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ITRACONAZOLE MYLAN 100 mg gél






gélule
par 1 gélule
itraconazole100 mg
Excipients : saccharose, hypromellose, silice colloïdale hydratée, sorbitan stéarate, gélatine, titane dioxyde, fer rouge oxyde.

— Mycoses superficielles :
– Kératites fongiques, notamment à aspergillus.

  • – Pityriasis versicolor, dermatophyties cutanées : lorsque ces infections ne peuvent être traitées localement du fait de l’étendue des lésions ou de la résistance aux traitements antifongiques habituels.
  • L’efficacité de l’itraconazole n’a pas été déterminée dans les onychomycoses.
  • — Mycoses systémiques ou viscérales :
    – Aspergillomes inopérables symptomatiques.
  • – Aspergillose bronchopulmonaire et pulmonaire nécrosante, y compris chez l’immunodéprimé.
  • – Aspergillose invasive de l’immunodéprimé : l’expérience est encore trop limitée pour préciser la place de l’itraconazole par rapport à l’amphotéricine B, en particulier chez le neutropénique. Quelques observations suggèrent son intérêt en relais de l’amphotéricine B sans qu’il soit possible de préciser la durée utile du traitement d’attaque par l’amphotéricine B.
  • – Chromomycoses.
  • – Histoplasmoses.
  • – Paracoccidioïdomycoses.
  • – Sporotrichoses et autres mycoses rares à germes sensibles.

  • POSOLOGIE :
    — Mycoses superficielles :
    L’élimination de l’itraconazole des tissus est plus longue que celle du plasma ; l’effet de la thérapeutique se poursuit plusieurs jours après l’arrêt du traitement.
  • – Kératites fongiques : 2 gélules (200 mg) par jour pendant 21 jours. La durée du traitement pourra être ajustée selon la réponse clinique obtenue.
  • – Pityriasis versicolor : 2 gélules (200 mg) une fois par jour pendant 5 à 10 jours.
  • – Dermatophyties cutanées : 1 gélule (100 mg) par jour pendant 15 à 30 jours.
  • — Mycoses systémiques ou viscérales :
    2 à 4 gélules par jour ; les plus fortes posologies sont notamment recommandées chez l’immunodéprimé.
  • La durée du traitement sera fonction de l’affection en cause et de la pathologie sous-jacente.
  • — Utilisation chez l’enfant :
    Les données cliniques disponibles chez l’enfant étant en fait limitées, ce médicament ne sera utilisé chez ces patients que si le bénéfice attendu l’emporte sur le risque potentiel (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • — Utilisation chez le sujet âgé :
    Les données cliniques étant limitées chez le sujet âgé, ce médicament ne sera utilisé chez ces patients que si le bénéfice attendu l’emporte sur les risques potentiels (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • — Utilisation chez l’insuffisant rénal :
    L’itraconazole n’est pratiquement pas extrait par hémodialyse ou dialyse rétropéritonéale.
  • Des variations importantes de la biodisponibilité ayant été observées chez de tels patients, il peut être utile d’adapter la posologie en fonction des concentrations plasmatiques (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • — Utilisation chez l’insuffisant hépatique :
    La demi-vie d’élimination est prolongée chez le cirrhotique (37 +/- 5 heures).
  • Il peut être utile de surveiller la concentration plasmatique de l’itraconazole en cas de cirrhose ou d’insuffisance hépatocellulaire marquée. Il est préférable de ne pas administrer d’itraconazole aux patients présentant une pathologie hépatique lors de traitement par d’autres médicaments sauf si le rapport bénéfice/risque le justifie (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux triazolés antifongiques
    • Intolérance au fructose
    • Sucrase-isomaltase, déficit (en)
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Allaitement

