7. V\u00e9rifier la bonne dissolution de la poudre et l’\u00e9tanch\u00e9it\u00e9 de la poche.
<\/li> - 8. Relier l’ensemble (flacon + dispositif + poche) \u00e0 la tubulure via le site pr\u00e9vu \u00e0 cet effet.
<\/li> - – Ce m\u00e9dicament est compatible avec les solutions pour administration intraveineuse suivantes :
. chlorure de sodium \u00e0 0,9 %, . solution glucos\u00e9e \u00e0 5 %, . solution glucos\u00e9e \u00e0 10 %, . solution de chlorure de sodium \u00e0 0,9 % + solution glucos\u00e9e \u00e0 5 %, . solution de Ringer, . solution de Ringer-lactate, . solution de dialyse intrap\u00e9riton\u00e9ale (lactate) 1,36 %. <\/li> - Aucune incompatibilit\u00e9 n’a \u00e9t\u00e9 mise en \u00e9vidence avec les mol\u00e9cules et les solutions suivantes :
. fluoroquinolones (ciprofloxacine, ofloxacine) ; . amphot\u00e9ricine B, . fluconazole, . foscarnet, . \u00e9mulsions lipidiques, . solution glucos\u00e9e \u00e0 30 %, . solutions d’acides amin\u00e9s, . chlorure de potassium, chlorure de calcium, . gluconate de calcium. <\/li> - En administration continue, lors de l’association avec les cures de chimioth\u00e9rapie anticanc\u00e9reuse, utiliser une voie d’administration diff\u00e9rente de celle utilis\u00e9e pour la ceftazidime ou utiliser un cath\u00e9ter multi-lumi\u00e8res en raison du risque de formation de compos\u00e9s insolubles.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\nAbsolue(s) :<\/b>
\n
\n
\n- Hypersensibilit\u00e9 aux c\u00e9phalosporines<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 aux b\u00eatalactamines<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Risque de r\u00e9action d’hypersensibilit\u00e9
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arr\u00eat du traitement. <\/li> - – La prescription des c\u00e9phalosporines n\u00e9cessite un interrogatoire pr\u00e9alable.
<\/li> - – L’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines dans 5 \u00e0 10 % des cas :
. l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino-sensibles ; une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration. <\/li> - . l’emploi des c\u00e9phalosporines et des p\u00e9nicillines est \u00e0 proscrire formellement chez le sujet ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie de type imm\u00e9diat aux c\u00e9phalosporines.
<\/li> - – Les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es avec ces deux types de substances peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li>
\n
- Hypersensibilit\u00e9 aux p\u00e9nicillines
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arr\u00eat du traitement. <\/li> - – La prescription des c\u00e9phalosporines n\u00e9cessite un interrogatoire pr\u00e9alable.
<\/li> - – L’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines dans 5 \u00e0 10 % des cas :
. l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino-sensibles ; une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration. <\/li> - . l’emploi des c\u00e9phalosporines et des p\u00e9nicillines est \u00e0 proscrire formellement chez le sujet ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie de type imm\u00e9diat aux c\u00e9phalosporines.
<\/li> - – Les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es avec ces deux types de substances peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li>
\n
- Risque de s\u00e9lection de souches r\u00e9sistantes
La s\u00e9lection en cours de traitement de germes r\u00e9sistants a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crite, notamment pour Pseudomonas aeruginosa ou certaines ent\u00e9robact\u00e9ries, tel Enterobacter cloacae.<\/li>
\n - M\u00e9ningite
Lors du traitement des m\u00e9ningites, la dispersion des CMI pour certains germes et la variabilit\u00e9 de la diffusion de la ceftazidime dans le liquide c\u00e9phalo-rachidien d’un malade \u00e0 l’autre n\u00e9cessitent un contr\u00f4le de l’activit\u00e9 du produit par dosage dans le liquide c\u00e9phalo-rachidien, une comparaison des taux retrouv\u00e9s avec la CMI du germe isol\u00e9 et l’\u00e9tude du pouvoir bact\u00e9ricide du liquide c\u00e9phalo-rachidien.<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale
En cas d’insuffisance r\u00e9nale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine (cf Posologie\/Mode d’administration) pour \u00e9viter les r\u00e9percussions cliniques dues \u00e0 des taux \u00e9lev\u00e9s d’antibiotique, par exemple : convulsions.<\/li>
\n - Sujet sous r\u00e9gime hyposod\u00e9 ou d\u00e9sod\u00e9
Ce m\u00e9dicament contient 50,5 mg de sodium par gramme de ceftazidime : en tenir compte chez les personnes suivant un r\u00e9gime hyposod\u00e9 strict.<\/li>
\n - Incompatibilit\u00e9 avec certains m\u00e9dicaments
– En administration discontinue : Le m\u00e9lange \u00e0 une solution bicarbonat\u00e9e n’est pas recommand\u00e9 (diminution d’activit\u00e9). <\/li> - La ceftazidime et la vancomycine, de m\u00eame que la ceftazidime et les aminosides, ne doivent pas \u00eatre m\u00e9lang\u00e9s dans la m\u00eame seringue ou dans la m\u00eame poche \u00e0 perfusion.
