\nlamotrigine<\/b><\/font><\/td> | 200 mg<\/font><\/td>
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\nExcipients :\u00a0calcium carbonate, sorbitol, cellulose microcristalline, crospovidone, amidon de ma\u00efs, talc, saccharine sodique, cassis ar\u00f4me, (\u00a0ac\u00e9tald\u00e9hyde\u00a0, ac\u00e9toine, jus concentr\u00e9 de cassis, buchu\u00a0huile, acide citrique, amidon de ma\u00efs modifi\u00e9\u00a0, damascenone, ac\u00e9tate d’\u00e9thyle, butyrate d’\u00e9thyle\u00a0, hydroxynutyrate d’\u00e9thyle, lactate d’\u00e9thyle, m\u00e9thylbutyrate d’\u00e9thyle, eug\u00e9nol, g\u00e9ranyle ac\u00e9tate\u00a0, butyrate de g\u00e9ranyl, hexenol, butyrate d’hexenyle, parahydroxyph\u00e9nylbutanone, alpha-ionone, butyrate d’isoamyle, jasmone, maltodextrine, (\u00a0glucose\u00a0), maltol\u00a0, ald\u00e9hyde propionique, rose oxyde, orthophosphate tricalcique, sodium ascorbate, vanilline\u00a0), sodium st\u00e9arylfumarate, silice collo\u00efdale anhydre.
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Epilepsie – Adultes et adolescents \u00e2g\u00e9s de 13 ans et plus . Traitement en monoth\u00e9rapie ou en association des \u00e9pilepsies partielles et g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9es, incluant les crises tonico cloniques. <\/p> - . Crises associ\u00e9es au syndrome de Lennox-Gastaut. La lamotrigine est administr\u00e9e en association \u00e0 un autre traitement mais peut \u00eatre l’anti-\u00e9pileptique (AE) de premi\u00e8re intention dans le syndrome de Lennox-Gastaut.
<\/li> - – Enfants et adolescents de 2 \u00e0 12 ans
. Traitement en association des \u00e9pilepsies partielles et g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9es, incluant les crises tonico cloniques et les crises associ\u00e9es \u00e0 un syndrome de Lennox-Gastaut. <\/li> - . Traitement en monoth\u00e9rapie des absences typiques.Troubles bipolaires
– Adultes \u00e2g\u00e9s de 18 ans et plus. <\/li> - . Pr\u00e9vention des \u00e9pisodes d\u00e9pressifs chez les patients pr\u00e9sentant un trouble bipolaire de type I et qui ont une pr\u00e9dominance d’\u00e9pisodes d\u00e9pressifs (voir rubrique Pharmacodynamie).
<\/li> - La lamotrigine n’est pas indiqu\u00e9e dans le traitement aigu des \u00e9pisodes maniaques ou d\u00e9pressifs.
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\n- Les comprim\u00e9s dispersibles ou \u00e0 croquer de ce m\u00e9dicament peuvent \u00eatre croqu\u00e9s ou dissous dans un petit volume d’eau (assez pour recouvrir tout le comprim\u00e9) ou aval\u00e9s en entier avec un peu d’eau.
- Si la posologie calcul\u00e9e de lamotrigine (par exemple pour le traitement d’enfants atteints d’\u00e9pilepsie ou des patients ayant une insuffisance h\u00e9patique) ne correspond pas \u00e0 un nombre entier de comprim\u00e9(s), la dose devant \u00eatre administr\u00e9e est \u00e9gale \u00e0 l’unit\u00e9 inf\u00e9rieure du nombre de comprim\u00e9(s) entier(s).R\u00e9introduction du traitement
Les prescripteurs doivent \u00e9valuer le besoin d’augmenter la posologie d’entretien en cas de r\u00e9introduction du traitement chez les patients ayant arr\u00eat\u00e9 de prendre ce m\u00e9dicament quelle qu’en soit la raison, \u00e9tant donn\u00e9 le risque d’\u00e9ruption cutan\u00e9e s\u00e9v\u00e8re associ\u00e9 \u00e0 des posologies initiales \u00e9lev\u00e9es et exc\u00e9dant le sch\u00e9ma d’escalade de dose recommand\u00e9e pour la lamotrigine (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). <\/li> - Plus le temps \u00e9coul\u00e9 depuis la derni\u00e8re prise est grand, plus il faut consid\u00e9rer l’augmentation de la posologie d’entretien.
<\/li> - Quand le temps d’arr\u00eat de la prise de lamotrigine exc\u00e8de 5 demi-vies (voir rubrique Pharmacocin\u00e9tique), ce m\u00e9dicament doit g\u00e9n\u00e9ralement \u00eatre augment\u00e9 jusqu’\u00e0 la posologie d’entretien selon le sch\u00e9ma appropri\u00e9.
<\/li> - Il est recommand\u00e9 de ne pas r\u00e9introduire le traitement par ce m\u00e9dicament chez les patients ayant arr\u00eat\u00e9 en raison d’une \u00e9ruption cutan\u00e9e associ\u00e9e \u00e0 un traitement ant\u00e9rieur par la lamotrigine tant que le b\u00e9n\u00e9fice potentiel n’exc\u00e8de pas clairement le risque.Epilepsie
L’augmentation posologique recommand\u00e9e et les posologies d’entretien pour les adultes et les adolescents \u00e0 partir de 13 ans et pour les enfants et adolescents \u00e2g\u00e9s de 2 \u00e0 12 ans sont donn\u00e9es ci dessous. En raison du risque d’\u00e9ruption cutan\u00e9e, la posologie initiale et les augmentations posologiques suivantes ne doivent pas \u00eatre d\u00e9pass\u00e9es (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). <\/li> - Lorsque des AEs concomitants sont arr\u00eat\u00e9s ou d’autres AEs\/m\u00e9dicaments sont ajout\u00e9s au protocole th\u00e9rapeutique contenant de la lamotrigine, il faut prendre en consid\u00e9ration l’effet que cela peut avoir sur la pharmacocin\u00e9tique de la lamotrigine (voir rubrique Interactions).
<\/li> - 1 \/ Adultes et adolescents \u00e0 partir de 13 ans – recommandations posologiques dans l’\u00e9pilepsie
– Monoth\u00e9rapie : . Semaines 1 + 2 : 25 mg\/jour (une prise par jour). <\/li> - . Semaines 3 + 4 : 50 mg\/ jour (une prise par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 100 – 200 mg\/ jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre le niveau d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 50 \u00e0 100 mg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale. 500 mg\/jour ont \u00e9t\u00e9 n\u00e9cessaires chez certains patients pour atteindre la r\u00e9ponse d\u00e9sir\u00e9e.
<\/li> - – Traitement en association AVEC le valproate (inhibiteur de la glucuronisation de la lamotrigine – voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec le valproate sans tenir compte de tout autre traitement concomitant. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 12,5 mg\/jour (donn\u00e9 par prise de 25 mg 1 jour sur 2).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 25 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 100 – 200 mg\/ jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre le niveau d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 25 \u00e0 50 mg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale.
<\/li> - – Traitement en association SANS le valproate et AVEC inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e sans le valproate mais avec : ph\u00e9nyto\u00efne, carbamaz\u00e9pine, ph\u00e9nobarbital, primidone, rifampicine, lopinavir\/ritonavir. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 50 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 100 mg\/jour (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 200 – 400 mg\/jour (en 2 prises par jour). Pour atteindre le niveau d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 100 mg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale. 700 mg\/jour ont \u00e9t\u00e9 n\u00e9cessaires chez certains patients pour atteindre la r\u00e9ponse d\u00e9sir\u00e9e.
