FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
Gélule : | p gélule |
Tramadol (DCI) chlorhydrate | 50 mg |
Solution buvable : | p flacon |
Tramadol (DCI) chlorhydrate | 1 g |
Teneur en sodium : 0,0425 mg/goutte.
Solution injectable : | p ampoule |
Tramadol (DCI) chlorhydrate | 100 mg |
INDICATIONS |
- Gélule :
- Traitement des douleurs modérées à intenses de l’adulte.
- Solution buvable :
- Traitement des douleurs modérées à intenses.
- Solution injectable :
- Traitement des douleurs modérées à intenses de l’adulte, notamment douleurs postchirurgicales.
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION |
Comme pour tous les médicaments antalgiques, la posologie du tramadol doit être adaptée à l’intensité de la douleur et à la réponse clinique de chaque patient.
- Gélule :
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- Douleurs aiguës :
- La dose d’attaque est de 100 mg (2 gélules) suivie de 50 ou 100 mg (1 ou 2 gélules) toutes les 4 à 6 heures sans dépasser 400 mg/24 h (8 gélules).
- Coût du traitement journalier : 0,18 à 1,44 euro(s).
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- Douleurs chroniques :
- La dose d’attaque est de 50 ou 100 mg (1 ou 2 gélules) suivie de 50 ou 100 mg (1 ou 2 gélules) toutes les 4 à 6 heures sans dépasser 400 mg/24 h (8 gélules).
- Coût du traitement journalier : 0,18 à 1,44 euro(s).
- Solution buvable :
- Voie orale.
- Réservé à l’enfant à partir de 3 ans et à l’adolescent.
- La dose antalgique efficace la plus faible doit être recherchée.
- La posologie habituelle est de 1 mg/kg à 2 mg/kg par prise, 3 à 4 fois par jour, soit, pour 10 kg, 4 à 8 gouttes par prise.
- Une dose maximale de 8 mg/kg par jour doit être respectée. Une goutte contient 2,5 mg de chlorhydrate de tramadol (sachant que 1 ml = 100 mg = 40 gouttes).
- A titre indicatif, les posologies habituelles sont les suivantes :
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Poids (âge approximatif) Nb gouttes par prise 1 mg/kg 2 mg/kg 15 kg (env 3 ans) 6 gouttes 12 gouttes 20 kg (env 6 ans) 8 gouttes 16 gouttes 30 kg (env 9 ans) 12 gouttes 24 gouttes 45 kg (env 12 ans) 18 gouttes 36 gouttes 50 kg (env 15 ans) 20 gouttes 40 gouttes - Ne pas dépasser 100 mg par prise et 400 mg par jour même si le poids est supérieur à 50 kg.
- Solution injectable :
- Voie intraveineuse.
- Le tramadol peut être injecté par voie intraveineuse lente (2-3 minutes) ou encore mis en solution pour administration par perfusion ou par un dispositif d’analgésie contrôlée par le patient.
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- Dans le cadre de douleurs intenses :
- Administrer une dose d’attaque de 100 mg. Au cours de la première heure après la dose d’attaque, des doses complémentaires de 50 mg peuvent être administrées toutes les 10-20 minutes sans dépasser une dose totale de 250 mg (en comptant la dose d’attaque). Ultérieurement, administrer 50 ou 100 mg toutes les 4-6 heures sans dépasser une dose totale quotidienne de 600 mg.
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- En cas de douleurs modérées :
- Administrer 50 ou 100 mg durant la 1re heure.
- Chez le sujet âgé de plus de 75 ans (gélule et solution injectable) :
- Il est recommandé d’augmenter l’intervalle entre les doses (soit toutes les 9 heures pour la gélule).
- En cas d’insuffisance hépatique :
- Réduire la dose unitaire de moitié ou augmenter de 2 fois l’intervalle entre les doses (toutes les 12 heures).
- En cas d’insuffisance rénale :
- Augmenter de 2 fois l’intervalle entre les doses (toutes les 12 heures pour une clairance de la créatinine < 30 ml/min).
- Éviter d’utiliser le tramadol si la clairance de la créatinine est < 10 ml/min.
Mode d’administration :
- Solution buvable :
- A prendre avec un peu de liquide (eau, lait, jus de fruit…) ou sur un morceau de sucre.
