logo news copy.webp
Search
Close this search box.

PERINDOPRIL MYLAN 4 mg cp séc






comprimé sécable
par 1 comprimé
périndopril tert-butylamine4 mg
  Soit périndopril3,338 mg
Excipients : cellulose microcristalline, lactose monohydrate, silice colloïdale hydrophobe, magnésium stéarate.

— Hypertension :
Traitement de l’hypertension artérielle.

  • — Insuffisance cardiaque :
    Traitement de l’insuffisance cardiaque symptomatique.
  • — Maladie coronaire stable :
    Réduction du risque d’événements cardiaques chez les patients ayant un antécédent d’infarctus du myocarde et/ou de revascularisation.

  • POSOLOGIE :
    La posologie doit être adaptée au profil du patient (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) et à sa réponse tensionnelle.
  • – Hypertension
    PERINDOPRIL peut être utilisé en monothérapie ou en association avec d’autres médicaments antihypertenseurs.
  • La dose initiale recommandée est de 4 mg par jour en une prise matinale.
  • Les patients dont le système rénine-angiotensine-aldostérone est très stimulé (en particulier, une hypertension rénovasculaire, une déplétion hydrosodée, une décompensation cardiaque ou une hypertension sévère) peuvent faire l’objet d’une brusque chute tensionnelle après la première prise.
  • Une posologie initiale de 2 mg est recommandée chez ces patients et l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale.
  • La posologie peut être augmentée à 8 mg une fois par jour après un mois de traitement.
  • Une hypotension symptomatique peut apparaître après le début du traitement avec PERINDOPRIL ; en particulier chez des patients traités par diurétiques. Une attention particulière est recommandée chez ces patients pouvant faire l’objet d’une déplétion hydrosodée.
  • Si possible, le traitement par diurétique devra être interrompu 2 à 3 jours avant l’instauration du traitement par PERINDOPRIL (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Chez les patients hypertendus pour lesquels le diurétique ne peut être arrêté, le traitement par PERINDOPRIL devra être initié à la dose de 2 mg. La fonction rénale et la kaliémie devront être surveillées. La posologie de PERINDOPRIL sera ensuite ajustée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
  • Chez les sujets âgés, le traitement sera instauré à une posologie de 2 mg puis il pourra être augmenté progressivement à 4 mg après un mois de traitement puis à 8 mg si nécessaire, suivant l’état de la fonction rénale (voir ci-dessous).
  • – Insuffisance cardiaque symptomatique
    Il est recommandé d’initier le traitement par PERINDOPRIL généralement utilisé en association avec un diurétique non-épargneur de potassium et/ou la digoxine et/ou un bêtabloquant, sous stricte surveillance médicale, à la posologie initiale de 2 mg en une prise matinale. En fonction de la tolérance, cette posologie peut être augmentée à 4 mg par jour après 2 semaines. La posologie sera adaptée en fonction de la réponse du patient au traitement.
  • Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque sévère, et chez ceux considérés à haut risque (patients avec une insuffisance rénale et une tendance à avoir des troubles électrolytiques, patients recevant un traitement concomitant par des diurétiques et/ou des vasodilatateurs), le traitement devra être instauré sous stricte surveillance médicale ((cf Mises en garde/Précautions d’emploi)).
  • Les patients à haut risque d’hypotension symptomatique tels que les patients ayant une déplétion hydrosodée avec ou sans hyponatrémie, les patients ayant une hypovolémie ou les patients traités par de fortes doses de diurétiques doivent être équilibrés, si possible avant l’instauration du traitement par PERINDOPRIL. La pression artérielle, la fonction rénale et la kaliémie doivent être étroitement contrôlées, à la fois avant et pendant le traitement par PERINDOPRIL (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • – Maladie coronaire stable
    Le traitement par PERINDOPRIL devra être initié à la dose de 4 mg une fois par jour pendant deux semaines, puis augmenté à 8 mg une fois par jour, selon la fonction rénale et si la dose de 4 mg est bien tolérée. Les patients âgés recevront 2 mg une fois par jour pendant une semaine, puis 4 mg une fois par jour la semaine suivante, puis la dose sera augmentée à 8 mg une fois par jour selon la fonction rénale. La posologie ne sera augmentée que si la dose précédente est bien tolérée.
  • – Adaptation posologique en cas d’insuffisance rénale
    La posologie chez les insuffisants rénaux doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine comme souligné ci-dessous :
    . Clairance de la créatinine (Clcr) >= 60 ml/min : la dose recommandée est de 4 mg par jour
    . 30 < Clcr < 60 ml/min : la dose recommandée est de 2 mg par jour
    . 15 < Clcr < 30 ml/min : la dose recommandée est de 2 mg un jour sur deux
    . Patients sous hémodialyse* : Clcr < 15 ml/min : la dose recommandée est de 2 mg les jours de la dialyse
    * la clairance de dialyse du périndoprilate est de 70 ml/min. Pour les patients hémodialysés, le médicament doit être pris après la dialyse.
  • – Adaptation posologique en cas d’insuffisance hépatique
    Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients atteints d’insuffisance hépatique ((cf Mises en garde/Précautions d’emploi et Propriétés pharmacocinétiques).
  • – Enfants et adolescents (moins de 18 ans)
    L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été établies chez les enfants et les adolescents. De ce fait, l’utilisation chez les enfants et les adolescents n’est pas recommandée.MODE D’ADMINISTRATION :
    Il est recommandé de prendre PERINDOPRIL en une prise quotidienne le matin avant le repas.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
    • Oedème angioneurotique héréditaire
    • Oedème de Quincke
    • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
    • Déficit en lactase
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)

