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TRANDOLAPRIL BIOGARAN 4 mg gél






gélule
par 1 gélule
trandolapril4 mg
Excipients : diméticone, cellulose microcristalline, lactose monohydrate, amidon prégélatinisé, silice colloïdale anhydre, magnésium stéarate, gélatine, titane dioxyde, fer rouge oxyde, fer jaune oxyde, érythrosine.

– Hypertension artérielle
– Post-infarctus du myocarde : prévention secondaire après infarctus du myocarde, chez les patients avec dysfonction ventriculaire gauche (correspondant à une fraction d’éjection <= 35 %) avec ou sans signes d’insuffisance cardiaque, se traduisant par :
. une réduction de la mortalité totale,
. une réduction de l’évolution vers l’insuffisance sévère ou réfractaire.

  • Le traitement d’un groupe de 876 patients durant 24 à 50 mois a permis d’éviter le décès de 65 patients (soit 7,4 %) (cf Etude TRACE dans la Pharmacodynamie).

  • POSOLOGIE :
    — Hypertension artérielle :
    En I’absence de déplétion hydrosodée préalable ou d’insuffisance rénale (soit en pratique courante) : la posologie efficace est de 2 mg par jour en une prise unique. En fonction de la réponse au traitement, la posologie doit être adaptée, en respectant des paliers de 3 à 4 semaines, jusqu’à un maximum de 4 mg/24 heures.
  • Si nécessaire, un diurétique non hyperkaliémiant peut être associé afin d’obtenir une baisse supplémentaire de la pression artérielle.
  • Dans l’hypertension artérielle préalablement traitée par diurétiques :
    . soit arrêter le diurétique 3 jours auparavant pour le réintroduire par la suite si nécessaire,
    . soit administrer des doses initiales de 0,5 mg de trandolapril et les ajuster en fonction de la réponse tensionnelle obtenue.
  • Il est recommandé de doser la créatinine plasmatique et la kaliémie avant le traitement et dans les 15 jours qui suivent la mise en route du traitement.
  • – Chez les sujets âgés de plus de 65 ans, à fonction rénale normale pour l’âge (cf Mises en garde/Précautions d’emploi), l’étude de la pharmacocinétique du trandolapril montre qu’aucune adaptation posologique n’est nécessaire.
  • – Dans l’hypertension rénovasculaire, il est recommandé de débuter le traitement à la posologie de 0,5 mg/jour, pour l’ajuster par la suite à la réponse tensionnelle du patient.
  • La créatininémie et la kaliémie seront contrôlées afin de détecter l’apparition d’une éventuelle insuffisance rénale fonctionnelle (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • – En cas d’insuffisance rénale, la posologie de trandolapril est ajustée au degré de cette insuffisance :
    . si la clairance de la créatinine est supérieure à 30 ml/min, il n’est pas nécessaire de modifier la posologie ;
    . si la clairance de la créatinine est comprise entre 10 ml/min et 30 ml/min, la dose initiale est de 0,5 mg/j et la dose maximale ne doit pas excéder 1 mg/j ;
    . si la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min, la dose initiale et maximale est de 0,5 mg/j.
  • Chez ces malades, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine, par exemple tous les deux mois en période de stabilité thérapeutique.
  • Les diurétiques à associer dans ce cas sont les diurétiques dits de l’anse.
  • – Chez l’hypertendu hémodialysé : le trandolapril est dialysable (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • — Suites d’infarctus du myocarde :
    Le traitement sera institué 3 à 7 jours après l’infarctus du myocarde dès que les conditions de mise sous traitement seront réunies (stabilité hémodynamique, prise en charge d’une éventuelle ischémie résiduelle).
  • La dose initiale doit être faible (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) surtout si les patients présentent une pression artérielle normale ou basse au départ. Le traitement sera initié à la dose de 0,5 mg.
  • Cette dose sera augmentée le lendemain à 1 mg en prise unique pendant 2 jours, puis progressivement jusqu’à un maximum de 4 mg par jour en prise unique. En fonction de la tolérance hémodynamique, par exemple en cas d’hypotension symptomatique, cette augmentation posologique peut être temporairement suspendue.
  • La mise en route du traitement sera réalisée en milieu hospitalier, sous surveillance médicale stricte, notamment tensionnelle (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • En cas d’hypotension, les traitements hypotenseurs administrés conjointement (par exemple : vasodilatateurs y compris les dérivés nitrés, les diurétiques…) doivent être réévalués et leur posologie réduite si possible.
  • MODALITES D’ADMINISTRATION :
    Le trandolapril, gélules, peut être pris avant, pendant ou après les repas, la prise d’aliments ne modifiant pas la biodisponibilité du trandolapril ou de son métabolite actif.
  • Le trandolapril est administré en une prise quotidienne.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
    • Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
    • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Sténose artérielle rénale bilatérale
    • Sténose artérielle rénale sur rein unique
    • Hyperkaliémie
    • Grossesse, 3 premiers mois (de la)
    • Allaitement