<\/li> - – En administration continue :
Il a \u00e9t\u00e9 montr\u00e9 une instabilit\u00e9 intratubulaire de la ceftazidime en pr\u00e9sence de : aciclovir, ganciclovir. <\/li> - De plus, tout m\u00e9dicament dont la solution \u00e0 perfuser pr\u00e9sente un caract\u00e8re basique marqu\u00e9 (pH > 9) est susceptible d’alt\u00e9rer la ceftazidime. Il ne doit donc pas \u00eatre administr\u00e9 conjointement.<\/li>
\n
- Incompatibilit\u00e9 avec certains solvants
– En administration discontinue : Le m\u00e9lange \u00e0 une solution bicarbonat\u00e9e n’est pas recommand\u00e9 (diminution d’activit\u00e9). <\/li> - – En administration continue :
De plus, tout m\u00e9dicament dont la solution \u00e0 perfuser pr\u00e9sente un caract\u00e8re basique marqu\u00e9 (pH > 9) est susceptible d’alt\u00e9rer la ceftazidime. Il ne doit donc pas \u00eatre administr\u00e9 conjointement.<\/li>
\n - Compatibilit\u00e9 avec certains solvants
– Ce m\u00e9dicament est compatible avec les solutions pour administration IV suivantes : . chlorure de sodium \u00e0 0,9 %, . solution glucos\u00e9e \u00e0 5 %, . solution glucos\u00e9e \u00e0 10 %, . solution de chlorure de sodium \u00e0 0,9 % + solution glucos\u00e9e \u00e0 5 %, . solution de Ringer, . solution de Ringer-lactate, . solution de dialyse intrap\u00e9riton\u00e9ale (lactate) 1,36 %. <\/li> - – Aucune incompatibilit\u00e9 n’a \u00e9t\u00e9 mise en \u00e9vidence avec les solutions suivantes :
. \u00e9mulsions lipidiques, . solution glucos\u00e9e \u00e0 30 %, . solutions d’acides amin\u00e9s, . chlorure de potassium, chlorure de calcium, . gluconate de calcium. <\/li> - En administration continue, lors de l’association avec les cures de chimioth\u00e9rapie anticanc\u00e9reuse, utiliser une voie d’administration diff\u00e9rente de celle utilis\u00e9e pour la ceftazidime ou utiliser un cath\u00e9ter multi-lumi\u00e8res, en raison du risque de formation de compos\u00e9s insolubles.<\/li>
\n
- Compatibilit\u00e9 avec certains produits chimiques ou biologiques
Aucune incompatibilit\u00e9 n’a \u00e9t\u00e9 mise en \u00e9vidence avec les mol\u00e9cules et les solutions suivantes : . \u00e9mulsions lipidiques, . solutions d’acides amin\u00e9s, . chlorure de potassium, chlorure de calcium, . gluconate de calcium. <\/li> - En administration continue, lors de l’association avec les cures de chimioth\u00e9rapie anticanc\u00e9reuse, utiliser une voie d’administration diff\u00e9rente de celle utilis\u00e9e pour la ceftazidime ou utiliser un cath\u00e9ter multi-lumi\u00e8res, en raison du risque de formation de compos\u00e9s insolubles.<\/li>
\n
- Compatibilit\u00e9 avec certains m\u00e9dicaments
Aucune incompatibilit\u00e9 n’a \u00e9t\u00e9 mise en \u00e9vidence avec les mol\u00e9cules suivantes : . fluoroquinolones (ciprofloxacine, ofloxacine) ; . amphot\u00e9ricine B, . fluconazole, . foscarnet.<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses
\n<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n
\n\u00a0Grossesse :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- En raison du b\u00e9n\u00e9fice attendu, l’utilisation de la ceftazidime peut \u00eatre envisag\u00e9e au cours de la grossesse si besoin. En effet, bien que les donn\u00e9es cliniques soient insuffisantes, les donn\u00e9es animales n’ont pas mis en \u00e9vidence d’effet malformatif ou foetotoxique de la ceftazidime.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n\u00a0Allaitement :<\/b>
\n<\/p>
\n
\n- Le passage dans le lait maternel est faible et les quantit\u00e9s ing\u00e9r\u00e9es tr\u00e8s inf\u00e9rieures aux doses th\u00e9rapeutiques. En cons\u00e9quence, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique. Toutefois, interrompre l’allaitement en cas de survenue de diarrh\u00e9e, de candidose ou d’\u00e9ruption cutan\u00e9e chez le nourrisson.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n- L’attention est attir\u00e9e, notamment chez les conducteurs de v\u00e9hicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de vertiges li\u00e9s \u00e0 ce m\u00e9dicament.<\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\n
\n- Candidose\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Eosinophilie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Thrombocytose\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Leucop\u00e9nie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Neutrop\u00e9nie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Thrombop\u00e9nie\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Lymphocytose\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie h\u00e9molytique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Agranulocytose\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - R\u00e9action anaphylactique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - C\u00e9phal\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Sensation de vertige\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Trouble neurologique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n
\n- Forte dose,\u00a0Insuffisance r\u00e9nale.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Phl\u00e9bite au point d’injection\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n
