\n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \npoudre pour suspension buvable \n \n \n \n \n \n \n \n \n

<\/td>	par 1 cuill\u00e8re-mesure<\/b> \n \n<\/font><\/td> \n<\/tr> \n
c\u00e9fadroxil monohydrate<\/b><\/font><\/td>	262 mg<\/font><\/td> \n<\/tr> \n
\u00a0\u00a0Soit c\u00e9fadroxil<\/b><\/font><\/td>	250 mg<\/font><\/td> \n<\/tr> \n<\/table> \nExcipients :\u00a0saccharine, gomme guar, magn\u00e9sium st\u00e9arate, silice collo\u00efdale, p\u00eache-abricot ar\u00f4me, talc, saccharose, titane dioxyde, sorbitol. \n \n \n \n \n \n \n Elles proc\u00e8dent de l’activit\u00e9 antibact\u00e9rienne et des caract\u00e9ristiques pharmacocin\u00e9tiques du c\u00e9fadroxil. Elles tiennent compte \u00e0 la fois des \u00e9tudes cliniques auxquelles a donn\u00e9 lieu le m\u00e9dicament et de sa place dans l’\u00e9ventail des produits antibact\u00e9riens actuellement disponibles.<\/p> Elles sont limit\u00e9es aux infections dues aux germes sensibles lorsque ces infections autorisent une antibioth\u00e9rapie orale et \u00e0 l’exclusion des localisations m\u00e9ning\u00e9es, notamment :* les infections ORL : angines, sinusites, otites ;* les infections respiratoires basses :– surinfections des bronchites aigu\u00ebs,– exacerbations des bronchites chroniques,– pneumopathies communautaires chez des sujets :. sans facteur de risque,. sans signe de gravit\u00e9 clinique,. en l’absence d’argument faisant craindre une r\u00e9sistance de S.pneumoniae \u00e0 la p\u00e9nicilline,. en l’absence d’argument \u00e9vocateur d’une pneumopathie atypique.<\/li> * les infections urinaires non compliqu\u00e9es, except\u00e9es les prostatites et py\u00e9lon\u00e9phrites.<\/li> Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropri\u00e9e des antibact\u00e9riens. \n<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n \n \n \n \n * Posologie– Chez le sujet aux fonctions r\u00e9nales normales :Enfants : 50 mg\/kg\/jour en au moins deux prises, sans d\u00e9passer la posologie adulte de 2g\/jour. – Chez le sujet insuffisant r\u00e9nal : en cas d’insuffisance r\u00e9nale, la posologie est adapt\u00e9e en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine ou de la cr\u00e9atinin\u00e9mie.<\/li> * Dur\u00e9e du traitementLa dur\u00e9e de traitement est de 7 \u00e0 10 jours en moyenne pour l’ensemble des indications th\u00e9rapeutiques, pouvant aller jusqu’\u00e0 14 jours pour les pneumopathies. Un traitement de dix jours minimum est recommand\u00e9 pour toute infection \u00e0 streptocoque b\u00eata-h\u00e9molytique.<\/li> * Mode d’administration :Introduire dans le flacon de l’eau min\u00e9rale non gazeuse ou de l’eau bouillie refroidie jusqu’au trait indiqu\u00e9. Avant dissolution, le niveau de poudre peut \u00eatre sup\u00e9rieur \u00e0 celui du trait de jauge.<\/li> Agiter \u00e0 plusieurs reprises jusqu’\u00e0 obtention d’un liquide homog\u00e8ne. Si besoin, compl\u00e9ter \u00e0 nouveau avec de l’eau jusqu’au trait et agiter.<\/li> Avant chaque prise, la suspension buvable sera homog\u00e9n\u00e9is\u00e9e par agitation du flacon.<\/li> Utiliser la cuill\u00e8re-mesure fournie \u00e0 cet effet.<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n \n \n \n \nAbsolue(s) :<\/b> \n \n \n Hypersensibilit\u00e9 aux c\u00e9phalosporines<\/li> \n Hypersensibilit\u00e9 \u00e0 l’un des composants<\/li> \n Intol\u00e9rance au fructose<\/li> \n Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)<\/li> \n Sucrase-isomaltase, d\u00e9ficit (en)<\/li> \n Hypersensibilit\u00e9 aux b\u00eatalactamines<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n Risque de r\u00e9action d’hypersensibilit\u00e9– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arr\u00eat du traitement.<\/li> – La prescription de c\u00e9phalosporines n\u00e9cessite un interrogatoire pr\u00e9alable, \u00e0 la recherche d’ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie, notamment m\u00e9dicamenteuse.