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WYTENS 10mg/6,25mg cp pellic







comprimé pelliculé
par 1 comprimé
bisoprolol hémifumarate10 mg
hydrochlorothiazide6,25 mg
Excipients : phosphate dicalcique anhydre, cellulose microcristalline, amidon de maïs, silice colloïdale, magnésium stéarate, opadry blanc YS-1-18027-A, ( hypromellose, polysorbate 80, macrogol 400, titane dioxyde ).

Hypertension artérielle.


Voie orale.
  • – La posologie initiale efficace est de 1 comprimé à 2,5 mg de bisoprolol/6,25 mg d’hydrochlorothiazide une fois par jour.
  • En cas de réponse insuffisante au traitement, la posologie sera augmentée à 1 comprimé à 5 mg de bisoprolol/6,25 mg d’hydrochlorothiazide en une seule prise par jour. En cas d’efficacité insuffisante de cette dernière dose, la posologie pourra être augmentée à 1 comprimé à 10 mg de bisoprolol/6,25 mg d’hydrochlorothiazide une fois par jour.
  • – Aucune modification de la posologie n’est nécessaire en cas d’insuffisance hépatique ou rénale légère à modérée (clairance de la créatinine > 30 ml/min).
  • – Aucune donnée n’étant disponible avec Wytens en pédiatrie, son utilisation est déconseillée chez l’enfant.

  • Absolue(s) :
    • Asthme sévère
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive sévère
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Choc cardiogénique
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
    • Bradycardie
    • Angor de Prinzmetal
    • Phéochromocytome non traité
    • Syndrome de Raynaud
    • Trouble circulatoire périphérique sévère
    • Hypotension artérielle
    • Hypersensibilité aux bêtabloquants
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Hypersensibilité aux dérivés thiazidiques
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min

    • Traitement à arrêter progressivement
      Lié au bisoprolol :
      – Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • – Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie sera diminuée progressivement, c’est-à-dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Angor
      Lié au bisoprolol :
      Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • Hépatopathie
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      En cas d’atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, l’administration de diurétiques doit être immédiatement interrompue.
    • Risque de photosensibilisation
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des réactions de photosensibilité ont été rapportées lors de l’utilisation des diurétiques thiazidiques (cf Effets secondaires).
    • En cas de survenue de réaction de photosensibilité sous traitement, il est recommandé d’interrompre le traitement. Si une réadministration du traitement et indispensable, il est recommandé de protéger les zones exposées au soleil ou aux UVA artificiels.
    • Ne pas s’exposer directement au soleil ou aux rayonnements UV
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des réactions de photosensibilité ont été rapportées lors de l’utilisation des diurétiques thiazidiques (cf Effets secondaires).
    • En cas de survenue de réaction de photosensibilité sous traitement, il est recommandé d’interrompre le traitement. Si une réadministration du traitement et indispensable, il est recommandé de protéger les zones exposées au soleil ou aux UVA artificiels.
    • Insuffisance coronarienne
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      – Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie sera diminuée progressivement, c’est-à-dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • – La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les coronariens. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Asthme
      Lié au bisoprolol :
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive
      Liée au bisoprolol :
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Insuffisance cardiaque
      – Liée au bisoprolol :
      Chez l’insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas de nécessité, le bisoprolol sera administré à très faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance médicale stricte.
    • – Liée à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Risque de bradycardie
      Lié au bisoprolol :
      Si la fréquence s’abaisse au dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
    • Bloc auriculoventriculaire du premier degré
      Lié au bisoprolol :
      Etant donné l’effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
    • Angor de Prinzmetal
      Lié au bisoprolol :
      Les bêta-bloquants peuvent augmenter le nombre et la durée des crises chez les patients souffrant d’un angor de Prinzmetal. L’utilisation d’un bêta-bloquant cardiosélectif est possible, dans les formes mineures, à condition d’administrer conjointement un vasodilatateur.
    • Artériopathie péripherique sténosante
      Lié au bisoprolol :
      Chez les patients souffrant de troubles circulatoires périphériques (maladie ou syndrome de Raynaud, artérites ou artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs) les bêta-bloquants peuvent entraîner une aggravation de ces troubles. Dans ces situations, il convient de privilégier un bêta-bloquant cardiosélectif et doté d’un pouvoir agoniste partiel, que l’on administrera avec prudence.
    • Phéochromocytome
      Lié au bisoprolol :
      L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
    • Sujet âgé
      — Lié au bisoprolol :
      Le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite.
    • — Lié à l’hydrochlorothiazide :
      – La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves.
    • La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • – La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • – Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte).
    • Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de l’âge du poids et du sexe du patient, selon la formule de après Cockroft, par exemple :
      CIcr = (140 – âge) x poids/0,814 x créatininémie
      (avec l’âge exprimé en années, le poids en kg et la créatininémie en µmol/l).
    • Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • Diabète
      – Lié au bisoprolol :
      Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
    • – Lié à l’hydrochlorothiazide :
      II importe, chez les diabétiques, de contrôler la glycémie, notamment en présence d’hypokaliémie.
    • Psoriasis
      Lié au bisoprolol :
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.
    • Risque d’aggravation du psoriasis
      Lié au bisoprolol :
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.
    • Sujet allergique
      Lié au bisoprolol :
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Lié au bisoprolol :
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Anesthésie générale
      Liée au bisoprolol :
      Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d’hypotension. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
    • – Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensiblité aux catécholamines.
    • – Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
      . chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants.
    • . en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
    • – Le risque anaphylactique devra être pris en compte.
    • Hyperthyroïdie
      Liée au bisoprolol :
      Les bêta-bloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires.
    • Sportif
      Lié au bisoprolol et à l’hydrochlorothiazide :
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient deux principes actifs pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves.
    • La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Surdosage).
    • Risque d’hyponatrémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves.
    • La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Surdosage).
    • Cirrhose
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves.
    • La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Surdosage).
    • Risque d’hypokaliémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie (de même que la bradycardie) agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Sujet dénutri
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Patient polymédiqué
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Cirrhose hépatique décompensée
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les cirrhotiques avec oedèmes et ascite. En effet, dans ce cas, I’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Allongement de l’espace QT
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés.
    • Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées notamment par les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie (de même que la bradycardie) agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • Risque d’hypercalcémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer l’excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et souvent transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Hyperuricémie
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Chez les patients hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée : la posologie sera alors adaptée en fonction des concentrations plasmatiques d’acide urique.
    • Risque d’augmentation de l’urémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glornérulaire. II peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Risque d’augmentation de la créatininémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glornérulaire. II peut en résulter une augmentation de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Enfant de moins de 15 ans
      – Aucune donnée n’étant disponible avec Wytens en pédiatrie, son utilisation est déconseillée chez l’enfant.
    • – La pharmacocinétique du bisoprolol a été étudiée chez un nombre limité d’enfants. Dans l’ensemble, les données reflétaient les résultats obtenus chez les adultes. Toutefois compte tenu du nombre limité de données, il n’est pas possible de recommander un dosage chez les enfants.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      La biodisponibilité est élevée (88 %), avec un très faible effet de premier passage
      hépatique, et n’est pas modifiée par la prise alimentaire.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    En raison de la présence d’un diurétique thiazidique, l’utilisation de cette association pendant la grossesse est déconseillée.
  • — Liée au bisoprolol :
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêtabloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
  • Chez le nouveau-né de mère traitée, l’action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance : si cette rémanence est le plus souvent sans conséquence clinique, il peut néanmoins survenir une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), en évitant les solutions de remplissage (risque d’OAP) ; par ailleurs, bradycardie, détresse respiratoire, hypoglycémie ont été signalées.
  • En conséquence, les bêtabloquants, dans les conditions normales d’utilisation, peuvent être prescrits pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu’à l’accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée en milieu spécialisé.
  • — Liée à l’hydrochlorothiazide :
    En règle générale, l’administration de diurétiques thiazidiques et apparentés doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais constituer le traitement des oedèmes physiologiques de la grossesse. Les diurétiques peuvent, en effet, entraîner une ischémie foetoplacentaire, avec un risque d’hypotrophie foetale.
  • Les diurétiques restent néanmoins un élément essentiel du traitement des oedèmes d’origine cardiaque, hépatique et rénale survenant chez la femme enceinte.
  •  Allaitement :

