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IRINOTECAN MYLAN 20 mg/ml sol diluer p perf






solution à diluer pour perfusion
par 1 ml
irinotécan chlorhydrate trihydrate20 mg
  Soit irinotécan17,33 mg
Excipients : sorbitol, acide lactique, sodium hydroxyde qs pH 3,5, eau ppi.

Campto est indiqué dans le traitement des cancers colo-rectaux avancés :
– en association avec le 5-fluorouracile (5FU) et l’acide folinique (AF) chez les patients n’ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure pour le stade avancé de leur maladie,
– en monothérapie après échec d’un traitement ayant comporté du 5-FU.

  • Campto en association avec le cétuximab est indiqué dans le traitement des patients présentant un cancer colorectal métastatique exprimant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) après échec d’une chimiothérapie à base d’irinotécan.
  • Campto en association avec le 5-fluorouracile, l’acide folinique et le bévacizumab est indiqué en traitement de première ligne chez les patients atteints de cancer colorectal métastatique.

  • Réservé à l’adulte. Après dilution, la solution d’irinotecan doit être perfusée dans une veine périphérique ou centrale.
  • Posologie recommandée
    En monothérapie (chez les patients traités précédemment)
    La posologie recommandée est de 350 mg/m² administrés en perfusion intraveineuse de 30 à 90 minutes toutes les 3 semaines (voir Mises en garde et précautions d’emploi et Précautions d’élimination).
  • En association (chez les patients non traités précédemment)
    L’efficacité et la tolérance de l’irinotecan en association avec le 5-fluorouracile (5-FU) et l’acide folinique (AF) ont été évaluées selon le schéma suivant (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques) :
    o irinotecan et 5-FU/AF : schéma toutes les 2 semaines.
  • La dose recommandée est de 180 mg/m² en perfusion intraveineuse de 30 à 90 minutes toutes les 2 semaines, suivie d’une perfusion d’acide folinique et de 5-fluorouracile.
  • Concernant la posologie et le mode d’administration du cetuximab administré concomitamment, se référer au Résumé des Caractéristiques du Produit de ce médicament.
  • La dose d’irinotecan utilisée est généralement la même que celle administrée au cours des derniers cycles du précédent traitement à base d’irinotecan. L’irinotecan ne doit pas être administré moins d’une heure après la fin de la perfusion du cetuximab.
  • Concernant la posologie et le mode d’administration du bevacizumab, se référer au Résumé des Caractéristiques du Produit de ce médicament.
  • Ajustements posologiques
    L’irinotecan doit être administré après récupération convenable de tous les effets indésirables, c’est-à-dire grade 0 ou 1 selon les critères NCI-CTC (National Cancer Institute Common Toxicity Criteria) et après disparition complète d’une diarrhée liée au traitement.
  • Avant chaque administration du traitement en perfusion, les doses d’IRINOTECAN et de 5-FU si nécessaire, devront être réduites, en tenant compte des effets indésirables de plus haut grade observés et liés à l’administration précédente. Le traitement doit être retardé d’une ou deux semaines afin de permettre une récupération de tous les effets indésirables liés au traitement.
  • La posologie de chlorhydrate d’IRINOTECAN et/ou de 5-FU si nécessaire, devra être réduite de 15 à 20 % en cas de survenue des effets indésirables suivants :
    – toxicité hématologique : neutropénie grade 4, neutropénie fébrile (neutropénie grade 3-4 et fièvre grade 2-4), thrombopénie et leucopénie (grade 4),
    – toxicité non hématologique (grade 3- 4).
  • Les recommandations de modification de posologie du cetuximab, administré en association avec l’irinotecan, doivent être en accord avec le Résumé des Caractéristiques du Produit de ce médicament.
  • Se référer au Résumé des Caractéristiques du Produit du bevacizumab pour les modifications de posologie du bevacizumab administré en association avec Irinotecan/5-FU/AF.
  • Durée du traitement