<\/li> L’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines, dans 5 \u00e0 10% des cas, l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino- sensibles : une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration.<\/li> L’emploi des c\u00e9phalosporines est \u00e0 proscrire formellement chez les sujets ayant des ant\u00e9c\u00e9dents d’allergie de type imm\u00e9diat aux c\u00e9phalosporines. En cas de doute, la pr\u00e9sence du m\u00e9decin aupr\u00e8s du patient est indispensable \u00e0 la premi\u00e8re administration, afin de traiter un \u00e9ventuel accident anaphylactique.<\/li> – Les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li> Ces r\u00e9actions ont parfois \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es apr\u00e8s la premi\u00e8re dose de ce m\u00e9dicament.<\/li> \n Diab\u00e8teTenir compte de la teneur en saccharose dans la ration journali\u00e8re.<\/li> \n Sujet sous r\u00e9gime hypoglucidiqueTenir compte de la teneur en saccharose dans la ration journali\u00e8re.<\/li> \n Administrer pendant le repasL’administration de ce m\u00e9dicament au cours du repas diminue les naus\u00e9es sans modifier l’absorption.<\/li> \n Insuffisance r\u00e9naleadapter la posologie en fonction de la clairance de la cr\u00e9atinine ou de la cr\u00e9atinin\u00e9mie.<\/li> \n Hypersensibilit\u00e9 aux p\u00e9nicillinesL’allergie aux p\u00e9nicillines \u00e9tant crois\u00e9e avec celle aux c\u00e9phalosporines, dans 5 \u00e0 10% des cas, l’utilisation des c\u00e9phalosporines doit \u00eatre extr\u00eamement prudente chez les patients p\u00e9nicillino- sensibles : une surveillance m\u00e9dicale stricte est n\u00e9cessaire d\u00e8s la premi\u00e8re administration.<\/li> – Les r\u00e9actions d’hypersensibilit\u00e9 (anaphylaxie) observ\u00e9es peuvent \u00eatre graves et parfois fatales.<\/li> Ces r\u00e9actions ont parfois \u00e9t\u00e9 rapport\u00e9es apr\u00e8s la premi\u00e8re dose de ce m\u00e9dicament.<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n \nVoir banque Interactions M\u00e9dicamenteuses \n<\/dd> \n<\/dl> \n \n \n \n \n \n\u00a0Grossesse :<\/b> \n<\/p> \n \n Les \u00e9tudes chez l’animal n’ont pas mis en \u00e9vidence d’effet t\u00e9ratog\u00e8ne. En l’absence d’effet t\u00e9ratog\u00e8ne chez l’animal, un effet malformatif dans l’esp\u00e8ce humaine n’est pas attendu. En effet, \u00e0 ce jour, les substances responsables de malformations dans l’esp\u00e8ce humaine se sont r\u00e9v\u00e9l\u00e9es t\u00e9ratog\u00e8nes chez l’animal au cours d’\u00e9tudes bien conduites sur deux esp\u00e8ces.<\/li> En clinique, l’analyse d’un nombre \u00e9lev\u00e9 de grossesses expos\u00e9es n’a apparement r\u00e9v\u00e9l\u00e9 aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier du c\u00e9fadroxil. Toutefois, seules des \u00e9tudes \u00e9pid\u00e9miologiques permettraient de v\u00e9rifier l’absence de risque.<\/li> En cons\u00e9quence, le c\u00e9fadroxil peut \u00eatre prescrit pendant la grossesse si besoin.<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n \n\u00a0Allaitement :<\/b> \n<\/p> \n \n Le passage du c\u00e9fadroxil dans le lait maternel est faible et les quantit\u00e9s ing\u00e9r\u00e9es tr\u00e8s inf\u00e9rieures aux doses th\u00e9rapeutiques. En cons\u00e9quence, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique. Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le m\u00e9dicament) en cas de survenue de diarrh\u00e9e, de candidose, ou d’\u00e9ruption cutan\u00e9e chez le nourrisson.<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n \n \n \n \n \n Oed\u00e8me de Quincke \n<\/li> \n Urticaire \n<\/li> \n Prurit \n<\/li> \n Eruption cutan\u00e9e \n<\/li> \n Choc anaphylactique\u00a0(Tr\u00e8s rare) \n<\/li> \n Syndrome de Stevens-Johnson\u00a0(Tr\u00e8s rare) \n<\/li> \n Eryth\u00e8me polymorphe\u00a0(Tr\u00e8s rare) \n<\/li> \n Maladie s\u00e9rique\u00a0(Rare) \n<\/li> \n Eosinophilie \n<\/li> \n Neutrop\u00e9nie \n<\/li> \n Agranulocytose\u00a0(Rare) \n<\/li> \n Naus\u00e9e \n<\/li> \n Vomissement \n<\/li> \n Diarrh\u00e9e \n<\/li> \n Ent\u00e9rocolite pseudomembraneuse\u00a0(Tr\u00e8s rare) \n<\/li> \n Insuffisance