brinzolamide
FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
p flacon | |
Brinzolamide (DCI) | 50 mg |
Teneur en chlorure de benzalkonium : 0,15 mg/ml.
INDICATIONS |
- d’hypertension intraoculaire,
- de glaucome à angle ouvert,
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION |
En monothérapie ou en association, la posologie est de 1 goutte d’Azopt dans le cul-de-sac conjonctival de l’oeil (des yeux) atteint(s) deux fois par jour. Certains patients peuvent avoir une meilleure réponse avec 1 goutte trois fois par jour.
En cas de remplacement d’un autre traitement antiglaucomateux ophtalmique par Azopt, interrompre l’autre médicament et commencer Azopt le jour suivant.
En cas d’utilisation de plusieurs médicaments administrés par voie oculaire, les instillations doivent être espacées d’au moins 5 minutes.
Si une instillation est oubliée, le traitement doit être poursuivi avec l’instillation suivante, comme prévu. La posologie ne doit pas excéder 1 goutte trois fois par jour dans l’oeil(les yeux) atteint(s).
- Sujet âgé :
- Aucune adaptation de la posologie n’est nécessaire chez les sujets âgés.
- Sujet pédiatrique :
- L’efficacité et la tolérance d’Azopt chez les patients de moins de 18 ans n’ont pas été établies et son utilisation n’est pas recommandée chez ces patients. Toutefois, on dispose d’une expérience limitée chez les enfants. L’efficacité et la tolérance d’Azopt ont été étudiées sur un faible nombre de patients pédiatriques âgés de moins de 6 ans (cf Mises en garde/Précautions d’emploi, Effets indésirables, Pharmacodynamie).
- Insuffisants hépatique et rénal :
- Azopt n’a pas été étudié chez les insuffisants hépatiques et, par conséquent, n’est pas recommandé chez ces patients.
- Azopt n’a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) ou chez les patients présentant une acidose hyperchlorémique. Étant donné que le brinzolamide et son principal métabolite sont excrétés majoritairement par le rein, Azopt est contre-indiqué chez ces patients (cf Contre-indications).
Mode d’administration :
Voie oculaire.
Une occlusion nasolacrymale ou une fermeture douce des paupières après l’instillation est recommandée. Ceci peut réduire l’absorption systémique des médicaments administrés par voie oculaire et conduire à une diminution des effets secondaires systémiques.
Demander aux patients de bien agiter le flacon avant usage. Pour éviter la contamination de l’embout compte-gouttes et de la suspension, il faut faire attention à ne pas toucher les paupières, les surfaces voisines ou d’autres surfaces avec l’embout compte-gouttes du flacon. Indiquer aux patients de conserver le flacon bien fermé quand il n’est pas utilisé.
CONTRE-INDICATIONS |
- Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients.
- Hypersensibilité connue aux sulfonamides (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- Insuffisance rénale sévère.
- Acidose hyperchlorémique.
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI |
- Effets systémiques :
- Azopt est un sulfonamide inhibiteur de l’anhydrase carbonique qui, même administré localement, est absorbé par voie générale. Les effets indésirables des sulfonamides peuvent aussi être observés avec la voie locale. Si des signes de réactions graves ou d’hypersensibilité apparaissent, ce médicament doit être arrêté.
- Des perturbations acidobasiques ont été rapportées suite à l’administration orale d’inhibiteurs de l’anhydrase carbonique. Le brinzolamide n’a été étudié ni chez les prématurés (moins de 36 semaines d’âge gestationnel), ni chez les enfants âgés de moins d’une semaine. En raison du risque possible d’acidose métabolique, les patients présentant une immaturité ou des anomalies tubulaires rénales significatives ne peuvent être traités par le brinzolamide qu’après une évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque.
- Chez les patients âgés, les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie orale peuvent diminuer l’aptitude aux tâches nécessitant une vigilance mentale et/ou une coordination physique. Ces effets peuvent aussi se produire après administration topique puisqu’Azopt présente une absorption systémique.
