logo news copy.webp
Search
Close this search box.

ASPÉGIC® INJECTABLE500 mg/5 ml et 1000 mg/5 ml    

acétylsalicylate de DL-lysine

FORMES et PRÉSENTATIONS

Poudre et solvant pour solution injectable à 500 mg et 1000 mg :  Flacons + ampoules de solvant (5 ml), boîtes de 6.Modèle hospitalier : 20 flacons.


  • COMPOSITION

    Poudre :p flacon
    Acétylsalicylate de DL-lysine 
    0,9 g
    ou1,8 g
    (soit en acide acétylsalicylique : 0,5 g/fl 500 mg ; 1 g/fl 1000 mg)
    Excipient (commun) : glycine.
  • Solvant :p ampoule
    Eau ppi 
    5 ml

    INDICATIONS

    • Traitement de courte durée des douleurs intenses.
    • Traitement des rhumatismes inflammatoires.
    • Traitement symptomatique de la fièvre lorsque l’administration par voie orale n’est pas possible.

    POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Posologie :

    Réservé à l’adulte.

    Douleurs intenses et fièvre :
    • Adulte : la posologie quotidienne maximale est de 3 g d’aspirine.
    • A titre indicatif : 500 mg ou 1 g d’aspirine par administration, sans dépasser 3 g par jour.
    • Coût du traitement journalier : 0,96 à 5,78 euro(s) (500 mg) ; 1,55 à 4,64 euro(s) (1000 mg).
    • Sujet âgé : la posologie quotidienne maximale est de 2 g d’aspirine.
    • A titre indicatif : 500 mg ou 1 g d’aspirine par administration, sans dépasser 2 g par jour.
    • Coût du traitement journalier : 0,96 à 3,85 euro(s) (500 mg) ; 1,55 à 3,09 euro(s) (1000 mg).
    Affections rhumatismales :
    • Adulte : 3 à 6 g d’aspirine maximum par jour, à répartir en 3 ou 4 prises espacées de 4 heures minimum.
    • Coût du traitement journalier : 5,78 à 11,56 euro(s) (500 mg) ; 4,64 à 9,28 euro(s) (1000 mg).
    • Sujet âgé : la posologie devra être réduite.

    Mode d’administration :

    Voie injectable.

    Dissoudre extemporanément le contenu du flacon avec 5 ml d’eau pour préparations injectables.

    L’administration peut se faire soit en IM profonde, soit en IV directe, soit en perfusion IV à l’aide d’une solution véhicule (solution de chlorure de sodium, de glucose ou de sorbitol).

    Il est recommandé d’éviter de mélanger dans la même seringue ce médicament avec d’autres spécialités injectables.

    Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de douleur. Elles doivent être espacées d’au moins 4 heures.


    CONTRE-INDICATIONS

    Absolues :
    • Hypersensibilité à l’acide acétylsalicylique ou à l’un des excipients.
    • Antécédents d’asthme provoqué par l’administration de salicylés ou de substances d’activité proche, notamment les anti-inflammatoires non stéroïdiens.
    • Dernier trimestre de la grossesse pour des doses supérieures à 100 mg par jour.
    • Ulcère gastroduodénal en évolution.
    • Toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise.
    • Risque hémorragique.
    • Insuffisance hépatique sévère.
    • Insuffisance rénale sévère.
    • Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée.
    • Méthotrexate à des doses supérieures à 20 mg/semaine (cf Interactions).
    • Anticoagulants oraux pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j) ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g par jour) chez un patient ayant des antécédents d’ulcère gastroduodénal.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    Précautions d’emploi :

    Les flacons d’aspirine injectable ne sont pas adaptés à l’enfant.

    En cas d’association à d’autres médicaments, pour éviter un risque de surdosage, vérifier l’absence d’acide acétylsalicylique dans la composition des autres médicaments.

    En cas d’administration à long terme de médicaments antalgiques à fortes doses, la survenue de céphalées ne doit pas être traitée avec des doses plus élevées. L’utilisation régulière d’antalgiques, en particulier l’association d’antalgiques, peut conduire à des lésions rénales persistantes avec un risque d’insuffisance rénale.