    Le traitement par l’irinotecan doit être poursuivi jusqu’à progression objective de la maladie ou apparition d’une toxicité inacceptable.
  • Populations à risque
    Patients présentant une insuffisance hépatique
    En monothérapie : la bilirubinémie (jusqu’à 3 fois la limite supérieure de la normale (LSN)), chez les patients ayant un indice de performance = 2, conditionne la posologie initiale d’IRINOTECAN MYLAN. Chez ces patients ayant une hyperbilirubinémie et un taux de prothrombine supérieur à 50 %, la clairance d’irinotecan est diminuée (voir Propriétés pharmacocinétiques) et le risque de toxicité hématologique est donc augmenté. Une surveillance hebdomadaire de la numération et de la formule sanguine doit donc être réalisée chez ces patients.
  • – Pour les patients ayant une bilirubinémie = 1,5 fois la LSN, la dose recommandée de chlorhydrate
    d’irinotecan trihydraté est de 350 mg/m2.
  • – Pour les patients ayant une bilirubinémie comprise entre 1,5 et 3 fois la LSN, la dose recommandée de chlorhydrate d’irinotecan trihydraté est de 200 mg/m2.
  • – Les patients ayant une bilirubinémie > 3 fois la LSN ne doivent pas être traités avec l’irinotecan (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d’emploi).
  • Il n’y a pas de données disponibles chez les patients présentant une insuffisance hépatique traités par l’irinotecan en association.
  • Patients présentant une insuffisance rénale
    Aucune étude n’ayant été réalisée dans cette population, l’irinotecan n’est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir Mises en garde et précautions d’emploi et Propriétés pharmacocinétiques).
  • Sujets âgés
    Aucune étude pharmacocinétique spécifique n’a été réalisée chez le sujet âgé. Toutefois, la dose doit être choisie avec prudence dans cette population en raison de la fréquence plus importante de l’altération des fonctions biologiques. Cette population demande une surveillance plus étroite (voir Mises en garde et précautions d’emploi).
  • Enfants
    L’irinotecan ne doit pas être utilisé chez l’enfant.Mode d’administration
    L’irinotecan est cytotoxique ; pour des informations sur la dilution, les précautions particulières d’élimination et de manipulation, voir ci-dessous.
  • L’irinotecan ne doit pas être administré en bolus intraveineux ou en perfusion intraveineuse de moins de 30 minutes ou de plus de 90 minutes.Précautions particulières d’élimination et de manipulation
    Comme tous les agents antinéoplasiques, l’irinotecan doit être préparé et manipulé avec précaution. Il est indispensable d’utiliser des lunettes de protection, un masque et des gants.
  • En cas de contact cutané avec la solution d’irinotecan à diluer ou à perfuser, laver immédiatement et soigneusement à l’eau et au savon.
  • En cas de contact d’une muqueuse avec la solution d’irinotecan à diluer ou à perfuser, rincer immédiatement à l’eau.
  • Préparation de la solution à perfuser
    Comme pour tout autre médicament injectable, la solution d’IRINOTECAN pour perfusion DOIT ETRE PREPAREE DE FACON ASEPTIQUE.
  • En cas de présence d’un précipité dans les flacons ou dans la solution diluée, le produit doit être jeté selon les procédures classiques de traitement des agents cytotoxiques.
  • A l’aide d’une seringue appropriée, prélever dans le(s) flacon(s) la quantité voulue de solution d’IRINOTECAN en veillant à respecter les conditions d’asepsie. Diluer ensuite cette solution d’irinotecan dans une poche ou un flacon de perfusion de 100 à 250 ml contenant soit une solution de chlorure de sodium à 0,9 % (9 mg/ml), soit une solution glucosée à 5 % (50 mg/ml), afin d’obtenir une concentration entre 4,62 mg/ml et 0,81 mg/ml.
  • Administrer par perfusion IV.
  • Elimination des déchets
    Tout produit non utilisé ainsi que le matériel utilisé pour la dilution et l’administration doivent être détruits conformément aux procédures classiques hospitalières relatives aux agents cytotoxiques suivant les dispositions législatives en vigueur sur l’élimination des déchets toxiques.

