FORMES et PR\u00c9SENTATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nComprim\u00e9 pellicul\u00e9 \u00e0 500\u00a0mg et \u00e0 850\u00a0mg (circulaire, convexe\u00a0; blanc)\u00a0: \u00a0Bo\u00eetes de 30 et de 90, sous plaquettes thermoform\u00e9es.

\nComprim\u00e9 pellicul\u00e9 s\u00e9cable \u00e0 1000\u00a0mg (ovale, biconvexe, avec une barre de cassure^{*<\/sup> sur les deux faces, l’une \u00e9tant grav\u00e9e\u00a0\u00ab\u00a01000\u00a0\u00bb\u00a0; blanc)\u00a0: \u00a0Bo\u00eetes de\u00a030 et de\u00a090, sous plaquettes thermoform\u00e9es.Mod\u00e8les hospitaliers\u00a0: Bo\u00eetes de 50. \n*<\/sup>\u00a0 \n\t\t\t\t\t\t\t\t\tLe comprim\u00e9 peut \u00eatre divis\u00e9 en deux demi-doses \u00e9gales.}

\n<\/li><\/font> \n \n \n \n \n \n \n \n

COMPOSITION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \n \n \n \n \u00a0<\/td> p\u00a0cp<\/td> \n<\/tr> \n Metformine\u00a0(DCI) chlorhydrate\u00a0 \n<\/td> 500\u00a0mg<\/td> \n<\/tr> \n ou<\/td> 850\u00a0mg<\/td> \n<\/tr> \n ou<\/td> 1000\u00a0mg<\/td> \n<\/tr> \n (soit en metformine\u00a0: 390\u00a0mg\/cp \u00e0 500\u00a0mg\u00a0; 662,9\u00a0mg\/cp \u00e0 850\u00a0mg\u00a0; 780\u00a0mg\/cp \u00e0 1000\u00a0mg)<\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \nExcipients (communs) : \n\t\t\t\tpovidone K\u00a030, st\u00e9arate de magn\u00e9sium. Pelliculage\u00a0: hypromellose\u00a0; macrogol\u00a0400 et macrogol\u00a08000 (cp \u00e0 1000\u00a0mg).<\/li> \n \n \n \n \n \n \n INDICATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>Traitement du diab\u00e8te de type\u00a02, en particulier en cas de surcharge pond\u00e9rale, lorsque le r\u00e9gime alimentaire et l’exercice physique ne sont pas suffisants pour r\u00e9tablir l’\u00e9quilibre glyc\u00e9mique.<\/li> \n \n Chez l’adulte, Glucophage peut \u00eatre utilis\u00e9 en monoth\u00e9rapie ou en association avec d’autres antidiab\u00e9tiques oraux ou avec l’insuline.<\/li> \n<\/li> \n Chez l’enfant de plus de 10\u00a0ans et l’adolescent, Glucophage peut \u00eatre utilis\u00e9 en monoth\u00e9rapie ou en association avec l’insuline.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Une r\u00e9duction des complications li\u00e9es au diab\u00e8te a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e chez des patients adultes diab\u00e9tiques de type\u00a02 en surcharge pond\u00e9rale trait\u00e9s par la metformine en premi\u00e8re intention, apr\u00e8s \u00e9chec du r\u00e9gime alimentaire (cf\u00a0Pharmacodynamie<\/span>).<\/li> \n \n \n \n \n \n \n POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nAdultes\u00a0:<\/b> \n<\/dt> \n \n \n \nEn monoth\u00e9rapie ou en association avec d’autres antidiab\u00e9tiques oraux\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n La posologie initiale habituelle est de 500\u00a0mg ou de 850\u00a0mg de chlorhydrate de metformine, 2 ou 3\u00a0fois par jour, administr\u00e9s au cours ou \u00e0 la fin des repas.<\/li> Au bout de 10 \u00e0 15\u00a0jours, la posologie sera adapt\u00e9e en fonction de la glyc\u00e9mie.<\/li> Une augmentation progressive de la posologie peut permettre d’am\u00e9liorer la tol\u00e9rance gastro-intestinale.<\/li> Chez les patients prenant une dose \u00e9lev\u00e9e de chlorhydrate de metformine (2 \u00e0 3\u00a0g par jour), il est possible de remplacer 2\u00a0comprim\u00e9s de Glucophage 500\u00a0mg par 1\u00a0comprim\u00e9 de Glucophage 1000\u00a0mg.<\/li> La dose maximale recommand\u00e9e de chlorhydrate de metformine est de 3\u00a0g par jour, en 3\u00a0prises distinctes.<\/li> \n<\/li> \n Si une substitution \u00e0 un autre antidiab\u00e9tique oral est envisag\u00e9e, il convient d’arr\u00eater le traitement pr\u00e9c\u00e9dent et de le substituer par la metformine \u00e0 la posologie indiqu\u00e9e ci-dessus.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n Co\u00fbt du traitement journalier : 0,15 (2\u00a0\u00d7\u00a0500\u00a0mg) \u00e0 0,51\u00a0euro(s) (3\u00a0\u00d7\u00a01000\u00a0mg). \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n \n \n \nEn association avec l’insuline\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n La metformine et l’insuline peuvent \u00eatre associ\u00e9es afin d’obtenir un meilleur contr\u00f4le glyc\u00e9mique.<\/li> \n<\/li> \n La posologie initiale habituelle de chlorhydrate de metformine est de 500\u00a0mg ou de 850\u00a0mg, 2 ou 3\u00a0fois par jour, et la dose d’insuline sera adapt\u00e9e en fonction de la glyc\u00e9mie.