    — Lié au bisoprolol :
    Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait (cf Pharmacocinétique). Le risque de survenue d’hypoglycémie et de bradycardie n’a pas été évalué. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d’éviter d’administrer ce médicament chez la femme qui allaite.
  • — Lié à l’hydrochlorothiazide :
    L’allaitement est déconseillé : manque de données et/ou passage dans le lait maternel (cf Pharmacocinétique).

    • Asthénie
    • Refroidissement des extrémités
    • Bradycardie sévère
    • Insomnie
    • Cauchemar
    • Douleur épigastrique
    • Nausée
    • Vomissement
    • Impuissance
    • Bloc auriculoventriculaire
    • Bloc auriculoventriculaire (aggravation)
    • Insuffisance cardiaque
    • Hypotension artérielle
    • Bronchospasme
    • Hypoglycémie
    • Syndrome de Raynaud
    • Claudication intermittente (aggravation)
    • Paresthésie
    • Eruption psoriasiforme
    • Anticorps antinucléaire (augmentation) (Rare)
    • Syndrome lupique (Exceptionnel)
    • Transaminases (augmentation)
    • Hépatite
    • Encéphalopathie hépatique
      Insuffisance hepatique.
    • Hypersensibilité
      Asthmatique, Terrain allergique.
    • Eruption maculopapuleuse
    • Purpura
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation)
    • Photosensibilisation (Peu fréquent)
    • Constipation (Rare)
    • Vertige (Rare)
    • Céphalée (Rare)
    • Pancréatite (Exceptionnel)
    • Hypokaliémie
      Laxatifs, Traitement corticoide.
    • Hyponatrémie
    • Alcalose hypochlorémique
    • Hyperuricémie
    • Hyperglycémie
    • Thrombopénie
    • Leucopénie
    • Agranulocytose
    • Aplasie médullaire
    • Anémie hémolytique
    • Hypercalcémie (Exceptionnel)

    • Classement ATC : 
          C07BB07 / BISOPROLOL ET THIAZIDIQUES
    • Classement Vidal : 
          Bêtabloquant + diurétique : bisoprolol + hydrochlorothiazide

    Liste I
    • CIP : 3457496 (WYTENS 10mg/6,25mg cp pellic : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3887305 (WYTENS 10mg/6,25mg cp pellic : Plaq/30).
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