    Des syndromes de Reye, pathologies très rares mais présentant un risque vital, ont été observés chez des enfants avec des signes d’infections virales (en particulier varicelle et épisodes d’allure grippale) et recevant de l’acide acétylsalicylique. En conséquence, l’acide acétylsalicylique ne doit être administré chez ces enfants que sur avis médical, lorsque les autres mesures ont échoué. En cas d’apparition de vomissements persistants, de troubles de la conscience ou d’un comportement anormal, le traitement par l’acide acétylsalicylique doit être interrompu.

    Dans certains cas de forme grave de déficit en G6PD, des doses élevées d’acide acétylsalicylique ont pu provoquer des hémolyses. L’administration d’acide acétylsalicylique en cas de déficit en G6PD doit se faire sous contrôle médical.

    La surveillance du traitement doit être renforcée dans les cas suivants :
    • antécédents d’ulcère gastroduodénal, d’hémorragie digestive ou de gastrite ;
    • insuffisance rénale ou hépatique ;
    • asthme : la survenue de crise d’asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou à l’acide acétylsalicylique. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué ;
    • métrorragies ou ménorragies (risque d’augmentation de l’importance et de la durée des règles).

    Des hémorragies gastro-intestinales ou des ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de symptômes préalables ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, le sujet de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire (cf Interactions). En cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.

    Compte tenu de l’effet antiagrégant plaquettaire de l’acide acétylsalicylique, apparaissant dès les très faibles doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (ex : extraction dentaire).

    L’acide acétylsalicylique modifie l’uricémie (à dose antalgique, l’acide acétylsalicylique augmente l’uricémie par inhibition de l’excrétion de l’acide urique, aux doses utilisées en rhumatologie, l’acide acétylsalicylique a un effet uricosurique).

    Aux fortes doses utilisées en rhumatologie, il est recommandé de surveiller l’apparition des signes de surdosage. En cas d’apparition de bourdonnements d’oreilles, de baisse de l’acuité auditive et de vertiges, les modalités de traitement devront être réévaluées.

    L’utilisation de ce traitement est déconseillée en cas d’allaitement.


    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Risque lié à l’effet antiagrégant plaquettaire :

    Plusieurs substances sont impliquées dans des interactions du fait de leur propriétés antiagrégantes plaquettaires : l’abciximab, l’aspirine et le clopidogrel, l’époprosténol, l’eptifibatide et l’iloprost, la protéine C activée recombinante, la protéine C humaine, le tirofiban, la ticlopidine.

    L’utilisation de plusieurs antiagrégants plaquettaires majore le risque de saignement, de même que leur association à l’héparine et aux molécules apparentées (par exemple hirudine), aux anticoagulants oraux et aux autres thrombolytiques, et doit être prise en compte en maintenant une surveillance régulière, clinique et biologique.


    Contre-indiquées :
    • Méthotrexate utilisé à des doses supérieures à 20 mg/semaine : pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) : majoration de la toxicité, notamment hématologique, du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par l’acide acétylsalicylique).
    • Anticoagulants oraux : pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) chez un patient ayant des antécédents d’ulcère gastroduodénal : majoration du risque hémorragique, notamment en cas d’antécédent d’ulcère gastroduodénal.

    Déconseillées :
    • Anticoagulants oraux, pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) et en l’absence d’antécédent d’ulcère gastroduodénal : majoration du risque hémorragique. Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
    • Anti-inflammatoires non stéroïdiens, pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
    • Clopidogrel (en dehors des indications validées pour cette association à la phase aiguë du syndrome coronarien) : majoration du risque hémorragique par addition des activités antiagrégantes plaquettaires. Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique étroite.
    • Ticlopidine : majoration du risque hémorragique par addition des activités antiagrégantes plaquettaires. Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique étroite.
    • Uricosuriques (benzbromarone, probénécide) : diminution de l’effet uricosurique par compétition de l’élimination de l’acide urique au niveau des tubules rénaux.
    • Héparines de bas poids moléculaire et héparines non fractionnées aux doses curatives et/ou chez le sujet de plus de 65 ans, pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) : augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par l’acide acétylsalicylique). Utiliser un autre antalgique, antipyrétique ou anti-inflammatoire.