    • Angor
      Si un épisode d’angor instable (majeur ou non) survient au cours du premier mois de traitement par le périndopril, le rapport bénéfice/risque doit être soigneusement déterminé avant de poursuivre éventuellement le traitement.
    • Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables). Une prudence similaire est justifiée en cas d’angor car une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde.
    • Risque d’hypotension artérielle
      Les IEC induisent une diminution de la pression artérielle.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et, recevoir si nécessaire, une perfusion IV de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement ; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après correction de la volémie et normalisation de la pression artérielle.
    • Hypertension artérielle
      – Une hypotension symptomatique peut survenir dans de rares cas chez les patients présentant une hypertension sans complications (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • Chez certains hypertendus sans maladie vasculaire rénale pré-existante apparente, des cas d’augmentation de l’urémie et de la créatininémie, habituellement mineures et transitoires, ont été observés, en particulier lorsque le périndopril était associé à un diurétique. Ce risque augmente en cas d’insuffisance rénale pré existante. Une réduction de la posologie et/ou un arrêt du diurétique et/ou du périndopril peuvent être nécessaires.
    • – Patients traités par diurétiques : une surveillance attentive est recommandée chez ces patients, car ils peuvent présenter une déplétion hydrique et/ou sodée.
    • – Si possible, le traitement par diurétique doit être arrêté 2 à 3 jours avant l’initiation du traitement par perindopril. Chez les patients hypertendus, pour lesquels le diurétique ne peut pas être interrompu, la dose initiale de perindopril sera de 2 mg/jour, sous surveillance de la fonction rénale et de la kaliémie. La posologie sera ensuite adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
    • Hypovolémie
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements (voir Interactions médicamenteuses et Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • – Patients traités par diurétiques : une surveillance attentive est recommandée chez ces patients, car ils peuvent présenter une déplétion hydrique et/ou sodée.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie, hypovolémie ou traitement diurétique à fortes doses), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Sujet sous régime hyposodé ou désodé
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un régime hyposodé (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie, hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Patient dialysé
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’une dialyse (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients dialysés avec des membranes de haute perméabilité et conjointement traités par un IEC. L’utilisation d’un autre type de membrane de dialyse ou l’administration d’un antihypertenseur appartenant à une classe pharmacologique différente doit être envisagée chez ces patients.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Patient en hémodialyse
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’une dialyse (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients dialysés avec des membranes de haute perméabilité et conjointement traités par un IEC. L’utilisation d’un autre type de membrane de dialyse ou l’administration d’un antihypertenseur appartenant à une classe pharmacologique différente doit être envisagée chez ces patients.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Diarrhée
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’une diarrhée (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Vomissement
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant de vomissements (voir Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Hypertension artérielle sévère
      – Une hypotension symptomatique peut survenir fréquemment en cas d’hypertension sévère rénine-dépendante (voir Interactions médicamenteuses et Effets indésirables). Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • Chez certains hypertendus sans maladie vasculaire rénale pré-existante apparente, des cas d’augmentation de l’urémie et de la créatininémie, habituellement mineures et transitoires, ont été observés, en particulier lorsque le périndopril était associé à un diurétique. Ce risque augmente en cas d’insuffisance rénale pré existante. Une réduction de la posologie et/ou un arrêt du diurétique et/ou du périndopril peuvent être nécessaires.
    • – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas d’hypertension sévère), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise. Chez ces patients, il est recommandé de débuter le traitement avec la dose de 2 mg/jour, sous surveillance médicale attentive.