r\u00e9nale \n \n Association aux aminosides,\u00a0Association aux diuretiques. \n<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n<\/li> \n Vaginite \n<\/li> \n Transaminases (augmentation) \n<\/li> \n S\u00e9lection de souche r\u00e9sistante \n \n Usage prolonge. \n<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n \nClassement ATC :\u00a0<\/b> \n\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0J01DB05 \/ CEFADROXIL<\/li> \n<\/ul> \n \n \nClassement Vidal :\u00a0<\/b> \n \n\t\t\t\t\t\t\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0Antibiotique : c\u00e9phalosporine de 1re g\u00e9n\u00e9ration (C\u00e9fadroxil) \n<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n \n Les concentrations critiques s\u00e9parent les souches sensibles des souches de sensibilit\u00e9 interm\u00e9diaire, et ces derni\u00e8res, des r\u00e9sistantes :S inf\u00e9rieure ou \u00e9gale \u00e0 8 mg\/l et R sup\u00e9rieure \u00e0 32mg\/l. La pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance acquise peut varier en fonction de la g\u00e9ographie et du temps pour certaines esp\u00e8ces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance locale, surtout pour le traitement d’infections s\u00e9v\u00e8res. Ces donn\u00e9es ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilit\u00e9s de la sensibilit\u00e9 d’une souche bact\u00e9rienne \u00e0 cet antibiotique.<\/li> Lorsque la variabilit\u00e9 de la pr\u00e9valence de la r\u00e9sistance en France est connue pour une esp\u00e8ce bact\u00e9rienne, elle est indiqu\u00e9e ci-dessous. L’\u00e9cart des fr\u00e9quences de r\u00e9sistance en France (si > 10%, esp\u00e8ces pour lesquelles la variabilit\u00e9 de cette fr\u00e9quence est connue) est indiqu\u00e9 entre parenth\u00e8ses :A \/ ESPECES SENSIBLES :– A\u00e9robies \u00e0 Gram positif :C. diptheriae, P. acnes, Staphylocoques m\u00e9ti-S, Streptocoques, S. pneumoniae (30 – 70 % )– A\u00e9robies \u00e0 Gram n\u00e9gatif :B. catarrhalis, E. coli (20 – 30 %), Klebsiella (0 – 30 %), N. gonorrhoeae, Pasteurella– Ana\u00e9robiesFusobacterium (10 – 20 %), Prevotella (60 – 70 %)B \/ ESPECES MODEREMENT SENSIBLES :(in vitro de sensibilit\u00e9 interm\u00e9diaire)– A\u00e9robies \u00e0 Gram n\u00e9gatif :C. koseri, H. influenzae, P. mirabilis– Ana\u00e9robies :C. perfringens, PeptostreptococcusC \/ ESPECES RESISTANTES :– A\u00e9robies \u00e0 Gram positif :Enterocoques, L. monocytogenes, Staphylocoques m\u00e9ti-R– A\u00e9robies \u00e0 Gram n\u00e9gatif :Acinetobacter, C. freundii, Enterobacter, M. morganii, P. vulgaris, Providencia, Pseudomonas, Serratia– Ana\u00e9robiesBactero\u00efdes, C. difficileN.B. : certaines esp\u00e8ces bact\u00e9riennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.<\/li> Produit beaucoup moins actif que la p\u00e9nicilline G La fr\u00e9quence de r\u00e9sistance \u00e0 la m\u00e9ticilline est environ de 30% \u00e0 50% de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.<\/li><\/dd> \n<\/dl> \n \n \n \n \nListe I<\/b> \n \n \nCIP : 3486061<\/b>\u00a0(CEFADROXIL BIOGARAN 250 mg\/5 ml pdre p susp buv : Fl\/60ml).<\/li> Disponibilit\u00e9 : officinesRembours\u00e9 \u00e0 65 %, Agr\u00e9\u00e9 aux collectivit\u00e9s<\/li> \n<\/ul> \n \n \n \n Biogaran \n<\/h2><\/center> \n \n \n \n \n Liste Des Sections Les Plus Importantes :<\/strong><\/h2> \n \n \n \n pathologies<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments<\/a> \n<\/strong><\/li> Medicaments injectables<\/a> \n<\/strong><\/li> Traitement D\u2019Urgence<\/a> \n<\/strong><\/li> Guide Infirmier Des Examens De Laboratoire<\/a> \n<\/strong><\/li> Infirmiers En Urgences<\/a> \n<\/strong><\/li> Fiche Technique Medical<\/a> \n<\/strong><\/li> Techniques De Manipulations En Radiologie Medicale<\/a> \n<\/strong><\/li> Bibliotheque_medicale<\/strong><\/a> \n<\/li><\/ul> \n \n \n \n\t\t**Facebook Page Medical Education<\/a> \n——Website Accueil <\/a> \n—— Notre Application<\/a> \n<\/h5> \n Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com <\/a> \n<\/li><\/center> \n<\/div>\r\n