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ALLOPURINOL PHR LAB 100 mg cp






comprimé
par 1 comprimé
allopurinol100 mg
Excipients : lactose monohydrate, amidon de maïs, sodium carboxyméthylamidon, cellulose poudre, silice colloïdale anhydre, povidone K 30, sodium laurylsulfate, magnésium stéarate.

– Traitement des hyperuricémies symptomatiques primitives ou secondaires (hémopathies, néphropathies, hyperuricémie iatrogène).

  • – Traitement de la goutte : goutte tophacée, crise de goutte récidivantes, arthropathie uratique même lorsqu’elle s’accompagne d’hyperuraturie, de lithiase urique ou d’insuffisance rénale.
  • – Traitement des hyperuricuries et hyperuraturies,
    – Traitement et prévention de la lithiase urique,
    – Prévention des récidives de lithiase calcique chez les patients hyperuricémiques ou hyperuricuriques, en complément des précautions diététiques habituelles, portant notamment sur les rations protidique et calcique.

  • POSOLOGIE :
    La posologie usuelle est de 100 à 300 mg par jour. Elle doit être déterminée en fonction de l’uricémie et de l’uraturie qui doivent être contrôlées régulièrement.
  • Il est recommandé avant la prescription de rechercher une insuffisance rénale, notamment chez le sujet âgé
    * Dans les hyperuricémies secondaires aux hémopathies malignes et à leur traitement par cytotoxique, la posologie moyenne peut s’élever, jusqu’à :
    – chez l’adulte : 10 mg/kg/jour, à répartir dans la journée ;
    – chez l’enfant : 20 mg/kg/jour.
  • * Des posologies de 300 mg peuvent être nécessaires pour certains malades hyperuricémiques et pour la prévention des récidives de lithiase calcique.
  • * Insuffisants rénaux : la posologie doit être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine.
  • . clairance de la créatinine comprise entre 80 et 100 ml/min, dose maximale préconisée : 300 mg/j,
    . clairance de la créatinine comprise entre 40 et 80 ml/min, dose maximale préconisée : 200 mg/j,
    . clairance de la créatinine comprise entre 20 et 40 ml/min, dose maximale préconisée : 100 mg/j,
    . clairance de la créatinine : Clcr < 20 ml/min, dose maximale préconisée : 100 mg/1 jour sur 2.
  • La posologie doit être ajustée de façon à maintenir l’uricémie dans la zone souhaitée.
  • – Dialyse : chez l’insuffisant rénal dialysé, la prescription d’allopurinol est généralement inutile du fait de l’épuration d’acide urique par la dialyse. Dans des cas exceptionnels où ce traitement apparaît cependant nécessaire, l’allopurinol pourra être donné à la fin des séances d’hémodialyse sans dépasser la dose de 200 mg par séance.
  • Cette spécialité existe sous forme de dosage à 200 mg et 300 mg qui peuvent être mieux adaptés.
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    Les comprimés sont à avaler tels quels avec un grand verre d’eau, après les repas.