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nSujets \u00e2g\u00e9s\u00a0: <\/b> \n<\/dt> \n Compte tenu de la diminution \u00e9ventuelle de la fonction r\u00e9nale chez le sujet \u00e2g\u00e9, la posologie de metformine doit \u00eatre adapt\u00e9e \u00e0 la fonction r\u00e9nale, et un contr\u00f4le r\u00e9gulier de celle-ci est n\u00e9cessaire (cf\u00a0Mises en garde et Pr\u00e9cautions d’emploi<\/span>).<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nEnfants et adolescents\u00a0: <\/b> \n<\/dt> \n \n \n \nEn monoth\u00e9rapie ou en association avec l’insuline\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Glucophage peut \u00eatre utilis\u00e9 chez l’enfant de plus de 10\u00a0ans et chez l’adolescent. \n<\/li> \n La posologie initiale habituelle est de 500\u00a0mg ou de 850\u00a0mg de chlorhydrate de metformine, 1\u00a0fois par jour, administr\u00e9s au cours ou \u00e0 la fin des repas.<\/li> \n<\/li> \n Apr\u00e8s 10 \u00e0 15\u00a0jours, la posologie doit \u00eatre ajust\u00e9e en fonction de la glyc\u00e9mie. Une augmentation progressive de la posologie peut permettre d’am\u00e9liorer la tol\u00e9rance gastro-intestinale. La dose maximale recommand\u00e9e de metformine est de 2\u00a0g par jour, en 2 ou 3\u00a0prises.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n Co\u00fbt du traitement journalier : 0,08 (1\u00a0\u00d7\u00a0500\u00a0mg) \u00e0 0,34\u00a0euro(s) (2\u00a0\u00d7\u00a01000\u00a0mg). \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n CONTRE-INDICATIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 la metformine ou \u00e0 l’un des excipients.<\/li> \n<\/li> \n Diab\u00e8te acidoc\u00e9tosique, pr\u00e9coma diab\u00e9tique.<\/li> \n<\/li> \n Insuffisance r\u00e9nale ou alt\u00e9ration de la fonction r\u00e9nale (clairance de la cr\u00e9atinine <\u00a060\u00a0ml\/min).<\/li> \n<\/li> \n Affections aigu\u00ebs susceptibles d’alt\u00e9rer la fonction r\u00e9nale, telles que\u00a0: d\u00e9shydratation, infection grave, choc.<\/li> \n<\/li> \n Maladie aigu\u00eb ou chronique pouvant entra\u00eener une hypoxie tissulaire, telle que\u00a0: insuffisance cardiaque ou respiratoire, infarctus du myocarde r\u00e9cent, choc.<\/li> \n<\/li> \n Insuffisance h\u00e9patocellulaire, intoxication alcoolique aigu\u00eb, alcoolisme.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n \n \n MISES EN GARDE et PR\u00c9CAUTIONS D’EMPLOI \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nAcidose lactique\u00a0:L’acidose lactique est une complication m\u00e9tabolique rare mais grave (mortalit\u00e9 \u00e9lev\u00e9e en l’absence de traitement pr\u00e9coce), qui peut survenir en cas d’accumulation de metformine. Des cas d’acidose lactique rapport\u00e9s chez des patients trait\u00e9s par la metformine sont survenus principalement chez des patients diab\u00e9tiques souffrant d’une insuffisance r\u00e9nale significative. L’incidence de l’acidose lactique peut et doit \u00eatre r\u00e9duite par une \u00e9valuation des autres facteurs de risque associ\u00e9s, tels qu’un diab\u00e8te mal \u00e9quilibr\u00e9, une c\u00e9tose, un je\u00fbne prolong\u00e9, l’\u00e9thylisme, une insuffisance h\u00e9patocellulaire, ainsi que toute affection associ\u00e9e \u00e0 une hypoxie.<\/li> Diagnostic\u00a0: Le risque d’acidose lactique doit \u00eatre pris en compte en cas de signes non sp\u00e9cifiques tels que des crampes musculaires avec troubles digestifs de type douleurs abdominales et une asth\u00e9nie s\u00e9v\u00e8re.<\/li> Ces signes peuvent \u00eatre suivis d’une dyspn\u00e9e acidosique, de douleurs abdominales, d’une hypothermie et d’un coma. Le diagnostic biologique repose sur une diminution du pH sanguin, une lactacid\u00e9mie sup\u00e9rieure \u00e0 5\u00a0mmol\/l, et sur une augmentation du trou anionique et du rapport lactates\/pyruvates. En cas de suspicion d’acidose m\u00e9tabolique, il convient d’arr\u00eater la metformine et d’hospitaliser le malade d’urgence (cf\u00a0Surdosage<\/span>).<\/li> \n \n \n \n \nFonction r\u00e9nale\u00a0: \n<\/dt> \n Dans la mesure o\u00f9 la metformine est \u00e9limin\u00e9e par le rein, la clairance de la cr\u00e9atinine (qui peut \u00eatre estim\u00e9e \u00e0 partir des taux s\u00e9riques de cr\u00e9atinine \u00e0 l’aide de la formule de Cockcroft et Gault) doit \u00eatre mesur\u00e9e avant la mise en place du traitement, et contr\u00f4l\u00e9e ensuite r\u00e9guli\u00e8rement\u00a0: \n Au moins 1\u00a0fois par an chez les sujets pr\u00e9sentant une fonction r\u00e9nale normale.