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ADREVIEW (123l)®

iobenguane

FORMES et PRÉSENTATIONS

Solution injectable (claire incolore) :  1 ml en flacon unidose dans un conteneur blindé.


  • COMPOSITION

     p 1 ml
    Iobenguane (123l) (DCI) 
    74 MBq/ml*
    (sous forme de m-iodobenzylguanidine sulfate : 0,15 mg/ml)

    *  à la date et à l’heure de calibration.
  • Excipients : alcool benzylique, m-iodobenzylguanidine sulfate, dihydrogénophosphate monosodique dihydraté, hydrogénophosphate disodique dihydraté, eau pour préparation injectable.
  • Ne contient pas de conservateur antimicrobien.

    Activité spécifique varie de 0,46 à 4,6 GBq/mg.

    Le pH de la solution est compris entre 5,0-6,5.

    La pureté radionucléidique est d’au moins 99,95 % (123l) à la date de calibration.

    Les principales impuretés, 125l et 121Te, représentent moins de 0,05 %.

    La pureté radiochimique est supérieure à 97 % en iobenguane (123l) et l’impureté principale l’iodure (123l) représente moins de 3 %.

    Teneur en alcool benzylique : 10,4 mg/ml.


    INDICATIONS

    Ce médicament est à usage diagnostique uniquement.
  • Oncologie :
    • Scintigraphie des tumeurs des tissus dérivés de la crête neurale embryonnaire, telles que les phéochromocytomes, les paragangliomes, les chémodectomes et les neurogangliomes.
    • Détection, classification et suivi après traitement des neuroblastomes.
    • Évaluation de la captation de l’iobenguane lorsqu’une utilisation thérapeutique est envisagée.
    • Recherche d’une hyperplasie médullosurrénalienne.
    Cardiologie (appréciation de l’innervation sympathique du myocarde) :
    Adultes : Adreview est un médicament radiopharmaceutique indiqué pour l’appréciation de l’innervation sympathique du myocarde en tant qu’indicateur pronostique du risque de progression de l’insuffisance cardiaque symptomatique, des événements arythmiques potentiellement mortels, ou du décès d’origine cardiaque chez les patients insuffisants cardiaques en classe II ou III de la classification NYHA et en dysfonctionnement ventriculaire gauche.

    POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Oncologie :
    Chez l’enfant, la solution injectable d’iobenguane (123l) sera administrée en oncologie aux doses suivantes :
    Poids en kgActivité en MBqPoids en kgActivité en MBq
    38036224
    48038236
    68040248
    88042256
    108044268
    128846280
    1410048288
    1611250300
    1812452316
    2013654316
    2214856336
    2416058336
    2617260356
    2818062356
    3019264376
    3220466376
    3421668392
    EANM Dosage card Version 1.5.2008.
    • Chez l’adulte, l’activité recommandée en oncologie est de 200 à 400 MBq mais des activités plus élevées peuvent s’avérer nécessaires.
    • Chez la personne âgée : il n’y a pas lieu d’adapter l’activité administrée.
    Méthode d’administration :
    L’iobenguane (123l) est administrée par injection intraveineuse lente sur plusieurs minutes. Instructions pour la préparation des radiopharmaceutiques : cf Modalités de manipulation et d’élimination.
    Acquisition des images :
    Tumeurs des tissus dérives de la crête neurale.
    Les scintigraphies du corps entier et/ou des images centrées sur les organes cibles, et/ou des images tomoscintigraphiques (SPECT) peuvent être réalisées 24 heures après l’administration de l’iobenguane (123l) et éventuellement répétées à 48 heures.
    Cardiologie :
    Posologie :
    • Chez l’adulte, l’activité recommandée pour l’innervation sympathique du myocarde est de 200 à 400 MBq.
    • Chez la personne âgée : il n’y a pas lieu d’adapter l’activité administrée.
    Méthode d’administration :
    Cf Oncologie supra.
    Acquisition des images :
    Appréciation de l’innervation sympathique du myocarde.
    Les scintigraphies planaires du thorax peuvent être réalisées à 15 minutes ± 5 et à 4 heures ± 0,5 après l’administration d’Adreview suivies si nécessaire d’images SPECT.

