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OXCARBAZEPINE TEVA 150 mg cp pellic






comprimé pelliculé
par 1 comprimé
oxcarbazépine150 mg
Excipients : lactose monohydrate, amidon de maïs, crospovidone, povidone K 30, cellulose microcristalline, amidon glycolate sodique, silice colloïdale anhydre, magnésium stéarate, opadry jaune 02G32878, ( hypromellose, macrogol 6000, macrogol 400, titane dioxyde, fer jaune oxyde, jaune orangé S laque aluminique ).

OXCARBAZEPINE est indiqué pour le traitement des crises épileptiques partielles avec ou sans généralisation secondaire.

  • OXCARBAZEPINE est indiqué en monothérapie ou en association à un autre traitement antiépileptique chez l’adulte et l’enfant à partir de 6 ans.

  • En monothérapie comme en association, le traitement par l’oxcarbazépine débute par une dose cliniquement efficace, répartie en 2 prises par jour. La dose peut être augmentée selon la réponse clinique.
  • Lorsqu’on substitue l’oxcarbazépine à un autre antiépileptique, la dose de ce dernier doit être réduite progressivement lors de l’instauration du traitement.
  • Lors d’associations, la charge médicamenteuse antiépileptique globale du patient étant accrue, il peut être nécessaire de réduire la dose de l’antiépileptique associé et/ou d’augmenter plus lentement la dose de l’oxcarbazépine.
  • Les recommandations posologiques suivantes s’appliquent à tous les patients ayant une fonction rénale normale (voir propriétés pharmacocinétiques). Une surveillance de la concentration plasmatique du médicament n’est pas nécessaire.Adulte :
    En monothérapie, le traitement peut être instauré avec une dose de 600 mg/jour (8 à 10 mg/kg/jour), répartie en 2 prises. La dose pourra être augmentée par paliers de 600 mg/jour au maximum, à intervalles d’environ une semaine, afin d’obtenir la réponse clinique souhaitée. Un effet thérapeutique est observé entre 600 mg/jour et 2400 mg/jour.
  • Des essais cliniques contrôlés en monothérapie ont montré que la dose de 1200 mg/jour est efficace chez des patients non traités par d’autres antiépileptiques. Néanmoins, une dose de 2400 mg/jour s’est révélée efficace dans les épilepsies réfractaires de patients dont le traitement par d’autres antiépileptiques a été substitué par l’oxcarbazépine en monothérapie.
  • Chez des patients hospitalisés, la posologie a pu être augmentée jusqu’à 2400 mg/jour sur une période de 48 heures.Traitement en association à un autre traitement antiépileptique :
    Le traitement peut être instauré avec une dose de 600 mg/jour (8 à 10 mg/kg/jour), répartie en 2 prises. La dose pourra être augmentée par paliers de 600 mg/jour au maximum, à intervalles d’environ une semaine, afin d’obtenir la réponse clinique souhaitée. Un effet thérapeutique est observé entre 600 mg/jour et 2400 mg/jour.
  • Lors d’essais cliniques contrôlés avec des traitements associés, des posologies journalières de 600 à 2400 mg se sont avérées efficaces. Cependant, la majorité des patients n’a pu tolérer la dose de 2400 mg/jour sans une réduction de la posologie des antiépileptiques associés, essentiellement en raison des effets indésirables sur le système nerveux central.
  • Dans les études cliniques, des posologies quotidiennes supérieures à 2400 mg/jour n’ont pas été étudiées de façon systématique.Sujets âgés :
    L’adaptation de la posologie est recommandée chez le sujet âgé ayant une fonction rénale altérée (voir paragraphe ci-après : Altération de la fonction rénale). Chez les patients présentant un risque d’hyponatrémie, se référer au paragraphe Mises en garde et précautions d’emploi.Enfants :
    En monothérapie comme en association, le traitement peut être instauré avec une dose de 8-10 mg/kg/jour, répartie en deux prises. Lors de l’utilisation en association, des effets thérapeutiques sont observés avec une dose d’entretien moyenne d’environ 30 mg/kg/jour. La dose pourra être augmentée par paliers de 10 mg/kg/jour au maximum, à intervalles d’environ une semaine, jusqu’à un maximum de 46 mg/kg/jour, afin d’obtenir la réponse clinique souhaitée (voir Propriétés pharmacocinétiques).