<\/li> \n<\/li> \n Au moins 2 \u00e0 4\u00a0fois par an chez les patients dont la clairance de la cr\u00e9atinine est \u00e0 la limite inf\u00e9rieure de la normale, ainsi que chez les sujets \u00e2g\u00e9s.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n Chez le sujet \u00e2g\u00e9, une diminution de la fonction r\u00e9nale est fr\u00e9quente et asymptomatique. Des pr\u00e9cautions particuli\u00e8res doivent \u00eatre observ\u00e9es lorsque la fonction r\u00e9nale est susceptible de s’alt\u00e9rer, comme par exemple lors de la mise en place d’un traitement antihypertenseur ou diur\u00e9tique, ainsi qu’au d\u00e9but d’un traitement par un anti-inflammatoire non st\u00e9ro\u00efdien (AINS).<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nAdministration de produits de contraste iod\u00e9s\u00a0: \n<\/dt> \n L’administration intravasculaire de produits de contraste iod\u00e9s au cours d’explorations radiologiques peut entra\u00eener une insuffisance r\u00e9nale. Cela peut induire une accumulation de metformine et exposer \u00e0 un risque d’acidose lactique. En cons\u00e9quence, la metformine doit \u00eatre arr\u00eat\u00e9e avant ou au moment de l’examen, pour n’\u00eatre r\u00e9introduite que 48\u00a0heures apr\u00e8s, et seulement apr\u00e8s s’\u00eatre assur\u00e9 de la normalit\u00e9 de la fonction r\u00e9nale (cf\u00a0Interactions<\/span>).<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nIntervention chirurgicale\u00a0: \n<\/dt> \n La metformine doit \u00eatre interrompue 48\u00a0heures avant une intervention chirurgicale programm\u00e9e sous anesth\u00e9sie g\u00e9n\u00e9rale, rachidienne ou p\u00e9ridurale. Le traitement ne pourra \u00eatre r\u00e9introduit que 48\u00a0heures apr\u00e8s l’intervention ou la reprise de l’alimentation par voie orale, et seulement apr\u00e8s s’\u00eatre assur\u00e9 de la normalit\u00e9 de la fonction r\u00e9nale.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nEnfants et adolescents\u00a0: \n<\/dt> \n Le diagnostic d’un diab\u00e8te de type\u00a02 doit \u00eatre confirm\u00e9 avant d’initier le traitement par la metformine.<\/dd> \n Aucun effet de la metformine sur la croissance et la pubert\u00e9 n’a \u00e9t\u00e9 d\u00e9tect\u00e9 au cours des \u00e9tudes cliniques contr\u00f4l\u00e9es d’une dur\u00e9e d’un an, mais aucune donn\u00e9e \u00e0 long terme sur ces points sp\u00e9cifiques n’est disponible. De ce fait, chez les enfants trait\u00e9s, et particuli\u00e8rement chez les enfants pr\u00e9pub\u00e8res, une surveillance attentive des effets de la metformine sur ces param\u00e8tres est recommand\u00e9e.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nEnfants \u00e2g\u00e9s de 10 \u00e0 12\u00a0ans\u00a0: \n<\/dt> \n Seulement 15\u00a0sujets \u00e2g\u00e9s de 10 \u00e0 12\u00a0ans ont \u00e9t\u00e9 inclus dans les \u00e9tudes cliniques contr\u00f4l\u00e9es men\u00e9es chez l’enfant et l’adolescent. Bien que l’efficacit\u00e9 et la tol\u00e9rance de la metformine chez ces enfants ne diff\u00e9raient pas de l’efficacit\u00e9 et de la tol\u00e9rance observ\u00e9es chez les enfants plus \u00e2g\u00e9s et chez les adolescents, une attention particuli\u00e8re est recommand\u00e9e lors de la prescription chez un enfant \u00e2g\u00e9 de 10 \u00e0 12\u00a0ans.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nAutres pr\u00e9cautions\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n Tous les patients doivent poursuivre leur r\u00e9gime alimentaire, avec une r\u00e9partition r\u00e9guli\u00e8re de l’apport glucidique au cours de la journ\u00e9e. Les patients en surcharge pond\u00e9rale doivent poursuivre le r\u00e9gime alimentaire hypocalorique.<\/li> \n<\/li> \n Les analyses biologiques recommand\u00e9es pour la surveillance du diab\u00e8te doivent \u00eatre effectu\u00e9es r\u00e9guli\u00e8rement.<\/li> \n<\/li> \n La metformine administr\u00e9e seule ne provoque pas d’hypoglyc\u00e9mie, mais des pr\u00e9cautions doivent \u00eatre observ\u00e9es lorsqu’elle est utilis\u00e9e en association avec l’insuline ou avec d’autres antidiab\u00e9tiques oraux (comme les sulfamides hypoglyc\u00e9miants ou les m\u00e9glitinides).