  • Absolue(s) :
    • Inflammatoire chronique de l’intestin, maladie
    • Occlusion intestinale
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Grossesse
    • Allaitement
    • Bilirubinémie > 3 fois la limite supérieure normale
    • Insuffisance médullaire sévère
    • Indice de performance de grade OMS > 2
    • Intolérance au fructose

    • Traitement à administrer en service spécialisé
      L’utilisation de l’irinotécan doit être réservée aux unités spécialisées dans l’administration de cytotoxiques.
    • Surveillance par un médecin spécialisé pendant le traitement
      L’utilisation de l’irinotécan doit être uniquement administré sous le contrôle d’un médecin qualifié dans l’utilisation des chimiothérapies anticancéreuses.
    • Evaluation individuelle du bénéfice attendu
      Etant donné la nature et la fréquence de survenue des effets indésirables, l’utilisation de l’irinotecan ne sera décidée qu’après avoir pesé les avantages attendus par rapport aux éventuels risques thérapeutiques dans les cas suivants :
      – chez les patients présentant un facteur de risque, notamment un indice de performance de grade OMS = 2,
      – dans les rares cas, où il est prévisible que le patient n’observera pas les recommandations de prise en charge des effets indésirables (nécessité d’un traitement anti-diarrhéique immédiat et prolongé associé à une prise abondante de liquide dès qu’une diarrhée tardive apparaît). Un suivi strict à l’hôpital est recommandé pour de tels patients.
    • Patient traité en monothérapie
      Lorsque l’irinotecan est utilisé en monothérapie, il est habituellement prescrit selon un schéma d’administration toutes les 3 semaines. Cependant, un schéma d’administration hebdomadaire (voir rubrique 5) peut être envisagé chez des patients nécessitant un suivi plus rapproché ou qui ont un risque particulier de neutropénie sévère.
    • Information du patient
      – Les patients doivent être avertis du risque de diarrhée tardive survenant plus de 24 heures après l’administration d’irinotecan et à tout moment avant le cycle suivant. En monothérapie, le délai médian d’apparition de la première selle liquide est de 5 jours après la perfusion de chlorhydrate d’irinotecan trihydraté.
    • En cas d’apparition de cet effet indésirable, les patients doivent prévenir rapidement leur médecin et débuter immédiatement un traitement adapté.
    • – Les patients doivent être avertis du risque de neutropénie et de l’importance de la présence d’une fièvre. Une neutropénie fébrile (température > 38°C et nombre de neutrophiles < 1000/mm3 ) doit être traitée en urgence en milieu hospitalier, par des antibiotiques à large spectre par voie intraveineuse.
    • Risque de diarrhée
      En monothérapie, le délai médian d’apparition de la première selle liquide est de 5 jours après la perfusion de chlorhydrate d’irinotecan trihydraté.
    • En cas d’apparition de cet effet indésirable, les patients doivent prévenir rapidement leur médecin et débuter immédiatement un traitement adapté.
    • Le risque de diarrhée est augmenté chez les patients ayant reçu une radiothérapie abdomino-pelvienne, chez les patients ayant une hyperleucocytose initiale et ceux avec un indice de performance de grade OMS = 2 et chez les femmes. Si la diarrhée n’est pas traitée correctement, elle peut menacer le pronostic vital, particulièrement en cas de neutropénie concomitante.
    • Dès la première selle liquide, le patient doit boire abondamment des boissons contenant des électrolytes et doit débuter immédiatement un traitement anti-diarrhéique approprié. Ce traitement anti-diarrhéique sera prescrit par le service où le chlorhydrate d’irinotecan trihydraté a été administré. A sa sortie de l’hôpital, le patient devra se procurer les médicaments prescrits afin de pouvoir traiter la diarrhée dès sa survenue. De plus, le patient doit informer le médecin ou le service ayant administré le chlorhydrate d’irinotecan trihydraté de l’apparition de la diarrhée.
    • Le traitement anti-diarrhéique actuellement recommandé consiste en de fortes doses de lopéramide (4 mg lors de la première prise puis 2 mg toutes les 2 heures). Ce traitement doit être poursuivi pendant 12 heures après la dernière selle liquide et ne doit pas être modifié. En aucun cas, le lopéramide ne doit être administré à cette posologie plus de 48 heures consécutives, en raison du risque d’ileus paralytique, ni pendant moins de 12 heures.
    • En plus du traitement anti-diarrhéique, une antibiothérapie prophylactique à large spectre doit être administrée quand la diarrhée est associée à une neutropénie sévère (nombre de neutrophiles < 500/mm3).
    • En plus du traitement antibiotique, une hospitalisation est recommandée dans les cas suivants afin de contrôler la diarrhée :
      o diarrhée accompagnée de fièvre,
      o diarrhée sévère (demandant une réhydratation intraveineuse),
      o diarrhée persistante après 48 heures de traitement à forte dose de lopéramide.
    • Le lopéramide ne doit pas être administré à titre prophylactique, même chez des patients ayant présenté une diarrhée tardive lors de cures précédentes.
    • Chez les patients ayant présenté une diarrhée tardive sévère, une réduction de la posologie est recommandée pour les cycles suivants (voir Posologie et mode d’administration).
    • Surveillance de la formule sanguine 1 fois par semaine pendant le traitement
      Une surveillance hebdomadaire de la formule sanguine est recommandée pendant le traitement par l’irinotecan. Les patients doivent être avertis du risque de neutropénie et de l’importance de la présence d’une fièvre. Une neutropénie fébrile (température >38° C et nombre de neutrophiles =1000/mm3) doit être traitée en urgence en milieu hospitalier, par des antibiotiques à large spectre par voie intraveineuse.
    • Chez les patients ayant eu une toxicité hématologique sévère, une réduction de posologie est recommandée pour les administrations suivantes (voir Posologie et mode d’administration).
    • Chez les patients ayant une diarrhée sévère, le risque d’infection et de toxicité hématologique est augmenté.
    • Un hémogramme doit être réalisé en cas de diarrhée sévère.
    • Risque de neutropénie