<\/li> - – Traitement en association SANS le valproate et SANS inducteur de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec d’autres m\u00e9dicaments qui n’inhibent ou n’induisent pas significativement la glucuronisation de la lamotrigine. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 25 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 50 mg\/ jour (une prise par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 100 – 200 mg\/ jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre le niveau d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 50 \u00e0 100 mg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale.
<\/li> - Chez les patients prenant des m\u00e9dicaments dont l’interaction pharmacocin\u00e9tique avec la lamotrigine n’est pas connue actuellement (voir rubrique Interactions), la posologie recommand\u00e9e de lamotrigine en cas d’association au valproate doit \u00eatre appliqu\u00e9e.
<\/li> - 2 \/ Enfants et adolescents \u00e2g\u00e9s de 2 \u00e0 12 ans – recommandations posologiques dans l’\u00e9pilepsie (dose quotidienne totale en mg\/kg de poids corporel\/jour)
– Monoth\u00e9rapie des absences typiques : . Semaines 1 + 2 : 0,3 mg\/kg\/ jour (en une ou 2 prises par jour). <\/li> - . Semaines 3 + 4 : 0,6 mg\/kg\/ jour (en une ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 1 – 10 mg\/kg\/ jour, n\u00e9anmoins certains patients ont n\u00e9cessit\u00e9 des doses sup\u00e9rieures (jusqu’\u00e0 15 mg\/kg\/ jour) pour atteindre la r\u00e9ponse d\u00e9sir\u00e9e (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre la posologie d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 0,6 mg\/kg\/jour toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale.
<\/li> - – Traitement en association AVEC le valproate (inhibiteur de la glucuronisation de la lamotrigine – voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec le valproate sans tenir compte de tout autre traitement concomitant. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 0,15 mg\/kg\/jour* (une prise par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 0,3 mg\/kg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 1 – 5 mg\/kg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre la posologie d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 0,3 mg\/kg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale avec une dose d’entretien maximale de 200 mg\/jour.
<\/li> - – Traitement en association SANS le valproate et AVEC inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e sans le valproate mais avec : ph\u00e9nyto\u00efne, carbamaz\u00e9pine, ph\u00e9nobarbital, primidone, rifampicine, lopinavir\/ritonavir. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 0,6 mg\/kg\/ jour (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 1,2 mg\/kg\/jour (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 5 – 15 mg\/kg\/ jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre la posologie d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 1,2 mg\/kg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale avec une dose d’entretien maximale de 400 mg\/jour.
<\/li> - – Traitement en association SANS le valproate et SANS inducteur de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec d’autres m\u00e9dicaments qui n’inhibent ou n’induisent pas significativement la glucuronisation de la lamotrigine. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 0,3 mg\/kg\/ jour (en 1 ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 0,6 mg\/kg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie habituelle d’entretien : 1 – 10 mg\/kg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour). Pour atteindre la posologie d’entretien, les doses doivent \u00eatre augment\u00e9es par paliers maximum de 0,6 mg\/kg toutes les 1 \u00e0 2 semaines jusqu’\u00e0 atteindre la r\u00e9ponse optimale avec une dose d’entretien maximale de 200 mg\/jour.
<\/li> - Chez les patients prenant des m\u00e9dicaments dont l’interaction pharmacocin\u00e9tique avec la lamotrigine n’est pas connue actuellement (voir rubrique Interactions), la posologie recommand\u00e9e de lamotrigine en cas d’association au valproate doit \u00eatre appliqu\u00e9e.
<\/li> - * Si la posologie calcul\u00e9e quotidienne chez les patients prenant du valproate est de 1 mg ou plus mais inf\u00e9rieure \u00e0 2 mg, alors des comprim\u00e9s de lamotrigine dos\u00e9s \u00e0 2 mg peuvent \u00eatre pris 1 jour sur 2 durant les 2 premi\u00e8res semaines. Chez les patients prenant du valproate, si la posologie calcul\u00e9e quotidienne est inf\u00e9rieure \u00e0 1 mg alors la lamotrigine ne doit pas \u00eatre administr\u00e9e.
<\/li> - Afin de s’assurer que la dose th\u00e9rapeutique est maintenue, le poids de l’enfant doit \u00eatre contr\u00f4l\u00e9 et la dose doit \u00eatre revue en cas de modification du poids. Il est probable que les patients \u00e2g\u00e9s de deux \u00e0 six ans n\u00e9cessitent une posologie d’entretien se situant vers la limite sup\u00e9rieure de l’intervalle recommand\u00e9.
<\/li> - Si le contr\u00f4le de l’\u00e9pilepsie est atteint avec un traitement en association, les AEs associ\u00e9s peuvent \u00eatre arr\u00eat\u00e9s et les patients maintenus sous monoth\u00e9rapie par lamotrigine.
<\/li> - 3 \/ Enfants de moins de 2 ans
Les donn\u00e9es concernant la tol\u00e9rance et l’efficacit\u00e9 de la lamotrigine en association \u00e0 un autre traitement dans les crises partielles des enfants \u00e2g\u00e9s de 1 mois \u00e0 2 ans sont limit\u00e9es (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). Il n’y a aucune donn\u00e9e chez les enfants de moins d’un mois. Par cons\u00e9quent, l’utilisation de ce m\u00e9dicament n’est pas recommand\u00e9e chez les enfants de moins de 2 ans. N\u00e9anmoins si cliniquement en fonction du besoin, la d\u00e9cision de traiter a \u00e9t\u00e9 prise, voir les rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi, Pharmacodynamie et Pharmacocin\u00e9tique.Troubles bipolaires Le sch\u00e9ma d’escalade de dose et la posologie d’entretien recommand\u00e9s chez les adultes de 18 ans et plus sont fournis ci-dessous. Le sch\u00e9ma de transition implique une augmentation posologique de la lamotrigine jusqu’\u00e0 une posologie d’entretien \u00e0 stabilisation sur six semaines apr\u00e8s lesquelles les autres m\u00e9dicaments psychotropes et\/ou AEs peuvent \u00eatre arr\u00eat\u00e9s, si cela est indiqu\u00e9 cliniquement. Les ajustements posologiques suite \u00e0 l’ajout d’autres m\u00e9dicaments psychotropes et\/ou AEs sont \u00e9galement fournis ci-dessous . En raison du risque de rash, la dose initiale et les augmentations de doses suivantes ne doivent pas \u00eatre d\u00e9pass\u00e9es (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). <\/li> - 1 \/ Adultes de 18 ans et plus – augmentation posologique recommand\u00e9e jusqu’\u00e0 la posologie quotidienne totale d’entretien de stabilisation dans le traitement des troubles bipolaires
– Monoth\u00e9rapie avec la lamotrigine OU en association SANS valproate et SANS inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) : Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec d’autres m\u00e9dicaments qui n’inhibent ou n’induisent pas significativement la glucuronisation de la lamotrigine. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 25 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 50 mg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Semaine 5 : 100 mg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie cible de stabilisation (Semaine 6)* : 200 mg\/jour – posologie cible habituelle pour une r\u00e9ponse optimale (en 1 ou 2 prises par jour). Des posologies dans un intervalle allant de 100 \u00e0 400 mg\/jour ont \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9es dans les essais cliniques.
<\/li> - – Traitement en association AVEC le valproate (inhibiteur de la glucuronisation de la lamotrigine – voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec le valproate sans tenir compte de tout autre traitement concomitant . <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 12,5 mg\/jour (donn\u00e9 par prise de 25 mg 1 jour sur 2).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 25 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Semaine 5 : 50 mg\/jour (en 1 ou 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie cible de stabilisation (Semaine 6)* : 100 mg\/jour – posologie cible habituelle pour une r\u00e9ponse optimale (une fois par jour ou en 2 prises). Une posologie maximale de 200 mg\/jour peut \u00eatre utilis\u00e9e selon la r\u00e9ponse clinique.