<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n INTERACTIONS \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nInteractions m\u00e9dicamenteuses :<\/b> \n \nD\u00e9conseill\u00e9es :<\/b> \n \n \n Alcool\u00a0: l’intoxication alcoolique aigu\u00eb est associ\u00e9e \u00e0 un risque major\u00e9 d’acidose lactique, en particulier en cas de je\u00fbne ou de d\u00e9nutrition, d’insuffisance h\u00e9patique. \u00c9viter la prise de boissons alcoolis\u00e9es et de m\u00e9dicaments contenant de l’alcool.<\/li> \n<\/li> \n Produits de contraste iod\u00e9s\u00a0: survenue \u00e9ventuelle d’une insuffisance r\u00e9nale, li\u00e9e \u00e0 l’injection intravasculaire de produits de contraste iod\u00e9s, pouvant entra\u00eener une accumulation de metformine et exposer \u00e0 un risque augment\u00e9 d’acidose lactique. La metformine doit \u00eatre suspendue avant ou au moment de l’examen, pour n’\u00eatre r\u00e9introduite que 48\u00a0heures apr\u00e8s, et seulement apr\u00e8s s’\u00eatre assur\u00e9 de la normalit\u00e9 de la fonction r\u00e9nale (cf\u00a0Mises en garde et Pr\u00e9cautions d’emploi<\/span>).<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \nN\u00e9cessitant des pr\u00e9cautions d’emploi :<\/b> \n \n \n M\u00e9dicaments avec une activit\u00e9 hyperglyc\u00e9mique intrins\u00e8que (par exemple, les glucocortico\u00efdes, en utilisation locale ou par voie syst\u00e9mique, et les sympathomim\u00e9tiques)\u00a0: il peut \u00eatre n\u00e9cessaire de contr\u00f4ler plus fr\u00e9quemment la glyc\u00e9mie, sp\u00e9cialement au d\u00e9but du traitement. Ajuster si n\u00e9cessaire la dose de metformine au cours du traitement en fonction du m\u00e9dicament concern\u00e9 et lors de l’arr\u00eat de celui-ci.<\/li> \n<\/li> \n Diur\u00e9tiques et plus sp\u00e9cialement les diur\u00e9tiques de l’anse\u00a0: ils peuvent augmenter le risque d’acidose lactique en raison de leur potentiel \u00e0 r\u00e9duire la fonction r\u00e9nale.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n \n \n FERTILIT\u00c9\/GROSSESSE\/ALLAITEMENT \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \nGrossesse :<\/b> \n \n Un diab\u00e8te non contr\u00f4l\u00e9 pendant la grossesse (gestationnel ou permanent) est associ\u00e9 \u00e0 un risque accru d’anomalies cong\u00e9nitales et de mortalit\u00e9 p\u00e9rinatale.<\/p> \n Le nombre limit\u00e9 de donn\u00e9es sur l’utilisation de la metformine chez la femme enceinte n’indique pas une augmentation du risque d’anomalies cong\u00e9nitales. Les \u00e9tudes chez l’animal n’ont pas montr\u00e9 d’effets d\u00e9l\u00e9t\u00e8res sur la grossesse, le d\u00e9veloppement embryonnaire ou foetal, l’accouchement ou le d\u00e9veloppement postnatal (cf\u00a0S\u00e9curit\u00e9 pr\u00e9clinique<\/span>).<\/p> \n Lorsqu’une grossesse est envisag\u00e9e ou pendant la grossesse, il est recommand\u00e9 de ne pas traiter le diab\u00e8te par la metformine mais d’utiliser l’insuline pour maintenir une glyc\u00e9mie aussi normale que possible, afin de r\u00e9duire les risques de malformations foetales.<\/p> \n \nAllaitement :<\/b> \n \n La metformine est excr\u00e9t\u00e9e dans le lait maternel humain. Aucun effet ind\u00e9sirable n’a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9 chez le nouveau-n\u00e9 et le nourrisson allait\u00e9. Cependant, les donn\u00e9es disponibles \u00e9tant limit\u00e9es, l’allaitement n’est pas recommand\u00e9 pendant le traitement par la metformine. La d\u00e9cision de poursuivre ou non l’allaitement doit \u00eatre prise en tenant compte des b\u00e9n\u00e9fices de l’allaitement et du risque potentiel d’effets ind\u00e9sirables pour l’enfant.<\/p> \nFertilit\u00e9\u00a0:<\/b> \n \n La fertilit\u00e9 des rats m\u00e2les et femelles n’a pas \u00e9t\u00e9 affect\u00e9e par l’administration de doses de metformine allant jusqu’\u00e0 600\u00a0mg\/kg\/jour, ce qui correspond \u00e0 environ 3\u00a0fois la dose quotidienne maximale recommand\u00e9e chez l’homme rapport\u00e9e \u00e0 la surface corporelle.<\/p> \n \n \n \n \n \n \n \n CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>La metformine en monoth\u00e9rapie n’entra\u00eene pas d’hypoglyc\u00e9mie et n’a donc pas d’effet sur l’aptitude \u00e0 conduire des v\u00e9hicules ou \u00e0 utiliser des machines.<\/li> Par contre, il convient d’attirer l’attention du patient sur les risques de survenue d’hypoglyc\u00e9mie lorsque la metformine est utilis\u00e9e en association avec d’autres antidiab\u00e9tiques (comme les sulfamides hypoglyc\u00e9miants, l’insuline, les m\u00e9glitinides).