- Traitement concomitant :
- Chez les patients recevant un inhibiteur de l’anhydrase carbonique par voie orale et Azopt, il y a une possibilité d’addition des effets systémiques inhérents à l’inhibition de l’anhydrase carbonique.
- L’administration simultanée d’Azopt et d’inhibiteurs de l’anhydrase carbonique par voie orale n’a pas été étudiée et n’est pas recommandée (cf Interactions).
- En association, Azopt a été évalué principalement avec le timolol. Par ailleurs, l’effet d’Azopt associé à l’analogue des prostaglandines travoprost sur la réduction de la PIO a été étudié. Il n’existe pas de données à long terme quant à l’association concomitante d’Azopt et du travoprost (cf Pharmacodynamie).
- L’expérience du traitement par Azopt chez des patients présentant un glaucome pseudoexfoliatif ou un glaucome pigmentaire est limitée. Il conviendra de faire particulièrement attention lors du traitement de ces patients et une surveillance étroite de la pression intraoculaire (PIO) est recommandée. Azopt n’a pas été évalué chez les patients présentant un glaucome à angle étroit et son utilisation n’est pas recommandée chez ces patients.
- Le rôle éventuel du brinzolamide sur la fonction endothéliale cornéenne n’a pas été étudié chez les patients présentant une cornée fragilisée (notamment chez les patients ayant un faible nombre de cellules endothéliales). En particulier, les patients porteurs de lentilles de contact n’ont pas été étudiés et une surveillance attentive est recommandée chez ces patients sous brinzolamide, étant donné que les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique peuvent affecter l’hydratation cornéenne et que le port de lentilles de contact peut augmenter le risque pour la cornée. De même, une surveillance attentive est recommandée dans les autres cas de cornées fragilisées, comme chez les patients présentant un diabète sucré.
- Des kératopathies ponctuées et/ou kératopathies ulcératives toxiques ont été rapportées avec le chlorure de benzalkonium, qui est couramment utilisé comme conservateur dans les produits ophtalmiques. Azopt contenant du chlorure de benzalkonium, une surveillance étroite est nécessaire lors d’utilisation fréquente ou prolongée chez les patients ayant les yeux secs ou une cornée fragilisée.
- Azopt n’a pas été étudié chez les patients portant des lentilles de contact. Azopt contient du chlorure de benzalkonium, qui peut entraîner une irritation oculaire et est connu pour teinter les lentilles de contact souples. Le contact avec les lentilles de contact souples doit être évité. Il convient de demander aux patients d’enlever leurs lentilles de contact avant l’instillation d’Azopt et d’attendre 15 minutes après l’instillation avant de remettre des lentilles de contact.
- Les effets rebonds potentiels à l’arrêt du traitement avec Azopt n’ont pas été étudiés ; l’abaissement de la PIO est supposé durer 5 à 7 jours.
INTERACTIONS |
Aucune étude spécifique des interactions avec d’autres médicaments n’a été effectuée avec Azopt. Lors des études cliniques, Azopt a été utilisé avec des préparations ophtalmiques d’analogues des prostaglandines et de timolol sans mettre en évidence d’interactions médicamenteuses. L’association d’Azopt à des myotiques ou des agonistes adrénergiques n’a pas été évaluée au cours de traitements du glaucome.
GROSSESSE et ALLAITEMENT |
Il n’existe pas de données ou il existe des données limitées sur l’utilisation du brinzolamide chez la femme enceinte. Des études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (cf Sécurité préclinique). Azopt n’est pas recommandé pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n’utilisant pas de contraception.
Allaitement :
On ne sait pas si les brinzolamide/métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Des études chez l’animal ont mis en évidence une excrétion du brinzolamide dans le lait maternel. Le brinzolamide ne sera utilisé lors de l’allaitement que si le bénéfice de l’allaitement pour l’enfant et le bénéfice du traitement pour la femme l’emportent sur les risques encourus.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
- Peu fréquent : rhinopharyngite, pharyngite, sinusite.