<\/li> - – Traitement en association SANS le valproate et AVEC inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e sans le valproate mais avec : ph\u00e9nyto\u00efne, carbamaz\u00e9pine, ph\u00e9nobarbital, primidone, rifampicine, lopinavir\/ritonavir. <\/li> - . Semaines 1 + 2 : 50 mg\/jour (une prise par jour).
<\/li> - . Semaines 3 + 4 : 100 mg\/ jour (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Semaine 5 : 200 mg\/ jour (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Posologie cible de stabilisation (Semaine 6)* : 300 mg\/jour \u00e0 la semaine 6, si n\u00e9cessaire en augmentant jusqu’\u00e0 la posologie cible habituelle de 400 mg\/jour \u00e0 la semaine 7, pour atteindre une r\u00e9ponse optimale (en 2 prises par jour).
<\/li> - Chez les patients prenant des m\u00e9dicaments dont l’interaction pharmacocin\u00e9tique avec la lamotrigine n’est pas connue actuellement (voir rubrique Interactions), la posologie recommand\u00e9e de lamotrigine en cas d’association au valproate doit \u00eatre appliqu\u00e9e.
<\/li> - * La posologie cible de stabilisation variera selon la r\u00e9ponse clinique
2 \/ Adultes de 18 ans et plus – posologie totale quotidienne d’entretien de stabilisation suite \u00e0 l’arr\u00eat de m\u00e9dicaments associ\u00e9s dans le traitement des troubles bipolaires Une fois que la posologie quotidienne d’entretien de stabilisation est atteinte, les autres m\u00e9dicaments peuvent \u00eatre arr\u00eat\u00e9s comme indiqu\u00e9 ci-dessous. <\/li> - – Arr\u00eat du valproate (inhibiteur de la glucuronisation de la lamotrigine – voir rubrique Interactions), selon la posologie initiale de lamotrigine :
Lorsque le valproate est arr\u00eat\u00e9, doubler la posologie de stabilisation, sans d\u00e9passer une augmentation de 100 mg\/semaine. <\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’arr\u00eat) : 100 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec arr\u00eat) : 200 mg\/jour. Semaine 2, semaine 3 et suivantes * : maintenir cette posologie (200 mg\/jour) (en 2 prises par jour).
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’arr\u00eat) : 200 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec arr\u00eat) : 300 mg\/jour. Semaine 2. Semaine 3 et suivantes * : 400 mg\/jour, maintenir cette posologie (400 mg\/jour).
<\/li> - – Arr\u00eat des inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions), selon la posologie initiale de lamotrigine :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e \u00e0 l’arr\u00eat des m\u00e9dicaments suivants : ph\u00e9nyto\u00efne, carbamaz\u00e9pine, ph\u00e9nobarbital, primidone, rifampicine, lopinavir\/ritonavir. <\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’arr\u00eat) : 400 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec arr\u00eat) : 400 mg\/jour. Semaine 2 : 300 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes * : 200 mg\/jour.
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’arr\u00eat) : 300 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec arr\u00eat) : 300 mg\/jour. Semaine 2 : 225 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes * : 150 mg\/jour.
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’arr\u00eat) : 200 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec arr\u00eat) : 200 mg\/jour. Semaine 2 : 150 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes * : 100 mg\/jour.
<\/li> - – Arr\u00eat des m\u00e9dicaments qui N’inhibent ou N’induisent PAS significativement la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e lorsque d’autres m\u00e9dicaments qui n’inhibent ou n’induisent pas significativement la glucuronisation sont arr\u00eat\u00e9s. <\/li> - Maintenir la posologie cible atteinte durant l’escalade de dose (200 mg\/jour ; en 2 prises) (intervalle posologique 100 \u00e0 400 mg\/jour).
<\/li> - Chez les patients prenant des m\u00e9dicaments dont l’interaction pharmacocin\u00e9tique avec la lamotrigine n’est pas connue actuellement (voir rubrique Interactions), la posologie recommand\u00e9e de lamotrigine en cas d’association au valproate doit \u00eatre appliqu\u00e9e.
<\/li> - * Les posologies peuvent \u00eatre augment\u00e9es jusqu’\u00e0 400 mg\/jour si besoin
3 \/ Adultes de 18 ans et plus – ajustement de posologie quotidienne de la lamotrigine suite \u00e0 l’ajout de m\u00e9dicaments associ\u00e9s dans le traitement des troubles bipolaires Il n’y a aucune exp\u00e9rience clinique dans l’ajustement de posologie quotidienne de la lamotrigine suite \u00e0 l’ajout d’autres m\u00e9dicaments dans le traitement des troubles bipolaires. <\/li> - Cependant, sur la base des \u00e9tudes d’interactions avec d’autres m\u00e9dicaments, les recommandations suivantes peuvent \u00eatre faites :
– Ajout du valproate (inhibiteur de la glucuronisation de la lamotrigine – voir rubrique Interactions), selon la posologie initiale de lamotrigine : Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e avec le valproate sans tenir compte de tout autre traitement concomitant. <\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 200 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 100 mg\/jour. Semaine 2, semaine 3 et suivantes : maintenir cette posologie (100 mg\/jour).
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 300 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 150 mg\/jour. Semaine 2, semaine 3 et suivantes : maintenir cette posologie (150 mg\/jour).
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 400 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 200 mg\/jour. Semaine 2, semaine 3 et suivantes : maintenir cette posologie (200 mg\/jour).
<\/li> - – Ajout d’inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine chez les patients NE prenant PAS de valproate (voir rubrique Interactions), selon la posologie initiale de lamotrigine :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e sans le valproate mais avec : ph\u00e9nyto\u00efne, carbamaz\u00e9pine, ph\u00e9nobarbital, primidone, rifampicine, lopinavir\/ritonavir. <\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 200 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 200 mg\/jour. Semaine 2 : 300 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes : 400 mg\/jour.
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 150 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 150 mg\/jour. Semaine 2 : 225 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes : 300 mg\/jour.
<\/li> - . Dose actuelle de stabilisation de la lamotrigine (avant l’ajout) : 100 mg\/jour. Semaine 1 (d\u00e9marrage avec l’ajout) : 100 mg\/jour. Semaine 2 : 150 mg\/jour. Semaine 3 et suivantes : 200 mg\/jour.
<\/li> - – Arr\u00eat des m\u00e9dicaments qui N’inhibent ou N’induisent PAS significativement la glucuronisation de la lamotrigine (voir rubrique Interactions) :
Cette posologie doit \u00eatre utilis\u00e9e lorsque d’autres m\u00e9dicaments qui n’inhibent ou n’induisent pas significativement la glucuronisation sont arr\u00eat\u00e9s. <\/li> - Maintenir la posologie cible atteinte durant l’escalade de dose (200 mg\/jour; intervalle posologique 100 \u00e0 400 mg\/jour).
<\/li> - Chez les patients prenant des m\u00e9dicaments dont l’interaction pharmacocin\u00e9tique avec la lamotrigine n’est pas connue actuellement (voir rubrique Interactions), la posologie recommand\u00e9e en cas d’association au valproate doit \u00eatre appliqu\u00e9e.