    • – Patients traités par diurétiques : une surveillance attentive est recommandée chez ces patients, car ils peuvent présenter une déplétion hydrique et/ou sodée.
    • Si possible, le traitement par diurétique doit être arrêté 2 à 3 jours avant l’initiation du traitement par perindopril. Chez les patients hypertendus, pour lesquels le diurétique ne peut pas être interrompu, la dose initiale de perindopril sera de 2 mg/jour, sous surveillance de la fonction rénale et de la kaliémie. La posologie sera ensuite adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (traitement diurétique à fortes doses), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Insuffisance cardiaque
      – Une hypotension symptomatique a été observée dans l’insuffisance cardiaque symptomatique avec ou sans insuffisance rénale sévère associée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables).
    • Chez certains patients insuffisants cardiaques présentant une pression artérielle normale ou basse, le périndopril peut provoquer une baisse supplémentaire de la pression artérielle. Cet effet est prévisible et ne constitue généralement pas un motif d’arrêt du traitement. Si l’hypotension devient symptomatique, une diminution de la posologie, ou un arrêt du traitement par le périndopril peuvent être nécessaires.
    • – Insuffisance cardiaque symptomatique : Le périndopril étant habituellement administré en association avec un diurétique non épargneur potassique et/ou à la digoxine et/ou à un bêta-bloquant, il est recommandé d’instaurer le traitement sous étroite surveillance médicale. La dose initiale recommandée est de 2 mg le matin. Cette dose peut être augmentée par paliers de 2 mg à intervalles de 2 semaines minimum à 4 mg une fois par jour, si la tolérance est bonne. La posologie doit toujours être adaptée en fonction de la réponse clinique observée chez chaque patient.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie, hypovolémie ou traitement diurétique à fortes doses), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Trouble vasculaire cérébral
      Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, il est recommandé de débuter le traitement et d’effectuer les adaptations de dose sous étroite surveillance médicale (voir Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables). Une prudence similaire est justifiée en cas d’affection vasculaire cérébrale, car une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un accident vasculaire cérébral.
    • Rétrécissement mitral
      Comme avec les autres IEC, le périndopril doit être administré avec précaution en cas de sténose de la valve mitrale.
    • Rétrécissement aortique
      Comme avec les autres IEC, le périndopril doit être administré avec précaution en cas d’obstruction du débit ventriculaire gauche telle que sténose aortique.
    • Cardiomyopathie hypertrophique
      Comme avec les autres IEC, le périndopril doit être administré avec précaution en cas d’obstruction du débit ventriculaire gauche telle que cardiomyopathie hypertrophique.
    • Insuffisance rénale
      En cas d’insuffisance rénale (ClCr < 60 ml/min), la posologie initiale de périndopril doit être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine (voir Posologie/Mode d’administration), puis ajustée en fonction de la réponse au traitement. Chez ces patients, le suivi médical de routine comprend une surveillance périodique du potassium et de la créatinine.
    • En cas d’insuffisance cardiaque symptomatique, une chute tensionnelle accompagnant l’initiation du traitement par IEC peut majorer l’altération de la fonction rénale. Des cas d’insuffisance rénale aiguë, habituellement réversibles, ont été rapportés dans cette situation.
    • Les insuffisants rénaux sont des patients à risque de développer une hyperkaliémie.
    • Sténose artérielle rénale bilatérale ou sur rein unique
      Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l’artère rénale sur rein fonctionnel unique traités par IEC, des élévations de l’urémie et de la créatininémie, habituellement réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrites. Ce risque augmente en cas d’insuffisance rénale. En cas d’hypertension réno-vasculaire concomitante, le risque d’hypotension sévère et d’insuffisance rénale est accru. Le traitement doit alors être instauré, à posologie faible, qui sera augmentée progressivement sous surveillance médicale attentive. Les diurétiques pouvant contribuer à la survenue de ces effets, ils doivent donc être interrompus et la fonction rénale doit être surveillée au cours des premières semaines de traitement par le périndopril.
    • Transplantation rénale
      Il n’existe aucune expérience de l’administration du périndopril chez des patients ayant récemment reçu une transplantation rénale.