\n- Voie intraveineuse.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Thrombophl\u00e9bite au point d’injection\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n
\n- Voie intraveineuse.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Transit intestinal (modification)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Naus\u00e9e\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Vomissement\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur abdominale\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Colite\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Ent\u00e9rocolite pseudomembraneuse
\n<\/li>
\n - Transaminases (augmentation)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Gamma GT (augmentation)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Phosphatases alcalines (augmentation)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - LDH (augmentation)\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Ict\u00e8re\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Eruption maculopapuleuse\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Urticaire\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Prurit\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Oed\u00e8me de Quincke\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Eryth\u00e8me polymorphe\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Stevens-Johnson\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Lyell\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Insuffisance r\u00e9nale
\n
\n- Association aux aminosides,\u00a0Association aux diuretiques.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Douleur au point d’injection\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n
\n- Voie intramusculaire.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Inflammation au site d’injection\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n
\n- Voie intramusculaire.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Fi\u00e8vre\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Ur\u00e9mie (augmentation)\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Cr\u00e9atinin\u00e9mie (augmentation)\u00a0(Peu fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nClassement ATC :\u00a0<\/b>
\n
\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0J01DD02 \/ CEFTAZIDIME<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nClassement Vidal :\u00a0<\/b>
\n
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Antibiotique : c\u00e9phalosporine de 3e g\u00e9n\u00e9ration (Ceftazidime)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Les concentrations critiques s\u00e9parent les souches sensibles des souches de sensibilit\u00e9 interm\u00e9diaire et ces derni\u00e8res, des r\u00e9sistantes : S <= 4 mg\/l et R > 32 mg\/l.
- La pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance acquise peut varier en fonction de la g\u00e9ographie et du temps pour certaines esp\u00e8ces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance locale, surtout pour le traitement d’infections s\u00e9v\u00e8res. Ces donn\u00e9es ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilit\u00e9s de la sensibilit\u00e9 d’une souche bact\u00e9rienne \u00e0 cet antibiotique.
<\/li> - Lorsque la variabilit\u00e9 de la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance en France est connue pour une esp\u00e8ce bact\u00e9rienne, la fr\u00e9quence de r\u00e9sistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extr\u00eames) est indiqu\u00e9e entre parenth\u00e8ses.
<\/li> - ESPECES SENSIBLES :
– A\u00e9robies \u00e0 Gram + : streptococcus, Streptococcus pneumoniae (?). <\/li> - – A\u00e9robies \u00e0 Gram – : Branhamella catarrhalis, Burkholderia cepacia, Citrobacter freundii (20 – 30 %), Citrobacter koseri, enterobacter (20 – 40 %), Escherichia coli, Haemophilus influenzae, klebsiella (0 – 20 %), Morganella morganii, neisseria, Proteus mirabilis, Proteus vulgaris, providencia, Pseudomonas aeruginosa (10 – 30 %), salmonella, serratia, shigella, yersinia.
<\/li> - – Ana\u00e9robies : Clostridium perfringens, fusobacterium (30 %), peptostreptococcus (10 – 15 %), prevotella (20 %).
<\/li> - ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilit\u00e9 interm\u00e9diaire) :
– A\u00e9robies \u00e0 Gram + : staphylococcus m\u00e9ti-S. <\/li> - – A\u00e9robies \u00e0 Gram – : Acinetobacter baumannii (40 – 80 %).
<\/li> - ESPECES RESISTANTES :
– A\u00e9robies \u00e0 Gram + : ent\u00e9rocoques, listeria, staphylococcus m\u00e9ti-R*. <\/li> - – A\u00e9robies \u00e0 Gram – : Stenotrophomonas maltophilia.
<\/li> - – Ana\u00e9robies : Bacteroides fragilis, Clostridium difficile.
<\/li> - * La fr\u00e9quence de r\u00e9sistance \u00e0 la m\u00e9ticilline est d’environ 30 \u00e0 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\nListe I<\/b>
\n
\n-
\nCIP : 5714170<\/b>\u00a0(CEFTAZIDIME MYLAN ENFANTS ET NOURRISSONS 250 mg pdre p sol inj : Fl pdre\/5).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : h\u00f4pitaux
Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
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