    • Risque d’hépatopathie sévère
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par itraconazole. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par itraconazole. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Risque d’insuffisance hépatique aiguë
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par itraconazole. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par itraconazole. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Hépatopathie
      – De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par itraconazole. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par itraconazole. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • – Chez les patients qui présentent une élévation des enzymes hépatiques ou une maladie hépatique active, ou chez qui d’autres médicaments ont déjà entraîné une toxicité hépatique, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par itraconazole. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par itraconazole. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Information du patient
      Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Patient avec augmentation des transaminases sériques
      Chez les patients qui présentent une élévation des enzymes hépatiques, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Hépatopathie lors d’un traitement médicamenteux, antécédent
      Chez les patients chez qui d’autres médicaments ont déjà entraîné une toxicité hépatique, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Une étude réalisée chez le volontaire sain avec itraconazole par voie IV a montré une diminution transitoire asymptomatique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche, se résolvant avant la perfusion suivante. La signification clinique de cette observation, pour les formes orales, n’est pas connue.
    • L’itraconazole a montré un effet inotrope négatif et ce médicament a été associé à des cas d’insuffisance cardiaque après administration par voie orale.
    • Ce médicament ne doit être utilisé chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive ou des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive que si le bénéfice est nettement supérieur aux risques.
    • L’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte des facteurs tels que la sévérité de l’indication, la posologie et les facteurs de risques individuels d’insuffisance cardiaque congestive. Ces patients doivent être informés des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive, doivent être traités avec précaution et doivent faire l’objet d’un suivi des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive au cours du traitement. Si de tels signes ou symptômes apparaissent au cours du traitement, ce médicament doit être arrêté.
    • Les inhibiteurs calciques peuvent avoir des effets inotropes négatifs qui peuvent s’ajouter à ceux de l’itraconazole ; l’itraconazole peut inhiber le métabolisme des inhibiteurs calciques. En conséquence, la prudence s’impose en cas de coadministration d’itraconazole et d’inhibiteurs calciques.
    • Antécédent d’insuffisance cardiaque congestive
      Une étude réalisée chez le volontaire sain avec itraconazole par voie IV a montré une diminution transitoire asymptomatique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche, se résolvant avant la perfusion suivante. La signification clinique de cette observation, pour les formes orales, n’est pas connue.
    • L’itraconazole a montré un effet inotrope négatif et ce médicament a été associé à des cas d’insuffisance cardiaque après administration par voie orale.
    • Ce médicament ne doit être utilisé chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive ou des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive que si le bénéfice est nettement supérieur aux risques.
    • L’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte des facteurs tels que la sévérité de l’indication, la posologie et les facteurs de risques individuels d’insuffisance cardiaque congestive. Ces patients doivent être informés des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive, doivent être traités avec précaution et doivent faire l’objet d’un suivi des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive au cours du traitement. Si de tels signes ou symptômes apparaissent au cours du traitement, ce médicament doit être arrêté.
    • Les inhibiteurs calciques peuvent avoir des effets inotropes négatifs qui peuvent s’ajouter à ceux de l’itraconazole ; l’itraconazole peut inhiber le métabolisme des inhibiteurs calciques. En conséquence, la prudence s’impose en cas de coadministration d’itraconazole et d’inhibiteurs calciques.
    • Insuffisance rénale
      L’itraconazole n’est pratiquement pas extrait par hémodialyse ou dialyse rétropéritonéale.
    • Des variations importantes de la biodisponibilité ayant été observées chez de tels patients, il peut être utile d’adapter la posologie en fonction des concentrations plasmatiques.
    • Insuffisance hépatique
      La demi-vie d’élimination est prolongée chez le cirrhotique (37 +/- 5 heures).
    • Il peut être utile de surveiller la concentration plasmatique de l’itraconazole en cas de cirrhose ou d’insuffisance hépatocellulaire marquée. Il est préférable de ne pas administrer d’itraconazole aux patients présentant une pathologie hépatique lors de traitement par d’autres médicaments sauf si le rapport bénéfice/risque le justifie.
    • Cirrhose
      La demi-vie d’élimination est prolongée chez le cirrhotique (37 +/- 5 heures).
    • Il peut être utile de surveiller la concentration plasmatique de l’itraconazole en cas de cirrhose ou d’insuffisance hépatocellulaire marquée. Il est préférable de ne pas administrer d’itraconazole aux patients présentant une pathologie hépatique lors de traitement par d’autres médicaments sauf si le rapport bénéfice/risque le justifie.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Les données cliniques disponibles chez l’enfant étant en fait limitées, ce médicament ne sera utilisé chez ces patients que si le bénéfice attendu l’emporte sur le risque potentiel.
    • Sujet âgé
      Les données cliniques étant limitées chez le sujet âgé, ce médicament ne sera utilisé chez ces patients que si le bénéfice attendu l’emporte sur les risques potentiels.
    • Déficit immunitaire
      Sujets neutropéniques, Sida :
      Les concentrations à l’état stationnaire sont généralement plus faibles chez les immunodéprimés et justifient l’utilisation de posologies élevées (400 mg/jour). La surveillance des concentrations plasmatiques peut être utile en début de traitement surtout s’il existe des éléments susceptibles de modifier l’absorption (prise à jeun, réaction du greffon contre l’hôte, diarrhée, mucite), et en cas de suspicion d’échec.
    • Respecter l’indication officielle
      Sujets présentant des infections fongiques systémiques mettant directement en jeu le pronostic vital :
      En raison de ses propriétés pharmacocinétiques (cf Pharmacocinétique), ce médicament ne devra pas être utilisé en traitement d’initiation chez ces patients.
    • Achlorhydrie
      L’absorption est modifiée lorsque l’acidité gastrique est réduite. Ce médicament doit être administré 2 heures avant ou 4 à 6 heures après un médicament diminuant l’acidité gastrique.
    • Chez les patients présentant une achlorhydrie, en particulier patients atteints du Sida ou patients recevant des suppresseurs de l’acidité gastrique (en particulier anti-H2, inhibiteurs de la pompe à protons), il est recommandé d’administrer ce médicament avec une boisson contenant du cola.
    • Risque de neuropathie périphérique
      En cas d’apparition d’une neuropathie qui pourrait être imputée à ce médicament, il convient d’interrompre le traitement.
    • Administrer après le repas
      Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.
    • Administrer entier
      Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène. A ce jour, aucun effet malformatif particulier n’a été mis en évidence sur un effectif d’environ 500 patientes exposées au 1er trimestre avec des traitements de courte durée. Cependant, compte-tenu des effets tératogènes mis en évidence chez l ‘animal, par mesure de prudence, éviter de prescrire tout au long de la grossesse.
  • L’utilisation de l’itraconazole en traitement prolongé sera réservé, quel que soit le terme de la grossesse, aux cas mettant en jeu le pronostic vital maternel.
  •  Allaitement :