    Nécessitant des précautions d’emploi :
    • Diurétiques, inhibiteurs de l’enzyme de conversion, et par extrapolation, antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté par diminution de la filtration glomérulaire secondaire à une diminution de la synthèse des prostaglandines rénales. Par ailleurs, réduction de l’effet antihypertenseur. Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitement.
    • Clopidogrel (dans les indications validées pour cette association à la phase aiguë du syndrome coronarien) : majoration du risque hémorragique par addition des activités antiagrégantes plaquettaires. Surveillance clinique.
    • Méthotrexate utilisé à des doses inférieures ou égales à 20 mg/semaine, pour des doses anti-inflammatoires d’acide acétylsalicylique (>= 1 g/prise et/ou >= 3 g/j), ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg/prise et/ou < 3 g/j) : augmentation de la toxicité notamment hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par l’acide acétylsalicylique). Contrôle hebdomadaire de l’hémogramme durant les premières semaines de l’association. Surveillance accrue en cas d’altération (même légère), de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
    • Topiques gastro-intestinaux, anti-acides et charbon : augmentation de l’excrétion rénale de l’acide acétylsalicylique par alcalinisation des urines. Prendre les topiques gastro-intestinaux et anti-acides à distance (2 heures) de l’acide acétylsalicylique.

    A prendre en compte :
    • Héparines de bas poids moléculaire et non fractionnées, aux doses préventives et chez le sujet de moins de 65 ans : l’utilisation conjointe de médicaments agissant à divers niveaux de l’hémostase majore le risque de saignement. Ainsi chez le sujet de moins de 65 ans, l’association des héparines à doses préventives à l’acide acétylsalicylique, quelle que soit la dose, doit être prise en compte en maintenant une surveillance clinique et éventuellement biologique.
    • Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.

    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :
    Faibles doses (< 100 mg/jour) :
    Les études cliniques montrent que des doses inférieures à 100 mg/jour semblent être sûres dans le cas d’utilisations obstétricales extrêmement limitées nécessitant une surveillance spécialisée.
    Doses comprises entre 100 et 500 mg par jour :
    L’expérience clinique concernant l’administration de doses comprises entre 100 mg et 500 mg par jour est insuffisante. En conséquence, les recommandations ci-dessous pour les doses supérieures à 500 mg par jour s’appliquent à ces doses.
    Doses supérieures ou égales à 500 mg par jour :
    L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon ou du foetus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1 % à approximativement 1,5 %. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement.
    Chez l’animal, il a été montré que l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré- et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryofoetale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d’organogenèse de la gestation. Sauf nécessité absolue, l’acide acétylsalicylique ne doit donc pas être prescrit au cours des deux premiers trimestres de la grossesse. Si de l’acide acétylsalicylique est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de six mois, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible.
    3e trimestre de la grossesse :
    Au cours du troisième trimestre de la grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à :
    • une toxicité cardiopulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire) ;
    • un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligohydramnios.
    En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :
    • un allongement du temps de saignement du fait d’une action antiagrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ;
    • une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé.
    En conséquence, l’acide acétylsalicylique est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse.

    Allaitement :

    L’acide acétylsalicylique passant dans le lait maternel, ce médicament est déconseillé pendant l’allaitement.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Aucun effet sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’a été observé.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    Effets gastro-intestinaux :
    • douleurs abdominales,
    • hémorragies digestives patentes (hématémèse, melæna…) ou occultes, responsables d’une anémie ferriprive. Ces hémorragies sont d’autant plus fréquentes que la posologie utilisée est plus élevée,
    • ulcères gastriques et perforations.
    Effets sur le système nerveux central :
    • céphalées, vertiges,
    • sensation de baisse de l’acuité auditive,
    • bourdonnements d’oreille, qui sont habituellement la marque d’un surdosage.
    Effets hématologiques :
    Syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura…) avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste de 4 à 8 jours après arrêt de l’acide acétylsalicylique. Elle peut créer un risque hémorragique, en cas d’intervention chirurgicale.
    Réaction d’hypersensibilité :
    Urticaire, réactions cutanées, réactions anaphylactiques, asthme, oedème de Quincke.
    Effets liés à la voie d’administration :
    Possibilités de douleur au point d’injection et de réactions locales.