  • Absolue(s) :
    • Enfant de moins de 6 ans
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Allaitement
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Respecter l’indication officielle
      L’hyperuricémie asymptomatique modérée (uricémie < 90 mg/l) n’est pas une indication au traitement par l’allopurinol.
    • Risque de réaction cutanée
      Les réactions cutanées peuvent être graves. Elles peuvent se manifester par des éruptions prurigineuses, érythémateuses, papuleuses, vésiculeuses ou bulleuses. De façon exceptionnelle, des éruptions cutanées graves telles que des syndromes de Lyell ou Stevens-Johnson ont été signalées.
    • Les délais d’apparition sont habituellement inférieurs à 1 mois mais peuvent être exceptionnellement longs, parfois de plusieurs années.
    • Lorsque ces effets cutanés sont graves (symptômes ou signes oculaires, buccaux ou génitaux, prurit intense, éruption profuse accompagnée de fièvre et/ou d’adénopathies, bulles ou érosions cutanées), le traitement doit être impérativement arrêté et sa reprise est contre-indiquée.
    • Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
      Les réactions cutanées peuvent être graves. Elles peuvent se manifester par des éruptions prurigineuses, érythémateuses, papuleuses, vésiculeuses ou bulleuses. De façon exceptionnelle, des éruptions cutanées graves telles que des syndromes de Lyell ou Stevens-Johnson ont été signalées.
    • Les délais d’apparition sont habituellement inférieurs à 1 mois mais peuvent être exceptionnellement longs, parfois de plusieurs années.
    • Lorsque ces effets cutanés sont graves (symptômes ou signes oculaires, buccaux ou génitaux, prurit intense, éruption profuse accompagnée de fièvre et/ou d’adénopathies, bulles ou érosions cutanées), le traitement doit être impérativement arrêté et sa reprise est contre-indiquée.
    • Risque de dermatose bulleuse
      Les réactions cutanées sont rares et peuvent être graves. Elles peuvent se manifester par des éruptions prurigineuses, érythémateuses, papuleuses, vésiculeuses ou bulleuses. De façon exceptionnelle, des éruptions cutanées graves telles que des syndromes de Lyell ou Stevens-Johnson ont été signalées.
    • Les délais d’apparition sont habituellement inférieurs à 1 mois mais peuvent être exceptionnellement longs, parfois de plusieurs années.
    • Lorsque ces effets cutanés sont graves (symptômes ou signes oculaires, buccaux ou génitaux, prurit intense, éruption profuse accompagnée de fièvre et/ou d’adénopathies, bulles ou érosions cutanées), le traitement doit être impérativement arrêté et sa reprise est contre-indiquée.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité généralisée
      Le syndrome d’hypersensibilité généralisée est rare et peut être fatal. Ce syndrome associe à divers degrés fièvre, atteinte de l’état général, éruption cutanée, polyadénopathie, atteinte hépatique (de rares cas d’hépatite granulomateuse isolée ont été signalés), atteinte de la fonction rénale, hyperéosinophilie. Il peut survenir à n’importe quel moment du traitement mais le plus souvent dans les 4 premières semaines. Il survient principalement chez les sujets chez lesquels une adaptation de la posologie à la clairance de la créatinine n’a pas été effectuée (sujets âgés et insuffisants rénaux). Il doit être recherché chez tout patient présentant un ou plusieurs des signes cités.
    • Ce syndrome impose l’arrêt du traitement et contre-indique formellement sa reprise. L’arrêt du traitement est la condition essentielle à une évolution favorable en quelques semaines.
    • Goutte aiguë, crise
      Ne jamais commencer un traitement par l’allopurinol lors d’une crise aiguë de goutte.
    • Chez les goutteux, la colchicine (1mg/24h) doit être systématiquement associée à l’allopurinol dans les deux ou trois premiers mois de traitement, afin d’éviter le déclenchement d’une crise aiguë.
    • Surveillance de l’uricémie pendant le traitement
      L’uricémie et l’uraturie des 24 heures seront vérifiées à intervalles réguliers.
    • Surveillance de l’uraturie pendant le traitement
      L’uricémie et l’uraturie des 24 heures seront vérifiées à intervalles réguliers.
    • Lesch-Nyhan, syndrome (de)
      Une diurèse abondante sera assurée afin d’éviter la survenue de lithiase xanthique.
    • Lymphome
      Une diurèse abondante sera assurée afin d’éviter la survenue de lithiase xanthique.
    • Hémopathie maligne
      Il est recommandé de corriger l’hyperuricémie ou l’hyperuraturie existante avant d’initier le traitement par les cytotoxiques.
    • Insuffisance rénale
      Une attention particulière est recommandée en raison de la fréquence accrue des effets indésirables.
    • Administrer après le repas
      Les comprimés sont à avaler tels quels avec un grand verre d’eau après les repas.
    • Administrer avec une quantité suffisante d’eau
      Les comprimés sont à avaler tels quels avec un grand verre d’eau après les repas.
    • Patient en hémodialyse
      – Dialyse : chez l’insuffisant rénal dialysé, la prescription d’allopurinol est généralement inutile du fait de l’épuration d’acide urique par la dialyse. Dans des cas exceptionnels où ce traitement apparaît cependant nécessaire, l’allopurinol pourra être donné à la fin des séances d’hémodialyse sans dépasser la dose de 200 mg par séance.
    • Cette spécialité existe sous forme de dosage à 100 mg qui peut être mieux adapté.
    • Surveillance de la fonction rénale avant la mise en route du traitement
      Il est recommandé avant la prescription de rechercher une insuffisance rénale, notamment chez le sujet âgé
    • Sujet âgé
      Il est recommandé avant la prescription de rechercher une insuffisance rénale, notamment chez le sujet âgé.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène dans une espèce et à doses élevées.
  • Il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de l’allopurinol lorsqu’il est administré en cours de grossesse.
  • Une élévation de l’acide urique est fréquemment observée au cours des toxémies gravidiques mais ne nécessite pas de traitement spécifique.
  • En conséquence, l’utilisation de l’allopurinol est déconseillée pendant la grossesse. Cet élément ne constitue pas l’argument systématique pour conseiller une interruption de grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale orientée.
  •  Allaitement :

    Ce médicament passe en quantité non négligeable dans le lait maternel, il est donc contre-indiqué en cas d’allaitement.

    Prévenir les patients de la survenue possible de vertiges.

    • Thrombopénie (Rare)
      Insuffisance rénale.
    • Agranulocytose (Rare)
      Insuffisance rénale.
    • Leucopénie (Rare)
      Insuffisance rénale.
    • Anémie (Rare)
      Insuffisance rénale.
    • Pancytopénie (Rare)
      Insuffisance rénale.
    • Aplasie médullaire (Très rare)
      Insuffisance rénale.
    • Syndrome d’hypersensibilité (Peu fréquent)
    • Choc anaphylactique (Très rare)
    • Lymphadénopathie (Très rare)
    • Neuropathie périphérique (Très rare)
    • Céphalée (Très rare)
    • Vertige (Très rare)
    • Douleur épigastrique (Peu fréquent)
    • Nausée (Peu fréquent)
    • Diarrhée (Peu fréquent)
    • Vomissement (Peu fréquent)
    • Stomatite (Très rare)
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Peu fréquent)
    • Hépatite (Peu fréquent)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Eruption prurigineuse (Fréquent)
    • Erythème cutané (Fréquent)
    • Eruption maculopapuleuse (Fréquent)
    • Dermatose bulleuse (Fréquent)
    • Syndrome de Lyell (Rare)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Rare)
    • Erythème pigmenté fixe (Très rare)
    • Alopécie (Très rare)
    • Crise de goutte
      Debut de traitement.
    • Gynécomastie (Très rare)
    • Fièvre (Rare)

    • Classement ATC : 
          M04AA01 / ALLOPURINOL
    • Classement Vidal : 
          Inhibiteurs de l’uricosynthèse : allopurinol

    Liste I
    • CIP : 4985599 (ALLOPURINOL PHR LAB 100 mg cp : Plq/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    PHR LAB


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