CONTRE-INDICATIONS |
- Hypersensibilité connue au tramadol, aux opiacés ou à l’un des constituants du produit.
- Intoxication aiguë ou surdosage avec des produits dépresseurs du système nerveux central (alcool, hypnotiques, autres analgésiques).
- Insuffisance respiratoire sévère.
- Insuffisance hépatocellulaire sévère.
- Enfant de moins de 3 ans (solution buvable).
- Enfant de moins de 15 ans (gélule et solution injectable).
- Allaitement si un traitement au long cours est nécessaire (cf Grossesse/Allaitement).
- Épilepsie non contrôlée par un traitement (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- Association avec les IMAO non sélectifs (iproniazide), IMAO sélectifs A (moclobémide, toloxatone), IMAO sélectifs B (sélégiline), au linézolide (cf Interactions).
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI |
Mises en garde :
- L’utilisation prolongée peut éventuellement conduire à un état de dépendance. Chez les patients prédisposés, le traitement doit se faire sous surveillance médicale stricte.
- Le tramadol n’est pas adapté au traitement de sevrage ou de substitution chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu’agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine.
- Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg pour la gélule ; 8 mg/kg/jour sans dépasser 400 mg par jour pour la solution buvable ; 600 mg pour la solution injectable). Le tramadol peut, en outre, accroître le risque de convulsions chez les patients prenant d’autres produits qui abaissent le seuil épileptogène (cf Interactions). Les patients épileptiques contrôlés ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par le tramadol qu’en cas de nécessité absolue.
- La prise d’alcool pendant le traitement est déconseillée.
- Solution buvable :
- L’entourage de l’enfant devra être informé que cette solution buvable doit être mise hors de portée des enfants (sous clé) afin d’éviter un surdosage accidentel très grave (cf Surdosage).
- Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.
- Ce médicament contient de l’huile de ricin et peut provoquer des troubles digestifs (effet laxatif léger, diarrhée).
- Le tramadol ne doit être utilisé qu’après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque, suivant l’origine de la douleur et le profil du patient (cf Sécurité préclinique).
- Le tramadol doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant une hypertension intracrânienne, un traumatisme crânien, une altération de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre ou de la fonction respiratoire.
- Solution buvable :
- Tenir compte de la teneur en sodium de ce médicament chez les personnes suivant un régime hyposodé strict (cf Composition).
INTERACTIONS |
- IMAO non sélectifs (iproniazide) : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma. En cas de traitement récent par les IMAO, respecter un délai de 15 jours avant la mise en route d’un traitement par tramadol.
- IMAO sélectifs A (moclobémide, toloxatone) : par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs, risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
- IMAO sélectifs B (sélégiline) : manifestations d’excitation centrale évoquant un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
- Linézolide (par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs) : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
Déconseillées :
- Agonistes-antagonistes morphiniques (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine) : diminution de l’effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d’apparition d’un syndrome de sevrage.
- Alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif des analgésiques morphiniques. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
- Carbamazépine : risque de diminution des concentrations plasmatiques de tramadol.
- Naltrexone : risque de diminution de l’effet antalgique. Si nécessaire, augmenter les doses du dérivé morphinique.
A prendre en compte :
- Autres analgésiques morphiniques agonistes, antitussifs morphine-like (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine), antitussifs morphiniques vrais (codéine, éthylmorphine) : risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Benzodiazépines : risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Barbituriques : risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage.
- Autres médicaments sédatifs : autres analgésiques morphiniques, barbituriques, benzodiazépines, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), antihistaminiques H1 sédatifs, anxiolytiques autres que benzodiazépines (méprobamate), hypnotiques, neuroleptiques, antihypertenseurs centraux, thalidomide, baclofène : majoration de la dépression centrale. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
- Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (citalopram, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline) : risque d’apparition de convulsions et/ou d’un syndrome sérotoninergique.
- Venlafaxine : risque d’apparition de convulsions et/ou d’un syndrome sérotoninergique.
- Médicaments abaissant le seuil épileptogène, notamment les antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénone), la méfloquine, le bupropion : risque accru de convulsions.
GROSSESSE et ALLAITEMENT |
Dans l’espèce humaine, il n’existe pas de données suffisantes pour évaluer l’effet tératogène du tramadol au cours du 1er trimestre de la grossesse. Une foetotoxicité due à une toxicité maternelle a été observée.