- Fréquence indéterminée : rhinite.
- Peu fréquent : diminution du nombre de globules rouges, augmentation du taux de chlorure dans le sang.
- Fréquence indéterminée : hypersensibilité.
- Peu fréquent : apathie, dépression, troubles de l’humeur, diminution de la libido, cauchemars, insomnie, nervosité.
- Fréquent : dysgueusie, maux de tête.
- Peu fréquent : somnolence, troubles de l’appareil locomoteur, amnésie, troubles de la mémoire, vertiges, paresthésie.
- Fréquence indéterminée : tremblements, hypoesthésie, agueusie.
- Fréquent : blépharite, vision floue, irritation oculaire, douleur oculaire, oeil sec, écoulement oculaire, prurit oculaire, sensation de corps étranger dans les yeux, hyperhémie oculaire.
- Peu fréquent : érosion cornéenne, kératite, kératite ponctuée, kératopathie, dépôt oculaire, coloration cornéenne, atteinte de l’épithélium cornéen, augmentation de la pression intraoculaire, augmentation du ratio cup/disc du nerf optique, oedème cornéen, conjonctivite, gonflement oculaire, meibomite, diplopie, éblouissements, photophobie, photopsie, baisse d’acuité visuelle, conjonctivite allergique, ptérygion, pigmentation sclérale, asthénopie, gêne oculaire, sensation anormale dans l’oeil, kératoconjonctivite sèche, hypoesthésie oculaire, kyste sous-conjonctival, hyperhémie conjonctivale, prurit des paupières, formation de croûtes sur le bord de la paupière, oedème de la paupière, augmentation du larmoiement.
- Fréquence indéterminée : affection de la cornée, trouble visuel, allergie oculaire, madarose, affection de la paupière, érythème de la paupière.
- Peu fréquent : tinnitus.
- Fréquence indéterminée : vertiges.
- Peu fréquent : détresse respiratoire, angine de poitrine, bradycardie, palpitations, rythme cardiaque irrégulier.
- Fréquence indéterminée : arythmie, tachycardie, hypertension, augmentation de la pression artérielle, accélération du rythme cardiaque.
- Peu fréquent : dyspnée, hyperactivité bronchique, toux, épistaxis, douleur pharyngolaryngée, irritation de la gorge, congestion nasale, congestion des voies respiratoires supérieures, sécrétions rétronasales, rhinorrhée, éternuements, sécheresse nasale.
- Fréquence indéterminée : asthme.
- Fréquent : bouche sèche.
- Peu fréquent : oesophagite, diarrhée, nausée, vomissement, dyspepsie, douleur abdominale haute, gêne abdominale, maux d’estomac, flatulences, selles fréquentes, troubles gastro-intestinaux, hypoesthésie orale, paresthésie orale .
- Fréquence indéterminée : bilan hépatique anormal.
- Peu fréquent : urticaire, rash, rash maculopapuleux, prurit généralisé, alopécie, tiraillements cutanés.
- Fréquence indéterminée : dermatite, érythème.
- Peu fréquent : maux de dos, spasmes musculaires, myalgie.
- Fréquence indéterminée : arthralgie, douleur des extrémités.
- Peu fréquent : douleurs rénales.
- Fréquence indéterminée : pollakiurie.
- Peu fréquent : dysfonction érectile.
- Peu fréquent : douleurs, gêne thoracique, asthénie, fatigue, sensation de mal-être, sensation de nervosité, irritabilité.
- Fréquence indéterminée : douleur thoracique, oedème périphérique, malaise, résidu médicamenteux.
- Peu fréquent : corps étranger dans l’oeil.
SURDOSAGE |
PHARMACODYNAMIE |
Classe pharmacothérapeutique : antiglaucomateux et myotiques, inhibiteurs de l’anhydrase carbonique (code ATC : S01EC04).