  • L’oxcarbazépine est indiquée chez l’enfant à partir de 6 ans. La tolérance et l’efficacité ont été évaluées dans des essais cliniques contrôlés incluant approximativement 230 enfants âgés de moins de 6 ans (jusqu’à 1 mois). L’oxcarbazépine n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 6 ans, compte tenu que la tolérance et l’efficacité n’ont pas été suffisamment démontrées.
  • Toutes ces recommandations posologiques (adultes, sujets âgés, enfants) sont basées sur les doses étudiées lors des études cliniques portant sur tous les groupes d’âge.
  • Néanmoins, des doses initiales plus faibles peuvent être envisagées si nécessaire.Patients présentant une altération de la fonction hépatique :
    Aucun ajustement posologique n’est nécessaire en cas d’altération légère à modérée de la fonction hépatique. L’oxcarbazépine n’a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère. Une surveillance est donc nécessaire chez ces patients (voir Propriétés pharmacocinétiques).Patients présentant une altération de la fonction rénale :
    En cas d’altération de la fonction rénale (clairance de la créatinine < 30 ml/min), le traitement par l’oxcarbazépine doit débuter à une posologie réduite de moitié par rapport à la posologie initiale habituelle (soit 300 mg/jour), la dose sera ensuite augmentée avec des intervalles d’au moins une semaine afin d’obtenir la réponse clinique souhaitée (voir Propriétés pharmacocinétiques).
  • L’augmentation de la posologie chez l’insuffisant rénal peut nécessiter une surveillance accrue.Mode d’administration :
    L’oxcarbazépine peut être prise avec ou sans aliments.
  • Les comprimés peuvent être coupés en deux, afin d’être avalés plus facilement. Pour les enfants qui ne peuvent pas avaler ou quand les doses nécessaires ne peuvent pas être administrées en utilisant les comprimés, il existe d’autres formes pharmaceutiques plus adaptées contenant de l’oxcarbazépine.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux anticonvulsivants aromatiques
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      Des réactions d’hypersensibilité de Classe I (immédiate) telles que des cas d’éruptions cutanées, prurit, urticaire, angioedème et des réactions anaphylactiques ont été signalées dans la période post-commercialisation.
    • Des cas d’anaphylaxie et d’angioedème touchant le larynx, la glotte, les lèvres et les paupières ont été rapportés chez des patients après la première prise ou après plusieurs prises d’oxcarbazépine. Si un patient développe de telles réactions après un traitement à l’oxcarbazépine, le traitement doit être arrêté et un traitement alternatif doit être instauré.
    • Des réactions d’hypersensibilité, y compris des réactions d’hypersensibilité systémiques, peuvent également survenir chez des patients sans antécédents d’hypersensibilité à la carbamazépine. Ces réactions peuvent affecter la peau, le foie, le sang, le système lymphatique ou d’autres organes, de façon isolée ou dans le
      contexte d’une réaction systémique (voir Effets indésirables). En général, si des signes et symptômes évocateurs de réactions d’hypersensibilité apparaissent (voir voir Effets indésirables), le traitement par l’oxcarbazépine doit être immédiatement arrêté.
    • Le traitement par l’oxcarbazépine ne doit pas être réinstauré chez des patients qui l’ont arrêté à cause d’une réaction d’hypersensibilité (voir Contre-indications).
    • Risque de réaction croisée avec la carbamazépine
      En cas d’antécédents de réaction d’hypersensibilité à la carbamazépine, les patients doivent être avertis d’un risque potentiel similaire (ex : réactions cutanées sévères) à l’oxcarbazépine dans environ 25-30% des cas (voir Effets indésirables).
    • Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
      Des réactions dermatologiques sévères, incluant le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (le syndrome de Lyell) et l’érythème polymorphe, ont été très rarement rapportées lors de l’utilisation de l’oxcarbazépine. Ces réactions dermatologiques sévères peuvent nécessiter une hospitalisation car elles peuvent menacer le pronostic vital et très rarement s’avérer fatales. Ces cas se sont produits chez l’enfant et l’adulte. Le temps moyen d’apparition était de 19 jours. Plusieurs cas isolés de réapparition de ces réactions cutanées sévères ont été signalés lors d’une reprise du traitement par l’oxcarbazépine. Si un patient développe une réaction cutanée à l’oxcarbazépine, il faudra envisager l’arrêt immédiat de l’oxcarbazépine (à moins que l’étiologie de l’éruption ne soit pas clairement liée au médicament) et la prescription d’un autre traitement antiépileptique doit être envisagée afin d’éviter l’apparition de convulsions.