    • Risque d’oedème de Quincke
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été observé dans de rares cas chez des patients traités par un IEC, y compris par le périndopril (voir Effets indésirables). Cet effet peut survenir à tout moment au cours du traitement. Dans ces cas, l’administration du périndopril doit être immédiatement arrêtée, et une surveillance adéquate doit être instaurée et poursuivie jusqu’à disparition complète des symptômes.
    • Lorsque l’oedème est limité à la face et aux lèvres, il disparaît habituellement sans traitement, néanmoins des antihistaminiques se sont avérés utiles dans le soulagement des ces troubles.
    • Un angio-oedème associé à un oedème du larynx peut être fatal. Si l’atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx expose à un risque d’obstruction des voies aériennes, un traitement d’urgence doit être instauré rapidement. Il peut s’agir de l’administration d’adrénaline et/ou de mesures destinées à maintenir le dégagement des voies aériennes. Le patient doit être maintenu sous étroite surveillance médicale jusqu’à la disparition complète et prolongée (confirmée) des symptômes.
    • Un angio-oedème intestinal a été rarement signalé chez des patients traités par inhibiteur de l’enzyme de conversion. Ces patients présentaient des douleurs abdominales (avec ou sans nausées ou vomissements) ; dans certains cas, ce n’était pas précédé d’un angio-oedème facial et les taux de C-1 estérase étaient normaux. Le diagnostic a été effectué par un scanner abdominal, une échographie, ou lors d’une chirurgie et les symptômes ont disparu à l’arrêt de l’IEC. L’angio-oedème intestinal doit faire partie du diagnostic différentiel en cas de douleur abdominale chez un patient sous IEC.
    • Sujet noir
      Un taux plus élevé de survenue d’angio-oedème a été observé chez les patients de race noire traités par IEC par rapport aux autres patients.
    • Comme avec les autres IEC, l’effet antihypertenseur du périndopril peut être moins marqué chez les patients de population noire que chez les autres populations de patients, à cause d’une prévalence accrue à faible activité rénine dans la population noire hypertendue.
    • Antécédent d’oedème de Quincke
      Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un IEC peuvent présenter un risque accru d’angio-oedème sous IEC (voir Contre-indications).
    • Hémaphérèse
      Dans de rares cas, des réactions anaphylactoïdes potentiellement fatales ont été observées chez des patients traités par IEC au cours d’une aphérèse des LDL utilisant du sulfate de dextran. Ces réactions peuvent être évitées en interrompant temporairement le traitement par IEC avant chaque aphérèse.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Les patients traités par un IEC au cours d’une désensibilisation (par exemple : venin d’hyménoptère) ont présenté des réactions anaphylactoïdes. Chez ces mêmes patients, ces réactions ont pu être évitées par l’interruption transitoire du traitement par IEC, mais elles ont réapparues lors de la reprise accidentelle du traitement.
    • Risque d’hépatite fulminante
      Les IEC ont été rarement associés à un syndrome commençant par un ictère cholestatique et évoluant vers une hépatite nécrosante fulminante et, parfois, le décès. La physiopathologie de ce syndrome n’est pas connue. En cas d’apparition d’un ictère ou d’une élévation importante des enzymes hépatiques, l’administration de l’IEC doit être arrêtée et le patient doit être maintenu sous surveillance médicale adéquate (voir Effets indésirables).
    • Risque de neutropénie
      Des cas de neutropénie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications.
    • Risque d’agranulocytose
      Des cas d’agranulocytose ont été rapportés chez des patients recevant un IEC.
    • Risque de thrombopénie
      Des cas de thrombocytopénie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC.
    • Risque d’anémie
      Des cas d’anémie ont été rapportés chez des patients recevant un IEC.
    • Connectivite
      Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose vasculaire, de traitement concomitant par immunosuppresseur, allopurinol ou procaïnamide, ou lorsque plusieurs de ces facteurs sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection.
    • Déficit immunitaire
      Le périndopril doit être administré avec une prudence extrême en cas de collagénose vasculaire, de traitement concomitant par immunosuppresseur, allopurinol ou procaïnamide, ou lorsque plusieurs de ces facteurs sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, ne répondant pas, dans quelques cas, à une antibiothérapie intensive. Si le périndopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée et il convient d’informer le patient de signaler tout signe d’infection.
    • Risque de toux