<\/li> - 4 \/ Arr\u00eat du traitement par lamotrigine chez les patients atteints de troubles bipolaires
Dans les essais cliniques, il n’y a eu aucune augmentation de l’incidence, de la s\u00e9v\u00e9rit\u00e9 ou du type d’effets ind\u00e9sirables suite \u00e0 un arr\u00eat brutal de la lamotrigine par comparaison avec le placebo. Par cons\u00e9quent, les patients peuvent arr\u00eater de prendre ce m\u00e9dicament sans \u00e9tape pr\u00e9alable de r\u00e9duction de la posologie. <\/li> - 5 \/ Enfants et adolescents de moins de 18 ans
L’utilisation de la lamotrigine n’est pas recommand\u00e9e chez les enfants de moins de 18 ans en raison de l’insuffisance des donn\u00e9es concernant la tol\u00e9rance et l’efficacit\u00e9 (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi).Recommandations posologiques g\u00e9n\u00e9rales pour la lamotrigine chez les populations sp\u00e9ciales de patients – Femmes sous contraception hormonale L’utilisation de l’association \u00e9thinylestradiol\/l\u00e9vonorgestrel (30 \u00b5g\/150 \u00b5g) multiplie environ par 2 la clairance de la lamotrigine, entra\u00eenant une diminution des taux de lamotrigine. Apr\u00e8s titration, une augmentation de la posologie d’entretien de la lamotrigine (jusqu’\u00e0 2 fois la dose initiale) peut \u00eatre n\u00e9cessaire pour atteindre la r\u00e9ponse th\u00e9rapeutique maximale. <\/li> - Durant la semaine sans prise de pilule, un doublement des taux de lamotrigine a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9. Des effets ind\u00e9sirables dose-d\u00e9pendants ne peuvent \u00eatre exclus. Il faut prendre en consid\u00e9ration l’utilisation d’une contraception sans semaine sans prise de pilule, comme traitement de premi\u00e8re intention (par exemple, contraceptifs hormonaux continus ou m\u00e9thodes non-hormonales; voir rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi et Interactions).
<\/li> - . Instauration d’une contraception hormonale chez les patientes prenant d\u00e9j\u00e0 une posologie d’entretien de la lamotrigine et NE prenant PAS d’inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine
La posologie d’entretien de la lamotrigine devra dans la plupart des cas \u00eatre doubl\u00e9e (voir rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi et Interactions). Il est recommand\u00e9 qu’\u00e0 partir de l’instauration d’une contraception hormonale, la posologie de lamotrigine soit augment\u00e9e par paliers de 50 \u00e0 100 mg\/jour toutes les semaines, selon la r\u00e9ponse clinique individuelle. Les posologies ne doivent pas d\u00e9passer ce seuil, \u00e0 moins qu’en fonction de la r\u00e9ponse clinique des doses sup\u00e9rieures soient n\u00e9cessaires. La mesure des concentrations s\u00e9riques de lamotrigine avant et apr\u00e8s l’instauration du contraceptif hormonal peut \u00eatre envisag\u00e9e pour confirmer que la concentration basale en lamotrigine a \u00e9t\u00e9 maintenue. Si n\u00e9cessaire, la posologie doit \u00eatre adapt\u00e9e. Chez les femmes prenant un contraceptif hormonal incluant une semaine de traitement inactif (\u00a0\u00bb semaine sans prise de pilule \u00ab\u00a0), un suivi du taux de lamotrigine s\u00e9rique doit \u00eatre effectu\u00e9 durant la 3\u00e8me semaine de traitement actif, c’est-\u00e0-dire du jour 15 \u00e0 21 du cycle de la pilule. C’est pourquoi il est pr\u00e9f\u00e9rable d’utiliser une contraception exempte de semaine sans prise de pilule, comme traitement de premi\u00e8re intention (par exemple, des contraceptifs hormonaux continus ou des m\u00e9thodes non-hormonales ; voir rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi et Interactions). <\/li> - . Arr\u00eat d’une contraception hormonale chez les patientes prenant d\u00e9j\u00e0 une posologie d’entretien de la lamotrigine et NE prenant PAS d’inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine
La posologie d’entretien de la lamotrigine devra dans la plupart des cas \u00eatre diminu\u00e9e de 50 % (voir rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi et Interactions). Il est recommand\u00e9 de diminuer progressivement la dose quotidienne de lamotrigine par paliers de 50 \u00e0 100 mg chaque semaine (\u00e0 un taux n’exc\u00e9dant pas 25% de la dose quotidienne totale par semaine) durant une p\u00e9riode de 3 semaines, \u00e0 moins que la r\u00e9ponse clinique indique le contraire. La mesure des concentrations s\u00e9riques de lamotrigine avant et apr\u00e8s l’arr\u00eat du contraceptif hormonal peut \u00eatre envisag\u00e9e, pour confirmer que la concentration basale en lamotrigine a \u00e9t\u00e9 maintenue. Chez les femmes souhaitant arr\u00eater la prise d’un contraceptif hormonal incluant une semaine de traitement inactif (\u00a0\u00bb semaine sans prise de pilule \u00ab\u00a0), un suivi du taux de lamotrigine s\u00e9rique doit \u00eatre effectu\u00e9 durant la 3\u00e8me semaine active de traitement, c’est-\u00e0-dire du jour 15 \u00e0 21 du cycle de la pilule. Des \u00e9chantillons destin\u00e9s \u00e0 l’\u00e9valuation des taux de lamotrigine apr\u00e8s l’arr\u00eat permanent de la pilule contraceptive ne doivent pas \u00eatre collect\u00e9s durant la 1\u00e8re semaine suivant l’arr\u00eat de la pilule. <\/li> - . Instauration de la lamotrigine chez les patientes prenant d\u00e9j\u00e0 une contraception hormonale
Les augmentations posologiques doivent suivre les recommandations posologiques normales d\u00e9crites dans les tableaux. <\/li> - . Instauration et arr\u00eat d’une contraception hormonale chez les patientes prenant d\u00e9j\u00e0 une posologie d’entretien de la lamotrigine et PRENANT des inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine
Un ajustement \u00e0 la posologie recommand\u00e9e d’entretien de lamotrigine peut ne pas \u00eatre n\u00e9cessaire. <\/li> - – Sujets \u00e2g\u00e9s (plus de 65 ans)
Aucune adaptation posologique \u00e0 partir du sch\u00e9ma recommand\u00e9 n’est requise. La pharmacocin\u00e9tique de la lamotrigine dans cette population ne diff\u00e8re pas significativement de la population adulte non-\u00e2g\u00e9e (voir rubrique Pharmacocin\u00e9tique). <\/li> - – Insuffisant r\u00e9nal
Des pr\u00e9cautions doivent \u00eatre prises lorsque la lamotrigine est administr\u00e9e \u00e0 des patients insuffisants r\u00e9naux. Pour les patients en stade terminal d’insuffisance r\u00e9nale, les posologies initiales de lamotrigine doivent se baser sur celles des traitements concomitants de ces patients ; des posologies d’entretien plus faibles peuvent \u00eatre efficaces pour les patients ayant une insuffisance r\u00e9nale fonctionnelle significative (voir rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi et Pharmacocin\u00e9tique). <\/li> - – Insuffisant h\u00e9patique
Les posologies initiales, d’augmentation et d’entretien doivent g\u00e9n\u00e9ralement \u00eatre r\u00e9duites d’approximativement 50% chez les patients ayant une insuffisance h\u00e9patique mod\u00e9r\u00e9e (Child-Pugh de grade B) et de 75 % chez les insuffisants h\u00e9patiques s\u00e9v\u00e8res (Child-Pugh de grade C). Les augmentations posologiques et les posologies d’entretien doivent \u00eatre ajust\u00e9es en fonction de la r\u00e9ponse clinique (voir rubrique Pharmacocin\u00e9tique).<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n
\n
\n
\n
\nAbsolue(s) :<\/b>
\n
\n
\n- Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 l’un des composants<\/li>
\n
- Intol\u00e9rance au fructose<\/li>
\n
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n- Risque d’\u00e9ruption cutan\u00e9e s\u00e9v\u00e8re
Des effets ind\u00e9sirables cutan\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 signal\u00e9s, ils sont g\u00e9n\u00e9ralement survenus dans les 8 premi\u00e8res semaines apr\u00e8s l’instauration du traitement par la lamotrigine. <\/li> - Si la majorit\u00e9 des \u00e9ruptions sont b\u00e9nignes et transitoires, des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves n\u00e9cessitant une hospitalisation et un arr\u00eat de la lamotrigine ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es. Cela inclut des \u00e9ruptions pouvant mettre en jeu le pronostic vital, comme le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell (n\u00e9crolyse \u00e9pidermique toxique) (voir rubrique Effets ind\u00e9sirables).
