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CLARITHROMYCINE SANDOZ 25 mg/ml glé p susp buv






granulés pour suspension buvable
par 1 ml
clarithromycine25 mg
Excipients : amidon modifié, poloxamère 188, povidone K 30, hypromellose, macrogol 6000, copolymère d’acide méthacrylique et d’acrylate d’éthyle, citrate de triéthyle, glycérol monostéarate, polysorbate 80, saccharose, maltodextrine, dont glucose, potassium sorbate, silice colloïdale anhydre, gomme xanthane, cocktail de fruits arôme, (maltodextrine, sodium octényl succinate d’amidon E1450 (Amidon modifié contenant du gluten), maltol, aldéhyde C8 et C10, caproate d’allyle, anisyl acétone,benzaldéhyde, acétate de benzyle, acide butyrique, citral, acide citrique E330, essence de girofle acide acétique essence decoriandre, diacétyle naturel, acétate d’éthyle, benzoate d’éthyle, butyrate d’éthyle, heptylate d’éthyle,isovalérate d’éthyle, propionate d’éthyle, furanéol, hydroxycitronellal, alpha-ionone, acétate d’isoamyle,butyrate d’isoamyle, acétate d’isobutyle, huile essentielle de citron (terpènes), huile essentielle de citron (typeargent.), huile essentielle de citron vert, huile essentielle d’orange (type california, pressée à froid), huileessentielle d’orange Jaffa, pipéronal titane dioxyde DL-alpha tocophérol vitamine E, extraits de tocophérol E306, para tolyl, aldéhyde, triacétine, gamma-undécalactone, vanilline..

Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la clarithromycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles. Elles sont limitées, chez l’enfant, aux infections dues aux germes définis comme sensibles :
– Angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, en alternative au traitement de référence par bêta-lactamines, particulièrement lorsque celui-ci ne peut être utilisé.

  • – Surinfections des bronchites aiguës chez l’enfant âgé de plus de 3 ans.
  • – Pneumopathies communautaires atypiques chez l’enfant âgé de plus de 3 ans :
    . sans facteurs de risques,
    . sans signes de gravité clinique,
    . en l’absence d’éléments cliniques évocateurs d’une étiologie pneumococcique.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE :
    La posologie recommandée est de 15 mg/kg par jour, à répartir en 2 prises, jusqu’à un maximum de 500 mg 2 fois par jour, pour les infections non mycobactériennes.
  • La durée habituelle de traitement est de 5 à 10 jours, en fonction de l’infection traitée et de sa sévérité.
  • La durée de traitement des angines est de 5 jours.
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    Il est préférable de prendre la suspension reconstituée au cours des repas. Elle peut être prise avec du lait.
  • Ajouter aux granulés une quantité suffisante d’eau dans le flacon puis agiter.
  • L’administration se fait avec une seringue pour administration orale. La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l’enfant, sur le corps de la seringue pour administration orale en kg.
  • Elle se lit donc directement sur les graduations de la seringue pour administration orale.
  • Ainsi, le poids indiqué correspond à la dose pour 1 prise.
  • 2 prises par jour sont nécessaires.
  • Par exemple, la graduation 8 (25 mg/ml)correspond à la dose à administrer par prise pour un enfant de 8 kg et la graduation 32 (50 mg/ml)correspond à la dose à administrer par prise pour un enfant de 32 kg, et ce, 2 fois par jour.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux macrolides
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité au blé
    • Intolérance au fructose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Sucrase-isomaltase, déficit (en)
    • Allaitement d’un enfant traité par cisapride