    • Risque d’hyponatrémie
      Des hyponatrémies, avec des taux sériques de sodium inférieurs à 125 mmol/l, généralement asymptomatiques et n’ayant pas nécessité d’ajustement thérapeutique, ont été rapportées chez 2,7 % des patients traités par l’oxcarbazépine. L’expérience acquise au cours des études cliniques montre que la natrémie se normalise après réduction de la dose, arrêt du traitement ou mise en œuvre d’un traitement symptomatique (par exemple restriction hydrique). En cas d’affection rénale préexistante associée à une natrémie basse ou chez les patients recevant de façon concomitante des traitements hyponatrémiants (ex : diurétiques, desmopressine) ou des AINS (ex : indométacine), la natrémie devra être contrôlée avant l’instauration du traitement. Par la suite, la natrémie devra être contrôlée après environ deux semaines, puis tous les mois pendant les 3 premiers mois du traitement ou selon les besoins. Ces facteurs de risque peuvent s’appliquer en particulier au sujet âgé.
    • Chez les patients traités par l’oxcarbazépine et devant commencer un traitement hyponatrémiant, les mêmes recommandations devront s’appliquer. De façon générale, s’il apparaît des symptômes cliniques évocateurs d’hyponatrémie lors du traitement par l’oxcarbazépine (voir Effets indésirables), le contrôle de la natrémie doit être envisagé. Dans les autres cas, le contrôle de la natrémie fait partie du bilan biologique habituel.
    • Néphropathie
      En cas d’affection rénale préexistante associée à une natrémie basse ou chez les patients recevant de façon concomitante des traitements hyponatrémiants (ex : diurétiques, desmopressine) ou des AINS (ex : indométacine), la natrémie devra être contrôlée avant l’instauration du traitement. Par la suite, la natrémie devra être contrôlée après environ deux semaines, puis tous les mois pendant les 3 premiers mois du traitement ou selon les besoins. Ces facteurs de risque peuvent s’appliquer en particulier au sujet âgé. Chez les patients traités par I’oxcarbazépine et devant commencer un traitement hyponatrémiant les mêmes recommandations devront s’appliquer. De façon générale, s’il apparaît des symptômes cliniques évocateurs d’hyponatrémie lors du traitement par I’oxcarbazépine voir Effets indésirables), le contrôle de la natrémie doit être envisagé. Dans les autres cas, le contrôle de la natrémie fait partie du bilan biologique habituel.
    • En cas de rétention liquidienne ou d’aggravation de l’état cardiaque, la natrémie devra être contrôlée. Si une hyponatrémie est constatée, la restriction hydrique est une mesure thérapeutique importante.
    • Sujet âgé
      Des hyponatrémies, avec des taux sériques de sodium inférieurs à 125 mmol/l, généralement asymptomatiques et n’ayant pas nécessité d’ajustement thérapeutique, ont été rapportées chez 2.7% des patients traités par I’oxcarbazépine. L’expérience acquise au cours des études cliniques montre que la natrémie se normalise après réduction de la dose, arrêt du traitement ou mise en oeuvre d’un traitement symptomatique (par exemple restriction hydrique). En cas d’affection rénale préexistante associée à une natrémie basse ou chez les patients recevant de façon concomitante des traitements hyponatrémiants (ex : diurétiques, desmopressine) ou des AINS (ex : indométacine), la natrémie devra être contrôlée avant l’instauration du traitement. Par la suite, la natrémie devra être contrôlée après environ deux semaines, puis tous les mois pendant les 3 premiers mois du traitement ou selon les besoins. Ces facteurs de risque peuvent s’appliquer en particulier au sujet âgé. Chez les patients traités par I’oxcarbazépine et devant commencer un traitement hyponatrémiant les mêmes recommandations devront s’appliquer. De façon générale, s’il apparaît des symptômes cliniques évocateurs d’hyponatrémie lors du traitement par I’oxcarbazépine, le contrôle de la natrémie doit être envisagé. Dans les autres cas, le contrôle de la natrémie fait partie du bilan biologique habituel.