    • Patient traité à posologie élevée
      Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu’ils étaient administrés à doses élevées.
    • Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l’enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    • Insuffisance rénale
      Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu’ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    • Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l’enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    • Connectivite
      Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu’ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    • Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l’enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    • Déficit immunitaire
      Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu’ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    • Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l’enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    • Leucopénie
      Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont exceptionnellement entraîné une agranulocytose et/ou une dépression médullaire lorsqu’ils étaient administrés chez des patients insuffisants rénaux associant des maladies de système (collagénoses telles que lupus érythémateux disséminé ou sclérodermie), avec un traitement immunosuppresseur et/ou potentiellement leucopéniant.
    • Le strict respect des posologies préconisées semble constituer la meilleure prévention de la survenue de ces événements. Toutefois, si un inhibiteur de l’enzyme de conversion doit être administré chez ce type de patients, le rapport bénéfice/risque sera soigneusement mesuré.
    • Risque d’oedème de Quincke
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, trandolapril inclus. Dans de tels cas, le trandolapril doit être arrêté immédiatement et le patient surveillé jusqu’à disparition de l’oedème.
    • Lorsque l’oedème n’intéresse que la face et les lèvres, l’évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes.
    • L’angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Lorsqu’il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml), doit être administrée rapidement et les autres traitements appropriés doivent être appliqués.
    • La prescription d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients (cf Contre-indications).
    • Les patients ayant un antécédent d’œdème de Quincke non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’oedème de Quincke sous inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • Antécédent d’oedème de Quincke
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement signalé chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, trandolapril inclus. Dans de tels cas, le trandolapril doit être arrêté immédiatement et le patient surveillé jusqu’à disparition de l’oedème.
    • Lorsque l’oedème n’intéresse que la face et les lèvres, l’évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes.
    • L’angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Lorsqu’il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml), doit être administrée rapidement et les autres traitements appropriés doivent être appliqués.
    • La prescription d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ne doit plus être envisagée par la suite chez ces patients (cf Contre-indications).
    • Les patients ayant un antécédent d’œdème de Quincke non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’oedème de Quincke sous inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • Patient en hémodialyse
      – Des réactions anaphylactoïdes (oedèmes de la langue et des lèvres avec dyspnée et baisse tensionnelle) ont également été observées au cours d’hémodialyses utilisant des membranes de haute perméabilité (polyacrylonitrile) chez des patients traités par inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Il est recommandé d’éviter cette association.
    • — Une anémie avec baisse du taux d’hémoglobine a été mise en évidence chez des patients hémodialysés, baisse d’autant plus importante que les valeurs de départ sont élevées. Cet effet ne semble pas dose-dépendant mais serait lié au mécanisme d’action des inhibiteurs de l’enzyme de conversion.
    • Cette baisse est modérée, survient dans un délai de 1 à 6 mois puis reste stable. Elle est réversible à l’arrêt du traitement. Celui-ci peut être poursuivi chez ce type de patients, en pratiquant un contrôle hématologique régulier.
    • Risque de toux
      Une toux sèche a été rapportée avec l’utilisation des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Elle est caractérisée par sa persistance ainsi que par sa disparition à l’arrêt du traitement.
    • L’étiologie iatrogénique doit être envisagée en présence de ce symptôme. Dans le cas où la prescription d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion s’avère indispensable, la poursuite du traitement peut être envisagée.
    • Enfant de moins de 15 ans
      L’efficacité et la tolérance du trandolapril chez l’enfant n’ont pas été établies.
    • Déplétion hydrosodée
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Hypotension artérielle
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Sténose artérielle rénale
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Cirrhose hépatique décompensée
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Risque d’hypotension artérielle
      – Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • – Puisque le risque d’hypotension existe chez tous les patients, on sera particulièrement prudent chez ceux ayant une cardiopathie ischémique ou une insuffisance circulatoire cérébrale, en débutant le traitement à faible posologie.
    • Insuffisance coronarienne
      – Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • – Puisque le risque d’hypotension existe chez tous les patients, on sera particulièrement prudent chez ceux ayant une cardiopathie ischémique, en débutant le traitement à faible posologie.
    • – Ne pas interrompre brutalement un traitement par bêta-bloquant chez un hypertendu atteint d’insuffisance coronarienne: l’IEC sera ajouté dans un premier temps au bêta-bloquant.