<\/li> - Chez les adultes recrut\u00e9s dans les essais utilisant les recommandations posologiques actuelles de la lamotrigine, l’incidence des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est environ 1 pour 500 patients \u00e9pileptiques. Environ la moiti\u00e9 de ces cas ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s comme \u00e9tant des syndromes de Stevens-Johnson (1 pour 1000). Dans les essais cliniques chez les patients atteints de troubles bipolaires, l’incidence des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est d’environ 1 pour 1000.
<\/li> - Ce risque d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est plus \u00e9lev\u00e9 chez l’enfant que chez l’adulte. Les donn\u00e9es disponibles issues de nombreux essais cliniques sugg\u00e8rent que l’incidence des \u00e9ruptions ayant conduit \u00e0 une hospitalisation chez des enfants \u00e9pileptiques soit de l’ordre de 1 pour 300 \u00e0 1 pour 100.
<\/li> - Chez les enfants, l’aspect initial d’une \u00e9ruption cutan\u00e9e peut faire penser \u00e0 une infection, les m\u00e9decins doivent envisager l’\u00e9ventualit\u00e9 d’une r\u00e9action au traitement par la lamotrigine chez les enfants d\u00e9veloppant des sympt\u00f4mes d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es et de fi\u00e8vre durant les huit premi\u00e8res semaines de traitement.
<\/li> - De plus, le risque global d’\u00e9ruptions semble \u00eatre fortement li\u00e9 \u00e0 :
. des posologies initiales de lamotrigine \u00e9lev\u00e9es et d\u00e9passant le sch\u00e9ma d’escalade de dose recommand\u00e9e du traitement par la lamotrigine (voir rubrique Posologie) . l’utilisation concomitante de valproate (voir rubrique Posologie). <\/li> - Des pr\u00e9cautions sont \u00e9galement exig\u00e9es lors du traitement de patients ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie ou d’\u00e9ruptions avec d’autres AEs \u00e9tant donn\u00e9 que la fr\u00e9quence d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es non-s\u00e9v\u00e8res apr\u00e8s un traitement par la lamotrigine a \u00e9t\u00e9 environ trois fois plus \u00e9lev\u00e9e chez ces patients que chez ceux n’ayant pas de tels ant\u00e9c\u00e9dents.
<\/li> - Tous les patients (adultes et enfants) qui d\u00e9veloppent une \u00e9ruption doivent \u00eatre rapidement \u00e9valu\u00e9s et ce m\u00e9dicament doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9 imm\u00e9diatement \u00e0 moins que l’\u00e9ruption ne soit clairement pas li\u00e9e \u00e0 la lamotrigine. Il est recommand\u00e9 de ne pas r\u00e9introduire ce m\u00e9dicament chez les patients l’ayant interrompu en raison d’une \u00e9ruption associ\u00e9e \u00e0 un traitement ant\u00e9rieur par la lamotrigine, \u00e0 moins que le b\u00e9n\u00e9fice potentiel ne d\u00e9passe clairement le risque.
<\/li> - L’\u00e9ruption cutan\u00e9e a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9e dans le cadre d’un syndrome d’hypersensibilit\u00e9 associ\u00e9 \u00e0 un tableau variable de sympt\u00f4mes syst\u00e9miques incluant fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies, oed\u00e8mes de la face et anomalies h\u00e9matologiques et h\u00e9patiques (voir rubrique Effets ind\u00e9sirables). Le syndrome d’expression clinique variable peut, rarement, conduire \u00e0 une coagulation intra-vasculaire diss\u00e9min\u00e9e (CIVD) et \u00e0 une d\u00e9faillance multivisc\u00e9rale. Il est important de noter que des r\u00e9actions pr\u00e9coces d’hypersensibilit\u00e9 (par exemple fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies,) peuvent \u00eatre observ\u00e9es alors qu’une \u00e9ruption cutan\u00e9e n’est pas \u00e9vidente. Si ces signes et sympt\u00f4mes surviennent le patient doit alors \u00eatre imm\u00e9diatement examin\u00e9 et ce m\u00e9dicament interrompu si une autre \u00e9tiologie ne peut \u00eatre \u00e9tablie.<\/li>
\n
- Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
Des effets ind\u00e9sirables cutan\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 signal\u00e9s, ils sont g\u00e9n\u00e9ralement survenus dans les 8 premi\u00e8res semaines apr\u00e8s l’instauration du traitement par la lamotrigine. <\/li> - Si la majorit\u00e9 des \u00e9ruptions sont b\u00e9nignes et transitoires, des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves n\u00e9cessitant une hospitalisation et un arr\u00eat de la lamotrigine ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es. Cela inclut des \u00e9ruptions pouvant mettre en jeu le pronostic vital, comme le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell (n\u00e9crolyse \u00e9pidermique toxique) (voir rubrique Effets ind\u00e9sirables).
<\/li> - Chez les adultes recrut\u00e9s dans les essais utilisant les recommandations posologiques actuelles de la lamotrigine, l’incidence des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est environ 1 pour 500 patients \u00e9pileptiques. Environ la moiti\u00e9 de ces cas ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s comme \u00e9tant des syndromes de Stevens-Johnson (1 pour 1000). Dans les essais cliniques chez les patients atteints de troubles bipolaires, l’incidence des \u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est d’environ 1 pour 1000.
<\/li> - Ce risque d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es graves est plus \u00e9lev\u00e9 chez l’enfant que chez l’adulte. Les donn\u00e9es disponibles issues de nombreux essais cliniques sugg\u00e8rent que l’incidence des \u00e9ruptions ayant conduit \u00e0 une hospitalisation chez des enfants \u00e9pileptiques soit de l’ordre de 1 pour 300 \u00e0 1 pour 100.
<\/li> - Chez les enfants, l’aspect initial d’une \u00e9ruption cutan\u00e9e peut faire penser \u00e0 une infection, les m\u00e9decins doivent envisager l’\u00e9ventualit\u00e9 d’une r\u00e9action au traitement par la lamotrigine chez les enfants d\u00e9veloppant des sympt\u00f4mes d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es et de fi\u00e8vre durant les huit premi\u00e8res semaines de traitement.
<\/li> - De plus, le risque global d’\u00e9ruptions semble \u00eatre fortement li\u00e9 \u00e0 :
. des posologies initiales de lamotrigine \u00e9lev\u00e9es et d\u00e9passant le sch\u00e9ma d’escalade de dose recommand\u00e9e du traitement par la lamotrigine (voir rubrique Posologie) . l’utilisation concomitante de valproate (voir rubrique Posologie). <\/li> - Des pr\u00e9cautions sont \u00e9galement exig\u00e9es lors du traitement de patients ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie ou d’\u00e9ruptions avec d’autres AEs \u00e9tant donn\u00e9 que la fr\u00e9quence d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es non-s\u00e9v\u00e8res apr\u00e8s un traitement par la lamotrigine a \u00e9t\u00e9 environ trois fois plus \u00e9lev\u00e9e chez ces patients que chez ceux n’ayant pas de tels ant\u00e9c\u00e9dents.
<\/li> - Tous les patients (adultes et enfants) qui d\u00e9veloppent une \u00e9ruption doivent \u00eatre rapidement \u00e9valu\u00e9s et ce m\u00e9dicament doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9 imm\u00e9diatement \u00e0 moins que l’\u00e9ruption ne soit clairement pas li\u00e9e \u00e0 la lamotrigine. Il est recommand\u00e9 de ne pas r\u00e9introduire ce m\u00e9dicament chez les patients l’ayant interrompu en raison d’une \u00e9ruption associ\u00e9e \u00e0 un traitement ant\u00e9rieur par la lamotrigine, \u00e0 moins que le b\u00e9n\u00e9fice potentiel ne d\u00e9passe clairement le risque.