L’anhydrase carbonique (AC) est une enzyme retrouvée dans de nombreux tissus de l’organisme, y compris dans l’oeil. L’anhydrase carbonique catalyse la réaction réversible d’hydratation du dioxyde de carbone et de déshydratation de l’acide carbonique. L’inhibition de l’anhydrase carbonique dans les procès ciliaires de l’oeil diminue la sécrétion d’humeur aqueuse, probablement en ralentissant la formation des ions bicarbonates, ce qui conduit à une réduction du transport de sodium et d’eau. Le résultat est une diminution de la pression intraoculaire (PIO) qui est un facteur de risque majeur dans la pathogénie des altérations du nerf optique et de la perte du champ visuel d’origine glaucomateuse. Le brinzolamide est un inhibiteur de l’anhydrase carbonique II (AC-II), l’isoenzyme prédominante de l’oeil, avec un CI50 in vitro de 3,2 nM et un Ki de 0,13 nM vis-à-vis de l’AC-II.
L’effet d’Azopt associé à l’analogue des prostaglandines travoprost sur la réduction de la PIO a été étudié. Après une période de 4 semaines de traitement par travoprost, les patients qui avaient une PIO >= 19 mmHg ont été randomisés afin de recevoir un traitement additionnel par brinzolamide ou par timolol. Des baisses supplémentaires de la PIO moyenne diurne, allant de 3,2 à 3,4 mmHg dans le groupe brinzolamide et de 3,2 à 4,2 mmHg dans le groupe timolol, ont été observées. L’incidence globale des effets indésirables oculaires non graves, représentés essentiellement par des signes d’irritation locale, a été plus élevée dans les groupes brinzolamide/travoprost. Les effets ont été modérés et n’ont pas modifié les taux de sortie d’études (cf Effets indésirables).
Une étude clinique a été conduite avec Azopt chez 32 patients pédiatriques âgés de moins de 6 ans, pour lesquels un glaucome ou une hypertension oculaire avait été diagnostiqué. Certains patients n’avaient jamais reçu de médicament antiglaucomateux alors que d’autres en prenaient déjà. Pour les patients déjà traités, il n’y a pas eu de fenêtre thérapeutique avant initiation de la monothérapie avec Azopt. Chez les patients naïfs (10 patients), l’efficacité d’Azopt était similaire à celle observée préalablement chez les adultes, avec des réductions moyennes de PIO allant jusqu’à 5 mm Hg. Chez les patients déjà sous médicaments antiglaucomateux (22 patients), la PIO moyenne a légèrement augmenté par rapport à la valeur initiale dans le groupe Azopt.
PHARMACOCINÉTIQUE |
Après instillation oculaire, le brinzolamide est absorbé dans la circulation générale. En raison de sa forte affinité pour l’AC-II, le brinzolamide se distribue de façon importante dans les globules rouges et possède une demi-vie prolongée dans le sang total (moyenne d’environ 24 semaines). Chez l’homme, il se forme le métabolite N-déséthyl brinzolamide, qui se lie également à l’anhydrase carbonique et s’accumule dans les globules rouges. Ce métabolite se lie principalement à l’AC-I en présence de brinzolamide. Dans le plasma, les concentrations de brinzolamide et de N-déséthyl brinzolamide sont faibles et généralement inférieures au seuil de quantification de la méthode de dosage (< 7,5 ng/ml).
La liaison aux protéines plasmatiques est peu importante (environ 60 %). Le brinzolamide est principalement éliminé par excrétion rénale (environ 60 %). Environ 20 % de la dose ont été retrouvés dans les urines sous forme de métabolite. Le brinzolamide et le N-déséthyl brinzolamide sont les principaux composants retrouvés dans les urines avec des traces (< 1 %) de métabolites N-desméthoxypropyl et O-desméthyl.
Dans une étude pharmacocinétique par administration orale, des volontaires sains ont reçu des gélules de brinzolamide à 1 mg, deux fois par jour, pendant une durée atteignant 32 semaines, et l’activité de l’anhydrase carbonique a été déterminée dans les globules rouges afin d’évaluer le degré d’inhibition systémique de l’anhydrase carbonique.