    En raison du passage dans le lait, de l’itraconazole et compte-tenu de son profil d’effets secondaires, l’allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.
  • Si l’enfant d’une mère qui doit prendre de l’itraconazole est déjà traité par cisapride, l’allaitement doit être suspendu pendant toute la durée du traitement maternel en raison d’un risque potentiel d’interaction chez l’enfant (torsades de pointes) (cf Contre-indications).

  • Aucun effet n’a été observé.

    • Réaction anaphylactique (Rare)
    • Réaction anaphylactoïde (Rare)
    • Hypersensibilité (Rare)
    • Hypokaliémie (Fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Neuropathie périphérique (Rare)
    • Oedème (Très rare)
      Insuffisance cardiaque congestive.
    • Insuffisance cardiaque congestive (Très rare)
    • Oedème pulmonaire (Très rare)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Nausée (Fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Dyspepsie (Peu fréquent)
    • Constipation (Peu fréquent)
    • Hépatopathie (Très rare)
    • Insuffisance hépatique aiguë (Très rare)
    • Hépatite (Fréquent)
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
    • Oedème de Quincke (Très rare)
    • Alopécie (Très rare)
    • Photosensibilisation (Très rare)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Prurit (Peu fréquent)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Trouble menstruel (Rare)

    • Classement ATC : 
          J02AC02 / ITRACONAZOLE
    • Classement Vidal : 
          Antifongique systémique : itraconazole

    Liste I
    • CIP : 3773145 (ITRACONAZOLE MYLAN 100 mg gél : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


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