<\/li> - L’\u00e9ruption cutan\u00e9e a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9e dans le cadre d’un syndrome d’hypersensibilit\u00e9 associ\u00e9 \u00e0 un tableau variable de sympt\u00f4mes syst\u00e9miques incluant fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies, oed\u00e8mes de la face et anomalies h\u00e9matologiques et h\u00e9patiques (voir rubrique Effets ind\u00e9sirables). Le syndrome d’expression clinique variable peut, rarement, conduire \u00e0 une coagulation intra-vasculaire diss\u00e9min\u00e9e (CIVD) et \u00e0 une d\u00e9faillance multivisc\u00e9rale. Il est important de noter que des r\u00e9actions pr\u00e9coces d’hypersensibilit\u00e9 (par exemple fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies,) peuvent \u00eatre observ\u00e9es alors qu’une \u00e9ruption cutan\u00e9e n’est pas \u00e9vidente. Si ces signes et sympt\u00f4mes surviennent le patient doit alors \u00eatre imm\u00e9diatement examin\u00e9 et ce m\u00e9dicament interrompu si une autre \u00e9tiologie ne peut \u00eatre \u00e9tablie.<\/li>
\n
- Risque de coagulation intravasculaire diss\u00e9min\u00e9e
– Des r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 : fi\u00e8vre, \u00e9ruption cutan\u00e9e (parfois s\u00e9v\u00e8re avec syndrome de Lyell ou Stevens-Johnson), atteinte h\u00e9patique, alt\u00e9ration de la fonction r\u00e9nale, atteinte h\u00e9matologique, ad\u00e9nopathies, oed\u00e8mes de la face, conjonctivites, ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es. <\/li> - – Ce syndrome d’hypersensibilit\u00e9 g\u00e9n\u00e9rale d’expression clinique variable peut conduire, dans de rares cas, \u00e0 une coagulation intravasculaire diss\u00e9min\u00e9e (CIVD) et \u00e0 une d\u00e9faillance multivisc\u00e9rale.
<\/li> - – Il est important de noter que des r\u00e9actions pr\u00e9coces d’hypersensibilit\u00e9 (fi\u00e8vre et ad\u00e9nopathies, conjonctivite) peuvent \u00eatre annonciatrices d’une \u00e9ruption cutan\u00e9e s\u00e9v\u00e8re alors que les premiers sympt\u00f4mes cutan\u00e9s ne sont pas encore observ\u00e9s.
<\/li> - – Devant un patient pr\u00e9sentant un signe pr\u00e9coce \u00e9vocateur d’hypersensibilit\u00e9, il est recommand\u00e9 de :
. l’\u00e9valuer cliniquement, . interrompre imm\u00e9diatement le traitement si aucune autre \u00e9tiologie ne peut \u00eatre \u00e9tablie, . pratiquer une num\u00e9ration formule sanguine et un bilan h\u00e9patique.<\/li>
\n - Toxidermie aux anticonvulsivants, ant\u00e9c\u00e9dent (de)
Des pr\u00e9cautions sont \u00e9galement exig\u00e9es lors du traitement de patients ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie ou d’\u00e9ruptions avec d’autres AEs \u00e9tant donn\u00e9 que la fr\u00e9quence d’\u00e9ruptions cutan\u00e9es non-s\u00e9v\u00e8res apr\u00e8s un traitement par la lamotrigine a \u00e9t\u00e9 environ trois fois plus \u00e9lev\u00e9e chez ces patients que chez ceux n’ayant pas de tels ant\u00e9c\u00e9dents.<\/li>
\n - Risque de syndrome d’hypersensibilit\u00e9
L’\u00e9ruption cutan\u00e9e a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9e dans le cadre d’un syndrome d’hypersensibilit\u00e9 associ\u00e9 \u00e0 un tableau variable de sympt\u00f4mes syst\u00e9miques incluant fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies, oed\u00e8mes de la face et anomalies h\u00e9matologiques et h\u00e9patiques (voir rubrique Effets ind\u00e9sirables). Le syndrome d’expression clinique variable peut, rarement, conduire \u00e0 une coagulation intra-vasculaire diss\u00e9min\u00e9e (CIVD) et \u00e0 une d\u00e9faillance multivisc\u00e9rale. Il est important de noter que des r\u00e9actions pr\u00e9coces d’hypersensibilit\u00e9 (par exemple fi\u00e8vre, ad\u00e9nopathies,) peuvent \u00eatre observ\u00e9es alors qu’une \u00e9ruption cutan\u00e9e n’est pas \u00e9vidente. Si ces signes et sympt\u00f4mes surviennent le patient doit alors \u00eatre imm\u00e9diatement examin\u00e9 et ce m\u00e9dicament interrompu si une autre \u00e9tiologie ne peut \u00eatre \u00e9tablie..<\/li>
\n - Risque suicidaire
Des id\u00e9es et comportements suicidaires ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s chez des patients trait\u00e9s par des AEs dans plusieurs indications. Une m\u00e9ta-analyse d’essais randomis\u00e9s, contr\u00f4l\u00e9s contre placebo portant sur des AEs a \u00e9galement montr\u00e9 une l\u00e9g\u00e8re augmentation du risque d’id\u00e9es et de comportements suicidaires. Les causes de ce risque ne sont pas connues et les donn\u00e9es disponibles n’excluent pas la possibilit\u00e9 d’une augmentation de ce risque pour la lamotrigine. <\/li> - Par cons\u00e9quent les patients doivent \u00eatre \u00e9troitement surveill\u00e9s pour tout signe d’id\u00e9es et de comportements suicidaires et un traitement appropri\u00e9 doit \u00eatre envisag\u00e9. Il doit \u00eatre recommand\u00e9 aux patients (et \u00e0 leur personnel soignant) de demander un avis m\u00e9dical en cas de survenue de signes d’id\u00e9es et de comportements suicidaires.
<\/li> - Les patients atteints de troubles bipolaires peuvent avoir une aggravation de leurs sympt\u00f4mes d\u00e9pressifs et\/ou l’\u00e9mergence d’id\u00e9es ou de comportements suicidaires qu’ils prennent ou non des m\u00e9dicaments pour les troubles bipolaires, y compris ce m\u00e9dicament.
<\/li> - De ce fait, les patients sous lamotrigine pour des troubles bipolaires doivent \u00eatre \u00e9troitement surveill\u00e9s pour toute aggravation clinique (incluant le d\u00e9veloppement de nouveaux sympt\u00f4mes) et pour des id\u00e9es et comportements suicidaires, particuli\u00e8rement \u00e0 l’instauration du traitement, ou lors de modifications posologiques.
<\/li> - Certains patients, tels que ceux ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’id\u00e9es ou comportements suicidaires, les jeunes adultes, et ceux exprimant un degr\u00e9 significatif d’id\u00e9es suicidaires avant le d\u00e9but du traitement, peuvent \u00eatre plus \u00e0 risque de pens\u00e9es suicidaires ou de tentatives de suicide, et doivent faire l’objet d’une surveillance attentive pendant le traitement.
<\/li> - Il faut envisager un changement du sch\u00e9ma posologique voire un \u00e9ventuel arr\u00eat du m\u00e9dicament, chez les patients ayant une aggravation clinique (incluant le d\u00e9veloppement de nouveaux sympt\u00f4mes) et\/ou l’\u00e9mergence d’id\u00e9es\/comportements suicidaires, particuli\u00e8rement si ses sympt\u00f4mes sont s\u00e9v\u00e8res, surviennent brutalement ou ne faisaient pas partie des sympt\u00f4mes pr\u00e9sent\u00e9s par le patient.