    • Risque de colite pseudomembraneuse
      Des colites pseudomembraneuses ont été observées avec pratiquement tous les agents anti-infectieux, dont les macrolides.
    • Elles peuvent être de gravité modérée ou engager le pronostic vital.
    • Respecter la posologie
      Dans la mesure où, chez le jeune animal, ont été observées avec des médicaments de cette classe thérapeutique, à des doses au moins 10 fois supérieures aux doses thérapeutiques, des anomalies du cartilage de conjugaison, il est recommandé de limiter la posologie à 15 mg/kg/jour (avec un maximum de 1 g/jour) pendant une période maximale de 10 jours chez l’enfant.
    • Surveillance de la fonction auditive pendant le traitement
      – Un audiogramme devra être réalisé et une modification posologique envisagée en cas de survenue d’acouphènes ou de baisse de l’acuité auditive.
    • – Ne pas associer à d’autres médicaments ototoxiques, en particulier les aminosides.
    • Risque d’ototoxicité
      – Ne pas associer à d’autres médicaments ototoxiques, en particulier les aminosides.
    • – Un audiogramme devra être réalisé et une modification posologique envisagée en cas de survenue d’acouphènes ou de baisse de l’acuité auditive.
    • Insuffisance hépatique sévère
      L’administration de la clarithromycine n’est pas recommandée. Si elle est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques.
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
      En cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/minute) l’allongement de la demi-vie impose soit un espacement des prises, soit une réduction de la posologie.
    • Sujet sous régime hypoglucidique
      Une graduation de 1 kg de la seringue pour administration orale correspond à une dose contenant 0,144 g de saccharose : en tenir dans la ration journalière.
    • Diabète
      Une graduation de 1 kg de la seringue pour administration orale correspond à une dose contenant 0,144 g de saccharose : en tenir dans la ration journalière.
    • Risque de résistance croisée aux macrolides
      II convient de penser à la possible résistance croisée entre la clarithromycine et les autres macrolides.
    • Risque de résistance croisée aux lincosanides
      II convient de penser à la possible résistance croisée entre la clarithromycine et d’autres antibiotiques tels que la lincomycine et la clindamycine.
    • Administrer pendant le repas
      Il est préférable de prendre la suspension reconstituée au cours des repas. Elle peut être prise avec du lait.
    • Interaction alimentaire : pas d’interaction avec les produits laitiers
      Il est préférable de prendre la suspension reconstituée au cours des repas. Elle peut être prise avec du lait.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la clarithromycine au cours de la grossesse. En effet, les données cliniques sur un nombre limité de grossesses sont rassurantes mais les études chez la souris ont mis en évidence un effet malformatif (fentes palatines) à la dose de 1000 mg/kg.
  • En cas d’exposition au 1er trimestre de la grossesse, une surveillance prénatale peut être envisagée.
  •  Allaitement :

    Bien qu’il n’y ait pas de données concernant le passage de la clarithromycine dans le lait maternel, le fait que les macrolides qui ont été étudiés passent dans le lait, indique que le passage de la clarithromycine dans le lait maternel ne peut être exclu.
  • L’allaitement est possible en cas de prise de clarithromycine, toutefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de troubles digestifs chez le nouveau-né.
  • En cas de prise de cisapride par le nouveau-né ou le nourrisson allaité, l’administration de clarithromycine à la mère est contre-indiquée par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d’interaction chez l’enfant (torsades de pointes).

    • Nausée
    • Vomissement
    • Douleur épigastrique
    • Diarrhée
    • Candidose buccale
    • Glossite
    • Stomatite
    • Dermatose bulleuse
    • Erythème polymorphe (Exceptionnel)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Exceptionnel)
    • Syndrome de Lyell (Exceptionnel)
    • Transaminases (augmentation)
    • Hépatite cholestatique (Exceptionnel)
    • Acouphène
    • Hypoacousie
    • Dysgueusie (Rare)
    • Coloration des dents

    • Classement ATC : 
          J01FA09 / CLARITHROMYCINE
    • Classement Vidal : 
          Antibiotique : macrolide (Voie orale)

    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S <= 1 mg/l et R > 4 mg/l.
  • La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
  • Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
  • ESPECES SENSIBLES :
    – Aérobies à Gram + : Bacillus cereus, Corynebacterium diphteriae, entérocoques (50 – 70 %), lactobacillus, Rhodococcus equi, staphylococcus méti-S, staphylococcus méti-R* (70 – 80 %), streptococcus B, streptococcus non groupable (30 – 40 %), Streptococcus pneumoniae (35 – 70 %), Streptococcus pyogenes (16 – 31 %).
  • – Aérobies à Gram – : Bordetella pertussis, Branhamella catarrhalis, campylobacter, Helicobacter pylori (10 – 20 %), legionella, moraxella, neisseria.
  • – Anaérobies : actinomyces, bacteroides (30 – 60 %), eubacterium, mobiluncus, peptostreptococcus (30 – 40 %), porphyromonas, prevotella, Propionibacterium acnes.
  • – Autres : Borrelia burgdorferi, chlamydia, coxiella, leptospires, mycobactéries, Mycoplasma pneumoniae, Treponema pallidum.
  • ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    – Aérobies à Gram – : Haemophilus influenzae**, Neisseria gonorrhoeae.
  • – Anaérobies : Clostridium perfringens.
  • – Autres : Ureaplasma urealyticum.
  • ESPECES RESISTANTES :
    – Aérobies à Gram + : Corynebacterium jeikeium, Nocardia asteroïdes.
  • – Aérobies à Gram – : acinetobacter, entérobactéries, pseudomonas.
  • – Anaérobies : fusobacterium, leptotrichia.
  • – Autres : Mycoplasma hominis.
  • La clarithromycine possède une activité in vitro et in vivo sur Toxoplasma gondii.
  • * La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
  • ** Haemophilus influenzae : l’activité de la 14-hydroxy-clarithromycine est supérieure à celle de la clarithromycine. Des travaux réalisés in vitro ont suggéré une activité additive de la 14-hydroxy-clarithromycine et de la molécule mère vis-à-vis d’Haemophilus influenzae.

  • Liste I
    • CIP : 3850130 (CLARITHROMYCINE SANDOZ 25 mg/ml glé p susp buv : Fl/100ml).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Sandoz


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