    SURDOSAGE

    L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) chez lesquels elle peut être mortelle.
  • Symptômes :
    • Intoxication modérée : bourdonnements d’oreille, sensation de baisse de l’acuité auditive, céphalées, vertiges, sont la marque d’un surdosage et peuvent être contrôlés par réduction de la posologie.
    • Intoxication sévère :
      Chez l’enfant, le surdosage peut être mortel à partir de 100 mg/kg en une seule prise.
      Les symptômes sont : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
    Conduite d’urgence :
    • Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé.
    • Décontamination digestive et administration de charbon activé.
    • Contrôle de l’équilibre acide-base.
    • Diurèse alcaline permettant d’obtenir un pH urinaire entre 7,5 et 8, possibilité d’hémodialyse dans les intoxications graves.
    • Traitement symptomatique.

    PHARMACODYNAMIE

    Autres analgésiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires à dose élevée (N : système nerveux central ; M : appareil locomoteur).

    L’acide acétylsalicylique appartient au groupe des anti-inflammatoires non stéroïdiens ayant des propriétés antalgiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires. Son mécanisme d’action repose sur l’inhibition irréversible des enzymes cyclo-oxygénase impliquées dans la synthèse des prostaglandines.

    L’acide acétylsalicylique inhibe également l’agrégation plaquettaire en bloquant la synthèse plaquettaire du thromboxane A2.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    L’acétylsalicylate de lysine se scinde en acide acétylsalicylique et en lysine dans le plasma.

    L’acide acétylsalicylique est rapidement absorbé et hydrolysé en acide salicylique.

    Celui-ci est en grande partie lié aux protéines du plasma. Un quart d’heure après l’injection de 1 g d’aspirine par voie IV, on obtient une salicylémie de 220 mg/l. Par voie IM, un quart d’heure après l’injection de 1 g d’aspirine, on obtient une salicylémie de 110 mg/l.

    L’élimination urinaire augmente avec le pH urinaire. La demi-vie de l’acide acétylsalicylique est d’environ 30 minutes. La demi-vie de l’acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose administrée.


    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Potentiel mutagène et cancérogène.

    L’acide acétylsalicylique a fait l’objet de très nombreuses études précliniques effectuées in vitro et in vivo dont l’ensemble des résultats n’a révélé aucune raison de suspecter un effet mutagène. Les études à long terme effectuées chez le rat et la souris n’ont indiqué aucun effet cancérogène de l’acide acétylsalicylique.


    CONDITIONS DE CONSERVATION

    A conserver à une température inférieure à 25 °C.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    AMM3400930072448 (1970/96 rév 05.07.2007) 6 fl 500 mg.
    3400955314981 (1975/96 rév 05.07.2007) 20 fl 500 mg.
    3400932610204 (1982 rév 05.07.2007) 6 fl 1000 mg.
    3400932610372 (1982 rév 05.07.2007) 20 fl 1000 mg.
      
    Prix :5.78 euros (6 fl + amp 500 mg).
    9.28 euros (6 fl +  amp 1000 mg).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.
    Modèles hospitaliers : Collect.


    sanofi-aventis France
    1-13, bd Romain-Rolland. 75014 Paris
    Info médic et pharmacovigilance :
    Tél (n° Vert) : 08 00 39 40 00
    Fax : 01 57 62 06 62

    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires

    COLCHIMAX®

    tiémonium, opium, colchicine FORMES et PRÉSENTATIONS Comprimé pelliculé (bleu) :  Boîte de 20, sous plaquettes

    Read More »