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INDAPAMIDE BIOGARAN 2,5mg cp pellic







comprimé pelliculé
par 1 comprimé
indapamide hémihydrate2,5 mg
Excipients : amidon de maïs, lactose, magnésium stéarate, talc, povidone, cire d’abeille blanche, titane dioxyde, glycérol, sodium laurylsulfate, hypromellose, macrogol 6000.

Hypertension artérielle.


Voie orale.
  • Un comprimé par 24 heures, de préférence le matin.
  • Dans l’hypertension artérielle, la posologie ne doit pas dépasser 2,5 mg/jour (augmentation des effets indésirables sans gain d’efficacité).

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Encéphalopathie hépatique
    • Hypokaliémie
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)

    • Hépatopathie
      En cas d’atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, l’administration du diurétique doit être immédiatement interrompue.
    • Administrer le matin
      Un comprimé par 24 heures, de préférence le matin.
    • Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
      La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • Sujet âgé
      – La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • – Les diurétiques thiazidiques et apparentés ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte). Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, par exemple selon la formule de Cockcroft :
      Clcr = ((140 – âge) x poids )/(0,814 x créatininémie)
      (avec l’âge exprimé en années, le poids en kg, la créatininémie en µmol/l).
    • Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
    • L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Cirrhose
      La natrémie doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage).
    • Risque d’hypokaliémie
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Sujet dénutri
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Patient polymédiqué
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Cirrhose hépatique décompensée
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les cirrhotiques avec oedèmes et ascite. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Insuffisance coronarienne
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les coronariens. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Insuffisance cardiaque
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Allongement de l’espace QT
      La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l’origine en soit congénitale ou iatrogénique. L’hypokaliémie (de même que la bradycardie) agit alors comme un facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales.
    • Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
    • La constatation d’une hypokaliémie nécessite sa correction.
    • Risque d’hypercalcémie
      Les diurétiques thiazidiques peuvent diminuer l’excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue. Interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Diabète
      Il importe chez les diabétiques de contrôler la glycémie, notamment en présence d’hypokaliémie.
    • Hyperuricémie
      Chez les patients hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée : la posologie sera adaptée en fonction des concentrations plasmatiques d’acide urique.
    • Risque d’augmentation de l’urémie
      L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Risque d’augmentation de la créatininémie
      L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Insuffisance rénale
      L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
    • Sportif
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    En règle générale, l’administration de diurétiques thiazidiques et apparentés doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais constituer le traitement des oedèmes physiologiques de la grossesse. Les diurétiques peuvent, en effet, entraîner une ischémie foetoplacentaire, avec un risque d’hypotrophie foetale. Les diurétiques restent néanmoins un élément essentiel du traitement des oedèmes d’origine cardiaque, hépatique et rénale survenant chez la femme enceinte.

     Allaitement :

    En raison du manque de données concernant le passage dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé.

    • Hypokaliémie
    • Hyponatrémie
    • Hypovolémie
    • Déshydratation
    • Hypotension orthostatique
    • Alcalose métabolique
    • Hyperuricémie
    • Hyperglycémie
    • Thrombopénie
    • Leucopénie
    • Agranulocytose
    • Aplasie médullaire
    • Anémie hémolytique
    • Hypercalcémie (Exceptionnel)
    • Encéphalopathie hépatique
      Insuffisance hepatique.
    • Hypersensibilité
      Asthmatique, Terrain allergique.
    • Eruption maculopapuleuse
    • Purpura
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation)
    • Nausée (Rare)
    • Constipation (Rare)
    • Vertige (Rare)
    • Asthénie (Rare)
    • Paresthésie (Rare)
    • Céphalée (Rare)
    • Hyposialie (Rare)
    • Pancréatite (Exceptionnel)

    • Classement ATC : 
          C03BA11 / INDAPAMIDE
    • Classement Vidal : 
          Antihypertenseur : diurétique thiazidique apparenté (Indapamide)
          Diurétique thiazidique apparenté Urologie Néphrologie (Indapamide)

    Liste II
    • CIP : 3298046 (INDAPAMIDE BIOGARAN 2,5mg cp pellic : B/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Biogaran


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