      Une surveillance hebdomadaire de la formule sanguine est recommandée pendant le traitement par l’irinotecan. Les patients doivent être avertis du risque de neutropénie et de l’importance de la présence d’une fièvre. Une neutropénie fébrile (température >38° C et nombre de neutrophiles =1000/mm3) doit être traitée en urgence en milieu hospitalier, par des antibiotiques à large spectre par voie intraveineuse.
    • Chez les patients ayant eu une toxicité hématologique sévère, une réduction de posologie est recommandée pour les administrations suivantes (voir Posologie et mode d’administration).
    • Chez les patients ayant une diarrhée sévère, le risque d’infection et de toxicité hématologique est augmenté.
    • Un hémogramme doit être réalisé en cas de diarrhée sévère.
    • Surveillance de la fonction hépatique avant et pendant le traitement
      Un bilan hépatique doit être réalisé avant la première administration d’irinotecan et avant chaque cycle.
    • Une surveillance hebdomadaire de la numération sanguine doit être réalisée chez les patients ayant une bilirubinémie comprise entre 1,5 et 3 fois la LSN, en raison de la diminution de la clairance de l’irinotecan (voir Propriétés pharmacocinétiques) et de l’augmentation du risque d’hématotoxicité dans cette population.
    • L’irinotecan ne doit pas être administré aux patients ayant une bilirubinémie > 3 fois la LSN (cf Contre-indications).
    • Hyperbilirubinémie
      L’irinotecan ne doit pas être administré aux patients ayant une bilirubinémie > 3 fois la LSN (cf Contre-indications).
    • Risque de vomissement
      Un traitement antiémétique prophylactique est recommandé avant chaque administration d’irinotécan. Des nausées et vomissements ont été fréquemment rapportés.
    • Les patients chez lesquels des vomissements sont associés à la diarrhée tardive, doivent être hospitalisés le plus rapidement possible pour être traités.
    • Risque de syndrome cholinergique aigu
      Si un syndrome cholinergique aigu apparaît (défini par une diarrhée précoce et un ensemble de symptômes tels que hypersudation, crampes abdominales, larmoiements, myosis, et salivation) du sulfate d’atropine (0,25 mg par voie sous-cutanée) doit être administré en dehors de ses contre-indications cliniques (voir Effets indésirables).
    • Des précautions doivent être prises chez les patients asthmatiques. Chez les patients ayant eu un syndrome cholinergique aigu sévère, l’utilisation de sulfate d’atropine à titre prophylactique est recommandée lors des administrations ultérieures d’irinotecan.
    • Risque de pneumopathie
      Les cas de pathologie pulmonaire interstitielle avec infiltrats pulmonaires sont peu fréquents sous Campto. La pathologie pulmonaire interstitielle peut être fatale. Le risque de développement de pathologie pulmonaire interstitielle peut être favorisé par l’administration concomitante de médicaments pneumotoxiques, la radiothérapie, et l’administration de facteurs de croissance. Chez les patients présentant des facteurs de risques, la survenue de symptômes respiratoires devra être étroitement surveillée avant et pendant le traitement par l’irinotécan.
    • Radiothérapie
      Le risque de développement de pathologie pulmonaire interstitielle peut être favorisé par l’administration concomitante de médicaments pneumotoxiques, la radiothérapie, et l’administration de facteurs de croissance. Chez les patients présentant des facteurs de risques, la survenue de symptômes respiratoires devra être étroitement surveillée avant et pendant le traitement par l’irinotécan.
    • Sujet âgé
      En raison de la fréquence plus élevée de l’altération des fonctions biologiques, en particulier de la fonction hépatique, chez les personnes âgées, le choix de la posologie doit être fait avec précaution dans cette population (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Occlusion intestinale
      Ces patients ne doivent pas être traités par l’irrinotécan avant la résolution de l’occlusion intestinale (cf Contre-indications).
    • Insuffisance rénale
      Aucune étude dans cette population n’a été faite (cf Posologie/Mode d’administration, Pharmacocinétique).
    • Déshydratation
      De rares cas d’insuffisance rénale, d’hypotension ou d’hypovolémie ont été observés chez des patients ayant présenté des épisodes de déshydratation associés à une diarrhée et/ou à des vomissements, ou à une infection.
    • Utiliser une contraception efficace pdt le traitement puis pdt 3 mois après l’arrêt du traitement
      Des mesures contraceptives doivent être prises par les femmes en âge de procréer, ainsi que par les patients hommes, pendant le traitement et durant les 3 mois suivant l’arrêt du traitement.
    • Femme susceptible d’être enceinte
      Il doit être conseillé aux femmes en âge de procréer recevant de l’irinotécan d’éviter toute grossesse et informer immédiatement leur médecin si elles venaient à être enceintes (cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Réservé à l’adulte
    • Interaction phytothérapique : millepertuis
      – Niveau de gravité :
      Contre-indication
      – Nature du risque :
      Diminution des concentrations plasmatiques du métabolite actif de l’irinotécan, avec risque d’échec du traitement cytotoxique.
    • Incompatibilité avec tous les médicaments
      Aucune incompatibilité n’est connue à ce jour.
    • Ne pas mélanger avec d’autres médicaments.
    • Compatibilité avec certains solvants
      A l’aide d’une seringue graduée, prélever dans le flacon la quantité voulue de la solution d’irinotécan en veillant à respecter les conditions d’asepsie et l’injecter dans une poche ou un flacon de perfusion de 250 ml contenant soit une solution de chlorure de sodium à 0,9 %, soit une solution glucosée à 5 %.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Il n’y a aucune information concernant l’utilisation d’irinotécan chez la femme enceinte.
  • Chez le lapin et le rat, des effets embryotoxiques, foetotoxiques et tératogènes ont été observés. Aussi, IRINOTECAN MYLAN ne doit pas être utilisé pendant la grossesse (cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Il doit être conseillé aux femmes en âge de procréer recevant de l’irinotécan d’éviter toute grossesse et informer immédiatement leur médecin si elles venaient à être enceintes (cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Des mesures contraceptives doivent être prises par les femmes en âge de procréer, ainsi que par les patients hommes, pendant le traitement et durant les 3 mois suivant l’arrêt du traitement.
  •  Allaitement :

