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IBUPROFENE MYLAN 400 mg cp pellic






comprimé pelliculé
par 1 comprimé
ibuprofène400 mg
Excipients : lactose monohydrate, cellulose microcristalline, amidon de maïs, croscarmellose sel de Na, magnésium stéarate, silice colloïdale anhydre, hypromellose, hypromellose, propylèneglycol, titane dioxyde, talc.

Elles procèdent de l’activité anti-inflammatoire de I’ibuprofène, de l’importance des manifestations d’intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l’éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.

  • Elles sont limitées, chez l’adulte (plus de 15 ans), au :
    – Traitement symptomatique au long cours :
    . des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndrômes apparentés tels que le syndrome de Fiessinger Leroy Reiter et rhumatisme psoriasique,
    . de certaines arthroses invalidantes et douloureuses ;
    – Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
    . rhumatismes abarticulaires tels que péri-arthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites,
    . arthroses,
    . arthrites microcristallines,
    . lombalgies,
    . radiculalgies,
    . affections aiguës post-traumatiques bénignes de l’appareil locomoteur ;
    – Dysménorrhées après recherche étiologique ;
    – Traitement symptomatique des affections douloureuses d’intensité légère à modérée et/ou des états fébriles.

  • Réservé à l’adulte (plus de 15 ans).
  • * Indications rhumatologiques :
    – traitement d’attaque : 2 comprimés à 400 mg, 3 fois par jour, soit 2400 mg par jour.
  • – traitement d’entretien : 1 comprimé à 400 mg, 3 à 4 fois par jour, soit 1200 à 1600 mg par jour.
  • * Dysménorrhée :1 comprimé à 400 mg par prise, à renouveler si nécessaire, sans dépasser 4 comprimés à 400 mg par jour (soit 1600 mg par jour).
  • * Affections douloureuses et/ou états fébriles : 1 comprimé à 400 mg par prise, à renouveler si nécessaire, sans dépasser 3 comprimés à 400 mg par jour (soit 1200 mg par jour).
  • Fréquence et moment d’administration :
    Les comprimés sont à prendre de préférence au cours d’un repas.
  • Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de douleur. Elles doivent être espacées d’au moins 6 heures.Mode d’emploi :
    Avaler le comprimé sans le croquer, avec un grand verre d’eau.

  • Absolue(s) :
    • Grossesse, 4 derniers mois (de la)
    • Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
    • Hypersensibilité aux AINS
    • Hypersensibilité aux salicylés
    • Crise d’asthme liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Crise d’asthme liée à la prise d’aspirine, antécédent (de)
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Ulcère gastroduodénal évolutif
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Asthme
      Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique etiou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine etiou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens plus élevé que le reste de la population.
    • L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l’aspirine ou à un AINS (cf contre-indications).
    • Risque d’hémorragie digestive
      Les hémorragies gastro-intestinales peuvent se produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire.
    • En cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.
    • Risque d’ulcère digestif
      Les ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire.
    • En cas d’ulcère, interrompre immédiatement le traitement.
    • Traitement prolongé
      Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
    • Au cours des traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale.
    • Sujet âgé
      L’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène, la posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre.
    • En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire particulièrement chez les sujets âgés.
    • Pathologie digestive, antécédent
      L’ibuprofène sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives…).
    • Insuffisance cardiaque
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques.
    • Insuffisance hépatique
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants hépatiques.
    • Insuffisance rénale chronique
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants rénaux chroniques.
    • Intervention chirurgicale, antécédent
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les patients après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie.
    • Risque de trouble ophtalmique
      En cas de troubles de la vue apparaissant en cours de traitement, un examen ophtalmologique complet doit être effectué.
    • Réservé à l’adulte
    • Administrer pendant le repas

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Aspect malformatif : Premier trimestre
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.
  • En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur 2 espèces.
  • Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier, lié à une administration au cours du premier trimestre de la grossesse, n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
  • Aspect foetotoxique et néonatal : deuxième et troisième trimestre
    II s’agit d’une toxicité de classe concernant tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
  • L’administration pendant le deuxième et le troisième trimestre expose à :
    . une atteinte fonctionnelle rénale :
    . in utero pouvant s’observer dès 12 semaines d’aménorrhée (mise en route de la diurèse foetale) : oligoamnios (le plus souvent réversible à l’arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d’une exposition prolongée,
    . à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister en particulier en cas d’exposition tardive et prolongée (avec un risque d’hyperkaliémie sévère retardée).
  • . un risque d’atteinte cardio-pulmonaire :
    Constriction partielle ou complète in utero du canal artériel. La constriction du canal artériel peut survenir à partir de 5 mois révolus et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite foetale ou néonatale voire une mort foetale in utero. Ce risque est d’autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle.
  • . un risque d’allongement du temps de saignement pour la mère et l’enfant.
  • En conséquence :
    . Jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée : l’utilisation de IBUPROFENE MERCK ne doit être envisagée que si nécessaire.
  • . Entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée (entre le début de la diurèse foetale et 5 mois révolus) : une prise brève ne doit être prescrite que si nécessaire. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
  • . Au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) : toute prise même ponctuelle est contre-indiquée (voir Contre-indication). Une prise par mégarde au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) justifie une surveillance cardiaque et rénale, foetale et/ou néonatale selon le terme d’exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d’élimination de la molécule.
  •  Allaitement :

    Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.

    • Nausée
    • Vomissement
    • Douleur épigastrique
    • Dyspepsie
    • Transit intestinal (modification)
    • Hémorragie digestive
    • Eruption cutanée
    • Prurit
    • Oedème
    • Urticaire chronique (aggravation)
    • Crise d’asthme
      Allergie aux ains, Hypersensibilite a l’aspirine.
    • Oedème de Quincke
    • Choc anaphylactique
    • Vertige (Exceptionnel)
    • Céphalée (Exceptionnel)
    • Vision (modification) (Rare)
    • Oligurie
    • Insuffisance rénale
    • Méningite aseptique
    • Transaminases (augmentation)
    • Agranulocytose
    • Anémie hémolytique

    • Classement ATC : 
          M01AE01 / IBUPROFENE
    • Classement Vidal : 
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : arylcarboxylique Anti-inflammatoire (Ibuprofène)
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : ibuprofène Antalgique
          Anti-inflammatoire non stéroïdien Rhumatologie (Ibuprofène)

    Liste II
    • CIP : 3749916 (IBUPROFENE MYLAN 400 mg cp pellic : Plq/20).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3749922 (IBUPROFENE MYLAN 400 mg cp pellic : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


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