    CONTRE-INDICATIONS

    • Hypersensibilité connue au principe actif ou à l’un des excipients.
    • En raison de la présence d’alcool benzylique, ce médicament est contre-indiqué chez les prématurés et nouveau-nés à terme.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    Les médicaments radiopharmaceutiques ne peuvent être manipulés que par des personnes qualifiées ayant reçu des autorités compétentes l’autorisation d’utilisation des radioéléments. La réception, l’utilisation et l’administration des radiopharmaceutiques ne peuvent être effectuées que par des personnes autorisées dans des locaux spécialement équipés et habilités. La réception, le stockage, l’utilisation, le transfert et l’élimination sont soumis à la réglementation en vigueur et aux autorisations appropriées des autorités nationales ou locales compétentes.
  • Les médicaments radiopharmaceutiques doivent être préparés de manière à satisfaire à la fois aux normes de radioprotection et de qualité pharmaceutique. Toutes les précautions appropriées d’asepsie doivent être prises afin de satisfaire aux exigences des Bonnes Pratiques de fabrication pharmaceutique.
    • Les traitements avec des médicaments connus pour leurs effets inhibiteurs sur la captation (cf Interactions) de l’iobenguane (123l) doivent être interrompus avant l’examen avec Adreview (habituellement pendant 4 périodes biologiques).
    • Selon l’examen envisagé avec l'(123l) iobenguane, il est nécessaire de consulter le médecin traitant du patient pour savoir quels sont les traitements à interrompre avant l’examen. Pour plus d’information, cf Interactions.
    • Avant d’administrer Adreview, le blocage de la fixation thyroïdienne de l’iode-123 doit être obtenu par administration d’iodure de potassium en solution pour voie orale ou d’une solution de Lugol (quantité équivalente à 100 mg d’iode pour un adulte, ajustée en fonction de la masse corporelle chez l’enfant) ou de perchlorate de potassium (400 mg pour un adulte, ajustée en fonction de la masse corporelle chez l’enfant). Ce traitement est à poursuivre durant au moins 3 jours après administration d’Adreview.
    • La captation de l’iobenguane par les granules chromaffines peut, en théorie, provoquer une sécrétion rapide de noradrénaline, provoquant une poussée hypertensive. Le patient doit donc être gardé sous surveillance constante lors de l’administration.
    • L’iobenguane (123l) doit être administré lentement, sur plusieurs minutes, par voie intraveineuse.
    Ce médicament contient 10,4 mg/ml d’alcool benzylique. Il peut provoquer des réactions toxiques et des réactions allergiques chez les nourrissons et les enfants jusqu’à 3 ans.
  • Ce médicament contient 0,18 mmol (4,23 mg) de sodium/ml. Cette quantité est inférieure à 1 mmol pour une administration de 400 MBq à l’heure de calibration qui peut être considérée comme pratiquement « sans sodium ».

  • INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses :
    Les médicaments suivants sont susceptibles de prolonger ou réduire la captation de l’iobenguane.
  • La nifédipine (inhibiteur calcique) prolonge la rétention de l’iobenguane.
  • Une captation réduite est observée lors de l’administration thérapeutique des produits antihypertenseurs qui diminuent la réserve de noradrénaline ou sa recapture (réserpine, labetalol), les inhibiteurs calciques (diltiazem, nifédipine, vérapamil), les antidépresseurs tricycliques qui inhibent les transporteurs de la noradrénaline (amitriptyline, imipramine et leurs dérivés, maprotiline, réboxétine, atomoxétine, amoxapine, miansérine, mirtazapine, setiptiline, bupropion, duloxétine, venlafaxine, desvenlafaxine, milnacipran, sibutramine, tramadol), les agents sympathomimétiques (présents dans les décongestionnants nasaux, tels que phényléphrine, éphédrine, pseudoéphédrine ou phénylpropranolamine), la méthamphétamine, les phénothiazines et le modafinil.
  • L’administration de ces médicaments doit être interrompue (habituellement quatre périodes biologiques) avant l’administration de l’iobenguane (123l).

  • GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :

    Avant d’administrer un médicament radiopharmaceutique à une femme en âge de procréer, il est nécessaire de vérifier que celle-ci n’est pas enceinte. Tout retard de règles doit laisser supposer l’éventualité d’une grossesse jusqu’à preuve du contraire. Dans l’incertitude, il est important de limiter l’exposition aux rayonnements au minimum compatible avec l’obtention de l’information clinique recherchée. L’utilisation de techniques de remplacement n’utilisant pas de radiations ionisantes doit être envisagée.

    Les radioéléments utilisés chez la femme enceinte délivrent également des doses de radiations au foetus. Pendant la grossesse, seuls des examens dont le bénéfice potentiel est supérieur au risque encouru par la mère et le foetus doivent être pratiqués.


    Allaitement :

    Avant d’administrer un médicament radiopharmaceutique à une femme souhaitant poursuivre l’allaitement maternel, il convient d’estimer, si cela est raisonnablement possible, si cet examen peut être différé jusqu’à la fin de l’allaitement. Sinon, il convient de tenir compte de l’activité susceptible de passer dans le lait maternel pour choisir le médicament radiopharmaceutique le plus approprié.

    Si l’administration d’iobenguane (123l) est indispensable, l’allaitement doit être suspendu pendant au moins trois jours et le lait produit pendant cette période doit être éliminé.

    L’allaitement peut être repris lorsque l’activité dans le lait ne risque pas d’entraîner une dose de radiations pour l’enfant supérieure à 1 mSv.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    Dans quelques rares cas, des effets secondaires peuvent être observés : rougeur, urticaire, nausées, frissons et autres symptômes de réactions anaphylactiques.
    Si le produit est administré trop rapidement, on peut observer des palpitations, une dyspnée, des bouffées de chaleur, une hypertension transitoire et des crampes abdominales, pendant ou immédiatement après l’injection. Ces symptômes disparaissent dans l’heure qui suit leur apparition.
  • Pour chaque patient, l’exposition aux radiations ionisantes doit être justifiée par le bénéfice attendu. L’activité administrée doit correspondre à la plus faible dose de radiations possible compatible avec l’obtention de l’information diagnostique escomptée. L’exposition aux radiations ionisantes peut théoriquement induire des cancers et/ou des anomalies héréditaires. Dans le cas d’examen de médecine nucléaire à visée diagnostique, il est généralement considéré que la fréquence de ces risques est négligeable du fait des faibles doses de radiations délivrées.
  • La plupart des examens de médecine nucléaire délivrent une dose efficace inférieure à 20 mSv. Des doses plus élevées peuvent être justifiées dans certains cas.

  • SURDOSAGE

    Un surdosage est potentiellement impossible. Cependant, un surdosage en iobenguane entraîne la libération d’adrénaline. Cet effet de courte durée exige la mise en route d’un traitement destiné à faire baisser la tension artérielle tel que l’injection rapide d’un agent bloquant alpha-adrénergique à action rapide (phentolamine) suivie de l’administration d’un bêtabloquant (propranolol). Le rein étant l’organe principal d’élimination, l’élimination du radionucléide peut être augmentée par une diurèse forcée avec mictions fréquentes.

  • PHARMACODYNAMIE

    Produit radiopharmaceutique à usage diagnostique (code ATC : V09IX01).

    L’iobenguane (123l) est une aralkylguanidine radio-iodée. Elle est constituée d’un groupe guanidine de la guanéthidine, lié à un radical benzyle dans lequel l’iode a été introduit.