<\/li> \n \n \n \n \n \n \n EFFETS IND\u00c9SIRABLES \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>Les effets ind\u00e9sirables les plus fr\u00e9quents au d\u00e9but du traitement sont les suivants\u00a0: naus\u00e9es, vomissements, diarrh\u00e9es, douleurs abdominales et perte d’app\u00e9tit qui disparaissent spontan\u00e9ment dans la plupart des cas. Pour pr\u00e9venir ces effets ind\u00e9sirables, il est recommand\u00e9 de fractionner la dose de metformine en 2 ou 3\u00a0prises quotidiennes et d’augmenter progressivement les doses.<\/li> Les effets ind\u00e9sirables suivants peuvent appara\u00eetre sous traitement par la metformine. La fr\u00e9quence est d\u00e9finie de la mani\u00e8re suivante\u00a0: tr\u00e8s fr\u00e9quent\u00a0: >=\u00a01\/10\u00a0; fr\u00e9quent\u00a0: >=\u00a01\/100, <\u00a01\/10\u00a0; peu fr\u00e9quent\u00a0: >=\u00a01\/1000, <\u00a01\/100\u00a0; rare\u00a0: >=\u00a01\/10\u00a0000,\u00a0<\u00a01\/1000\u00a0; tr\u00e8s rare\u00a0: <\u00a01\/10\u00a0000.<\/li> Au sein de chaque groupe de fr\u00e9quence, les effets ind\u00e9sirables sont pr\u00e9sent\u00e9s suivant un ordre d\u00e9croissant de gravit\u00e9.<\/li> Troubles du m\u00e9tabolisme et de la nutrition\u00a0: \n Tr\u00e8s rare\u00a0: acidose lactique (cf\u00a0Mises en garde et Pr\u00e9cautions d’emploi<\/span>)\u00a0; diminution de l’absorption de la vitamine B12<\/small> avec une r\u00e9duction des taux s\u00e9riques lors d’un traitement de longue dur\u00e9e par la metformine. Il est recommand\u00e9 d’envisager une telle \u00e9tiologie lorsqu’un patient pr\u00e9sente une an\u00e9mie m\u00e9galoblastique.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Affections du syst\u00e8me nerveux\u00a0: \n Fr\u00e9quent\u00a0: perturbation du go\u00fbt.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Affections gastro-intestinales\u00a0: \n Tr\u00e8s fr\u00e9quent\u00a0: troubles gastro-intestinaux, notamment naus\u00e9es, vomissements, diarrh\u00e9e, douleurs abdominales et perte d’app\u00e9tit. Ces effets ind\u00e9sirables surviennent le plus souvent lors de l’instauration du traitement, et r\u00e9gressent spontan\u00e9ment dans la plupart des cas. Pour les pr\u00e9venir, il est recommand\u00e9 d’administrer la metformine en 2 ou 3\u00a0prises dans la journ\u00e9e, au cours ou \u00e0 la fin des repas. Une augmentation progressive de la posologie peut aussi permettre d’am\u00e9liorer la tol\u00e9rance gastro-intestinale.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Affections h\u00e9patobiliaires\u00a0: \n Tr\u00e8s rare\u00a0: cas isol\u00e9s d’anomalies des tests de la fonction h\u00e9patique ou h\u00e9patite disparaissant \u00e0 l’arr\u00eat du traitement par la metformine.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul>Affections de la peau et du tissu sous-cutan\u00e9\u00a0: \n Tr\u00e8s rare\u00a0: r\u00e9actions cutan\u00e9es comme \u00e9ryth\u00e8me, prurit, urticaire.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \nPopulation p\u00e9diatrique\u00a0: \n<\/dt> \n Dans les donn\u00e9es publi\u00e9es et post-marketing ainsi que dans les \u00e9tudes cliniques men\u00e9es dans une population p\u00e9diatrique d’effectif limit\u00e9, \u00e2g\u00e9e de 10 \u00e0 16\u00a0ans et trait\u00e9e pendant un an, les effets ind\u00e9sirables rapport\u00e9s \u00e9taient similaires \u00e0 ceux rapport\u00e9s chez les adultes en termes de nature et de s\u00e9v\u00e9rit\u00e9.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n SURDOSAGE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>Il n’a pas \u00e9t\u00e9 observ\u00e9 d’hypoglyc\u00e9mie, m\u00eame avec des doses de chlorhydrate de metformine atteignant 85\u00a0g, bien que dans de telles conditions, une acidose lactique soit survenue. Un surdosage important de metformine ou l’existence de risques concomitants peuvent conduire \u00e0 une acidose lactique. L’acidose lactique est une urgence m\u00e9dicale et doit \u00eatre trait\u00e9e en milieu hospitalier. Le traitement le plus efficace est l’\u00e9limination des lactates et de la metformine par h\u00e9modialyse.<\/li> \n \n \n \n \n \n \n PHARMACODYNAMIE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n Classe pharmacoth\u00e9rapeutique\u00a0: antidiab\u00e9tiques oraux\u00a0; biguanides (code ATC\u00a0: A10BA02).<\/p> \n La metformine est un biguanide poss\u00e9dant des effets antihyperglyc\u00e9miants, r\u00e9duisant la glyc\u00e9mie basale et postprandiale. Elle ne stimule pas la s\u00e9cr\u00e9tion d’insuline et, par cons\u00e9quent, ne provoque pas d’hypoglyc\u00e9mie.