      La survenue de toux a été rapportée lors de l’utilisation des IEC. Elle est caractérisée par son aspect non productif, sa persistance, ainsi que par sa disparition à l’arrêt du traitement.
    • La toux induite par les IEC doit être prise en compte lors de l’établissement d’un diagnostic différentiel de toux.
    • Intervention chirurgicale
      Au cours d’interventions chirurgicales majeures, le périndopril peut bloquer la formation d’angiotensine II secondaire à la libération compensatoire de rénine. L’administration du périndopril doit donc être interrompue 24 heures avant l’intervention En cas de survenue d’une hypotension considérée comme liée à ce mécanisme, celle-ci peut être prise en charge par correction de la volémie.
    • Anesthésie
      Au cours d’anesthésies utilisant des produits hypotenseurs, le périndopril peut bloquer la formation d’angiotensine II secondaire à la libération compensatoire de rénine. L’administration du périndopril doit donc être interrompue 24 heures avant l’intervention En cas de survenue d’une hypotension considérée comme liée à ce mécanisme, celle-ci peut être prise en charge par correction de la volémie.
    • Risque d’hyperkaliémie
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez des patients traités par IEC, y compris par périndopril.
    • Diabète non équilibré
      Les diabétiques mal contrôlés sont des patients à risque de développer une hyperkaliémie.
    • Chez le patient diabétique traité par antidiabétiques oraux ou insuline, un contrôle glycémique étroit doit être effectué au cours du 1er mois de traitement par IEC (voir Interactions médicamenteuses).
    • Traitement par un médicament hyperkaliémiant
      Les patients traités conjointement par diurétiques épargneurs de potassium, des suppléments de potassium, ou prenant des substituts de sel contenant du potassium, ainsi que ceux traités par d’autres produits hyperkaliémiants (ex : héparine) sont des patients à risque de développer une hyperkaliémie. Si la prise concomitante de ces produits est jugée nécessaire, une surveillance régulière de la kaliémie est recommandée (voir Interactions médicamenteuses).
    • Diabète
      Chez le patient diabétique traité par antidiabétiques oraux ou insuline, un contrôle glycémique étroit doit être effectué au cours du 1er mois de traitement par IEC (voir Interactions médicamenteuses).
    • Femme susceptible d’être enceinte
      A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse.
    • Administrer avant le repas
    • Posologie à adapter pendant le traitement
      La posologie doit être adaptée individuellement en fonction du profil du patient et de la réponse tensionnelle.
    • Hypertension rénovasculaire
      En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas d’hypertension rénovasculaire), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise. Chez ces patients, il est recommandé de débuter le traitement avec la dose de 2 mg/jour, sous surveillance médicale attentive.
    • Hyponatrémie
      – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas de déplétion sodée), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise. Chez ces patients, il est recommandé de débuter le traitement avec la dose de 2 mg/jour, sous surveillance médicale attentive.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Déshydratation
      – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas de déplétion hydrique), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise. Chez ces patients, il est recommandé de débuter le traitement avec la dose de 2 mg/jour, sous surveillance médicale attentive.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (hypovolémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Déplétion hydrosodée
      – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas de déplétion sodée et hydrique), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise. Chez ces patients, il est recommandé de débuter le traitement avec la dose de 2 mg/jour, sous surveillance médicale attentive.
    • – Chez les patients à haut risque d’hypotension symptomatique (déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie), ces situations doivent être si possible corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. Une surveillance de la pression artérielle, de la fonction rénale et de la kaliémie sera effectuée à la fois avant et pendant le traitement par perindopril.
    • Sujet âgé
      Le traitement des patients âgés doit être instauré à la dose de 2 mg; cette dose pourra être augmentée progressivement à 4 mg au bout d’un mois de traitement puis jusqu’à 8 mg si nécessaire, suivant l’état de la fonction rénale (voir Posologie/Mode d’administration).
    • Enfant de moins de 15 ans
      L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ayant pas été totalement établies, l’utilisation chez l’enfant n’est pas recommandée.
    • Administrer le matin