La saturation par le brinzolamide de l’AC-II érythrocytaire a été obtenue en 4 semaines (concentrations intraérythrocytaires d’environ 20 µM). Le N-déséthyl brinzolamide s’accumulait dans les globules rouges pour atteindre un état d’équilibre en 20-28 semaines, jusqu’à des concentrations de 6 à 30 µM. A l’état d’équilibre, l’inhibition de l’activité de l’AC érythrocytaire totale était d’environ 70-75 %.
Des sujets atteints d’insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 60 ml/minute) ont reçu 1 mg de brinzolamide par voie orale deux fois par jour pendant une durée atteignant 54 semaines. Les concentrations érythrocytaires de brinzolamide étaient comprises entre 20 et 40 µM à la quatrième semaine de traitement. A l’état d’équilibre, les concentrations érythrocytaires de brinzolamide et de son métabolite étaient respectivement comprises entre 22 et 46,1 µM et 17,1 et 88,6 µM.
Les concentrations érythrocytaires en N-déséthyl brinzolamide étaient augmentées et l’activité de l’AC érythrocytaire totale était diminuée lorsque la clairance de la créatinine diminuait, mais les concentrations érythrocytaires de brinzolamide et l’activité de l’AC-II restaient inchangées. Chez les sujets présentant l’insuffisance rénale la plus sévère, l’inhibition de l’activité de l’anhydrase carbonique totale était plus importante bien qu’inférieure à 90 % à l’état d’équilibre.
Dans une étude utilisant la voie oculaire, à l’état d’équilibre, les concentrations érythrocytaires de brinzolamide étaient similaires à celles observées dans l’étude par voie orale, mais les concentrations du N-déséthyl brinzolamide étaient plus faibles. L’activité de l’anhydrase carbonique était environ à 40 à 70 % de sa valeur avant traitement.
SÉCURITE PRÉCLINIQUE |
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie en administration répétée, de génotoxicité, de cancérogenèse n’ont pas révélé de risque particulier du brinzolamide pour l’homme.
Des études de toxicité chez le lapin recevant des doses de brinzolamide allant jusqu’à 6 mg/kg/jour (125 fois la dose ophtalmique thérapeutique journalière recommandée) n’ont pas révélé d’effet sur le développement foetal malgré une toxicité maternelle significative. Des études similaires chez le rat ont conduit à de légères réductions de l’ossification du crâne et des barres sternales des foetus des mères recevant du brinzolamide aux doses de 18 mg/kg/jour (375 fois la dose humaine ophtalmique recommandée) ; ces réductions n’ont pas été observées à 6 mg/kg/jour. Ces résultats sont apparus à des doses entraînant des acidoses métaboliques avec diminution du gain de poids corporel des mères et diminution des poids foetaux. Chez les petits de mères recevant du brinzolamide par voie orale, des diminutions dose-dépendantes des poids foetaux ont été observées, allant d’une légère diminution (environ 5-6 %) à la dose de 2 mg/kg/jour à près de 14 % à la dose de 18 mg/kg/jour. Pendant l’allaitement, la dose sans effet sur la portée était de 5 mg/kg/jour.
MODALITÉS DE CONSERVATION |
- Durée de conservation :
- 2 ans.
- Après la première ouverture :
- 4 semaines.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM | EU/1/00/129/001 ; CIP 3400935434975 (RCP rév 29.01.2010). |
Prix : | 13.92 euros (flacon de 5 ml). |
Remb Séc soc à 65 %. Collect. |
Titulaire de l’AMM : Alcon Laboratories Ltd (UK), Pentagon Park, Boundary way, Hemel Hempstead, Herts. HP2 7UD, Royaume-Uni.
Laboratoires ALCON
4, rue Henri-Sainte-Claire-Deville
92563 Rueil-Malmaison cdx
Tél : 01 47 10 47 10. Fax : 01 47 10 47 12
Info médic et pharmacovigilance : Fax : 01 47 10 27 70
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