    Comme la guanéthidine, les aralkylguanidines sont des agents adrénergiques neurobloquants. En raison d’une ressemblance fonctionnelle entre les neurones adrénergiques et les cellules chromaffines de la partie médullaire des glandes surrénales, l’iobenguane se fixe de façon préférentielle sur ces structures. Elle peut également se localiser dans le myocarde.

    Parmi toutes les aralkylguanidines, l’iobenguane est préférée pour sa plus faible captation hépatique et sa meilleure stabilité in vivo, et donc une moindre captation thyroïdienne de l’iode libéré. Le transport de l’iobenguane au travers des membranes cellulaires de cellules dérivées de la crête neurale, est un processus actif, lorsque la concentration du produit est basse (cas des examens diagnostiques). Le mécanisme de captation peut être inhibé par la prise d’inhibiteurs tels que la cocaïne ou la desméthylimipramine.

    Après captation, un mécanisme de transfert actif concentre l’iobenguane intracellulaire vers les granules de stockage.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    La captation initiale est importante dans le foie (33 % de la dose administrée) et bien moindre dans les poumons (3 %), le myocarde (0,8 %), la rate (0,6 %) et les glandes salivaires (0,4 %). La captation dans les glandes surrénales normales (médullosurrénale) est si faible qu’elle ne peut être visualisée au moyen de l’iobenguane (123l). Les surrénales hyperplasiques par contre ont une captation élevée.

    L’iobenguane est en grande partie éliminée telle quelle par les reins. 70 à 90 % des doses administrées sont éliminées dans les urines dans les 4 premiers jours. Les métabolites suivants peuvent être retrouvés dans les urines : iode-123, acide (123l)-méta-iodohippurique, (123l)-hydroxy-iodobenzylguanidine et acide (123l)-méta-iodobenzoïque. L’ensemble de ces substances représente environ 5 à 15 % de la dose administrée.


    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Chez le chien, une dose de 20 mg/kg est létale. Des doses plus faibles (14 mg/kg) provoquent des signes cliniques transitoires de toxicité.

    L’administration réitérée chez le chien de doses de 2,5 à 10 mg/kg induit des effets cliniques tels qu’une augmentation de la pression artérielle, des troubles du rythme et de la conduction cardiaques, mais aussi d’autres signes transitoires.

    Chez le rat, l’administration intraveineuse réitérée de doses de 20 à 40 mg/kg induit des signes cliniques de toxicité sévère.

    De même, l’administration intraveineuse réitérée de doses de 5 à 20 mg/kg induit des effets toxiques dont une détresse respiratoire ; à long terme, les effets se limitent à une légère augmentation de poids du foie et du coeur.

    Aucun effet mutagène n’a été observé au cours des essais sur les systèmes testés.

    Aucune étude sur le potentiel carcinogène de l’iobenguane n’a été publiée à ce jour.


    DOSIMÉTRIE

    L’iode-123 (numéro atomique 53 ; nombre de masse 123), dont la période est de 13,2 heures, décroît en tellure-123 stable par capture électronique et émission de photons gamma d’énergie 159 keV (83,6 %).

    Selon les publications n° 80 de la CIPR (Commission internationale pour la protection radiologique), les doses de radiation absorbées par les patients sont les suivantes :

    [La liste comprend uniquement les organes utilisés pour calculer la dose efficace (corps entier) : sept organes standards et cinq présentant les plus hautes doses absorbées (marqués d’une astérisque dans le tableau suivant).]