<\/p>La metformine peut agir par l’interm\u00e9diaire de trois m\u00e9canismes\u00a0: \n en r\u00e9duisant la production h\u00e9patique de glucose, en inhibant la n\u00e9oglucogen\u00e8se et la glycog\u00e9nolyse\u00a0; \n<\/li> \n au niveau musculaire, en augmentant la sensibilit\u00e9 \u00e0 l’insuline, en favorisant la captation et l’utilisation p\u00e9riph\u00e9rique du glucose\u00a0; \n<\/li> \n enfin, en retardant l’absorption intestinale du glucose.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n La metformine stimule la synth\u00e8se intracellulaire du glycog\u00e8ne, en agissant sur la glycog\u00e8ne-synthase.<\/p> \n La metformine augmente la capacit\u00e9 de transport de tous les types de transporteurs membranaires du glucose (GLUTs) connus \u00e0 ce jour.<\/p> \n Dans les \u00e9tudes cliniques, l’utilisation de la metformine \u00e9tait associ\u00e9e \u00e0 une stabilit\u00e9 pond\u00e9rale ou une modeste perte de poids.<\/p> \n Chez l’homme, ind\u00e9pendamment de son action sur la glyc\u00e9mie, la metformine a des effets favorables sur le m\u00e9tabolisme lipidique. Ceci a \u00e9t\u00e9 d\u00e9montr\u00e9 \u00e0 doses th\u00e9rapeutiques au cours d’\u00e9tudes contr\u00f4l\u00e9es \u00e0 moyen ou long terme\u00a0: la metformine r\u00e9duit le cholest\u00e9rol total et le LDL-cholest\u00e9rol, ainsi que les taux de triglyc\u00e9rides.<\/p> \n \n \n \nEfficacit\u00e9 clinique\u00a0: \n<\/dt> \n L’\u00e9tude prospective randomis\u00e9e UKPDS a permis d’\u00e9tablir le b\u00e9n\u00e9fice \u00e0 long terme d’un contr\u00f4le intensif de la glyc\u00e9mie chez des patients adultes pr\u00e9sentant un diab\u00e8te de type\u00a02.<\/dd> \n L’analyse des r\u00e9sultats chez des patients en surcharge pond\u00e9rale, trait\u00e9s par la metformine apr\u00e8s \u00e9chec du r\u00e9gime alimentaire seul, a montr\u00e9\u00a0: \n Une r\u00e9duction significative du risque absolu de tout type de complication li\u00e9e au diab\u00e8te dans le groupe metformine (29,8\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients), par rapport au r\u00e9gime seul (43,3\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients), p\u00a0=\u00a00,0023, et par rapport \u00e0 des groupes combin\u00e9s de monoth\u00e9rapies par sulfamides hypoglyc\u00e9miants et insuline (40,1\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients), p\u00a0=\u00a00,0034.<\/li> \n<\/li> \n Une r\u00e9duction significative du risque absolu de mortalit\u00e9 li\u00e9e au diab\u00e8te\u00a0: metformine 7,5\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients, r\u00e9gime seul 12,7\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients (p\u00a0=\u00a00,017).<\/li> \n<\/li> \n Une r\u00e9duction significative du risque absolu de mortalit\u00e9 globale\u00a0: metformine 13,5\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients, par rapport au r\u00e9gime seul 20,6\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients (p\u00a0=\u00a00,011), et par rapport \u00e0 des groupes combin\u00e9s de monoth\u00e9rapies par sulfamides hypoglyc\u00e9miants et insuline, 18,9\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients (p\u00a0=\u00a00,021).<\/li> \n<\/li> \n Une r\u00e9duction significative du risque absolu d’infarctus du myocarde\u00a0: metformine 11\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients, r\u00e9gime seul 18\u00a0\u00e9v\u00e9nements pour 1000\u00a0ann\u00e9es-patients (p\u00a0=\u00a00,01).<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n Lorsque la metformine a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e en seconde intention en association avec un sulfamide hypoglyc\u00e9miant, le b\u00e9n\u00e9fice clinique n’a pas \u00e9t\u00e9 d\u00e9montr\u00e9.<\/dd> \n Dans le diab\u00e8te de type\u00a01, l’association de la metformine avec l’insuline a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e chez certains patients, mais le b\u00e9n\u00e9fice clinique de cette association n’a pas \u00e9t\u00e9 formellement d\u00e9montr\u00e9.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nPopulation p\u00e9diatrique\u00a0: \n<\/dt> \n Des \u00e9tudes cliniques contr\u00f4l\u00e9es, men\u00e9es dans une population p\u00e9diatrique d’effectif limit\u00e9, \u00e2g\u00e9e de 10 \u00e0 16\u00a0ans et trait\u00e9e pendant un an, ont montr\u00e9 une r\u00e9ponse glyc\u00e9mique similaire \u00e0 celle observ\u00e9e chez l’adulte.