<\/li> - – Enfants et adolescents de moins de 18 ans :
Le traitement par anti-d\u00e9presseurs est associ\u00e9 \u00e0 une augmentation des id\u00e9es et comportements suicidaires chez les enfants et les adolescents atteints de troubles d\u00e9pressifs majeurs et d’autres troubles psychiatriques.<\/li>
\n - Traitement prolong\u00e9
La lamotrigine est un faible inhibiteur de la dihydrofolate r\u00e9ductase et pourrait donc interf\u00e9rer avec le m\u00e9tabolisme des folates lors d’un traitement \u00e0 long terme (voir rubrique Grossesse et allaitement). <\/li> - Toutefois, dans le cadre d’une utilisation prolong\u00e9e, la lamotrigine n’a pas induit de changements significatifs de la concentration en h\u00e9moglobine, du volume globulaire moyen, ou des concentrations en folates du s\u00e9rum ou des h\u00e9maties pendant un an, ni de changements significatifs de la concentration en folates des h\u00e9maties pendant 5 ans.<\/li>
\n
- Insuffisance r\u00e9nale
Chez les insuffisants r\u00e9naux en stade terminal, des \u00e9tudes en administration unique n’ont pas r\u00e9v\u00e9l\u00e9 de modifications significatives des concentrations plasmatiques en lamotrigine. Cependant une accumulation du m\u00e9tabolite glucuronoconjugu\u00e9 est \u00e0 pr\u00e9voir et des pr\u00e9cautions d’emploi doivent donc \u00eatre prises pour le traitement de ces patients.<\/li>
\n - Respecter la dose cumulative maximale
Ce m\u00e9dicament ne doit pas \u00eatre administr\u00e9 aux patients d\u00e9j\u00e0 trait\u00e9s par toute autre pr\u00e9paration contenant de la lamotrigine sans consultation m\u00e9dicale.<\/li>
\n - Enfant de moins de 15 ans
Il n’existe aucune donn\u00e9e sur l’effet de la lamotrigine sur la croissance, la maturation sexuelle et les d\u00e9veloppements cognitifs, \u00e9motionnels et comportementaux des enfants.<\/li>
\n - Traitement \u00e0 arr\u00eater progressivement
Comme avec d’autres AEs, l’arr\u00eat brutal de ce m\u00e9dicament peut provoquer des crises par un effet rebond. La posologie de ce m\u00e9dicament doit \u00eatre progressivement r\u00e9duite sur une p\u00e9riode de deux semaines, sauf s’il s’agit de probl\u00e8mes de tol\u00e9rance (par exemple \u00e9ruption cutan\u00e9e) n\u00e9cessitant un arr\u00eat brutal du traitement.<\/li>
\n - Risque d’aggravation de l’\u00e9pilepsie
D’apr\u00e8s des donn\u00e9es issues de la litt\u00e9rature, des crises convulsives s\u00e9v\u00e8res incluant l’\u00e9tat de mal peuvent conduire \u00e0 une rhabdomyolyse, une d\u00e9faillance multivisc\u00e9rale et une coagulation intra-vasculaire diss\u00e9min\u00e9e pouvant parfois conduire au d\u00e9c\u00e8s. <\/li> - Des cas similaires sont survenus en association avec l’utilisation de lamotrigine.
<\/li> - Une aggravation clinique significative de la fr\u00e9quence des crises peut \u00eatre observ\u00e9e au lieu d’une am\u00e9lioration de celle-ci. Chez les patients pr\u00e9sentant plusieurs types de crise, le b\u00e9n\u00e9fice observ\u00e9 sur le contr\u00f4le d’un type de crise doit \u00eatre pond\u00e9r\u00e9 face \u00e0 une aggravation d’un autre type de crise.
<\/li> - Les crises myocloniques peuvent \u00eatre aggrav\u00e9es par la lamotrigine.
<\/li> - Les donn\u00e9es sugg\u00e8rent que les r\u00e9ponses au traitement lors d’une association \u00e0 des inducteurs enzymatiques sont moindres compar\u00e9es \u00e0 une association \u00e0 des m\u00e9dicaments anti-\u00e9pileptiques non inducteurs enzymatiques. La cause en est mal connue.<\/li>
\n
- Risque d’\u00e9chec du traitement
Chez les enfants prenant de la lamotrigine pour le traitement d’absences typiques, l’efficacit\u00e9 peut ne pas se maintenir chez tous les patients.<\/li>
\n - Administrer entier
Les comprim\u00e9s dispersibles ou \u00e0 croquer de ce m\u00e9dicament peuvent \u00eatre croqu\u00e9s ou dissous dans un petit volume d’eau (assez pour recouvrir tout le comprim\u00e9) ou aval\u00e9s en entier avec un peu d’eau.<\/li>
\n - Nourrisson de moins de 2 ans
Les donn\u00e9es concernant la tol\u00e9rance et l’efficacit\u00e9 de la lamotrigine en association \u00e0 un autre traitement dans les crises partielles des enfants \u00e2g\u00e9s de 1 mois \u00e0 2 ans sont limit\u00e9es (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). Il n’y a aucune donn\u00e9e chez les enfants de moins d’un mois. Par cons\u00e9quent, l’utilisation de ce m\u00e9dicament n’est pas recommand\u00e9e chez les enfants de moins de 2 ans. N\u00e9anmoins si cliniquement en fonction du besoin, la d\u00e9cision de traiter a \u00e9t\u00e9 prise, voir les rubriques Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi, Pharmacodynamie et Pharmacocin\u00e9tique.<\/li>
\n - Insuffisance h\u00e9patique
Les posologies initiales, d’augmentation et d’entretien doivent g\u00e9n\u00e9ralement \u00eatre r\u00e9duites d’approximativement 50% chez les patients ayant une insuffisance h\u00e9patique mod\u00e9r\u00e9e (Child-Pugh de grade B) et de 75 % chez les insuffisants h\u00e9patiques s\u00e9v\u00e8res (Child-Pugh de grade C). Les augmentations posologiques et les posologies d’entretien doivent \u00eatre ajust\u00e9es en fonction de la r\u00e9ponse clinique (voir rubrique Pharmacocin\u00e9tique).<\/li>
\n - Interaction phytoth\u00e9rapique : millepertuis
– Niveau de gravit\u00e9 : Contre-indication – Nature du risque : Risque de diminution des concentrations plasmatiques et de l’efficacit\u00e9 de l’anticonvulsivant.<\/li>
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\nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses
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\n\u00a0Grossesse :<\/b>
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\n- Risque li\u00e9 aux anti\u00e9pileptiques en g\u00e9n\u00e9ral
Un avis sp\u00e9cialis\u00e9 doit \u00eatre donn\u00e9 aux femmes \u00e9pileptiques en \u00e2ge de procr\u00e9er. La n\u00e9cessit\u00e9 d’un traitement par AEs doit \u00eatre r\u00e9\u00e9valu\u00e9e lorsqu’une femme envisage une grossesse. Chez les femmes trait\u00e9es pour une \u00e9pilepsie, un arr\u00eat brutal du traitement par des AEs doit \u00eatre \u00e9vit\u00e9 car cela peut entra\u00eener la r\u00e9apparition de crises dont les cons\u00e9quences pour la m\u00e8re et le foetus peuvent \u00eatre graves.
- Chez les enfants n\u00e9s de m\u00e8res trait\u00e9es par AEs, le risque de malformations cong\u00e9nitales est augment\u00e9 d’un facteur 2 \u00e0 3 compar\u00e9 \u00e0 l’incidence attendue dans la population g\u00e9n\u00e9rale d’approximativement 3%. Les malformations les plus fr\u00e9quemment rapport\u00e9es sont les fentes labiales, des malformations cardiovasculaires et des anomalies de fermeture du tube neural.