    OrganeDose absorbée par unité d’activité administrée (mGy/MBq)
    Adulte15 ans10 ans5 ans1 an
    *Foie7,1.10-28,9.10-21,3.10-11,9.10-13,4.10-1
    *Paroi vésicale7,0.10-28,7.10-21,3.10-11,9.10-13,5.10-1
    *Rate2,0.10-22,8.10-24,3.10-26,6.10-21,2.10-1
    *Glandes salivaires1,7.10-22,2.10-23,1.10-24,5.10-27,2.10-2
    Poumons1,6.10-22,3.10-23,2.10-24,8.10-29,1.10-2
    *Reins1,4.10-21,7.10-22,5.10-23,6.10-20,6.10-1
    Surrénales1,1.10-21,5.10-22,2.10-23,1.10-25,1.10-2
    Moelle osseuse9,2.10-31,2.10-21,7.10-22,5.10-24,5.10-2
    Ovaires8,0.10-30,1.10-11,6.10-22,6.10-24,7.10-2
    Surfaces osseuses7,6.10-39,3.10-31,5.10-22,3.10-24,5.10-2
    Seins6,2.10-36,2.10-39,8.10-31,6.10-20,3.10-1
    Testicules5,4.10-37,3.10-31,2.10-20,2.10-13,8.10-2
    Thyroïde4,2.10-36,2.10-31,0.10-11,7.10-13,1.10-1
    Dose efficace (mSv/MBq)1,6.10-22,0.10-23,1.10-24,6.10-28,5.10-2

    La dose efficace après l’administration d’une activité de 200 MBq est de 3,2 mSv pour un adulte.

    Les données ci-dessus sont valables pour un profil pharmacocinétique normal.

    Lorsque la fonction rénale est altérée, la dose efficace et la dose de radiations délivrée aux organes peuvent être accrues.


    INCOMPATIBILITÉS

    En l’absence d’études d’incompatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.


    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    60 heures à partir de la date de fabrication.

    A conserver à une température ne dépassant pas + 25 °C. Ne pas congeler. Après ouverture du flacon, la solution doit être conservée entre + 2° et + 8 °C et utilisée dans les 8 heures. Le flacon doit être conservé dans son conteneur blindé d’origine ou protégé par un blindage équivalent.

    La conservation du produit doit se faire en accord avec les législations nationales concernant les produits radioactifs.


    MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

    Solution injectable intraveineuse prête à l’emploi.

    Il est nécessaire d’observer, d’une part les précautions de sécurité usuelles pour la manipulation de produits radioactifs et, d’autre part, de se conformer aux règles d’asepsie afin de maintenir stérile le contenu du flacon. En particulier, conserver le flacon dans son conteneur blindé d’origine ou le placer dans un récipient blindé équivalent et essuyer le bouchon de caoutchouc avec un tampon antiseptique avant de prélever une dose.

    Ne contient pas de conservateur antimicrobien. Après prélèvement d’une dose, la solution doit être conservée entre +2° et +8°C et utilisée dans les 8 heures.

    L’administration de produits radiopharmaceutiques présente des risques pour l’entourage du patient en raison de l’irradiation externe ou de la contamination par les urines, les vomissements, les expectorations. Par conséquent, il faut prendre les mesures de protection contre les radiations conformément aux réglementations nationales.

    La réception, l’utilisation et l’administration des radiopharmaceutiques ne peuvent être effectuées que par des personnes autorisées dans des locaux spécialement équipés et habilités. La réception, le stockage, l’utilisation, le transfert et l’élimination sont soumis à la réglementation en vigueur et aux autorisations appropriées des autorités nationales ou locales compétentes.

    L’élimination des déchets doit se faire en accord avec les réglementations nationales et internationales.

    Le stockage doit être effectué conformément à la réglementation nationale relative aux produits radioactifs.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    Médicament réservé à l’usage hospitalier.
    Les produits radiopharmaceutiques ne doivent être utilisés que par des personnes qualifiées. Ils ne peuvent être délivrés qu’à des praticiens ayant obtenu l’autorisation spéciale prévue à l’article R. 1333-24 de la Santé publique.
    AMM3400956445936 (2005, RCP rév 04.01.2010).

    Collect.


    GE HEALTHCARE SA
    11, av Morane-Saulnier
    78140 Velizy-Villacoublay
    Tél : 01 34 49 54 54

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