    • En cas de rétention liquidienne ou d’aggravation de l’état cardiaque, la natrémie devra être contrôlée. Si une hyponatrémie est constatée, la restriction hydrique est une mesure thérapeutique importante.
    • Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
      Des hyponatrémies, avec des taux sériques de sodium inférieurs à 125 mmol/l, généralement asymptomatiques et n’ayant pas nécessité d’ajustement thérapeutique, ont été rapportées chez 2.7% des patients traités par I’oxcarbazépine. L’expérience acquise au cours des études cliniques montre que la natrémie se normalise après réduction de la dose, arrêt du traitement ou mise en oeuvre d’un traitement symptomatique (par exemple restriction hydrique). En cas d’affection rénale préexistante associée à une natrémie basse ou chez les patients recevant de façon concomitante des traitements hyponatrémiants (ex : diurétiques, desmopressine) ou des AINS (ex : indométacine), la natrémie devra être contrôlée avant l’instauration du traitement. Par la suite, la natrémie devra être contrôlée après environ deux semaines, puis tous les mois pendant les 3 premiers mois du traitement ou selon les besoins. Ces facteurs de risque peuvent s’appliquer en particulier au sujet âgé. Chez les patients traités par I’oxcarbazépine et devant commencer un traitement hyponatrémiant les mêmes recommandations devront s’appliquer. De façon générale, s’il apparaît des symptômes cliniques évocateurs d’hyponatrémie lors du traitement par I’oxcarbazépine, le contrôle de la natrémie doit être envisagé. Dans les autres cas, le contrôle de la natrémie fait partie du bilan biologique habituel.
    • En cas de rétention liquidienne ou d’aggravation de l’état cardiaque, la natrémie devra être contrôlée. Si une hyponatrémie est constatée, la restriction hydrique est une mesure thérapeutique importante.
    • Insuffisance cardiaque
      Un contrôle régulier du poids de tous les patients présentant une insuffisance cardiaque devra être réalisé afin de détecter la survenue d’une rétention liquidienne. En cas de rétention liquidienne ou d’aggravation de l’état cardiaque, la natrémie devra être contrôlée. Si une hyponatrémie est constatée, la restriction hydrique est une mesure thérapeutique importante.
    • Trouble de la conduction cardiaque
      Bien que, les essais cliniques n’aient pas établi que l’oxcarbazépine soit associée à une altération de la conduction cardiaque, théoriquement, les patients présentant des troubles de la conduction préexistants (ex : bloc auriculo-ventriculaire, arythmie) devront être surveillés attentivement.
    • Risque d’hépatite
      De très rares cas d’hépatites ont été rapportés dont l’évolution a été favorable dans la plupart des cas. Lorsqu’une anomalie hépatique est suspectée, un contrôle de la fonction hépatique devra être réalisé et l’interruption du traitement par I’oxcarbazépine envisagée.
    • Risque d’agranulocytose
      De très rares cas d’agranulocytose ont été observés après commercialisation chez des patients traités par de l’oxcarbazépine (voir Effets indésirables). L’arrêt du traitement doit être envisagé en cas d’apparition des signes importants de dépression de la moelle osseuse.
    • Risque d’anémie
      De très rares cas d’anémie aplasique ont été observés après commercialisation chez des patients traités par de l’oxcarbazépine (voir Effets indésirables). L’arrêt du traitement doit être envisagé en cas d’apparition des signes importants de dépression de la moelle osseuse.
    • Risque de pancytopénie
      De très rares cas de pancytopénie ont été observés après commercialisation chez des patients traités par de l’oxcarbazépine (voir Effets indésirables). L’arrêt du traitement doit être envisagé en cas d’apparition des signes importants de dépression de la moelle osseuse.
    • Femme susceptible d’être enceinte
      Les femmes en âge de procréer doivent être averties que la prise de I’oxcarbazépine peut rendre inefficaces les contraceptifs oraux. II est recommandé d’utiliser d’autres formes de contraception, non hormonales, pendant le traitement par I’oxcarbazépine.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      La prudence est recommandée, en cas de consommation d’alcool, lors d’un traitement par l’oxcarbazépine car il y a risque de potentialisation des effets sédatifs.