<\/li> - Un traitement par plusieurs AEs est associ\u00e9 \u00e0 un risque plus \u00e9lev\u00e9 de malformations cong\u00e9nitales qu’une monoth\u00e9rapie aussi la monoth\u00e9rapie doit \u00eatre privil\u00e9gi\u00e9e \u00e0 chaque fois que cela est possible.Risque li\u00e9 \u00e0 la lamotrigine
– Grossesse Des \u00e9tudes \u00e9pid\u00e9miologiques impliquant au total environ 2000 femmes expos\u00e9es \u00e0 la lamotrigine en monoth\u00e9rapie durant la grossesse ne peuvent exclure un risque accru de malformations cong\u00e9nitales. Un registre a rapport\u00e9 une augmentation de l’incidence des fentes labio-palatines. Les donn\u00e9es d’autres registres n’ont pas confirm\u00e9 ce r\u00e9sultat. Les \u00e9tudes chez l’animal ont montr\u00e9 une toxicit\u00e9 sur le d\u00e9veloppement (voir rubrique Donn\u00e9es de s\u00e9curit\u00e9 pr\u00e9clinique). <\/li> - Si un traitement par lamotrigine est consid\u00e9r\u00e9 comme n\u00e9cessaire durant la grossesse, la dose th\u00e9rapeutique la plus faible est recommand\u00e9e.
<\/li> - La lamotrigine a un l\u00e9ger effet inhibiteur sur l’acide dihydrofolique r\u00e9ductase et pourrait par cons\u00e9quent th\u00e9oriquement conduire \u00e0 un risque accru de pr\u00e9judices embryofoetaux par diminution des taux d’acide folique (voir rubrique Mises en garde et pr\u00e9cautions d’emploi). La prise d’acide folique doit \u00eatre envisag\u00e9e lorsqu’une grossesse est pr\u00e9vue et durant le d\u00e9but de la grossesse.
<\/li> - Les changements physiologiques durant la grossesse peuvent modifier les concentrations de lamotrigine et\/ou son effet th\u00e9rapeutique. Des cas de diminution des taux plasmatiques de lamotrigine durant la grossesse ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s avec un risque potentiel de perte de contr\u00f4le des crises. Apr\u00e8s la naissance, les taux de lamotrigine peuvent augmenter rapidement avec un risque d’effets ind\u00e9sirables dose-d\u00e9pendants. Par cons\u00e9quent les concentrations s\u00e9riques de lamotrigine doivent \u00eatre surveill\u00e9es avant, pendant et apr\u00e8s la grossesse, tout comme rapidement apr\u00e8s la naissance. Si n\u00e9cessaire, la dose doit \u00eatre adapt\u00e9e pour maintenir la concentration s\u00e9rique de la lamotrigine au m\u00eame niveau que pendant la grossesse, ou adapt\u00e9e \u00e0 la r\u00e9ponse clinique. De plus, les effets ind\u00e9sirables dose-d\u00e9pendants doivent \u00eatre surveill\u00e9s apr\u00e8s la naissance.
<\/li> - – Fertilit\u00e9
Des \u00e9tudes effectu\u00e9es chez l’animal n’ont pas mis en \u00e9vidence une toxicit\u00e9 sur la reproduction (voir rubrique Donn\u00e9es de s\u00e9curit\u00e9 pr\u00e9clinique).<\/li><\/dd>
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\n\u00a0Allaitement :<\/b>
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\n- Les donn\u00e9es indiquent que la lamotrigine passe dans le lait maternel. Chez certains nourrissons allait\u00e9s, les concentrations s\u00e9riques de lamotrigine ont atteint des niveaux auxquels des effets pharmacologiques peuvent survenir.
- Les b\u00e9n\u00e9fices potentiels de l’allaitement doivent \u00eatre pes\u00e9s face au risque potentiel de survenue d’effets ind\u00e9sirables chez le nourrisson. Si une femme d\u00e9cide d’allaiter son enfant pendant qu’elle est trait\u00e9e par lamotrigine, il faudra surveiller les effets ind\u00e9sirables chez le nourrisson.<\/li><\/dd>
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\n- En raison de la variabilit\u00e9 de la r\u00e9ponse individuelle \u00e0 tous les traitements par AE, les patients prenant ce m\u00e9dicament pour traiter leur \u00e9pilepsie doivent consulter leur m\u00e9decin sur les questions particuli\u00e8res li\u00e9es \u00e0 la conduite et \u00e0 l’\u00e9pilepsie.
- Les effets sur l’aptitude \u00e0 conduire des v\u00e9hicules et \u00e0 utiliser des machines n’ont pas \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9s. Deux \u00e9tudes chez des volontaires ont montr\u00e9 que l’effet de la lamotrigine sur la coordination motrice visuelle fine, les mouvements oculaires, le balancement du corps et les effets s\u00e9datifs subjectifs ne sont pas diff\u00e9rents par rapport au placebo. Dans les essais cliniques avec la lamotrigine les \u00e9v\u00e8nements ind\u00e9sirables \u00e0 caract\u00e8re neurologique tels que des sensations vertigineuses et une diplopie ont \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9s. Par cons\u00e9quent, les patients doivent voir dans quelle mesure le traitement par ce m\u00e9dicament les affecte avant de conduire ou d’utiliser une machine.<\/li><\/dd>
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\n- Neutrop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Leucop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Thrombop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Pancytop\u00e9nie\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - An\u00e9mie aplastique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Agranulocytose\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Ad\u00e9nopathie
\n<\/li>
\n - Syndrome d’hypersensibilit\u00e9\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Agressivit\u00e9\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Irritabilit\u00e9\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Confusion mentale\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Hallucination\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Tics\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - C\u00e9phal\u00e9e\u00a0(Tr\u00e8s fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Somnolence
\n<\/li>
\n - Sensation de vertige
\n<\/li>
\n - Tremblement\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Insomnie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Ataxie
\n<\/li>
\n - Nystagmus
\n<\/li>
\n - Agitation
\n<\/li>
\n - Instabilit\u00e9\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Mouvement anormal\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Maladie de Parkinson (aggravation)\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n
\n- Maladie de parkinson.
-
\n<\/li><\/dd>
\n<\/dl>
\n<\/li>
\n
- Syndrome extrapyramidal\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Mouvement chor\u00e9oath\u00e9tosique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - M\u00e9ningite aseptique
\n<\/li>
\n - Diplopie
\n<\/li>
\n - Vision floue
\n<\/li>
\n - Conjonctivite\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Naus\u00e9e
\n<\/li>
\n - Vomissement
\n<\/li>
\n - Diarrh\u00e9e\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Insuffisance h\u00e9patique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Bilan h\u00e9patique (anomalie)\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Eruption cutan\u00e9e\u00a0(Tr\u00e8s fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Stevens-Johnson\u00a0(Rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome de Lyell\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Syndrome lupique\u00a0(Tr\u00e8s rare)
\n<\/li>
\n - Fatigue\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Hyposialie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur articulaire\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Douleur\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n - Dorsalgie\u00a0(Fr\u00e9quent)
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\n-
\nClassement ATC :\u00a0<\/b>
\n
\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0N03AX09 \/ LAMOTRIGINE<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n-
\nClassement Vidal :\u00a0<\/b>
\n
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Anti\u00e9pileptique Neurologie (Lamotrigine)
\n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Normothymique : lamotrigine
\n<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n
\nListe I<\/b>
\n
\n-
\nCIP : 3851081<\/b>\u00a0(LAMOTRIGINE RATIOPHARM 200mg cp dispers : Plq\/30).
<\/li>- Disponibilit\u00e9 : officines
Rembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li>
\n<\/ul>
\n
\n
\n
\n |