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n PHARMACOCIN\u00c9TIQUE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nAbsorption\u00a0: \n<\/dt> \n Apr\u00e8s administration par voie orale d’un comprim\u00e9 de chlorhydrate de metformine, la concentration maximale plasmatique (Cmax) est atteinte en 2,5\u00a0heures (Tmax) environ.<\/dd> \n La biodisponibilit\u00e9 absolue d’un comprim\u00e9 de chlorhydrate de metformine \u00e0 500\u00a0mg ou \u00e0 850\u00a0mg est environ de 50 \u00e0 60\u00a0% chez le sujet sain. Apr\u00e8s administration orale, la fraction non absorb\u00e9e retrouv\u00e9e dans les f\u00e8ces a \u00e9t\u00e9 de 20 \u00e0 30\u00a0%.<\/dd> \n Apr\u00e8s administration orale, l’absorption de la metformine est saturable et incompl\u00e8te. Il semble que l’absorption de la metformine soit non lin\u00e9aire.<\/dd> \n Aux doses et sch\u00e9mas posologiques recommand\u00e9s de metformine, les concentrations plasmatiques \u00e0 l’\u00e9tat d’\u00e9quilibre sont atteintes en 24 \u00e0 48\u00a0heures, et restent g\u00e9n\u00e9ralement inf\u00e9rieures \u00e0 1\u00a0\u00b5g\/ml. Dans des essais cliniques contr\u00f4l\u00e9s, les concentrations plasmatiques maximales de metformine (Cmax) n’ont pas exc\u00e9d\u00e9 5\u00a0\u00b5g\/ml, m\u00eame aux posologies maximales.<\/dd> \n L’alimentation diminue et ralentit l\u00e9g\u00e8rement l’absorption de la metformine. Apr\u00e8s administration orale d’un comprim\u00e9 \u00e0 850\u00a0mg, il a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9 une diminution du pic de concentration plasmatique de 40\u00a0%, une diminution de 25\u00a0% de l’AUC (aire sous la courbe) et un allongement de 35\u00a0minutes du d\u00e9lai n\u00e9cessaire pour atteindre le pic des concentrations plasmatiques. La traduction clinique de la diminution de ces param\u00e8tres reste inconnue.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nDistribution\u00a0: \n<\/dt> \n La liaison aux prot\u00e9ines plasmatiques est n\u00e9gligeable. La metformine diffuse dans les \u00e9rythrocytes. Le pic sanguin est inf\u00e9rieur au pic plasmatique, et appara\u00eet approximativement au m\u00eame moment. Les \u00e9rythrocytes repr\u00e9sentent tr\u00e8s probablement un compartiment secondaire de distribution. Le volume de distribution (Vd) moyen est compris entre 63 et 276\u00a0litres.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nM\u00e9tabolisme\u00a0: \n<\/dt> \n La metformine est excr\u00e9t\u00e9e dans l’urine sous forme inchang\u00e9e. Aucun m\u00e9tabolite n’a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 chez l’homme.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n\u00c9limination\u00a0: \n<\/dt> \n La clairance r\u00e9nale de la metformine est sup\u00e9rieure \u00e0 400\u00a0ml\/min, ce qui indique une \u00e9limination par filtration glom\u00e9rulaire et par s\u00e9cr\u00e9tion tubulaire de la metformine. Apr\u00e8s une administration orale, la demi-vie apparente d’\u00e9limination terminale est d’environ 6,5\u00a0heures.<\/dd> \n En cas d’alt\u00e9ration de la fonction r\u00e9nale, la clairance r\u00e9nale est r\u00e9duite de mani\u00e8re proportionnelle \u00e0 celle de la cr\u00e9atinine. Ce ph\u00e9nom\u00e8ne conduit \u00e0 un allongement de la demi-vie d’\u00e9limination, ce qui entra\u00eene une augmentation des concentrations plasmatiques de metformine.<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \nPopulation p\u00e9diatrique\u00a0: \n<\/dt> \n \n \n \u00c9tude \u00e0 dose unique\u00a0: apr\u00e8s une dose unique de chlorhydrate de metformine \u00e0\u00a0500\u00a0mg, le profil pharmacocin\u00e9tique chez l’enfant \u00e9tait similaire \u00e0 celui observ\u00e9 chez des adultes sains. \n<\/li> \n \u00c9tude \u00e0 doses r\u00e9p\u00e9t\u00e9es\u00a0: les donn\u00e9es sont r\u00e9duites \u00e0 une \u00e9tude. Apr\u00e8s administration de doses r\u00e9p\u00e9t\u00e9es de 500\u00a0mg 2\u00a0fois par jour pendant 7\u00a0jours \u00e0 des enfants et des adolescents, la concentration plasmatique maximale (Cmax) et l’exposition syst\u00e9mique (AUC0-t<\/small>) ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9duites d’environ 33\u00a0% et 40\u00a0% respectivement en comparaison \u00e0 des adultes diab\u00e9tiques ayant re\u00e7u des doses r\u00e9p\u00e9t\u00e9es de 500\u00a0mg 2\u00a0fois par jour pendant 14\u00a0jours. Comme les posologies sont adapt\u00e9es de fa\u00e7on individuelle en fonction du contr\u00f4le glyc\u00e9mique, ces r\u00e9sultats ont une pertinence clinique limit\u00e9e.