Il est préférable de ne pas utiliser Topalgic pendant le 1er trimestre de la grossesse. A partir du 2e trimestre, une utilisation prudente est ponctuellement possible.
- Comme pour les autres antalgiques opiacés :
- Durant le dernier trimestre, l’utilisation chronique du tramadol peut induire, quelle que soit la dose, un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. A la fin de la grossesse, des doses élevées, même pour un traitement de courte durée, peuvent entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
Allaitement :
Environ 0,1 % de la dose de tramadol administrée à la mère est sécrétée dans le lait. Une administration ponctuelle de tramadol semble être sûre pour le nouveau-né. Si un traitement est nécessaire pendant plusieurs jours, l’allaitement doit être interrompu. En cas de traitement au long cours par tramadol, l’allaitement est contre-indiqué (cf Contre-indications).
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
- troubles neuropsychiques (en fonction de la réactivité individuelle et principalement chez les personnes âgées) à type de confusion et, exceptionnellement, à type d’hallucination et/ou délire ;
- convulsions, principalement après l’administration de doses élevées ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil épileptogène ou qui déclenchent eux-mêmes des convulsions (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- nausées, vomissements ;
- somnolence, céphalées, vertiges, hypersudation, sensation de malaise ;
- sécheresse buccale ;
- constipation en cas de prise prolongée.
- douleurs abdominales, rash, asthénie, euphorie, troubles mineurs de la vision ;
- troubles de la régulation cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, palpitations, élévation de la pression artérielle.
- réaction anaphylactique à type d’urticaire, d’oedème de Quincke, de bronchospasme ainsi que des cas exceptionnels de choc anaphylactique pouvant être fatal ;
- troubles mictionnels à type de dysurie et/ou de rétention urinaire ;
- troubles de la fréquence respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir si les doses administrées dépassent largement les doses recommandées ou si d’autres médicaments dépresseurs centraux sont administrés de façon concomitante ;
- cas de dépendance, de syndrome de sevrage après utilisation au long cours, comportant des symptômes tels que : agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
- D’autres symptômes de sevrage ont été rarement rapportés, incluant attaque de panique, anxiété sévère, hallucinations, paresthésies, acouphènes, autres troubles du SNC.
SURDOSAGE |
Le diazépam peut être utilisé en cas de convulsions.
Le tramadol est peu ou pas dialysable.
- Solution buvable :
- Attention, le flacon contenant une dose totale de 1 g de chlorhydrate de tramadol, l’ingestion accidentelle d’une quantité importante du flacon représente un risque grave pour le jeune enfant.
PHARMACODYNAMIE |
Autres opioïdes (code ATC : N02AX02).
Le tramadol est un analgésique central dont l’efficacité est due à la synergie, aux doses thérapeutiques :- d’un effet opioïde dû à la fixation sur les récepteurs opioïdes de type µ ;
- d’un effet monoaminergique central dû à une inhibition du recaptage de la noradrénaline et de la sérotonine, mécanisme impliqué dans le contrôle de la transmission nociceptive centrale.
Comme les autres produits de cette classe, le tramadol possède des propriétés antitussives. Les effets sur le tractus gastro-intestinal sont faibles aux doses thérapeutiques. Les effets dépresseurs respiratoires du tramadol sont moindres que ceux de la morphine. Les études réalisées chez l’animal ont montré un potentiel de dépendance réduit par rapport à celui de la morphine, et un potentiel de tolérance très faible.
PHARMACOCINÉTIQUE |
- Chez l’enfant :
- Des études de pharmacocinétique chez l’enfant ont montré que les propriétés pharmacocinétiques du tramadol chez l’enfant sont très proches de celles de l’adulte.
- Chez l’adulte :
-
- Gélule et solution buvable :
Après administration orale unique d’une dose de 50 à 100 mg, la biodisponibilité est comprise entre 70 et 90 %. - Après administration orale, répétée toutes les 6 heures, de 50 à 100 mg, l’état d’équilibre est rapidement atteint en 36 heures environ et la biodisponibilité augmente, dépassant 90 %.