    • Insuffisance vasculaire cérébrale
      – Une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone est observée en particulier au cours des déplétions hydrosodées importantes (régime désodé strict ou traitement diurétique prolongé), chez les patients à pression artérielle initialement basse, en cas de sténose artérielle rénale, de cirrhose oedémato-ascitique ou d’insuffisance cardiaque congestive.
    • Le blocage de ce système par un inhibiteur de l’enzyme de conversion peut alors provoquer, surtout lors de la première prise et au cours des deux premières semaines de traitement, une brusque chute tensionnelle et/ou, quoique rarement et dans un délai plus variable, une élévation de la créatinine plasmatique traduisant une insuffisance rénale fonctionnelle parfois aiguë.
    • L’hypotension artérielle peut comporter un risque particulier chez les sujets ayant une insuffisance coronaire ou une insuffisance circulatoire cérébrale.
    • Dans tous ces cas de figure, la mise en route du traitement doit alors être progressive (cf Posologie/Mode d’administration).
    • – Puisque le risque d’hypotension existe chez tous les patients, on sera particulièrement prudent chez ceux ayant une insuffisance circulatoire cérébrale, en débutant le traitement à faible posologie.
    • Sujet âgé
      La fonction rénale et la kaliémie sont appréciées avant le début du traitement (cf Posologie/Mode d’administration). La dose de départ est ajustée ultérieurement en fonction de la réponse tensionnelle, a fortiori en cas de déplétion hydrosodée, afin d’éviter toute hypotension de survenue brutale.
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
      En cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine inférieure ou égale à 30 ml/min), le traitement est initié par une posologie initiale faible, puis celle-ci est éventuellement ajustée en fonction de la réponse thérapeutique.
    • Chez ces malades et chez ceux atteints de néphropathie glomérulaire, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Hypertension rénovasculaire
      Le traitement de l’hypertension artérielle rénovasculaire est la revascularisation. Néanmoins, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion peuvent être utiles aux malades présentant une hypertension rénovasculaire dans l’attente de l’intervention correctrice ou lorsque cette intervention n’est pas possible. Le traitement doit alors être institué avec une dose faible et une surveillance de la fonction rénale et de la kaliémie doit être exercée, certains patients ayant développé une insuffisance rénale fonctionnelle, réversible à l’arrêt du traitement.
    • Insuffisance cardiaque sévère
      Chez les patients en insuffisance cardiaque sévère (stade IV), l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite.
    • Diabète insulinodépendant
      Chez les patients diabétiques insulino-dépendants (tendance spontanée à l’hyperkaliémie), l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale avec une posologie initiale réduite.
    • Transplantation rénale
      Une anémie avec baisse du taux d’hémoglobine a été mise en évidence chez des patients transplantés rénaux, baisse d’autant plus importante que les valeurs de départ sont élevées. Cet effet ne semble pas dose-dépendant mais serait lié au mécanisme d’action des inhibiteurs de l’enzyme de conversion.
    • Cette baisse est modérée, survient dans un délai de 1 à 6 mois puis reste stable. Elle est réversible à l’arrêt du traitement. Celui-ci peut être poursuivi chez ce type de patients, en pratiquant un contrôle hématologique régulier.
    • Intervention chirurgicale
      En cas d’anesthésie, et plus encore lorsque l’anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion sont à l’origine d’une hypotension. L’interruption thérapeutique, lorsqu’elle est possible, est donc recommandée l’avant-veille de l’intervention pour les inhibiteurs de l’enzyme de conversion à durée d’action longue, comme le trandolapril.
    • Anesthésie
      En cas d’anesthésie, et plus encore lorsque l’anesthésie est pratiquée avec des agents à potentiel hypotenseur, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion sont à l’origine d’une hypotension. L’interruption thérapeutique, lorsqu’elle est possible, est donc recommandée l’avant-veille de l’intervention pour les inhibiteurs de l’enzyme de conversion à durée d’action longue, comme le trandolapril.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      Le trandolapril, gélules, peut être pris avant, pendant ou après les repas, la prise d’aliments ne modifiant pas la biodisponibilité du trandolapril ou de son métabolite actif.
    • Administrer en une prise
      Le trandolapril est administré en une prise quotidienne.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études réalisées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène mais une foetotoxicité sur plusieurs espèces.
  • En clinique:
    – il n’y a pas d’étude épidémiologique disponible,
    – des observations isolées de grossesses exposées au premier trimestre sont a priori rassurantes sur le plan malformatif,
    – l’administration pendant le 2ème et le 3ème trimestre, et notamment si elle se poursuit jusqu’à l’accouchement, expose à un risque d’atteinte rénale pouvant entraîner :
    . une diminution de la fonction rénale foetale avec éventuellement oligoamnios,
    . une insuffisance rénale néonatale, avec hypotension et hyperkaliémie, voire une anurie (réversible ou non),
    – quelques rares cas d’anomalies de la voûte crânienne ont été rapportés avec la prise d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion tout au long de la grossesse.
  • En conséquence:
    Le risque malformatif, s’il existe, est vraisemblablement faible. La découverte fortuite d’une grossesse en cours de traitement ne justifie pas une interruption de celle-ci. Néanmoins, la voûte crânienne sera surveillée par échographie.
  • En revanche, la découverte d’une grossesse sous inhibiteur de l’enzyme de conversion impose de modifier le traitement et ce, pendant toute la grossesse.
  • Au 2ème et au 3ème trimestre, la prescription d’un IEC est contre-indiquée.
  •  Allaitement :