    • Interaction alimentaire : alcool
      La prudence est recommandée, en cas de consommation d’alcool, lors d’un traitement par l’oxcarbazépine car il y a risque de potentialisation des effets sédatifs.
    • Traitement à arrêter progressivement
      L’arrêt du traitement doit être progressif afin de limiter le risque d’augmentation de la fréquence des crises.
    • Risque suicidaire
      Des idées et des comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités avec des médicaments antiépileptiques dans plusieurs indications. Une méta-analyse d’essais randomisés contre placebo portant sur des antiépileptiques a également révélé une légère augmentation du risque d’idées et de comportements suicidaires. Les causes de ce risque ne sont pas connues et les données disponibles n’excluent pas la possibilité d’une augmentation de ce risque pour l’oxcarbazépine.
    • Par conséquent les patients doivent être étroitement surveillés afin de repérer tout signe d’idées et de comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il doit être recommandé aux patients (et leur personnel soignant) de demander un avis médical en cas de survenue de signes d’idées et de comportements suicidaires.
    • Surveillance de l’état psychique pendant le traitement
      Des idées et des comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités avec des médicaments antiépileptiques dans plusieurs indications. Une méta-analyse d’essais randomisés contre placebo portant sur des antiépileptiques a également révélé une légère augmentation du risque d’idées et de comportements suicidaires. Les causes de ce risque ne sont pas connues et les données disponibles n’excluent pas la possibilité d’une augmentation de ce risque pour l’oxcarbazépine.
    • Par conséquent les patients doivent être étroitement surveillés afin de repérer tout signe d’idées et de comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il doit être recommandé aux patients (et leur personnel soignant) de demander un avis médical en cas de survenue de signes d’idées et de comportements suicidaires.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité au jaune orangé S
      Ce médicament contient du colorant jaune orangé (E110) et peut provoquer des réactions allergiques.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      L’oxcarbazépine peut être prise avec ou sans aliments.
    • Insuffisance hépatique sévère
      Aucun ajustement posologique n’est nécessaire en cas d’altération légère à modérée de la fonction hépatique. L’oxcarbazépine n’a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère. Une surveillance est donc nécessaire chez ces patients (voir Propriétés pharmacocinétiques).
    • Insuffisance rénale
      En cas d’altération de la fonction rénale (clairance de la créatinine < 30 ml/min), le traitement par l’oxcarbazépine doit débuter à une posologie réduite de moitié par rapport à la posologie initiale habituelle (soit 300 mg/jour), la dose sera ensuite augmentée avec des intervalles d’au moins une semaine afin d’obtenir la réponse clinique souhaitée (voir Propriétés pharmacocinétiques).
    • L’augmentation de la posologie chez l’insuffisant rénal peut nécessiter une surveillance accrue.
    • Enfant de moins de 6 ans
      L’oxcarbazépine n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 6 ans, compte tenu que la tolérance et l’efficacité n’ont pas été suffisamment démontrées.
    • Interaction phytothérapique : millepertuis
      – Niveau de gravité :
      Contre-indication
      – Nature du risque :
      Risque de diminution des concentrations plasmatiques et de l’efficacité de l’anticonvulsivant.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Risque lié à l’épilepsie et aux antiépileptiques en général :
    Il a été montré que la prévalence des malformations chez les enfants nés de mères épileptiques était deux à trois fois supérieure au taux d’environ 3 % observé dans la population générale. Dans la population traitée, une augmentation du nombre de malformations a été observée sous polythérapie ; cependant, la part de responsabilité du traitement et/ou de la maladie n’a pas été déterminée.
  • Par ailleurs, pendant la grossesse, un traitement antiépileptique efficace par l’oxcarbazépine ne doit pas être interrompu, l’aggravation de la maladie étant préjudiciable à la fois à la mère et au fœtus.
  • Risque lié à l’oxcarbazépine :
    Les données cliniques sur l’exposition au produit pendant la grossesse sont encore insuffisantes pour déterminer le potentiel tératogène de l’oxcarbazépine. Les études chez l’animal ont montré une augmentation de la mortalité embryonnaire, un retard du développement et des malformations à des doses materno-toxiques (voir Données de sécurité précliniques).