<\/li> \n<\/li> \n<\/ul> \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n \n \n \n \n \n \n S\u00c9CURITE PR\u00c9CLINIQUE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n Les donn\u00e9es non cliniques issues des \u00e9tudes conventionnelles de pharmacologie de s\u00e9curit\u00e9, toxicologie en administration r\u00e9p\u00e9t\u00e9e, g\u00e9notoxicit\u00e9, canc\u00e9rogen\u00e8se, et de toxicit\u00e9 reproductive, n’ont pas r\u00e9v\u00e9l\u00e9 de risque particulier pour l’homme.<\/p> \n \n \n \n \n \n \n MODALIT\u00c9S DE CONSERVATION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n \n \n \nDur\u00e9e de conservation\u00a0: 5\u00a0ans (cp 500\u00a0mg et 850\u00a0mg)\u00a0; 3\u00a0ans (cp 1000\u00a0mg). \n<\/dt> \n \n<\/dd> \n<\/dl> \n<\/div> \n Pas de pr\u00e9cautions particuli\u00e8res de conservation.<\/p> \n \n \n \n \n \n \n MODALIT\u00c9S MANIPULATION\/\u00c9LIMINATION \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table> \n Tout produit non utilis\u00e9 ou d\u00e9chet doit \u00eatre \u00e9limin\u00e9 conform\u00e9ment \u00e0 la r\u00e9glementation en vigueur.<\/p> \n \n \n \n \n \n \n PRESCRIPTION\/D\u00c9LIVRANCE\/PRISE EN CHARGE \n<\/h2><\/td><\/tr> \n<\/table>LISTE I \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n AMM<\/td> 340093528167<\/b>8<\/font> (1959) 30\u00a0cp \u00e0\u00a0500\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093044788<\/b>8<\/font> (1959) 50\u00a0cp \u00e0\u00a0500\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093720485<\/b>9<\/font> (2005) 90\u00a0cp \u00e0\u00a0500\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093044802<\/b>1<\/font> (1967) 30\u00a0cp \u00e0\u00a0850\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340095592330<\/b>5<\/font> (1996) 50\u00a0cp \u00e0\u00a0850\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093722461<\/b>1<\/font> (2005) 90\u00a0cp \u00e0\u00a0850\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093560171<\/b>1<\/font> (2001) 30\u00a0cp \u00e0\u00a01000\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340095632590<\/b>0<\/font> (2001) 50\u00a0cp \u00e0\u00a01000\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n 340093560231<\/b>2<\/font> (2001) 90\u00a0cp \u00e0\u00a01000\u00a0mg.<\/td> \n<\/tr> \n RCP r\u00e9vis\u00e9s le 31.01.2011.<\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \u00a0<\/td> \u00a0<\/td> \n<\/tr> \n Prix :<\/b><\/td> 2.79\u00a0euros (30\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 500\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n 6.96\u00a0euros (90\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 500\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n 4.60\u00a0euros (30\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 850\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n 12.10\u00a0euros (90\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 850\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n 5.12\u00a0euros (30\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 1000\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n 13.60\u00a0euros (90\u00a0comprim\u00e9s \u00e0 1000\u00a0mg).<\/td> \n<\/tr> \n Remb S\u00e9c soc \u00e0 65 %. Collect.<\/td> \n<\/tr> \n Mod\u00e8les hospitaliers\u00a0: Collect.<\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \n \n \nTitulaire de l’AMM\u00a0: Merck Sant\u00e9 s.a.s.<\/p> \n \n \nMERCK SERONO<\/b> \n37, rue Saint-Romain. 69379 Lyon cdx 08T\u00e9l : 04 72 78 25 25Info m\u00e9dic\/Pharmacovigilance\u00a0: T\u00e9l Vert\u00a0: 08 00 88 80 24 \n\t\tE-mail\u00a0:\u00a0infoqualit@merck.frSite web\u00a0:\u00a0 \nhttp:\/\/www.merckserono.fr<\/a> \n \n \n<\/center> \n \n \n \n Liste Des Sections Les Plus Importantes :<\/strong><\/h2> \n \n \n \n pathologies<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments injectables<\/a> \n<\/strong><\/li> Traitement D\u2019Urgence<\/a> \n<\/strong><\/li> Guide Infirmier Des Examens De Laboratoire<\/a> \n<\/strong><\/li> Infirmiers En Urgences<\/a> \n<\/strong><\/li> Fiche Technique Medical<\/a> \n<\/strong><\/li> Techniques De Manipulations En Radiologie Medicale<\/a> \n<\/strong><\/li> Bibliotheque_medicale<\/strong><\/a> \n<\/li><\/ul> \n \n \n \n\t\t Facebook Page Medical Education<\/a> \n——Website Accueil <\/a> \n—— Notre Application<\/a> \n<\/h5> \n Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com <\/a> \n<\/li><\/center> \n<\/li><\/div>\r\n