    Il n’existe pas de données concernant le passage dans le lait maternel. En conséquence, l’administration de ce médicament est déconseillée chez la femme qui allaite.

    Une prudence particulière devra être observée chez les conducteurs de véhicules automobiles et les utilisateurs de machines, en raison du risque de sensation de vertiges.

    • Céphalée
    • Asthénie
    • Sensation de vertige
    • Malaise
    • Hypotension orthostatique
    • Hypotension artérielle
    • Prurit
    • Eruption cutanée
    • Nausée
    • Dysgueusie
    • Toux
    • Oedème de Quincke (Exceptionnel)
    • Urémie (augmentation)
      Insuffisance rénale, Stenose arterielle renale, Traitement diuretique.
    • Créatininémie (augmentation)
      Insuffisance rénale, Stenose arterielle renale, Traitement diuretique.
    • Protéinurie
      Nephropathie preexistante.
    • Hyperkaliémie
    • Anémie
      Hemodialyse, Transplanté rénal.

    • Classement ATC : 
          C09AA10 / TRANDOLAPRIL
    • Classement Vidal : 
          Antihypertenseur : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Trandolapril)
          Insuffisance cardiaque : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Trandolapril)

    Liste I
    • CIP : 3881596 (TRANDOLAPRIL BIOGARAN 4 mg gél : Plq/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3881610 (TRANDOLAPRIL BIOGARAN 4 mg gél : Plq/84).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 % (Hypertension artérielle), Agréé aux collectivités


    Biogaran


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