  • Compte tenu de ces données :
    En cas de grossesse ou si une grossesse est envisagée :
    o il conviendra de réévaluer soigneusement l’utilisation du produit. La dose minimale efficace sera prescrite et de préférence une monothérapie sera utilisée au moins pendant le premier trimestre de la grossesse ;
    o les patientes devront être averties d’une augmentation possible du risque de malformations et l’opportunité d’un diagnostic anténatal devra leur être proposée ;
    Pendant la grossesse, un traitement antiépileptique efficace par l’oxcarbazépine ne doit pas être interrompu, l’aggravation de la maladie étant préjudiciable à la fois à la mère et au fœtus.
  • Surveillance et prévention :
    Les médicaments antiépileptiques peuvent contribuer au déficit en acide folique, cause possible d’anomalies fœtales. Une supplémentation en acide folique est recommandée avant et pendant la grossesse. Compte tenu que l’efficacité de cette mesure n’est pas démontrée, un diagnostic anténatal spécifique doit être proposé même aux femmes supplémentées en acide folique.
  • Chez le nouveau-né :
    Des syndromes hémorragiques dus aux médicaments antiépileptiques ont été rapportés chez les nouveau-nés.
  • Par mesure de précaution, de la vitamine K1 devra être administrée de façon préventive durant les dernières semaines de la grossesse ainsi qu’au nouveau-né au moment de la naissance.
  •  Allaitement :

    L’oxcarbazépine et son métabolite actif (DMH) sont présents dans le lait maternel. Un rapport de concentration lait/plasma de 0,5 % a été trouvé. Les effets chez le nouveau-né exposé ne sont pas connus. Par conséquent, l’utilisation de l’oxcarbazépine n’est pas recommandée pendant l’allaitement.

    L’utilisation d’oxcarbazépine a été associée à des effets indésirables tels que des sensations vertigineuses et une somnolence (voir Effets indésirables). Par conséquent, les patients doivent être avertis que leurs capacités physiques et/ou mentales requises pour l’utilisation de machines ou la conduite de véhicules peuvent être altérées.

    • Leucopénie (Peu fréquent)
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Insuffisance médullaire
    • Anémie aplastique
    • Agranulocytose
    • Pancytopénie
    • Neutropénie
    • Syndrome d’hypersensibilité (Très rare)
    • Réaction anaphylactique
    • Hyponatrémie (Fréquent)
    • Confusion mentale (Fréquent)
    • Dépression (Fréquent)
    • Indifférence (Fréquent)
    • Agitation (Fréquent)
    • Nervosité (Fréquent)
    • Trouble émotif (Fréquent)
    • Somnolence (Très fréquent)
    • Céphalée (Très fréquent)
    • Sensation de vertige (Très fréquent)
    • Ataxie (Fréquent)
    • Tremblement (Fréquent)
    • Nystagmus (Fréquent)
    • Concentration (diminution) (Fréquent)
    • Amnésie (Fréquent)
    • Diplopie (Très fréquent)
    • Vision floue (Fréquent)
    • Vision (modification) (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Arythmie (Très rare)
    • Bloc auriculoventriculaire (Très rare)
    • Hypertension artérielle
    • Nausée (Très fréquent)
    • Vomissement (Très fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Constipation (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Pancréatite (Très rare)
    • Lipase sérique (augmentation) (Très rare)
    • Amylasémie (augmentation) (Très rare)
    • Hépatite (Très rare)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Acné (Fréquent)
    • Alopécie (Fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Oedème de Quincke (Très rare)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
    • Syndrome de Lyell (Très rare)
    • Erythème polymorphe (Très rare)
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (Très rare)
    • Fatigue (Très fréquent)
    • Asthénie (Fréquent)
    • Transaminases (augmentation) (Peu fréquent)
    • Phosphatases alcalines (augmentation) (Peu fréquent)
    • Idée suicidaire

    • Classement ATC : 
          N03AF02 / OXCARBAZEPINE
    • Classement Vidal : 
          Antiépileptique Neurologie (Oxcarbazépine)

    Liste II
    • CIP : 3967576 (OXCARBAZEPINE TEVA 150 mg cp pellic : Plq/50).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


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