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’utilisation des IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir Mises en garde/Précautions d’emploi). L’utilisation des IEC est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.
  • L’exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (voir Sécurité pré-clinique). En cas d’exposition à IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d’effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voute du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (voir Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  •  Allaitement :

    En raison de l’absence d’information disponible sur l’utilisation de ce médicament au cours de l’allaitement, ce médicament est déconseillé. Il est préférable d’utiliser d’autres traitements ayant un profil de sécurité bien établi pendant l’allaitement, particulièrement chez le nouveau-né ou le prématuré.

    PERINDOPRIL n’affecte pas directement la vigilance, mais des sensations de vertiges ou de fatigue en relation avec une baisse de la pression artérielle peuvent survenir chez certains patients.
  • Par conséquent, l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines peut être diminuée.

    • Hémoglobinémie (diminution) (Très rare)
    • Hématocrite (diminution) (Très rare)
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Leucopénie (Très rare)
    • Neutropénie (Très rare)
    • Agranulocytose (Très rare)
    • Pancytopénie (Très rare)
    • Anémie hémolytique (Très rare)
      Deficit en g6pd.
    • Hypoglycémie
    • Trouble de l’humeur (Peu fréquent)
    • Trouble du sommeil (Peu fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Sensation de vertige (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Paresthésie (Fréquent)
    • Confusion mentale (Très rare)
    • Vision (modification) (Fréquent)
    • Acouphène (Fréquent)
    • Arythmie (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Infarctus du myocarde (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Angor (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Accident vasculaire cérébral (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Vascularite
    • Toux (Fréquent)
    • Dyspnée (Fréquent)
    • Bronchospasme (Peu fréquent)
    • Pneumopathie à éosinophiles (Très rare)
    • Rhinite (Très rare)
    • Nausée (Fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Dyspepsie (Fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Constipation (Fréquent)
    • Hyposialie (Peu fréquent)
    • Pancréatite (Très rare)
    • Hépatite cytolytique (Très rare)
    • Hépatite cholestatique (Très rare)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Prurit (Fréquent)
    • Oedème de Quincke (Peu fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Erythème polymorphe (Très rare)
    • Crampe (Fréquent)
    • Insuffisance rénale (Peu fréquent)
    • Insuffisance rénale aiguë (Très rare)
    • Impuissance (Peu fréquent)
    • Asthénie (Fréquent)
    • Hypersudation (Peu fréquent)
    • Urémie (augmentation)
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Créatininémie (augmentation)
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Hyperkaliémie
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Rare)
    • Arrêt cardiaque
    • Hyperbilirubinémie (Rare)

    • Classement ATC : 
          C09AA04 / PERINDOPRIL
    • Classement Vidal : 
          Antihypertenseur : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Périndopril)
          Inhibiteur de l’enzyme de conversion (insuffisance coronarienne) : périndopril
          Insuffisance cardiaque : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Périndopril)

    Liste I
    • CIP : 3310416 (PERINDOPRIL MYLAN 4 mg cp séc : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3310439 (PERINDOPRIL MYLAN 4 mg cp séc : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Social Media

    Le plus populaire

    Get The Latest Updates

    Abonnez-vous à La Communauté Médicale

    Articles Similaires