    Chez les rates qui allaitent, l’irinotécan marqué au C14 a été détecté dans le lait.
  • Il n’existe pas de données relatives au passage de Campto dans le lait maternel humain. En conséquence, en raison du risque potentiel de manifestations indésirables chez le nourrisson, l’allaitement doit être interrompu pendant la durée du traitement par l’irinotécan (cf Contre-indications).

  • Les patients doivent être avertis du risque potentiel de vertiges ou de troubles visuels pouvant se produire dans les 24 heures après l’administration du produit, et doivent éviter la conduite de véhicule ou l’utilisation d’une machine si de tels symptômes apparaissent.

    • Diarrhée
    • Entérocolite pseudomembraneuse (Rare)
    • Nausée
    • Vomissement
    • Déshydratation
    • Insuffisance rénale (Rare)
    • Hypotension artérielle (Rare)
    • Collapsus cardiovasculaire (Rare)
    • Constipation
    • Occlusion intestinale (Rare)
    • Iléus (Rare)
    • Hémorragie gastro-intestinale (Rare)
    • Colite (Rare)
    • Perforation intestinale (Rare)
    • Anorexie
    • Douleur abdominale
    • Stomatite
    • Pancréatite (Rare)
    • Neutropénie
    • Fièvre
    • Infection
    • Anémie
    • Thrombopénie
    • Syndrome cholinergique
    • Asthénie
    • Réaction au point d’injection (Peu fréquent)
    • Hypertension artérielle (Rare)
    • Pneumopathie interstitielle (Peu fréquent)
    • Infiltrat pulmonaire (Peu fréquent)
    • Dyspnée
    • Alopécie (Très fréquent)
    • Dermatose (Peu fréquent)
    • Hypersensibilité (Peu fréquent)
    • Réaction anaphylactique (Rare)
    • Crampe
    • Paresthésie
    • Transaminases (augmentation)
    • Phosphatases alcalines (augmentation)
    • Hyperbilirubinémie
    • Créatininémie (augmentation) (Fréquent)
    • Amylasémie (augmentation) (Très rare)
    • Lipase sérique (augmentation) (Très rare)
    • Hypokaliémie (Rare)
    • Hyponatrémie (Rare)
    • Trouble de la parole (Très rare)

    • Classement ATC : 
          L01XX19 / IRINOTECAN
    • Classement Vidal : 
          Antinéoplasique : antitopoisomérase I : irinotécan

    Liste I
    • CIP : 5744283 (IRINOTECAN MYLAN 20 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/2ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5744337 (IRINOTECAN MYLAN 20 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/5ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5757819 (IRINOTECAN MYLAN 20 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/15ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5757854 (IRINOTECAN MYLAN 20 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/25ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


    Mylan


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