Le pic sérique après administration orale de 100 mg de tramadol est d’environ 300 ng/ml (Cmax) et est atteint après environ 2 heures (Tmax).
- Solution injectable : après administration intraveineuse, la décroissance des concentrations plasmatiques suit une phase initiale de distribution brève puis une phase de distribution plus lente dans les tissus appartenant au compartiment périphérique. Une heure après injection de 100 mg de tramadol, les concentrations sériques se situent entre 400 et 500 ng/ml.
- Pour toutes les formes :
La liaison aux protéines plasmatiques est de 20 %, et le volume de distribution est important (3 à 4 l/kg).
Le tramadol traverse la barrière placentaire et passe en très faible quantité dans le lait maternel (environ 0,1 % de la dose maternelle administrée). - La demi-vie d’élimination est comprise entre 5 et 7 heures chez le volontaire sain ; 90 % du tramadol est métabolisé, principalement au niveau du foie ; un des métabolites déméthylés possède un effet analgésique ; sa demi-vie est du même ordre que celle du tramadol.
- Le tramadol et ses métabolites sont presque totalement excrétés par voie rénale (95%). Le reste est éliminé dans les fèces.
- La pharmacocinétique du tramadol n’est que très peu modifiée par l’âge du patient ; chez le sujet âgé de plus de 75 ans, la demi-vie est légèrement augmentée.
Chez l’insuffisant rénal, la clairance du tramadol est diminuée parallèlement à la clairance de la créatinine ; la demi-vie est en moyenne de 12 heures. - Chez l’insuffisant hépatique, la clairance du tramadol est diminuée, en fonction de la sévérité de l’insuffisance hépatique.
- Gélule et solution buvable :
SÉCURITE PRÉCLINIQUE |
Chez l’animal, les signes d’intoxication qui apparaissent après administration répétée à doses élevées sont compatibles avec une intoxication morphinique.
Certains des tests de mutagénicité in vitro conduits avec le tramadol se sont avérés positifs. Toutefois, les essais in vivo chez la souris, le rat et le hamster chinois au niveau de la moelle osseuse et des cellules germinales ont permis d’exclure un potentiel mutagène in vivo du tramadol.
Les études de reproduction ont mis en évidence une élévation du taux de mortalité néonatale et un retard du développement de certains organes pour des doses très supérieures à celles utilisées en clinique.
INCOMPATIBILITÉS |
- diclofénac,
- indométacine,
- diazépam,
- piroxicam,
- phénylbutazone,
- acétylsalicylate de lysine.
Il conviendra d’en tenir compte lors de perfusion chez des patients polymédicamentés.
CONDITIONS DE CONSERVATION |
- Solution buvable :
- A conserver à une température ne dépassant pas + 25 °C.
MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION |
- Solution buvable :
- Le flacon compte-gouttes est pourvu d’une fermeture à vis avec sécurité enfant. Pour ouvrir, il faut dévisser le bouchon en exerçant une forte pression vers le bas. Pour la prise, tenir le flacon vertical jusqu’à ce que les gouttes tombent. Revisser fermement le bouchon après usage.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
Solution injectable : | |
Médicament soumis à prescription initiale hospitalière semestrielle. Renouvellement non restreint. | |
Médicament pouvant être administré par tout médecin intervenant en situation d’urgence ou dans le cadre d’une structure d’assistance médicale mobile ou de rapatriement sanitaire (article R.5121-96 du code de la Santé publique). | |
AMM | 3400933911881 (1995 rév 25.04.2006) 30 gélules. |
3400955887881 (1995 rév 25.04.2006) 100 gélules. | |
3400936206779 (2003 rév 25.04.2006) sol buv. | |
3400955888192 (1995 rév 25.04.2006) sol inj. |
Prix : | 5.35 euros (30 gélules). |
5.93 euros (flacon de 10 ml de sol buv). | |
Remb Séc soc à 65 %. Collect. | |
Remb Séc soc à 65 % sur la base du TFR : 5.35 euros (30 gélules). | |
Modèle hospitalier (gélule) et sol inj : Collect. |
sanofi-aventis France
1-13, bd Romain-Rolland. 75014 Paris
Info médic et pharmacovigilance :
Tél (n° Vert) : 08 00 39 40 00
Fax : 01 57 62 06 62
Liste Des Sections Les Plus Importantes :
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